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Orzian, engrenages et arcanes
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Orzian, engrenages et arcanes


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Josef Kislov
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MessageSujet: Josef Kislov Josef Kislov EmptySam 25 Aoû - 8:49

Kislov Josef Dresseur de Monstres

Josef Kislov 2a66Josef Kislov Bscp
Identité



Nationalité : Teïderienne
Race : Humain
Nom : Kislov
Prénom : Josef
Surnom : Ossip
Sexe : Masculin
Date de naissance : 2 Novimbreïs 1958
Age :42 ans
Lieu de naissance : Hameau près de Sighisoara – Teïder.
Lieu de vie lors de votre entrée en jeu: Teïder
Rang social :Serviteur de l’état
Métier/Position dans la société : Dresseur de monstre affilié aux services des renseignements.

Titre : L’ogre des marécages -Légèrement connu Teïder, Le pinson de Bonne Nouvelle - Méconnu, Le cavalier aveugle-Méconnu, L'amant de la mante Légèrement connu - bas fonds d'Orzus - Méconnu, Le maître de l’écurie volante- Légèrement connu,Teïder.


Armes et équipement :


Armure et armes en votre possession lors de votre entrée en jeu :

Vouivre inférieure
Spoiler:

Brombas + Système de tir électrique + Mécanisme de tir précis
Origine:

Armure en écailles de dragon : Une cotte de mailles faîte avec des écailles de dragon. Légère tout en étant aussi solide que l'acier trempé.

Autres équipements

Vêtements
- Ensemble gracieux : Un ensemble de vêtements conçus pour être agréables à l’œil sans entraver les mouvements.
+ Pétrification :
Cet enchantement permet au porteur des/du vêtement(s) de se transformer à volonté en statue et pour le temps qu'il désire.
+ Chute amoindrie :
Les vêtements ainsi enchanté permettent à leur porteur de tomber d'une vingtaine de mètres de haut sans se blesser.
- Manteau renforcé

Objet 1 : Griffon
Spoiler:
Objet 2 : Doppleganger
Spoiler:

MONTURE
Griffon :
Spoiler:


Caractéristiques :




Magie : (Description ici.)

Potentiel : Faible

Mental : (Description ici.)

La volonté : Champion
Contrôle de soi : Confirmé
L'intelligence : Maitre
La perception : Adepte
Le charisme : Prodige
Technologie : Inconnu

Physique : (Description ici.)

Force physique : Adepte
Agilité : Prodige
Vivacité : Champion
Résistance physique : Débutant  
Résistance magique : Débutant
Vitalité :Champion
Beauté : Maître
Discrétion :Champion

Martial : (Description ici.)

Mains nue/Arts martiaux : Champion
Arme de lancer/fouet : Débutant
Armes à feu : Maitre
Equitation : Virtuose
Domptage : Légende


Description de votre personnage :



2 juillet 2000 de l’âge d’Acier, 7h30 heure du matin – Centre de recherche en psychiatrie expérimentale – Château de Blackville - Akkaton.


Test expérimental d’hypnose n°112 – Docteur JB Moreau – Médecin de garde : Dr Julia Livingstone.

Cette fois, en plus de l’enregistrement technologique effectué, je noterai en détail dans le journal ce qui se sera déroulé ainsi que mon propre ressenti. En effet, je connais parfaitement mon sujet d’expérimentation, patient et ami qui a aujourd’hui accepté de se soumettre au test d’hypnose. Aussi, ma fiabilité professionnelle risquant d’être influée, mes collègues auront cette aide pour relire mon compte-rendu.

Comme à mon habitude, je débuterai la séance par un moment de discussion et de convivialité puis nous passerons au test.

Description physique :


Il se présenta à l’heure, j’eu le ventre serré en lui disant que c’était ouvert. L’homme qui entra n’avait pas beaucoup changé depuis cinq ans que je ne l’avais pas vu. Peut être avait-il l’air plus fatigué et le visage émacié mais dans l’ensemble, c’était bien lui, avec ses traits effilés qui ne laissaient aucun doute sur ses origines et lui donnaient l’air sec aux premiers abords. Je reconnu avec plaisir la même expression dans ses yeux bleu pâle, dans lesquels il était si facile de, pour reprendre un terme théâtral, « tomber ». Son regard était plutôt froid, mais sans lueur de haine ou de rancœur.
C’était peut-être ça qui lui donnait sa drôle de prestance. On ressentait sa présence semblable à l'effet d'un poison diffus : au début on ne le remarque pas particulièrement, puis le jour où il est absent on s’aperçoit qu’il manque. Alors, on est presque soulagé de le voir revenir et au final, il devient nécessaire. J'ai déjà vu le cas étonnant d'individus le détestant ouvertement au point de le harceler se confier subitement à lui sur des sujets douloureux qu'ils n'avaient jamais évoqués à personne.

Ses longs cheveux bruns tombaient sur ses épaules et son cou. Ils étaient bien moins ébouriffés que d’habitude. Doutant qu’il se soit mis subitement à avoir un peigne avec lui, je suppose qu’ils étaient attachés en un catogan quelques instants avant son arrivée mais qu’il les avaient libérés afin de dissimuler sa gorge par égard pour moi. J’en suis particulièrement touché bien que ce fut inutile : entre l’odorat, l’instinct et la magie des ténèbres, je devinais parfaitement chaque parcelle de sa peau, dissimulée ou non. Avec un peu de concentration, je voyais même ses anciennes cicatrices soignées par magie. Difficile de les décrire car elles se chevauchent toutes entre les brûlures au feu et à l’acide, les entailles, les morsures. Ou bien d’autres encore, qui me brisaient le cœur, car certaines dataient de mes jeunes années et venaient de mes propres mains. Ou encore, elles appartenaient à une dernière catégorie témoignant de la fâcheuse tendance des Hommes à éprouver la résistance physique et mentale de leurs semblables.

Je m’empressai de l’enlacer chaleureusement, mettant ma tête par réflexe du côté de son oreille qui entendait encore. « Tu as fondu toi » constatai-je après quelques instants, en sentant ses os sous mes doigts.
« Ah non, j’ai perdu du muscle, j’ai arrêté le sport. Mais le gras est toujours là » s’amusa-t-il en tapotant ses côtes.
- Moi je dis que c’est l’âge, tu te dépiautes sur place. »
- Han-han »
me répondit-il distraitement sans relever l’affront. Définitivement, il vieillissait. Je tournais la tête pour suivre son regard afin de saisir ce qui l’intéressait à ce point dans le fond mon bureau . C’était certainement les ampoules fonctionnant à l’électricité courante.
Je ne pu m’empêcher de glousser quand il fondit brusquement sur moi et m’envoya valser après m’avoir retourné les articulations. Depuis j’étais adulte, ce fait était toujours amusant car il n’avait pas l’air bien redoutable à première vue ; son allure était bien plus celle d’un cavalier que celle d’un combattant : taille honorable pour un humain mais stature frêle, droite, la chute de rein légèrement cambrée, une musculature tonique mais peu puissante ; qu’il arrive à se soulever lui-même était déjà bien.[/color]
Pleinement satisfait de son coup, il souriait, heureusement qu’il ne souriait pas beaucoup, enfin, plus beaucoup, car bien que n’aimant pas les hommes, je n’y résistais pas. Ayant du mal à me concentrer et ayant un ennemi plutôt vif pour un humain, il m’assena quelques coups avant que j’arriva à le saisir. J’entravais d’un coup sec son poignet grâce à un stupide cordon de plume d’écriture que j’avais dans ma poche, puis, lui coinçais le bras en enroulant la corde entre la rampe et les barreaux de l’escalier qui menait à l’étage.

Il siffla d’agacement, détestant être entravé, je crois qu’il aurait encore préféré que j’use de griffes que de cordes. Il se hissa sur la rampe et se retourna en un salto pour atterrir sur mes épaules et m’entrainer en arrière. Je changeai instantanément de forme pour devenir bien plus lourd et imposant mais ses quarante ans d’équitation me firent tout de même perdre mon équilibre en arrière.
Dans ma chute, je le délogeai de son perchoir et le jetai violemment derrière moi, son corps était souple et élastique comme un chat. Il décolla très bien, les chevaucheurs volants et voltigeur de son genre sont réputés pour leur aérodynamisme. Puis, il atterrit contre mon bureau dans un bruit étouffé ; s’il ne retombait pas forcément sur ses pattes au moins il le faisait sans se blesser. Je lui sautai dessus, il m’esquiva en s'appusant sur le bureau et bondit à l’horizontal quand je voulu lui faucher les jambes, je n’eut plus qu’a le saisir vol, le retourner et le claquer sur la table.

Je le maîtrisais cette fois. Il cessa de se débattre quand je pu le trainer sur le dessus du meuble jusqu’à ce que sa nuque pende dans le vide, il n’avait pas la résistance physique nécessaire pour se maintenir droit et il économisait dorénavant ses forces.

Description mentale :

- Sang chaud, Provocateur, Fourbe. -
Spoiler:

- Bon pédagogue, Fin comédien, Allumeur de première qualité, Joueur, Pince sans rire, rude. -
Spoiler:

Loyal une fois qu’il est décidé, Aime l’argent, se sacrifie rarement, Très protecteur, Inversement démonstratif selon l’intérêt qu’il porte aux gens.

Spoiler:

Convictions :

Teïder : Le dresseur est très attaché a son pays et ses terres. Il apprécie son peuple et se trouve parfaitement à l'aise parmis deux grandes classes : les paysans teïderiens et une bonne partie des bourgeois. Pour ce qui est des autres serviteurs de l'état et surtout l'inquistion, il  n’est pas particulièrement contre leurs méthodes en tant que telles, sans compter qu’il a bien en tête que l’on est forcément l’ennemi de quelqu’un. Cependant, le dresseur ne cautionne pas la grande majorité des preceptes qu’ils prêchent.

En ce qui concerne la religion, il croit en la mère de la Vie et du Seigneur de la Souffrance, il honore ce dernier une fois par semaine environ. Il préfère le faire régulièrement et peu longtemps que de devoir se "rattrapper" une fois par mois. Conscient de ses erreurs, il se flagelle égalemment après chaque péché.

Rebellion de Teïder : Il est particulièrement en rage contre eux à cause de ce qui est arrivé à sa mère. Non pas qu’elle ait été tuée, mais surtout qu’ils n’aient pas géré un seul instant ce qu’ils lui ont fait. D’un pragmatisme teïderien typique, il leur reproche d’avantage leur incompétence que l’inhumanité dont ils ont fait preuve.
Akkaton : Arrogants et bruyants avec toute leur technologie, il n’apprécie pas particulièrement.
Duchés du Sud : Peuple qu’il trouve dévoyé et qu’il n’estime pas.
Eilynster : Il ne les aime pas, c’est dans ses gênes.
Eirn : Il y est souvent aller pour traquer et apprécie ses grandes étendues sauvages ainsi que les peuples hétéroclites et amusant qui le peuple.
Ikhyld : Il trouve que c’est un pays amusant mais n’aime pas y séjourner trop longtemps.
Espèces magiques : Il apprécie les non humains mais a dû mal avec les races usant de magie hérétique. Paradoxalement, celle qu'il supporte le moins est la race des vampires.
Son comportement n'est pas le même lorsqu'il est à Teïder que dans le reste du continent. Il est aimable voire curieux vis à vis de certaines races lorsqu'il en croise hors Teïder. Dans son pays, voire pire sur son territoire, il n'ira pas tuer de sang froid une espèce chassée à vue par le régime si elle ne l'agresse pas mais mais la chassera de chez lui et la dénoncera. Quand aux races qui sont tolérées, il se montre à leur égard fermé et rapidement désagréable.


Passé de votre personnage :


Histoire :

Nous allons maintenant pouvoir passer à la séance. J’ai repris ses antécédents ainsi que son histoire



NOTES - ANTECEDANTS
1958 : Naissance dans la ferme d’Oara, fils aîné de Theorius et Susana Kislov – Père agriculteur, mère espionne pour Teïder.

1966 : Décès officiel de Susana Kislov, supposée morte après l’attentat Rebel à Kareline.

1966 : Réaparition officieuse de Susana Kislov.

1967 : Disparition de Thedorius Kislov

1968 (10ans): Arrêt de Susana Kislov

1968 : Internement à « La Vie Sainte »

1969 : sortie du pensionnat de « la Vie Sainte » pour arriver à l’orphelinat de l’Adoration.

1970 (12ans): rentrer en apprentissage à l’élevage du levant auprès de Vitali Vladimirov.

1973 (15 ans ): service militaire dans les services de renseignements

1976 : Intègre les services de renseignement en tant qu’aspirant espion.

1979 (20ans) : Accusation de complicité de meurtre d’un inquisiteur : libérer mais impossibilité d’obtenir le rang d’espion appart entière.

1982 (23ans): Reprise à l’élevage après avoir gagné un concours organisé par la cours

1982 : Université D’Enfurg

1985 (24ans): mariage avec Sham

1985 (26ans): réintégré à l’armée en tant que dresseur –

1986 : Emprisonnement à Eilynster

1987 : Récupération de l’élevage

1987 (28ans): Placement de Moro Estrenov par « la Vie Sainte » - il prendra régulièrement des apprentis là-bas a partir de ce moment.

1990 (31): Divorce – Jugement pour liaison extra-conjugale – Pas de preuves – Autorisé à se remarier de 1995.
Etat matriomonial : Divorcé
Responsabilité juridique - parrainage : Moro Estrenov (signalé disparu),  Naphanaël Aleïnikov (signalé disparu), Ilidor Berejnoï (réformé), Ippolit Jerdev (services secrets), llena Davidov (signalée disparu) … Oustini Kanaïev (réformé), Ikoo Preskovitch (apprenti éleveur).




Je m’assis sur mon divan et lui fit signe de s’installer avec moi. A son expression, je me doutai qu’il faisait exclusivement cela pour me faire plaisir.
« Allez, un peu de courage. C’est grâces aux expérimentations que les médecins ne vous font plus de saignée en guise de soin. » Etrangement, il n’eut pas de commentaire désobligeant à dire. «  A terme, cette médecine pourrait te redonner le sommeil la nuit et vider tout ce qui se passe dans ta tête. » Lui dis-je gentiment en couvrant son oreille sourde, origine à mon avis, des automatismes mentaux dont il souffrait. Mais, pour soigner ce qu’il se passe dans la tête, il fallait entrer dans la tête. Je me concentrai et posais mes mains sur la tempe afin de débuter le sort joliment nommé « rêves apaisé ». Etant le seul mage des ténèbres du cabinet, je ne l’utilise pas pour apaiser directement les rêves mais pour pouvoir les voir, ce qui m’aide à orienter le patient.
Je commençais à lui parler pour le détendre : « Les rayons du soleil embrasent les marécages, il est 6heures du matin, tu ressens la liberté et la paix que seuls les travailleurs de l’aube connaissent » et je continuai ainsi afin de l’endormir de plus en plus profondément, lui faisant passer un à un les paliers de l’hypnose.


L OGRE DES MARECAGES
This house you call the Rising Sun. It's been the ruin of many a poor boys. And me, oh God, I'm one


" Dis-moi, te souviens-tu de la Vie Sainte ?
- Oui
- Comment en est tu sorti ?
-
- Pourquoi en es tu sorti. Tu n’aurais pas dû.
-
- Comment nous sommes nous rencontrés ?"

Voilà, je le vois réagir, j’entrai alors dans ses rêves, qui en l’occurrence étaient des souvenirs.
Josef se trouvait avec l’inquisiteur Ivan Preskovitch, ils ont un peu moins de trente ans. Ils étaient tous deux côtes à côtes face aux mur blancs du Château de « La Vie Sainte », pensionnat pour les enfants de criminels ou aux sévères troubles comportementaux. Ils étaient venus car un vampire sévissait dans les environs depuis quelques-jours et l’inquisition venait inspecter le pensionnat. Le directeur était comme toujours absent et la conseillère d’éducation apparut sur le pas de la porte, souveraine absolue de son monde de désolation.
« Halte, ne cherche pas plus loin mon ami. J’ai le vampire, il est devant nous. » plaisanta le dresseur en posant la main sur le bras de l’inquisiteur. Il s’adressa cette fois à la dame « Vous n’avez pas changé d’un pouce Mère Maria Mahareta »

Je lui ordonnai « Vas dans le bureau de la conseillère d’éducation »
« Entre Josef, toi non plus tu n’as pas beaucoup changé. – fit la vielle ecclésiastique.
- Ne vouliez-vous pas voir Monseigneur Preskovitch ? c’est lui votre réussite, je ne fais que l’accompagner.
- Tu te bats mieux que lui et j’ai peur.
- Vous, peur ?
- Tu as ton arme sur toi ? Montre-moi les balles. Le vampire est ici, j’ai déjà essayé de lui tirer dessus ça n’a pas marché.
Docilement, le jeune homme lui tendit son arme. Quelle quiche, comment as t il fait pour survivre jusqu’ici ? Non seulement les vampires meurent comme les autres, ce qu’il savait parfaitement, mais il se laissait désarmer. En plus de récupérer son arme, la vampire invoqua une chaine autour du poignet qu’elle avait pu effleurer et l’attacha au sol, le mettant à genoux. Elle s’agenouilla élégamment à son tour.
« Alors j’avais raison tout à l’heure !  
- Oui et non mon cher petit. Je n’ai pas commis les meurtres, mais j’en suis responsable. Vois-tu, il y a de mes pensionnaires qui se sont battus, à mort.
- Rien d’étonnant.
- D’habitude, en cas de blessure gravissime, je leur donne une portion majeure ou un don de la souffrance.
- Je me souviens.
- Le don de la souffrance a achevé l’enfant.
- Que me veux-tu vampire, ce n’est pas de ta faute. »
Elle lui caressa la tempe, glissant ses doigts dans ses cheveux « la haine Teïderienne ne te vas pas bien Josef. Ne me fais pas regretter d’avoir eu pitié de toi.
- Pardon ? Mère Maria Mahareta, votre langue siffle autant que vos coups de bâton, vous n’avez jamais eu pitié de moi.
- Ton père a disparu tout le monde pense qu’il a rejoint la rebellion, ta mère étais une espionne devenue un Zeta. Tu croyais vraiment que tu étais sensé sortir de « La Vie Sainte » avec le sang bafoué qui coule dans tes veines ?!
- Alors, l’accident qu’a eu ma classe à l’époque, c’était une purge.
- Evidemment. Sauf que tu avais pris peur quand je vous avais annoncé que l’on partirait en « vacances » et tu t’es fait passer pour malade puis t’as caché. Crois-tu vraiment que je ne savais pas où tu étais ? J’ai indiqué dans mon rapport au directeur que tu étais mal et que je ne voulais attirer aucun soupçon en te forçant à venir. Ensuite, je t’ai changé de groupe car tu étais seul dedans, il n’y a plus eu qu’à mettre ton dossier avec ceux de la nouvelle classe d’être adopté ou parrainé.»
Impressionnant, cet homme avait un instinct de survie absolument aléatoire, mais quand cela fonctionnait, c’était redoutablement efficace.

Toute cette scène était finalement du chantage pour qu’il rattrape l’erreur de la conseillère d’éducation et emmène le monstre qu’elle avait créé : Moi. Ce jour, après m’être battu à mort avec d’autres jeunes totalement dingues, elle me donna un don de la souffrance mais mon cœur a lâché. Incapable de supporter l’échec, elle m’a transformé en vampire pour me garder « en vie » mais j’étais ingérable. Elle s’était vite doutée que le seul capable de maîtriser un monstre enragé comme moi. Elle avait prévenu son ancien pensionnaire, l’inquisiteur Ivan Preskovitch, de la présence d’un vampire dans le coin, sachant que ce dernier proposerait à son vieil ami Josef de l’escorter dans le château de leur enfance. Lui apprendre alors qu’elle lui avait rendu un énorme service servait alors à ce qu’il lui rende la pareille.

Dès ce moment, le dresseur revint tous les ans ou les deux ans à « la Vie Sainte » pour prendre un ou deux gamins aux troubles comportementaux dont le cas était jugé comme désespéré et leur donner une dernière chance avant qu’ils soient jugés trop dangereux et soient « réformés ».
Il devint rapidement la légende urbaine car malheureusement, cela ne fonctionnait pas à tous les coups. Deplus lorsqu’il arrivait à « récupérer » les gamins déséquilibrés qu’il adoptait, le premier réflexe de la majorité d’entre eux était de fuir Teider à l’âge adulte, comme je l’avais fait. Ce qui fait qu’on ne revoit jamais les enfants qu’il emmène. Il devint le croque-mitaine de la vie sainte et des villages autour « L’ogre des marécages ».

SUSANA KISLOV
Mama, we're all full of lies

J’avais fait le plus facile : commencer par lui remémorer un souvenir qui s'était bien terminé et que je connaissais moi-même par cœur, puis ce que dissimulé dans l’ombre, j’avais été témoins de la scène énoncée. Maintenant, j’arrivais dans des souvenirs plus profondément enfouis.

« Josef, pourquoi es-tu arrivé à la vie sainte ? » Cette fois ci, arrivé dans la bonne zone de son subconscient, il réagit tout de suite et j’entrai à nouveau dans ses rêves : Quand il était très jeune cette fois, dans sa maison natale, avec sa mère :

« Ecoute je vais partir. Il est possible qu’on ne se revoie pas avant vraiment très longtemps. Je vais aller dans un endroit où les thérianthropes peuvent vivre en paix. Je t’aime plus que tout au monde, mais, je vais partir avec les miens. Expliquait doucement Susana Kislov
- Je viens avec toi.
- Non mon chéri. Je ne peux pas vivre avec les hommes et toi tu ne peux pas vivre avec les thériantropes.
- Qu’est ce qui t’as fais changer d’avis ?
- Je veux que tu ne coures plus jamais aucun risque.
Je quittai les songes de Josef, touché. Je n’avais jamais vu de représentation de sa mère, elle était si belle, blème avec des yeux noirs.  Je redressai le dresseur en état d'hypnose qui s’était effondré sur le flan dans le divan et appuya mon dos contre son dos, comme il avait l’habitude de le faire mon me rassurer ou consoler. Son corps était brûlant, je notai cet effet secondaire à l’hypnose.

« Il s’est passé quoi ensuite? »
Je retournai dans les songes de mon ami. Il était seul dans la maison, Susana était partie et il pleurait. On a frappé à la porte. L’enfant fila se cacher au sous-sol. Il avait vécu un an seul avec sa mère et avait pris le réflexe de ne jamais être là quand on leur rendait visite. Mais la porte en bois explosa et deux inquisiteurs entrèrent. Ils trouvèrent tout de suite le gamin.

« Viens petit, on va vérifier que tu n’as rien. On ne va te faire de mal.
- Je ne vous crois pas.
- On vient juste vérifier.
- Vous allez me tuer comme vous auriez tué ma mère si vous l’aviez trouvée.
- Ecoute, sors de là. Si tu n’es pas contaminé, on va t’emmener en sécurité. Sinon, je te jure que tu ne vas pas souffrir. »
Il est sorti et comme il n’avait pas été transformé par la thérianthrope Zeta, ils l’emmenèrent à « la Vie Sainte ».
En fait, je trouvais cela pitoyable et décevant. Après avoir fait l’exploit de capturer des espions vivants, la Rébellion s’était contentée de les mettre en contact avec des thérianthropes et de libérer les survivants pour s’en servir de bombe humaine dans les rangs des services de renseignement et de l’inquisition. Mieux utilisés, en les formatant et leur apprenant à gérer leur nature, cela aurait pu si bien fonctionner. Quel gâchis.
Il n’apprit que bien plus tard que sa mère, sa véritable nature sur le point d’être découverte par les autorités et ne voulant pas salir le nom de Kislov par le sceau de la trahison, s’était rendue aux autorités ce jour-là.

L ELEVAGE DU LEVANT ET LE MEURTRE DE MONSEIGNEUR GORSKI
You could never know what it's like. Your blood like winter, freezes just like ice

"Alors, après être sorti de  « La Vie Sainte » tu as été rapidement embauché comme apprenti à l’élevage du Levant.
-
C’est ça me dit-il d’une voix caverneuse. Ma mère était une zeta et de ce fait vraiment dangereuse, tout le temps. Avec un tel entraînement, j’ai eu d'excellents résultats à la session de recrutement.
- Et ton maître travaillant pour les services de renseignements, tu y es allé aussi lors de ta conscription.
- Oui.
- Ça n’a pas été trop dur de ne pas savoir lire ?
- Ils ont mis du temps avant de me cramer, mon maître avait commencé à m’apprendre. Puis, je connaissais surtout la configuration des documents officiels, je savais les remplir. Après le premier à avoir découvert que je n’avais pas le niveau ne m’a pas dénoncé et m’a aidé à consolider mes bases.
- C’était qui ? Laisse mon voir.
- C’était Dimitri Iline.
- Nous sommes le 20 Octobrius, vous êtes à Teïder, vous faites une opération de purge."

Suivant les pensées du dresseur, je me retrouvai ainsi au milieu d’un champ de bataille. Soudain, le soldat aux côtés de l’inquisiteur trancha net la gorge du serviteur de l’état. Josef chargea pour l’arrêter mais ils perdirent tous deux l’équilibre. L’anguille je connais s’enroula vivement sur son ennemi, bloquant un instant les muscles du puissant soldat. Mais, pourquoi n’avait-il pas déjà frappé ? Ses muscles s’était figé, son arme immobile, il avait vu quelque-chose. Le combattant le frappa au visage, le mettant aussitôt au tapis.
« D’accord je vois, tu as été accusé de l’avoir laissé s’enfuir ?
- Oui. C’était mon ami.
- Comment t’en es-tu sorti ?
- Je sortais juste de la conscription et je n’étais pas le meilleur des combattants. SI je n’avais pas été dénoncé par une tierce personne, peut être que j’aurai été à peine interrogé.
- Que s’est-il passé ?
- L’inquisition m’a interrogé pendant une semaine.
- Reste sur le champ de bataille » ordonnai-je, ne voulant pas lui amener de vision trop douloureuse. Il serait scientifiquement intéressant de savoir s’il souffrirait de nouveau, mais ce n’était qu’un premier essai sur lui, je n’étais jamais allez aussi loin dans une mise en transe.
- Ce n’est pas la semaine qui a été le plus gros problème. C’est que j’ai été réformé. Ils ne pouvaient plus prendre le risque de me prendre comme espion. Je pouvais intégrer l’armée normale et éventuellement les missions de renseignement de type commando après 5ans. Mais pas ce que j’aspirais à devenir.

LE CAVALIER AVEUGLE
He had the nerve and he had the blood


"Tu as fini par rentrer dans les bonnes grâces de l’état. Enfin, à avoir un répit. Dis-je doucement. Est-ce à ce moment-là qu’on t’a surnommé le « Cavalier aveugle » ?
- Ce n’était pas moi qui était mal voyant mais ma monture. C’était à l’époque où la cours avait organisé une sorte de concours pour obtenir des œufs des plus belles espèces de drake sauvage d’Orzian. J’ai utilisé le flair et l’instinct exceptionnelle de ma Kelpie pour réussir à remonter la piste d’une rarissime et puissante race que mon maître traquait lui-même depuis assez longtemps, pour le compte du Prince Zmei Nebosja. »
C’était comme ça qu’il avait acquis une réputation et que plus tard, il a été choisi pour reprendre le prestigieux élevage de son maitre et obtenu une sacré dote. Il fut également repris par les services secrets, cette fois comme dresseur.

Son maître de son côté, ne lui en a pas trop voulu, j’ai même cru comprendre qu’ils s’étaient rapprochés après que son élève l’ait doublé. Il lui a même à la suite de cela donné une permission de trois ans afin qu’il se rende à l’université d’Enfurg où il a pu apprendre la littérature, la philosophie et le théâtre.

LE PINSON DE BONNE NOUVELLE :
And if you would call me your sweetheart I'd maybe then sing you a song


Nous y voilà. J’en arrivais au moment que je redoutai. Allons a Eilynster, nous nous rendons dans la prison de Bonne Nouvelle. Je sifflai alors la première note de ce que j’entendais souvent Josef siffler et plongeai dans ses rêves.

Josef fixait la porte sans bouger. Ne voyant que par ses yeux, je ne pouvais ressentir ce qu’il ressentait. Il avait les yeux mi-clos et la vision était un peu troublée la porte s’ouvrit mais le dresseur ne se redressa pas, un autre type fut balancé prêt de lui.  Il était dans un état lamentable, Josef ferma les yeux.
« Pleure pas. Je n’ai pas mal. » Lui dit l'homme. Au bout d’un certain temps je l'entendis intimer « Hey, le petit Teidov, te laisse pas partir, bouge-toi ! Allez...  C’est bien» Josef, n’ayant pas rouvert les yeux, impossible de dire ce qu’il s’est passé.

Quelques minutes plus tard, l’homme se mit à siffler. Quelqu’un que je ne vis pas ordonna :
« Arrête merde, ils vont nous éviscérer à cause de toi. Si tu recommences, je balance que c'est toi. Il pense que le siffleur se fou de leur gueule.
- Mais, c’est ce que je fais. »

Des images décousues n’ayant plus rien à voir commencèrent à défiler : « Josef qu’est ce qui est arrivé à cet homme ?
-…
- Que t’es t-il arrivé ? Pourquoi étais tu là ?» Il ne répondit pas, son poul était rapide.
L AMANT DE LA MANTE
Lorsque vient le soir, pour qu'un ciel flamboie, le rouge et le noir ne s'épousent ils pas?


Josef montrait maintenant d’important signes d’agitation et de panique. Je m’éloignai de lui et commençai à essayer de le réveiller, lui faisant passer progressivement les paliers de transe. Mais cela fonctionna mal, s’il était descendu facilement, maintenant il paniquait et je n’avais pas moyen de le faire revenir en douceur. Ne voulant pas m’acharner, je me précipitais dans le bureau d’en face, interrompant la séance de ma collègue. Elle me fit signe de surveiller son patient et fila rejoindre Josef. Il était fréquent que si l’un des médecins du département fatiguait, un autre prenait sa suite.
Je patientai une demi-heure et entre ouvrit la porte. Elle avait heureusement pu réveiller mon patient, le test numéro 112 était donc plutôt une réussite.

« ça va Josef?
- Oui très bien, je viens de me faire inviter à déjeuner. Dit-il, le teint encore gris et cerné mais ses yeux bleus fendus de satisfaction.
- Je lui ai proposé de la nourriture contre des dossiers sur vous Jean, Baptiste. Se félicita le docteur Julia Livingstone.
- Bien sûr. Grognai-je.
- A ce soir! Me fit signe Josef
- N’y vas pas… tu devrais plutôt aller te reposer. A ton âge faudrait pas te surmener.
- A vaincre sans péril, on triomphe sans gloire. Continua-t-il sans se vexer, en proposant son bras au docteur Livingstone
- Josef, aurais perdu ton flair légendaire ? » Dis-je, immisçant le doute dans son esprit. Le résultat escompté fut instantané, il s’éloigna tout de suite, remettant subitement en cause la nature du repas auquel elle le convient. Mais elle le retint de justesse par la main.
- Julia, il a tué sa femme vous savez. » Surprise, elle lui lâcha la main.
L’humain me fit signe qu’on se retrouverai plus tard et déguerpit sans demander son reste.

« Menteur » me reprocha ma collègue, en le regardant partir les yeux plissés.
« J’avoue, c’est sa femme qui a voulu le tuer. Mais vous n’y perdez pas au change, il est de très mauvaise compagnie.
- Ah oui ?
- Elle a échoué à l’empoisonner alors elle l’a tailladé à blanc. Preuve qu’elle était bien remontée contre lui et qu’il ne comprend pas vite les femmes.
- Pourquoi a-t-elle fait cela ?
- Je suppose principalement pour l’argent, mais je n’en suis pas sûr. Elle l’a égorgé net.
- Votre ami sait bien s’entourer à ce que je vois.
- Je ne dirai pas le contraire, il a failli partir avec vous.
- Je ne comptais pas lui faire de mal. Bon appétit Jean Baptiste, à cet après-midi."

Liens :

ETAT :

Zmei Nebosja : Il l’a aidé a trouvé son œuf de Drake et à le dresser.
Sigismond Bonenfant : Il n’apprécie certains préceptes qu’il prêche.

FAMILLE


Ex femme : Shamara – Il ne l’a pas revue depuis le divorce.
Filleuls à Teïder : Ippolit Jerdev, Ikoo Preskovitch – Il ne voit plus Ippolit depuis son entrée dans les services secrets mais particulièrement fier de lui. Ikoo, de son côté, est retourné travailler dans l’élevage à la fin de sa conscription. Josef l'appréciant beaucoup n'est pas mécontant qu'il soit revenu mais aurait préféré qu'il trouve sa propre voie.
Filleuls hors Teider: Moro Estrenov- Jean Baptiste Moro, Illena Davidov – Il garde des rapports assez fusionnels avec eux bien qu’il ne les voit que rarement.
Mère : Susana Kislov (décédée) – Il a été bouleversé de son sacrifice et ne se souvient que des moments positifs qu’il a eut avec elle.
Père : Theodorius Kislov (disparu) - Josef se souvient avec beaucoup de tendresse de son père et espère qu'il n'est pas mort, qu'ils pourront alors se revoir pour se féliciter du choix qu'ils ont fait tous les deux, il y a si longtemps. Theodorius était un excellent musicien et Josef a apprit à jouer de plusieurs instruments bien avant de savoir écrire.
Frère et sœur (disparus) : Josef, estimant qu’il est facile de le trouver, n’a pas tenté de les chercher et considère que c’est eux qui le trouveront le jour où ils le souhaiteront.

AMIS OU ENNEMIS
L'inquisiteur Ivan Preskovitch - Très proche ami de "la Vie Sainte", leur relation est parfois tumultieuse mais ils ne restent jamais fâchés longtemps. Il l'escorte parfois lors de missions d'inspection ou d'infiltration routières quoiqu'un peu risquées.

Dimitri Iline - Il n'a jamais ni comprit, ni accepté sa trahison.

MAITRES :
Vitali Vladimirov – Maître, il l’a choisi comme successeur après qu’il l’ait doublé dans la traque la plus importante de sa carrière. Au début de son apprentissage, l'éleveur se montrait particulirièment indifférent à son jeune apprenti, ne lui apprenant que le strict minimum pour qu'il lui soit utile ou encore ne lui fasse pas honte du fait de son bas niveau d'éducation. Josef a monté dans son estime en devenant serviteur de l'état, il a décidé d'user de son précieux temps pour le former dans le but d'en faire une élite.

Mid Flis – Professeur de théâtre à Enfurg, il lui a apprit toutes les subtilités de son art.  Malgré son côté strict, élitiste et comme tous les comédiens, un soupçon hérétique, le dresseur lui trouvait de nombreux bon côté et est ravi de se confronter à des duels d'improvisation et de techniques avec lui lorsqu'il lui rend visite.

Melenas – Le véritable « Pinson de Bonne Nouvelle ». Josef a pronfondément aimé et haït cet homme. Il a cherché longtemps à le retrouver, juste au cas où il aurait réussi contre toute attente à sortir vivant de prison. Ayant laissé tombé depuis plusieurs années, il se demande bien ce qu'il adviendrait si un jour il apprenait que ce dernier était encore vivant.

LES HABITANTS DES MARECAGES :

Clan Succube :Issara et IsaakAlliance. Très ancienne alliance datant de la création de l’élevage. Cette alliance est essentiellement un pacte de non-agression et l’échange de quelques services. Initialement, plusieurs humains de l’élevage devaient faire offrande d’un peu de leur force vitale une fois par mois au clan. Les meneurs actuels Issara et Isaak, qui étaient adolescents à l’époque où Josef était lui-même jeune apprenti, sont assez proche du meneur de l'élevage et ne se contentent que d'un don de sa part une fois de temps en temps.

Kelpies :
Mevanouie – Alliée-  Femelle Kelpie. Josef a lutté contre Mévanouie pendant longtemps jusqu’à ce qu’elle perde progressivement la vue. Dès lors, incapable de survivre toute seule, il lui a proposé de la protéger contre son aide pour chasser. Leur duo a très bien fonctionné, le monstre s’est attaché à l’humain et habite dans un lac situé dans l’élevage même. Libre, elle s’occupe majoritairement d’éduquer les jeunes « poulains ». Elle accompagne parfois Josef lors de traques compliquées.

Amos : Ennemi - Le petit de Mévanouie, Amos, a eu beau être né domestique est particulièrement farouche et sauvage. Il a véritable rancœur envers les humains d’avoir « domestiqué » sa mère. Sa mère et Josef lui ont apprit à traquer, le dresseur espérant obtenir de lui un pisteur aussi talentueux que Mevanouie mais sans handicap. L'éleveur lui a également fait travailler son talent naturel pour se transformer. Cela le rend particulièrement redoutable et il chasse régulièrement sur toute la zone sud des terres de l’élevage. S’il ne s’en prend pas aux employés de l’élevage car ils se mettraient à le traquer sans relâche, il n’hésitera pas à dévorer son maître à la moindre occasion.

Autres créatures :
Il connait la majorité des « gros prédateurs » vivant dans son domaine et vit en bonne entente avec ces derniers.



Qui êtes vous ?


Petite présentation de votre personne :Voir Mora

Rythme rp et particularités :

Comment avez vous découvert le forum :

Des ambitions pour votre personnage ? Quelle évolution aimeriez vous lui donner à court ? Moyen ? Long terme ?
Avez vous prévu quelque chose ou êtes vous adepte du "laisser le jeu faire" et voir ce que ça donnera ? Cool
Bibliographie - citations:



Otmar Ehrlich Deffarès
Otmar Ehrlich Deffarès

Feuille de personnage
Peuple: Humain
Nationalité: Akkatonien
Rang social: Noblesse Akkatonienne
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Messages : 4872
Date d'inscription : 13/11/2016
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MessageSujet: Re: Josef Kislov Josef Kislov EmptySam 25 Aoû - 18:35
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Brombas
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+ Balles en caoutchouc
+ Tir paralysants

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Pugilat :
-Lame cachée + Poison paralysant de lame
-gants renforcés
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Josef Kislov
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