24 Mai dans la capitale du Duché de Sarrasi, la cité état de Sarrasi

Il y a maintenant quelques jours j’ai reçu une missive de messager du Duché de Sarrasi lors de mon arrivée au abord des Duchés du Sud. Elle venait de Osami qui à ma surprise avait pris contacte avec moi bien avant que je n’ai besoin d’elle. La plus grand stupéfaction fus de découvrir que cette lettre venait de la duchesse de Sarrasi pas moins que cela. Il faut dire que Osami n'était pas sans ressource et sa monté sur un grand siège aux Duchés ne me fit qu’un léger sursaut. Une mercenaire devenue duchesse… Quel pays incroyable.

Les deux gardes qui attendait ma venue à l'entrée de Sarrasi me conduisirent alors à la renarde traversant ainsi tout le palais et regarder d’un aire curieux par les personnes que je croisais. Je ne m'étais pas encore changé et c’est ainsi vêtu de mon armure que je pénétrais dans la salle avec l'interrogation de ce que pourrait bien me vouloir Osami. La salle d’audience qui était gardée m'ouvrait ses portes grâce au homme armé qui me conduisait, je pus voir le visage radieux de Osami qui attendait visiblement ma venu avec impatience.

« Shiroi-san ! Comment vas tu depuis le temps ? J'espère que tu as fais bon voyage en tout cas. Que puis-je faire par hasard pour que ton séjour ici soit agréable ? »

D’un ton assuré elle s'adressait à moi tout en se rapprochant familièrement de ma personne. Elle n'avait donc pas changé malgré son statut de duchesse. Je remarquais les regards des hommes de la renarde qui n'appréciait guère que madame la duchesse puisse être si familière avec moi, mais il respectait ses agissements tout en veillant à ce que je n’ai pas de mouvement suspect à son égard.

Je luis répondis la regardant sans aucune émotion quelconque juste la fatigue d’une longue discussion à venir après un si long trajet.

«Osami… long trajet, mais ce n’est pas pour mon confort que tu m’a inviter à te voir… Je me trompe ? »

Avec mon air froid, je brisais ces retrouvailles, mais je n'étais jamais trop à l’aise avec ce genre de formalité. Il me fallait retrouver l’habitude de fréquenter une amie pour cesser de lui parler si sèchement. Je m’en voulais même un peut, elle qui paraissait si joyeuse de me revoir.

j’observais la renarde attendant une directive.

Elle avait l’aire toujours enjouée comme si rien dans mon comportement ne la surprenait. Il est vrai que j'étais peut-être semblable étant jeune… Je n’en ai gardé que peut de souvenir. Elle avait donc besoin d’un service, et qui de mieux qu’une connaissance en qui l’on a confiance pour réaliser une mission importante. Visiblement, l’urgence n’était pas à la mission et dame Osami m’ouvrais le pas pour se rendre directement dans ses appartements. Je la suivais d’un pas lent écoutant ses mots et surtout ses interrogations qui ne me demandaient pas de répondre tellement ce qu’elle disait était une évidence pour elle.

Je regardais la pièce bien décoré puis je m’installais de manière nonchalante non loin de mon interlocutrice fatiguer de tous ses déplacement. Osami poursuivait son discours que j'écoutais avec attention même si je n’en donnais pas l’impression. Sa dernière question piquait alors mon intérêt ! Je pris tout de même le temps de répondre a ses question précédente vue que l’urgence était passer.

“Je me rendrais certainement en Ikhyld après la mission… Je penserais à ta sœur, je te devrais bien ça.”

Je m’avançais dans mon siège pour m'asseoir plus sérieusement montrant le sérieux de ma demande avec une voix plus grave.

“Effectivement, il se pourrait que tu puisses m’aider, en tout cas te poser la question ne me coûteras rien…”

Avance cela une autre question me venait et certainement plus intéressante que de devoir raconter ma traversée des marais et intéresser la discussion à mon sujet. Le ton de mes paroles s'allégeait un peu.

“Avant cela… Tu t’es plutôt bien débrouiller pour te retrouver ici… Madame la Duchesse de Sarrasi”

Effectivement me retrouver dans un palais n’avait rien d'exceptionnel pour moi, mais évidemment ici nous n’étions pas en Ikhyld et les Duchés du Sud était bien le dernier endroit où je pensais mettre les pieds dans un palais.

Je me doutais d’une réponse de ce type, effectivement, devenir duchesse et hérité de ses conditions et de ses obligations. Malgré tout, elle n’avait pas l’aire d’être si triste de sa situation. Je suppose que le plus compliqué reste encore de devoir accorder sa confiance a des personne qui pourrait vouloir ça morts à n'importe quel moment. En étant mercenaire nous ne sommes pas autant exposer au risque de devoir perdre la vie, pourtant en voilà bien un métier qui est loin d’être le plus sécurisé.

Elle acceptait d’être servis, et de l’alcool. Je pensais plus raisonnable de prendre quelque chose qui ne risquerait pas d’altérer mes sens. Enfin, sa confiance en moi devait certainement être encore intacte. Je ne remettais cependant pas en doute un seul instant ses capacités à me corriger si jamais il y avait un pas de côté de ma part.

Madame se levait et lança donc, sans avoir besoin de lui demander, la discutions intéressante pour laquelle je m'étais déplacé. Elle prit un objet puis stipulait qu’elle voulait me présenter quelqu’un. Je comprenais alors très vite et alors la satisfaction s'affichait sur mon visage. Ce n’était pas un boulet, mais alors belle et bien une chose qui allait m’être utile. Un grand Oiseau de proie, la bête messagère d’invocation. Elle me le tendait et alors que l’animal disparaissait, la statuette refaisait son apparition dans ma main.

Osami se réinstalle dans son siège après avoir stipulé que cet oiseau était un cadeau pour pouvoir garder un lien qui avait été plutôt invisible ces dernières années. Elle retrouvait son fauteuil et poursuivit alors sa demande. En effet, il ne s'agissait pas là d’une mission difficile, et qui paraissait à ma portée. De plus, le fait qu’elle est stipulée vouloir que ses hommes soit vivant était comme un clin d’œil , Osami savait que je n’aimais pas tuer. Je me permettais alors de poser la question afin que je sois certain de la teneur de ce fameux cadeau.

Je ne voyais pas particulièrement de problème avec la demande de la duchesse et était prêt à accepter si c’était pour aider celle-ci.

Intéressant, un service contre cette mission… Une récompense simple n’était donc pas dans ses idées. J’étais curieux de savoir ce qu’elle avait bien pu préparer. Tout en m'approchant pour lui offrir son verre, j'ajoutai :

“ Et de quel service compte, tu me récompenser ? Ha moins que tu ne veuilles attendre que l’on en ait fini avec ces jeunes gens ?”

Il faudra donc se rendre dans les terres montagneuses proches de Teider. La mission ne semblait pas en soit compliqué surtout avec l’odorat de madame la duchesse. Deux jours d’attente pour enfin agir… Une nuit, de plus, ferait-elle une grande différence ? La renarde me prévenait cependant que l'ennemie que l’on traquait était bien fourbe et elle espérait que j’allais être apte à la suivre. Voilà alors un beau compliment de la part de celle-ci.

“Mon objectif étant donc principalement de me charger d’eux au moment ou nous leur seront tombé dessus, si j’ai bien compris ?”

J’étais resté debout non loin d’elle pris une bonne gorgée d’eau puis après un court instant penseur, constatant toujours la fatigue des voyages précèdent, je finis par ajouter avec dépit :

“Tu veux agir maintenant ?”

Cette idée ne me tentait pas vraiment, mais il était évidemment au vu de la situation qu’agir rapidement permettrai de garder les odeurs pour Osami, de plus deux jours déjà passer et les personnes traquer savait pertinemment que nous finirions par arriver. Ils auraient eu tout le temps de se préparer. La seule chose qui m’intéressais dans cette mission en dehors de ce service pour le moment inconnue, serais de constater comment Osami à évoluer … Elle qui était si proche de moi quand nous étions jeunes et qui était devenue gradée chez les mercenaires. Elle devait avoir un potentiel qui me ferait certainement plaisir à constater.

Encore en armure les sabres à la ceinture, le temps de nous préparer ne serait pas le plus long… Peut-être pour madame la duchesse...

La surprise d’une récompense alléchante… Quoi qu’il en soit elle savait pertinemment que je n'étais pas le genre d’homme à m’enquiquiner de chose dont je n’aurais pas réponse. Il ne sert à rien de deviner son avenir, il suffit de le laisser venir. Osami, elle, était bien plus joueuse et taquine, en tout cas même après toute ses années elle resplendissait toujours.

Elle poursuivit sur mes objectifs sans attendre afin de corriger ce que je venais de soumettre. Effectivement, elle ne voulait pas que je serve simplement à la capture des malfrats, mais bien de l’aider tout au long et de la soutenir. Il était évident que je ne venais pas pour me tourner les pousses, mais si cette précision l'assurait de mon implication alors soit. Je me contentais donc de hocher de la tête pour acquiescer de ses dires.

Cachées mes intentions n'étaient pas mon plus grand fort, surtout en situation ou l’heur n’était pas au danger. Et en cela, Osami avait pertinemment remarqué que je n'étais pas particulièrement emballé pour un agissement rapide. Cependant, ce qu’elle proposait tout de même permettait de ne pas perdre trop de temps.

M’invitant alors à un confort que je n’avais pas eu depuis un temps, elle m’envoyait alors quitter ses appartements pour qu’elle puisse profiter des même jouissance que moi. Un bon bain chaud après cette poisse des marais de Teider. La désinvolture que je faisais part à son égard laissais alors place à de la sympathie que je n’avais pas éprouvé depuis longtemps. Il s'agissait tout de même de retrouvaille et Osami ne s'était pas privé de lui sourire tout au long de cette soirée malgré la tendance sérieuse des propos énoncé durant celle-ci. Au pas de la porte, je lui fis un sourire et ajoutai simplement :

“Merci , Osami …”

Je m’en allais prendre un bon bain chaud et dormir avec la sécurité de ma pierre gardienne.

Le matin s'était levé et nous nous étions retrouvé sur le départ avec mon amie. Elle s'était transformé et visiblement ses plans avait déjà changer . Un griffon finalement. Elle me demande, joueuse, si j’avais le vertige.

“Si tel était le cas, je n’aurais pas approuvé nos déplacements par les aires.”

Je n'étais vraiment pas très joueur comparer à l’ensemble de notre espèce et malheureusement cela en agaçais certain. Osami , elle, ne prenait pas la mouche au contraire et j'étais heureux de pouvoir agir comme bon me semble sans me soucier de ce qu’un proche peut bien penser.

Mon niveau en équitation n’était pas nul, mais il fallait bien l'admettre, ce n'était pas pour autant dans mes habitudes de monter sur une telle bête. Je montais alors sur la renarde transformé, puis avec un peu de délicatesse, il passait ses mains contre son coup près à s’en saisir en cas de perte d’équilibre. La femme ne perdit pas de temps et décolla rapidement dans une certaine légèreté surprenante.

Elle poursuivit la conversation dans les airs elle expliquait que nous n'allons pas nous poser directement sur les lieux et n’aillant pas d'objection, je me contentais d'écouter ce qu'elle voulais me demander. Évidemment, il s’agissait là de ce que je redoutais. Parler de mon histoire.

“ Je ne pense pas que ces dernières années soient faites de belle anecdote malheureusement. J’ai un fils avec Atsuo… Aujourd’hui il veut ma mort. Si non pendant longtemps, j’ai perdu… Disons que j’ai perdu connaissance suite à un incident. Depuis, on ne peut pas dire que j’ai une belle vie. J’ai appris que j’ai de la descendance chez les nains… Et Atsuo nous à quitter.”

J’avais comme la gorge serrée, car je savais exactement tout ce qui s’était passer. Ma perte de connaissance, la mort d'Atsuo. Sans même m’en rendre compte mes poings c’était serré contre le plumage d'Osami.

“J’aimerais que l’on se concentre sur la mission, ce n’est pas le moment de parler du bon vieux temps. Nous y sommes bientôt ?”

Il allait être nécessaire que la mission soit au centre de notre attention si la Duchesse disait vrais, nous ne serions pas trop de deux à agir.

Évidemment que tu ne savais pas Osami, et je ne t’en veux pas le moins du monde. Comment aurait elle pue deviner tout ces drame, elle est montée sur une estrade dorée, moi, je suis considéré comme un monstre. Elle me proposa de l’aide, je ne voyais pas trop en quoi en dehors d’ignorer ce qui se passais. Peut-être qu’elle pourrait m’aider avec ce démon. Une pensée me traversait l’esprit. Devais-je en parler à Osami ? Dans un moment pareil, n’aurais-je pas mieux fait de lui en parler hier soir. C’était en gardant tout ses secret qu’Atsuo est morte. Au grand pire de la situation, Osami me tuera…

Ce n’était plus le moment de ressasser tout cela. La mission, c’était ça qui était important à ce moment présent. Osami me déposait pensive, elle devait sûrement se recentrer sur nos objectifs qui portaient principalement sur son odorat. Elle me confiait de trouver des indices, le temps qu’elle trouve la piste odorante qui nous mènerais aux malotrus.

En effet, je me permis de pénétrer un des abris de fortune où ils s’étaient installés provisoirement et dont la fuite à laisser nombre d’éléments permettant de les cerner. Dans l’une des tentes, aucun couchage, j’avais choisis visiblement le bon endroit du premier coup. Des résidus de poison, des cordes emmelées , quelque étoiles, et des clef. Je regardais de plus près les clefs et il semblait qu’elles fussent faites pour déverrouiller des pièges comme ceux dans les marais de Teider. Elles n’étaient pas nombreuses, mais tout portait à croire qu’ils étaient partis avec les autres.

Des pièges de Teider, voilà ce que j’ai trouvé. Mais je ne connaissais pas les limites de ce que l’on pouvait trouver dans les duchés, et en toute honnêteté, au vu de ce dont je venais de découvrir, rien n’indiquais un beau chemin tranquille. Osami avait raison, il ne von pas nous laisser les suivre bien gentiment.

Je ressortais et regardais d’un coup d’œil les autres tentes. Il y avait 1 ou 2 couchage par tente, pour un total de 7 personne dans la foret si ce n’était plus. Dans l’une d’elle une photo d’une jeune enfant. Certainement une proche d’un des fuyards. M’en saisissant, je la glissais dans ma ceinture, tout cela pouvais servir. J’estimais le reste inintéressant ou du moins pour mes compétences. À peine ressortie du dernier abris, Osami m’indiquais alors une piste qu’elle avait repérer. Son odorat nous sera bien utile en effet.

“ Parfait, j’ai quelque information, effectivement le chemin va être truffé de piège, ils nous ralentissent ou nous attende. J’ai même le sentiment qu'ils reviendront peut-être ici , fait bien garder le camp.”

Je m’approchais d’elle et sortie la fiole de poison.

“Tu peux pister et repérer deux odeurs en même temps ? C’est du poison qu’ils on utiliser sur des pièges sur notre chemin, si cela nous aide à les repérer, se seras sa de moin à surveiller.”

J’ajoutais suite à sa réponse et sur un ton autoritaire :

“Fait garder le camp plus sérieusement, ils comptent certainement revenir, beaucoup d’objet personnel son rester ici.”

Le chemin vers ses brigands n'attendait que nous.

Osami était sage et surtout elle me faisait confiance, les garde prévenue elle ne pus s'empêcher de me faire une petite remarque sur le fait qu’elle humains les produit que je lui avais amené. Je me contentais de lui sourire sans rien ajouter. Je n’étais pas du genre moqueur même s'il fallait admettre que sa comparaison amenait à sourire.

Engager dans la forêt, le flaire de la dame faisait son effet et nous ne croisions que peu de piège rapidement évité. Une équipe de choc qui dirait. Nous entendons alors de nombreuse de jérémiade qui finir par dévoiler un homme disgracieux en pris dans un filet comme un pauvre débutant qui malgré son épée était visiblement incapable de se défaire de sa pauvre situation. Je poussais un soupir l’entendant s’adresser à nous.

Un fils de Baron… Il ne manquait que cela. La renarde, de son haut rang tentait alors une discussion courtoise due à son statut et celui de l’autre interlocuteur. Malheureusement pour elle, et rapidement pour moi, l’homme effrayé et certainement avec une case en moins commençais alors à s’exciter insultant alors la grande-duchesse. Pour ma part, les insultes me passaient bien au-dessus , et visiblement cet homme ne connaissait pas ce qu’était une armure de samouraï.

La belle me regardait avec insistance comme si elle voulait que j'agisse pour elle. Sans doute, elle ne pouvait faire quoi que ce soit de démesure au vu du statut de l’imbécile. Je levais les yeux au ciel pour signifier ma lassitude puis en m’approchant de l’homme, le regardant avec un regard noir et lui parlant d’une voie sévère :

“Savez-vous à qui vous vous adressez ainsi ? Il s’agit de la duchesse de Sarrasi venue ici en Missions spécial. Respecter la, ou je m’occupe de vous !”

Je prends alors son bras où il agitait son arme comme un fin crétin.

“Lâcher cette arme !”

Je retirais alors le filet d’un coup de main, tout en gardant sons bras prisonnier de mon étreinte.

Je sentais alors encore agir l’esprit au fond de moi suite à cet excès d’intimidation. Elle n'était pas encore contrôlée et surtout s'activait lorsque je ne le voulais pas forcément… J'espérais qu’elle ne se soit juste activé qu’un court instant, si non cette mission pourrait virer à la catastrophe.

Le fils de baron de je ne sait où qui ne respecte en rien les personnes autour de lui pris quand même quelque seconde pour arrêter de parler de mauvaise manière à Osami. je le lâchais alors après qu’il ai gesticulé pour être libérer. S'effondrant au sol comme une loque que ses jambes ne tiendrais plus, et celui-ci comptait se battre au vu de la dégaine avec là quel il se promenait dans ses lieux.

Osami conclut alors un marché avec le bougre, certainement afin qu’il cesse de nous importuner même si malgré tout, il finira par rester dans nos pâtes. Désormais, celui-ci se pliait au ordre de la dame, mais demanda en échange excuse de ma part. Osami se vue afficher un regard surpris puis tout en se tournant vers moi, comme interrogative sur la situation . Après tout elle ne me le demandait pas , je n’avais pas a le faire si je ne le souhaitais pas.

“N’y pensez pas… Bouger vous on traque, nous n’avons pas de temps à perdre avec vos histoires”

Je les ignorais et tout en faisant signe à Osami d’ignorer le futur baron d’un contré de fou visiblement. L’homme était tout de même culotter de me parler ainsi alors que je l’avais sortie de son filet. Je regrettais déjà de ne pas l’avoir ignoré. Quand on se permet de me dire que je suis de plus en plus égoïste… Mais quand on voit comment les gens que tu aides réagissent.

Je m’abaissais au sol pour regarder les traces au sol. On pouvait voir très distinctement des pas , assez nombreux, visiblement le fait qu’il est capturé le fils de baron n’était peut-être pas un hasard, ils avaient l’air d’avoir vue qui étais dans le filet et s’était agiter autour avant de déguerpir.

“Vous les avez vue ? Ces… “Malotrue” ?”

Il nous fallait poursuivre le chemin que nous avions commencé à suivre. Définitivement, j’avais un don pour attirer a moi lors de mes quêtes les plus stupide et les plus dégénéré. Je regardais la renarde interrogateur après m’être relevé.

Le regard sévère de la duchesse prenant ma défense eu effet et l’homme finit par laisser tomber pour enfin répondre à mes questions. Grâce aux informations du fils du baron, nous apprenions alors du nouveau sur la situation et il semblerait que ce que nous trouvions ne fût pas le plus simple à trouver. En effet, après avoir suivi les directives d’Osami, nous arrivions sur un plateau dans les hauteurs, un peut similaire à une prairie. De multiples lapins gambadaient et nous voilà bien avancé que ses vils chenapans s’étaient immiscé entre eux. La renarde se transforma alors en lapin à son tour et d’une autre couleur afin de la différencier.

Nous voilà bien avancés, et ce, malgré que la dame m’a demandé de l’aider, je regardais ses lapins avec attention reflexionant à une manière de procéder pour capturer tout les lapins, mais surtout capturer tous ceux qui nous intéressait. Après quelques secondes, je pouvais ressentir de plus en plus ceux qui m'entouraient, cet effet, je le connaissais, il s’était déjà manifesté quelques fois, et ce, depuis que l’esprit partageait mon corps. Je pouvais distinguer tout d’abord différents états d'esprit, entre l’agressivité, la peur ou encore l'interrogation. Tout devenait de plus en plus claire, je pouvais de mieux en mieux distinguer les lapins des humains. Leurs volontés de nuire et certain de fuir était nettement plus élevés que ceux des simples petites bêtes.

Un des lapins que j’avais distingué comme un humain, dans l’optique certainement de me provoquer viens jusqu’à moi tout à fait à portée de main et après lui avoir fait une caresse, je l’attrapais par les oreilles afin de le porter sans risque pour mes mains de ses pattes ou encore de ses dents.

“Aller finit de jouer” Dis-je tout bas à la personne que je tenais dans mes mains.

Le fils du baron hébété depuis tout à l’heure tenait toujours en ses mains le filet que nous lui avions enlever et je n’avais pas trop de solutions. Le fils du baron hébété depuis tout à l’heure tenait toujours en ses mains le filet que nous lui avions enlever et je n’avais pas trop de solutions. Évidemment que je m’attendais à un bougonnement de sa part, mais j’en faisais fi, nous n’étions pas là pour régler des différends. Mes déplacements étaient souples et d’une action rapide, je jetais le filet par-dessus les lapins, Osami la lapine aussi puis je m'apprêtais à réagir au besoin afin de capturer les usurpateurs qui tenteraient une fuite. Tant pis pour Osami, mais si je la prévenais, les autres mécréants auraient prévu mes actions.

Il ne restait alors plus qu’à les cueillir un à un.

Le lancé en lui-même était une belle réussite et quasiment tous les voleurs c’était retrouvé enfermé à l’intérieur. Je veillais au mouvement de chacun des jeune lapin qui devait être récupéré. Osami, elle, s'était transformée grâce à son sublime pouvoir accorder au Kitsune, en un petit colibri qui passait les mailles du filet avec une simplicité gracieuse. Elle reprit la forme d’une grande renarde et au même moment et ses coussinets se posèrent au sol un des voleurs partis en galopant, bondissant sous sa forme de petit lapin.

La duchesse prit immédiatement sa suite, certainement que celle-ci avait repéré instinctivement la magie qui imprégnait son âme. Proche d’eux ainsi, il devait être plus simple à repérer et malgré les capacités qui m’étaient encore incompréhensibles, ce n’était pas la magie que je pouvais discerner en lisant dans les personnes proches de moi. Ainsi, je pouvais constater l’exactitude de mes intuitions quant au nombre de voleurs que nous pourchassons. Dans les filets, nous pouvions en compter quatre, ajouter à cela le lapin que Osami coursais et celui que j’avais dans les mains nous étions donc à six. Manquait plus qu’un qui était partit lui aussi en courant. Je criais d’un ton menaçant :

“Arrête-toi ou c’est ta vie que je prends !”

On pouvait pratiquement observer les poils de l’animal se dresser sur son dos telle un frisson qui l'immobilisait instantanément. D’un signe strict, j’envoyais alors le fils du baron chercher notre cible et malgré quelque grognement de mécontentement de la part de l’homme en armure, il partit chercher ce que je lui avais demandé. Certainement, c’était il rappellé l’ordre de Osami à ce moment.

Celle-ci, justement, revenait près du filet non loin de moi puis tout en avançant pour me rejoindre elle repris sa forme humaine avec ses fines oreilles et sa grande taille. Elle maintenait le lapin dans ses mains tel une petite peluche qui s’accommodait bien avec son visage doux. Cependant, j'apercevais alors son visage avant de me décider à trier les lapins qui devaient être ramenés au palais de madame la duchesse. Ses sourcils froncés ajoutaient des trait dure, mais qui n’était pas équivalent à de la colère, mais plutôt à une certaine incompréhension couplée à un questionnement dont elle me faisait part.

« Mais qu'est-ce qui vous est passé par la tête ? Comment êtes-vous sûr d'avoir pu capturer des voleurs en faisant ainsi ? »

En effet, la dame soulevait un point qui ne devait pas paraître bien normal pour elle qui devais prendre plus de temps pour desceller la magie dans les corps qu'elle approchais. Je lui fis un sourire, fière de mes capacités qui avait finalement été bien utile à la situation. Roy quant à lui revenait avec sa prise qu’il maintenait dans ses mains avec difficulté et ainsi, je commençais mon explication.

“Je ne peux pas vraiment expliquer ce que je ressens, mais celui que tu as es un des hommes que l’on cherche, celui du super chevalier aussi, celui-ci tout en montrant le rongeur qu’il tenait par les oreilles, qui à tout de même eu le culot de venir me provoquer en traînant juste devant moi. Les quatre autres sont dans le filet, je vais les sortir. Prends celui que je tiens si tu veux bien”

J’attendais qu’elle veuille bien le prendre et commençais à faire échapper les lapins et à récupérer les autres poursuivis encore prisonniers du filet. Ainsi, les quatre lapins restant étaient ceux que nous cherchions. Je retournais le filet, nos hommes encore pris à l’intérieur, présentant le troue afin d’accéder aux voleurs. Osami pouvait ainsi, y déposer ceux qu’elles portais et notre preux chevalier aussi.

“Ta mission est accomplie, on dirait ?”

Cela me semblait bien plus simple que ce que je pouvais imaginer et j’avais une certaine hâte d’obtenir ma petite récompense. Je me doutais que Osami n’allait pas ce contenté d’une si simple chose et m’attendais tout de même à quelques questions complémentaire que je devrais dévoiler plus en détaille, mais pas devant notre riche compagnon ni même devant les sept imbéciles pris à leurs propres jeux.

Passant le filet par-dessus mon épaule, j’attendais les directives de ma coéquipière.