Alors que les suivants Eïrniens et Duchéens devaient sans doute se demander ce dont ils discutaient, mais devaient supposer que de un, l’emploi du Teïderien était à un but diplomatique et de deux que ce serait malavisé de déranger la conversation, ils ne dirent rien. Commençant plutôt à s’affairer de leurs côtés et discuter à voix basse, ce pendant que les duchéens surveillaient les Teïderiens, pendant que pour leur part les Eïrniens s’en tenaient éloignées. Disons qu’ils devaient un peu les intimider, notamment car ils n’en avaient jamais croisés. Alors que les duchéens n’en étaient peut-être pas à leurs premiers Teïderiens croisés ou affrontés…

Quant aux érudits, ils furent plutôt surprit, quoique le nain le cacha mieux que les deux humains, quand Valéria, puis Xin se mirent à parler en Teïderien justement et sans un accent à découper au couteau. L’un des humains, celui qui semblait mieux se maîtriser que l’autre, la regardera alors d’un air de réflexion, avant de dire.

« Mes excuses, mais seriez-vous une compatriote qui s’est exilée ? » Après tout entre les vêtements de style assez occidentaux, le Teïderien parlé avec le bon accent et le fait qu’elle était humaine… Si elle n’avait pas sortit qu’elle était Ikhyldienne, il aurait put s’imaginer une Teïderienne, ou Duchéenne si elle avait juste parlée en Akkatonien. Quoiqu’il en soit l’autre humain dirait, après s’être retourné, sans doute pour réfléchir et arrêter de dévisager tout le monde dans un moment aussi, décisif ?

« Sinon, hum je suppose que je ne présumé pas trop de la volonté de mes collègues en disant que de toute façon nous sommes d’accord pour vous suivre ou répondre à vos questions. Hum… Juste qu’il faut que nous mettions de l’ordre dans nos idées, disons que c’est assez… Marquant. » Le nain dirait alors.

« En attendant qu’ils retrouvent un peu leurs idées… Je suppose que ça les arrangerait que vous trafiquiez leurs identités et leurs offriez une nouvelle vie. Pour ma part je veux juste rentrer chez moi, à Androk Kräm. Nous sommes alliés avec les Akkatoniens, vous n’aurez qu’à me déposer chez eux après que j’ai dis tout ce que je sais, et je rentrerai chez moi par train je suppose… Ou vous pourriez vous même m’y envoyer ? Ensuite, j’y reste et je n’en sors plus, hors de question de remettre un pied chez ces cinglés. » Sans doute parlait-il des Teïderiens. Avant de maugréer tout de même.

« M’enfin, les érudits d’Enfurg sont pas les pires, juste un peu perchés. » Puis, l’humain qui se maîtrisait bien, celui à la barbe et aux airs de vieux sage, ajouterait.

« La mission nous a été confié, par le seigneur de la souffrance en personne. Je crois qu’ils devaient nous éliminer, sans savoir ce que nous avons fais ou appris… C’est nous qui avons ouverts ces portails, même si nous ne devions ouvrir que celui-ci, je ne sais pas comment l’autre s’est ouvert, sans doute une défaillance dû à la manipulation magique après tant de temps… Quoiqu’il en soit, le seigneur de la peine savait comment faire, il voulait... » L’érudit sembla peser des mots avant d’ajouter.

« Que nous détruisons les rares preuves restantes, et nous l’avons faits, du fait qu’il a vécu ici… Les rares preuves de son existence autrefois mortelle, ensuite je suppose qu’il se fichait bien que cette cité soit fouillée ou non par les locaux. » L’inquisiteur Teïderien sembla alors bien se retenir de protesté devant des paroles qu’il devait juger hérétique, alors que l’érudit ajouta.

« Enfin, je ne sais pas, peut-être que nous interprétons mal… Mais si c’est le cas, je suppose qu’il fallait bien que notre dieu ait une origine, mais dans ce cas ce n’est pas une entité créatrice, c’est le survivant d’une ancienne race qui n’est probablement pas innocente dans sa propre disparition de ce que nous avons vus. » Le nain conclurait alors sombre.

« Pour ma part, je me demande surtout quels sont ses buts, mais je doute qu’il veuille répondre à nos questions. Je me demande aussi d'où vient son amour particulier pour la race humaine... » Les derniers mots étaient évidemment dis avec un certain humour noir.

Xin entra dans le jeu de Valéria en parlant en teïderien, qu'il parlait sans réelle surprise fluidement bien que ce ne soit pour sa part pas sa langue maternelle... mais elle était certaine que ce serait le cas du chef des renseignements ikhyldiens, après tout ! Elle ne fut pas non plus véritablement surprise quand l'un des hommes lui demanda si elle était une de leur compatriote, ce qui était assez évident à supposer en soit vu sa race, son type ethnique, ses vêtements et sa façon de parler... et qui d'ailleurs n'était pas faux, en fait. Elle répondit avec un doux sourire et un léger hochement de tête.

« En effet, une ancienne compatriote. Je me considère toutefois comme pleinement Ikhyldienne à présent et j'espère que vous pourrez vous aussi découvrir le plaisir de vous intégrer dans une nation disons plus... ouverte, notamment intellectuellement. »

Elle ne se mouillait pas beaucoup en qualifiant Ikhyld de plus ouverte sur le plan intellectuel, vu que Teïder venait de confirmer par leur exemple être prêt à massacrer ses érudits pour couvrir les secrets qu'ils avaient pu découvrir – et elle n'avait pas mentit en soit, bien qu'elle ait quelque peu éludée la raison réel de son départ du pays, ainsi que la date et les circonstances de celui-ci. Après quelques hésitations, lesdits érudits et spécifications sur les conditions qu'ils entendaient accepter, lesdits érudits livrèrent d'ailleurs leur histoire, confirmant qu'ils avaient bien procédé à l'ouverture du portail – enfin, des portails du coup, plutôt – et les informant de leur objectif. Valéria paru songeuse à cette idée, mais pas particulièrement surprise, comme les teïderiens le notèrent d'ailleurs peut-être.

« Hmmm ainsi il est prêt à tout pour cacher le fait qu'il était à l'origine un Immanent ? Enfin je suppose que des preuves tangibles en ce sens auraient pu être gênantes pour lui en effet. Pardonnez-moi de vous dire cela mais pensiez-vous vraiment que, même si vos excellents « gardes du corps », dirons-nous, vous avaient laissé rentrer en Teïder, il vous aurait laissé vivre longtemps en étant les derniers témoins teïderiens de son secret ? »

Il était vrai que avec ces informations-là, la tentative pour les éliminer devenait beaucoup plus logique, pour ne pas dire tout simplement évidente. Mais Valéria ne souhaitait évidemment pas les accabler en le soulignant, mais simplement arriver à son point suivant en douceur.

« Peut-être, prévoyant cela, l'un d'entre vous a-t-il pensé à noter quelque chose des preuves que vous avez vues, ou à sauvegarder quelque élément de preuve ? Enfin même si ce n'est pas le cas vous comprendrez sûrement que nous vous demanderons de consigner par écrit tout ce que vous vous rappelez des éléments détruits, au cas où quelque chose pourrait nous servir dans tout cela. »

Après tout si des preuves de la fausse divinité du Seigneur de la Souffrance auraient sans doute pu ébranler une partie de l'église teïderienne – celle qui n'était pas assez fanatique pour ignorer tout ce qui allait contre sa foi tout du moins, ce qui à son avis ne faisait hélas pas assez de mort – il était aussi possible qu'une partie de tout cela puisse servir à contrer la créature d'une façon ou d'une autre, et en tous cas toute information serait sans doute soigneusement analysée.

« Il y a un point que je ne comprend pas toutefois, avez-vous activé le portail de l'extérieur pour arriver ici ? Si oui il faudra également que nous sachions comment faire et si non... j'ai du mal à en comprendre le but. Dans tous les cas, n'aurait-il pas mieux valu venir ici par une voie plus normale et ne pas l'activer du tout pour garder cette cité entièrement secrète ? Le meilleur secret est après tout celui que personne ne soupçonne... »

Peut-être Valéria manquait-elle un élément... ou peut-être tout simplement le « dieu » teïderien avait-il fait une erreur ? Après tout malgré ses prétentions à la divinité il restait aussi faillible que n'importe qui...

Xin écoutera avec patience et réflexion les réponses des Teïderiens, qui s’avéreront intéressantes, ce alors que leurs suivants ne posaient pas de problèmes particuliers… Il esquissera d’ailleurs un fin et léger sourire quant un des Teïderiens demanda si Valéria était une ancienne compatriote, puis que celle-ci le confirmera, non sans ensuite faire un léger éloge d’Ikhyld. Il est vrai que c’était une bonne coïncidence fort pratique !

Quant au reste, Xin se contentera de répondra calmement quant aux services qu’il pourrait rendre.

« Nous vous aiderons au mieux, y compris vous maître nain. Si vous désirez rentrer chez vous après nous avoir rendus service je n’ai rien contre, je me permettrais même de vous remettre un pécule si cela vous convient, après tout j’ai le sentiment que ce sera une juste rétribution pour vos efforts. » Après tout même si l’autre n’avait pas demandé cela, ajouter une petite récompense du genre faisait toujours aimable et aidait à la bonne réputation de l’empire. Ceci et puis, ce ne serait pas la première fois que Xin donnerait de l’argent à une source, même si là ce ne serait pas pour la corrompre…

Puis pour le reste, Xin se ferait grave et sérieux alors qu’il écouterait les Teïderiens. Intéressant, ainsi le seigneur de la souffrance était bel et bien un immanent et ils venaient de découvrir la cité dans laquelle il avait vécu ? Ces informations étaient à la fois intéressantes et inquiétantes. Oh bien entendu cela confirmait bien que ce n’était pas un vrai « dieu », enfin selon la définition qu’on en avait, mais… Cela voulait aussi dire qu’il faudrait à l’avenir faire attention à ce qu’un mégalomane quelconque ne tente pas de devenir comme lui, mais bon tel n’était pas le problème actuel.

« Hum, peut-être qu’il redoutait qu’un de ses ennemis, Cesario ou les dieux nagas n’apprenne cela par un quelconque moyen ? Il n’y pas que nous après tout dans la balance et je suppose qu’il doit estimer comme le rival le plus valide à ses prétentions de dieu, l’ancien tyran. » Après tout même si pour sa part il estimait que Cesario et ses sbires représentaient une menace moindre pour Teïder et son dieu que l’empire d’Akkaton ou d’Ikhyld, à titre personnel Cesario était un ennemi juré idéal pour le dieu Teïderien.  Après… « Ou peut-être est ce juste une erreur en effet, ou une idée qu’il avait en tête depuis son retour. Je ne saurais pas dire, mais si vous avez des réponses à ce sujet, nous sommes évidemment intéressés. » Conclura t-il sinon songeur, puis aimablement le ministre elfique, à l’égard des érudits.

Les érudits étaient forts attentifs aux propos des deux arcanes, dont ils n’avaient évidemment pas conscience du rang, sinon peut-être que leur attitude serait différente ? Probablement plus déférente, effrayée et bien d’autres choses. L’érudit en tout cas qui avait questionné Valéria sur ses origines, ne cacha guère sa réflexion à ce sujet, avant de glisser pensif.

« Une ancienne Teïderienne peut donc réussir une fois partit de son pays... » Il semblait visiblement se demander ses chances de faire de même. En tout cas, ça n’avait pas l’air de le décourager, que du contraire. Puis ce fut le nain qui répondit à certaines questionnements sur leurs missions.

« Disons que mes amis et moi sommes un peu des, prisonniers politiques ? Nous n’avons pas acceptés la mission par choix et c’était ça, sinon les geôles ou bien un camp de travail où nous serions morts à petit feu. Je suppose que tout comme moi, ils se doutaient que les chances de survie étaient faibles. » Ce avant d’ajouter d’un air pensif.

« Nous n’aurons que nos souvenirs et nos mémoires à vous offrir, ils se sont bien assurés que nous n’ayons pas pris de notes ou autre. Néanmoins, nous avons de bonnes mémoires. » Ce avant de conclure concernant les manigances du dieu Teïderien et ce que soulevèrent Xin et Valéria.

« Je ne suis pas dans sa tête, mais mes avis qu’il devait penser qu’il valait mieux faire ainsi, et peut-être qu’il n’y avait qu’ainsi qu’on peut venir dans cette cité, quant à savoir pourquoi... Quant à comment nous avons fais, nous l’avons fais de l’extérieur en effet, on nous avait dit de procéder à un rituel avec certains ingrédients spécifiques, dont une bonne quantité de cristaux de manas et de lire longuement certaines incantations. Je ne saurais pas expliquer le fonctionnement global du rituel, mais je suppose que ça servait à briser un sceau et ouvrir le portail. Je suis moi-même mage voyez vous, d’un haut niveau... » Avant d’ajouter sinon pour sa part satisfait.

« Merci sinon pour votre amabilité, l’elfe ? Vous les Ikhyldiens êtes plus civilisés que ces barbares, même si ce n'est pas difficile. » Visiblement il n’avait pas une trop bonne image de Teïder du coup.

L'exemple qu'elle offrait de « reconversion » en Ikhyld sembla faire réfléchir les deux humains, ce qui n'était pas un mal. Évidemment, ils risquaient d'avoir une petite surprise quand ils apprendraient qui elle était et ses spécificités raciales, mais bon, en soit elle ne leur avait pas mentit, elle avait juste éclipsé certains détails sensibles, disons !

« Ikhyld est toujours ouvert aux mages et érudits, et comme l'a souligné votre collègue l'Empire prend toujours à cœur d'aider les réfugiés politiques. Je suis certaine que vous pourriez également trouver toute votre place chez nous. »

Les rassurer à ce sujet ne pouvait que les pousser à se montrer plus ouverts sur leurs informations, que ce soit tout de suite ou plus tard, lors de l'interrogatoire sans doute plus développé et exhaustif qui aurait lieu. Surtout qu'ils confirmèrent ensuite ne rien avoir gardé comme traces matérielles de ce qu'ils avaient été forcés de détruire, ce qui voulait dire que leur témoignage n'en serait que plus précieux, justement. En somme, il faudrait certainement les interroger en détail et noter tout ce dont ils se rappelaient, mais bon, c'était sûrement déjà prévu par Xin de toute façon.

« Je vois, hé bien, nous prendrons nos dispositions pour prendre en note tout ce dont vous vous appelez, en espérant que cela puisse peut-être nous aider. Quoiqu'il en soit je pense que nous avons tout intérêt à tous rentrer dans notre plan pour gagner Ikhyld, où d'ailleurs vous serez plus en sécurité. »

Valéria se tourna ensuite vers le reste du groupe et fit signe à tout le monde de se rapprocher pour pouvoir donner des consignes dans ce sens, tant il lui semblait en effet qu'il était temps pour eux de rentrer chez eux, c'est à dire à Eïrn pour leurs compagnons et à Ikhyld pour elle, Xin et leurs prisonniers, qu'ils soient volontaires ou qu'ils aient été capturés. Elle reprit donc en akkatonien pour que chacun puisse la comprendre.

« Excusez-nous, nous avons jugé plus opportun de nous entretenir avec nos amis dans leur propre langue, pour les rassurer et pour éviter les mécompréhensions. Ils nous ont confirmé plusieurs choses, notamment que l'ouverture du portail était le fait des teïderiens. Nous prendrons donc des mesures pour que cela ne puisse plus advenir. »

Elle passait de très nombreux détails sous silence, mais cela lui semblait mieux de ne pas inquiéter ces gens avec des histoires de dieux et de guerre. Les locaux, notamment, avaient déjà bien assez soufferts dans toute cette histoire ! Et puis elle se disait que Xin apprécierait de garder le secret sur certaines informations-clés.

« Puisque nous avons refermé ce portail et élucidé le mystère de son ouverture, et puisque nous avons d'après nos amis neutralisés tous les teïderiens présents dans la cité, je pense que nous pouvons regagner notre plan. L'Empire se chargera ensuite de sécurisé la cité et d'empêcher toute réouverture, ainsi que d'en étudier les secrets. Vous serez bien entendu la bienvenue si vous souhaitez participer aux recherches. »

Valéria avait ajouté cela avec un sourire en direction de l'érudite eïrinienne, qui après tout les avait aider dans cette entreprise – et de toute façon Ikhyld n'était pas du genre à garder entièrement scellée une telle découverte, tant qu'elle était clairement sous autorité ikhyldienne. Elle se tourna ensuite vers Xin pour la suite des opérations, puisque c'était lui qui les ramènerait sur leur plan, et sans rouvrir le portail sans doute. Il pourrait probablement le faire d'ici, ou alors irait ailleurs, mais elle accepterait de toute façon toutes les modalités de sa part, qu'il choisisse de les ramener tous à Eïrn puis qu'ils fassent le voyage avec leurs prisonniers, ou d'ouvrir un petit portail pour leurs alliés puis ensuite les ramener directement à Ikhyld avec les teïderiens... elle aurait choisi la seconde option mais ce n'était pas à elle de gérer les sorts, donc elle le laissa entièrement maître de la situation !

Tout cela donna à réfléchir à Xin, tant et si bien qu’il n’allait sans doute pas chômer une fois de retour à Ikhyld, tant les informations à récolter seraient diverses et qu’il serait important d’être attentif à chaque détail, car si certes il ne savait pas encore quoi faire de tout cela, il était sûr et certain que ça aurait aussi bien de l’importance, que de l’utilité.

Quoiqu’il en soit il était satisfait de constater que les paroles de Valéria et les siennes avaient convaincus les érudits de se montrer utile et volontaires, pour le reste… Il faudrait sans doute les interroger longuement pour avoir tous les détails intéressants, mais ça se ferait sans aucun doute. En plus, c’était donc des prisonniers politiques Teïderiens, une raison de plus pour qu’ils soient enthousiastes à l’idée d’aider l’empire…

« Je vais m’atteler à ouvrir un portail pour que nous puissions rentrer dans notre plan, il me faudra juste un peu de temps pour l’ouvrir. » Glissera quoiqu’il en soit Xin aimable et plutôt satisfait des évènements et des résultats de cette petite aventure. Mais aussi, probablement légèrement impatient, même si dur de le percevoir sans le connaître, à l’idée de rentrer pour plancher sur tout ceci. Après tout pour un ministre des renseignements comme lui, ce qu’ils venaient d’apprendre était bien plus précieux que n’importe quel coffre remplis de lingots d’or ou d’argent, ou même de gemmes…

Il n’ajouta rien sur le reste, Valéria ayant très bien expliqué la situation à tout le monde, avec diplomatie et sans trop en dire, Xin se contenterait donc d’incanter et une fois cela fait, une brèche s’ouvrirait dans la réalité, menant directement non loin du village où ils avaient débutés l'expédition. L’arcane attendrait alors que tout le monde traverse le portail et une fois ceci fait, il passerait en dernier pour prendre ensuite la peine de le fermer… Quant à cette cité qu’ils quittaient pour le moment, sans doute y retournerait-il prochainement, notamment alors qu’elle serait assujettie à diverses fouilles...