Nationalité : Aeleiyeevan de naissance, aujourd'hui Ikhyldien Race : Elfe Nom : Gwynnestri Prénom : Lysanthir Surnom : « Lys »/La Lance d'Argent Sexe : Masculin Date de naissance : 17 Novimbreïs 1548 Age : 462 ans Lieu de naissance : Ikhyld, Cité d'Aelieyeeva (alors une Principauté Elfique indépendante) Lieu de vie lors de votre entrée en jeu : Cité de Jade/ Aelieyeeva Rang social : Noble Métier/Position dans la société : Général Titre : La Lance d'Argent, connu comme un général brillant et un guerrier féroce à Ikhyld.
Armes et équipement :
Armure et armes en votre possession lors de votre entrée en jeu :
Lance d'Argent : L'arme qui accompagne Lysanthir depuis sa jeunesse, et qui lui a valu son nom lors de ses premières campagnes en compagnie des armées ikhyldiennes. C'est une lance solide en bois et acier, avec courant le long de la lame un fil d'argent étincelant formant un motif de feuille, qui se prolonge par un rehaussement d'argent courant le long du manche sans pour autant gêner son utilisation en combat. Lien Spatial : Au terme d'un long enchantement de l'arme par un spécialiste et en compagnie du propriétaire, celui-ci sera capable grâce à sa volonté de téléporté l'arme à lui (dans sa main ou ses mains selon l'arme) ou de se téléporter vers son celle-ci (si il est dans un rayon de 30m maximum d'elle), il faut attendre 30s entre chaque utilisation de cet enchantement pour lui laisser le temps de se rechargé.
Épée courte ailieyeevanne : Une épée courte elfique assez basique mais néanmoins élégante, avec une poignée de cuire ornée d'un morceau d'ambre sur la garde et une lame courte en acier, commune dans l'armée d'Aelieyeeva avant la conquête ikhyldienne, Lysanthir continue toujours à l'utiliser pour se défendre à courte distance quand c'est nécessaire.
Bouclier Princier d'Aelieyeeva : Relique familiale ayant appartenu au tout premier Prince d'Aelieyeeva, son père l'a confié à Lysanthir lorsqu'il est devenu l'héritier du trône. Bien qu'Aelieyeeva ne soit plus aujourd'hui une Principauté indépendante, le noble elfique l'a toujours conservée. Il s'agit d'un bouclier rond métallique de taille moyenne, frappée du blason familial, à la feuille de chêne d'or et à l'épée d'argent, sur fond de sinople. Champ de force : Le bouclier émet un champ de force magique englobant une à dix personnes suivant le niveau de potentiel magique du porteur. Dès lors il encaisse les attaques aussi bien magiques que physiques. 30 secondes d'autonomie, l'enchantement mettra ensuite une journée à se recharger.
Armure du Général : Armure intermédiaire en maille renforcée de quelques plaques métalliques, elle fut forgée sur commande de son père lorsque la Principauté se joignit à l'Empire d'Ikhyld, spécialement pour protéger son héritier. Forgée en Argent Sombre pour permettre d'allier légèreté et enchantements, elle a été plusieurs fois réparée, mais continue de protéger fidèlement Lysanthir au combat. L'argent sombre : Ce métal donne de très bonnes propriétés de catalyseur et d'absorption de la magie à l'objet dans lequel il est fait, rendant les enchantements de celui-ci plus puissants, mais permettant aussi s'il est utilisé pour faire une armure de légèrement ou modérément réduire les effets de toute magie employée directement contre son porteur. Il est par contre moins solide que l'acier, mais légèrement plus léger.
Autres équipements
Ensemble du général : Un ensemble de vêtements à la fois simples et tout de même relativement élégants, goût elfique oblige, que Lysanthir porte généralement à la bataille, au combat ou lorsqu'il est plus décontracté. Dans les tons bruns et verts, ces vêtements sont étudiés pour ne pas entraver ses mouvements.
Ensemble princier : Un ensemble de vêtements de haute qualité, dignes du prince que Lysanthir fut jadis et du noble qu'il est encore aujourd'hui. Tissés de fils d'or et d'argents, ces vêtements dans les tons clairs ne déparaient pas au milieu de la noblesse ikhyldienne, lorsque l'Elfe choisi de s'y mêler.
Chevalière de Mage : Même s'il n'a jamais porté ses efforts sur la magie pure, Lysanthir n'en porte pas moins une chevalière de mage selon les coutumes ikhyldiennes. Faites en platine, même s'il n'a jamais pleinement assumé l'étendue de son potentiel, elle porte un rubis et une pierre de lune à la pureté imparfaites mais gravé l'un de la feuille de chêne et l'autre de l'épée qui ensemble forment ses armoiries familiales.
Collier elfique : Un fin collier elfique, cadeau de sa sœur il y a de nombreuses années. Assez simple, en argent portant en pendentif représentant une plume d'or, il a avant tout une valeur sentimentale pour Lysanthir, qui de ce fait ne s'en sépare quasiment jamais.
Le tatouage de Force : Idéal pour envoyer une claque à un Troll ou ouvrir un bocal de cornichons récalcitrant. Il (le tatouage, pas le bocal) augmente la Force Physique d’1 point ou amoindrit un malus racial de un niveau.
Armes de tailles : Adepte Armes lourdes : Inapte Armes d'hast : Prodige Faux : Inapte Art de la défense : Maître Armes de lancer/fouet : Inapte Arc/arbalète : Inapte Mains nue/Arts martiaux : Inapte Armes à feu : Inapte Equitation : Inapte Domptage : Inapte Conduite : Inapte
Si dragon
Combat dans les airs : Inapte Combat sur la terre ferme : Inapte
Description de votre personnage :
Description physique :
Comme la plupart des Elfes, Lysanthir est de haute taille, le militaire étant d'ailleurs assez grand même pour sa race puisqu'il culmine non loin des deux mètres, au mètre quatre-vingt-dix-sept pour être un peu plus précis. Une vie à manier les armes lui a donnée des épaules un peu plus larges que celle de la plupart de ses frères de race, même s'il reste certainement plus fin qu'un humain. Si sa force reste assez moyenne, même pour un elfe, il a sculpté des muscles et un corps tournés vers la rapidité de réaction et la vitesse de mouvements, non sans un certain succès. Notons d'ailleurs qu'en dépit de siècles de combats il ne garde aucune grosse cicatrice visible sur son corps, preuve de l'excellence des soigneurs qui se sont occupés de lui, dans sa principauté, d'abord, en Ikhyld, ensuite... et aussi dans sa famille, parfois !
Si les cheveux blancs sont chez les humains la marque du grand âge, Lysanthir les porte ainsi depuis l'enfance, d'un blanc de neige aux reflets doucement argentés. En revanche, pas une ride ne vient marquer son beau visage aux traits réguliers et harmonieux, selon l'antique privilège des elfes sur la plupart des autres races. Son visage dégage d'ailleurs un certain charme, même s'il est loin d'en avoir fait son arme principale, et son regard d'un bleu très clair, presque glacial, reflète particulièrement sa détermination ainsi que la vigueur de ses émotions, là où ses traits généralement restent impassibles. Ceux qui le connaissent bien savent ainsi que c'est dans ses yeux que l'on peut véritablement lire ses ressentis.
Description mentale :
Pour un ennemi ou un étranger, ce bon Lysanthir paraîtra généralement calme, voir distant, gardant naturellement une certaine distance, justement, entre lui et le monde extérieure. Il n'aime pas dévoiler ses émotions ou ses pensées, du moins à ceux qu'il ne connaît pas. Plus vous creuserez, pourvu qu'il vous permettre de commencer l'excavation, bien entendu, et plus vous découvrirez une nature plus chaleureuse qui se cache derrière cette couche glacée, laquelle s'est forgée en plus de deux siècles à être le rempart entre son peuple et un monde extérieur immédiat alors majoritairement hostile et barbare. En allant au-delà, on découvre un Lysanthir chaleureux, assez bon vivant, pour un Elfe, moins attaché aux questions de classe et de préséances que la norme de ses frères de races nés dans l'empire qui est maintenant le sien.
Doté d'un fort sens de l'honneur de par son éducation princière, il est néanmoins partisan d'un certain sens de la réalité sur le champ de bataille, n'hésitant pas à utiliser toutes les ruses nécessaires pour triompher sur le champ de bataille si c'est nécessaire. Il a un goût particulier pour la chose martiale, considérant que l'armée sera toujours un mal nécessaire pour protéger la paix. De sa formation originelle, il porte un soin particulier à la vie de ses hommes, ce qui lui a permis au fil du temps de tisser des liens avec ceux qui sont placés longtemps sous son commandement, et qui font partie, justement, des personnes avec qui il se dégèle quelque peu. Il est sinon bien entendu attacher à sa famille ainsi qu'à ses proches.
Convictions :
Au plus profond, la loyauté première de Lysanthir va encore à Aelieyeeva, sa Principauté natale, fondée et protégée par sa famille pendant des générations. Plus largement toutefois, il a eut le temps en deux siècles de développer une forte fidélité envers Ikhyld, motivé tout d'abord par les nombreux bienfaits que l'empire oriental a apporté à son pays natal, autant que par les solides expériences de camaraderie nouées sur le champ de bataille avec les combattants ikhyldiens, sans parler des amitiés tissées en dehors ensuite. Il est donc dévoué au pays qui a intégré le sien et est devenu sa nouvelle patrie, en quelque sorte, et est convaincu des grands bienfaits qu'apporte la société ikhyldienne, qui a ses yeux a « civilisé » les territoires entourant Aelieyeeva.
Lysanthir est ainsi partisan de l'extension des frontières d'Ikhyld, si besoin en n'hésitant pas à utiliser la force, comme elle fut utilisée quand lui-même et ses forces, tout justes intégrés aux armées impériales, aidèrent celles-ci à pacifier l'actuelle Province Orzanienne. S'il ne recherche donc pas la guerre pour la guerre, il est partisan de ne pas reculer lorsque l'utilisation de la force est nécessaire, convaincu que l'épée est parfois la meilleure voie pour amener ensuite une paix meilleure et durable sur les territoires ainsi unifiés.
En ce qui concerne les autres nations orzaniennes, il est méfiant envers Akkaton et Teïder, pour leurs ambitions expansionnistes assumées, passées et présentes, qui l'inquiètent militairement parlant. S'y ajoute une forte désapprobation du régime teïderien, qui reflète à ses yeux le pire de la barbarie humaine, là où il respecte la paix apportée par Akkaton sur les continents qu'il contrôle. Il est relativement neutre envers Eilynster, aimant leur côté militariste et non-expansionniste, mais réservé sur certains traits de leur culture. De même il est neutre envers les Duchés, qu'il trouve un peu chaotiques bien qu'il leur reconnaisse aussi des qualités, et juge qu'il serait bon qu'on finisse par y mettre de l'ordre. Un avis qu'il étend aussi aux territoires gérés si lâchement par Eïrn, d'ailleurs, République dont il se méfie aussi un peu en elle-même car elle semble cacher bien des secrets...
En dépit de cet avis finalement plus ou moins négatif pour le reste du continent, cela ne se traduit pas dans la plupart des cas par une hostilité, sauf peut-être pour Teïder, et il est bien entendu toujours prêt à donner une chance individuellement aux citoyens de ces contrées... tant qu'il ne les croise pas sur le champ de bataille, bien sûr.
Au niveau des races, il partage un certain a-priori commun à la fois aux Elfes et à sa patrie ikhyldienne envers les Orcs et les Nains, qu'il voit comme rustres et brutaux. C'est particulièrement vrai pour les Orcs, en partie du fait de ses nombreux combats de jeunesse contre les tribus de cette race dans son voisinage. Il n'en est néanmoins pas au point de les détester en bloc, et peut reconnaître les mérites de certains des représentants de ces races au cas par cas, surtout dans le domaine guerrier, simplement, il a un jugement global négatif et un certain mépris pour eux.
En partie grâce à son épouse, en partie grâce à son vécu en Ikhyld, il a fini en revanche par perdre son jugement négatif global sur les humains, et est d'avis que c'est la race la plus versatile, où on peut trouver le plus facilement le pire comme le meilleur : il juge donc au cas par cas, ou selon d'autres critères comme leur appartenance nationale. En-dehors de ça, il n'a pas d'a-priori négatif sur les autres races. Il a une certaine estime de base pour les autres Elfes, ainsi que pour les Kitsunes et les Dragons, et un jugement neutre sur le reste des races. De manière globale toutefois il reconnaît avant tout le mérite de chacun, quelques soient ses origines raciales, simplement un Elfe aura plus de facilité à gagner son estime qu'un Orc.
Dans la dualité entre technologie et magie, il se place bien entendu du côté de la magie, qui a toujours été utilisée par son peuple, et est encore plus centrale aujourd'hui qu'ils sont intégrés à Ikhyld, mais sans être dogmatique à ce sujet. Il reconnaît à la technologie une certaine utilité pratique, et n'a pas de problème idéologique particulier à l'utiliser si besoin dans une bataille par exemple, mais est bien souvent limité de ce côté par la pratique qui fait que le gros de ses troupes est imbibé de magie. Pragmatique, il a donc fait son choix entre les deux options et se repose naturellement sur la magie, vu son passé et sa nation, mais serait prêt à utiliser tous les moyens possibles pour arracher la victoire et réduire les pertes, même la technologie si c'était à la fois possible et nécessaire dans une situation donnée.
Sur le plan religieux, enfin, Lysanthir est assez peu pratiquant. Il respecte les rites d'Aelieyeeva, centré autour du culte de la nature assez classique chez les Elfes, et a un respect pour la Nature au sens large, mais en se montrant assez peu religieux. Il observe aussi pour la forme les rites ikhyldiens autour de la Magie mais sans ferveur particulière, c'est un guerrier bien plus qu'un religieux.
Passé de votre personnage :
Histoire :
Lysanthir est née il y a plusieurs siècles de cela dans la famille princière de la Principauté d'Aelieyeeva, un état elfique indépendant du sud de ce qui est actuellement la Province Ikhyldien en Orzian. La zone était à l'époque beaucoup plus hostile, et la Principauté sur laquelle régnaient les Gwynnestri était environné de tribus et petits états humains et orcs assez barbares et, de fait, plutôt hostiles, qui cherchaient régulièrement à s'emparer des richesses d'Aelieyeeva, qui, plus évoluée en technologie et en magie, attisait souvent leur convoitise. Héritier de la couronne, Lysanthir fut ainsi élevé dès son plus jeune âge dans l'idée que son devoir était non seulement de guider sagement son peuple, mais encore de le protéger contre les agressions de ses voisins ou toute autre menace qui mettrait en danger les vies de ses futurs sujets.
Il reçu donc une éducation martiale de qualité, mais fut bien entendu également formé aux rouages de la politique, de la gouvernance, du commandement des hommes et de manière générale de tout ce qui devait être utile au futur souverain qu'il était. Enfant déjà il était un garçon très sérieux et très appliqué en tout, mais disposant également d'une chaleur qui en cette époque ressortait plus facilement qu'aujourd'hui et qui lui valu d'être populaire au près des jeunes gens de son âge. Vint rapidement, après quelques décennies, l'époque où il mena ces jeunes gens au combat sous les ordres des officiers de son père, lors d'une des hélas trop nombreuses escarmouches entre son peuple et les tribus barbares avoisinantes, une rencontre dont il se sorti honorablement, tout comme la plupart de celles qui suivirent ensuite.
Les années continuèrent de s'écouler, et alors qu'il approchait de ses cent-cinquante ans lui naquit une sœur, Lyraselaya, une magnifique jeune enfant qui devait tenir par la suite toute les promesses de beauté que lui promettait son jeune âge. Lysanthir aima tout de suite sa jeune sœur, un amour qui ne devait pas se démentir par la suite, en dépit des divergences de vue parfois profondes qui les opposèrent parfois ensuite. Quoiqu'il en soit, quelques décennies plus tard, alors qu'il avait cent-quatre-vingt-trois ans, il se maria à une jeune noble venue du continent, d'un état elfique d'Eïrn, Amisra Miralamin. Son père espérait ainsi nouer une forme d'alliance, même si ce nouvel allié était bien lointain et ne fut finalement jamais d'aucun secours directe à la Principauté. Lysanthir y gagna une femme belle et douce de caractère, bien qu'en même temps assez endurcie par une vie à partager sa forêt avec toutes sortes de monstres pour comprendre le guerrier qu'il était.
Les années passèrent encore, tandis que naissait son premier-né, Larongar, une vingtaine d'années après son mariage. Lysanthir était alors devenu un guerrier aguerrit, et depuis de nombreuses années le commandant des forces de la Principauté. Son bouclier à la feuille et à l'épée était redouté par les tribus barbares environnantes, même s'il fallait souvent guerroyer pour entretenir cette crainte et les garder à distance d'Aelieyeeva, car, hélas, les humains aussi bien que les orcs avaient toujours la mémoire bien courte. Sa femme l'aida néanmoins à cette époque à comprendre que les humains n'étaient pas forcément mauvais en eux-mêmes, et que c'était surtout le barbarisme de leurs voisins qui les rendait aussi instables. De manière générale, Amisra adoucit de nombreux aspects saillants de la personnalité du jeune elfe, et s'il n'y eut jamais de l'amour en tant que tel entre eux, ils finirent par arriver à une entente satisfaisante.
Alors que la roue du temps continuait de filer, finalement, il y a deux siècles, Ikhyld vint toquer à la porte de la vie de Lysanthir, et du continent d'Orzian tout entier, en décidant d'annexer les îles à l'est de celui-ci. Contrairement à beaucoup, l'Aelieyeeva accueillit cette arrivée favorablement, et fut l'un des premiers états à intégrer volontairement l'Empire oriental. Lysanthir se retrouva ainsi intégré de facto dans la noblesse et l'armée impériale, et, avec ses troupes, participa à la pacification des îles, et surtout du voisinage de la Principauté. Les Elfes de ce petit état furent bien utiles aux troupes impériales par leur connaissance de la partie sud de la grande île, tant physiquement que politiquement parlant, et Lysanthir s'illustra au cours de cette campagne, en plus de nouer de nombreux liens de camaraderies avec les officiers et soldats qu'il côtoya au cours de cette guerre de conquête qui fut relativement rapide.
Lysanthir servit jusqu'au bout dans cette entreprise, bien au-delà des environs directs d'Aelieyeeva, car il croyait profondément en cette entreprise de civilisation et d'unification du territoire. Mais quant il revint, ce fut victorieux mais en deuil, car en effet il découvrit qu'Amisra était morte pendant qu'il guerroyait en mettant au monde leur fille cadette. De ce jour, son père le pressa périodiquement de reprendre femme, dans la noblesse ikhyldienne, mais, considérant avoir accomplis son devoir en engendrant deux héritiers, Lysanthir n'en a jamais éprouvé son besoin, son père finissant, après la mort de sa mère, par faire ce mariage lui-même. Quoiqu'il en soit, le guerrier elfique confia le gros de l'éducation de ses enfants à sa famille et aux précepteurs prévus à cet effet, bien qu'il s'occupe toujours d'eux avec attention.
Si Lyraselaya fut envoyée représenter la Principauté à la capitale régionale, et fini d'ailleurs par prendre place au sein des instances gouvernantes d'Ikhyld, à la grande fierté de Lysanthir, lui-même resta dans l'armée, et, grâce à ses prouesses lors de la conquête, autant que grâce au réseau que son père tissa année après année dans la noblesse, ainsi, bien entendu, que grâce aux qualités dont il fit preuve au sein de ladite armée une fois la conquête terminée, fini par se hisser au rang de général, commandant bien d'autres forces en plus de celles de l'Aelieyeeva. Il se fit peu à peu à la société ikhyldienne, en absorbant de nombreuses coutumes tout en gardant certaines originalités propres, même si, avec le temps et l'influence de ses fréquentations ikhyldiennes, il a développé un certain goût et un petit talent pour la peinture.
Aujourd'hui encore, il occupe son poste, n'hésitant pas parfois à partir lui-même sur le terrain pour explorer certains avantages, remplir certaines missions ou simplement voyager. Il est convaincu que le fait de bien connaître Orzian, ses nations et les différents terrains qu'on y rencontre finira par être utile, car encore aujourd'hui il est certain qu'un jour où l'autre il faudra en venir à la guerre pour finir d'unifier tout le continent et y apporter définitivement la paix, tout comme la conquête ikhyldienne apporta la paix à la grande île et au reste de la Province Ikhyldienne...
Liens :
Leayonadas Gwynnestri : Son père, jadis Prince et aujourd'hui gouverneur d'Aeliyeeva, auquel il est destiné à succéder. Si le père a toujours eut beaucoup moins de goût pour la chose martiale que le fils, et est plus politicien que guerrier, c'est lui qui a formé l'homme que Lysanthir est aujourd'hui, et même s'ils ont parfois quelques divergences de vue, les deux hommes s'aiment beaucoup et le fils a énormément de respect pour son géniteur.
Lyraselaya Gwynnestri : La plus âgée de ses sœurs cadettes, et aussi celle de la famille qui a le mieux réussi puisqu'elle est devenue Arcane de la Lumière. Lysanthir a toujours beaucoup aimé sa sœur et encore aujourd'hui, même s'ils ont des divergences, notamment sur la place que la guerre devrait jouer dans le futur d'Ikhyld. Cela n'entache toutefois en rien son affection pour elle, pas plus que cela ne l'empêche d'être très fier d'elle et de la place qu'elle a conquis.
Leilatha Gwynnestri : La plus jeune, et de loin, de ses sœurs cadettes, celle qui est en réalité sa demi-sœur est sans doute la moins proche de Lysanthir, et en fait beaucoup plus proche des enfants de celui-ci. Même s'ils partagent peu de choses en réalité, il y a une réelle affection entre eux, et Lysanthir aime bien la taquiner, tout en la protégeant de tous ceux qui pourraient vouloir blesser la damoiselle.
Lorelei Gwynnestri : Sa mère, morte de s'être laissée dépérir après la mort en couche de son troisième enfant, tout comme sa femme était morte avant elle, mais hélas, quant à elle, en perdant elle aussi son bébé, expliquant sans doute pourquoi elle refusa d'être ramenée à la vie. Lysanthir l'aimait énormément, et reste peiné de sa mort encore aujourd'hui.
Amisra Gwynnestri-Miralamin : Sa femme, morte en donnant naissance à leur fille. S'il n'y eut jamais de réel amour entre eux, Lysanthir l'appréciait beaucoup néanmoins, et avait beaucoup de respect et d'affection pour elle.
Larongar Gwynnestri : Son fils aîné et héritier, il l'a élevé dans la même tradition martiale qui l'a lui-même façonné, pour en faire son héritier aussi bien par les armes que par le titre. Digne fils de son père, bien que plus imprégné de culture ikhyldienne que lui, Lysanthir place en lui de grands espoirs.
Zilyana Gwynnestri : Sa fille cadette, portant le nom que sa mère a souhaité pour elle avait de mourir. Lysanthir aurait voulu en faire une dame à la hauteur de sa sœur ou de sa propre mère, mais il semble qu'elle ait hérité de lui et soit bien plus garçon manqué, au désespoir de son grand-père d'ailleurs. Néanmoins, Lysanthir a beaucoup d'affections pour elle et apprécie sa grande énergie.
Sarya Gwynnestri : Seconde épouse de son père, qui s'est remarié après la mort de la mère de ses deux enfants, désirant avoir d'autres héritiers pour assurer la continuité de sa lignée... ainsi qu'une alliance avec la noblesse ikhyldienne de sang que Lysanthir avait toujours refusé de contracter. Le militaire n'a pas d'affinité particulière avec sa belle-mère, mais a appris à l'apprécier avec les années, reconnaissant ses mérites dans son rôle d'épouse et de consort.
Qui êtes vous ?
Petite présentation de votre personne : Hummm ben je suis rôliste, j'aime bien l'univers et... disons que ça suffira.
Rythme rp et particularités : Alors je suis souvent prise en semaine, mais je pense réussir à tenir un rythme d'une réponse par semaine à chaque rp en moyenne, tant que je n'en n'ouvre pas trop !
Comment avez vous découvert le forum : Lyly !
Des ambitions pour votre personnage ? Quelle évolution aimeriez vous lui donner à court ? Moyen ? Long terme ? Avez vous prévu quelque chose ou êtes vous adepte du "laisser le jeu faire" et voir ce que ça donnera ? Aucune idée à ce stade, on verra ce qui se présentera !
Sujet: Re: Lysanthir Gwynnestri Jeu 20 Déc - 17:36
Bonjour Lysanthir ! Comme convenu, je vais donc m'occuper de ta fiche .
Qui êtes vous :
Bienvenu à nouveau à toi sur le forum Lys o/ !
Identité :
Date de naissance : Si ton personnage a 462 ans, il est plutôt né en 1548 o/ .
Je n'ai rien à redire au reste sinon^^.
Equipement :
Il faudra retirer les prix du coup, du moins les rares que tu as laissé, pour faire plus joli o/.
Rien à redire sinon à l'équipement en lui-même^^.
Caractéristiques :
Étant donné que ton personnage est très polyvalent, tu peux viser les 830 points, baisse donc la beauté à champion et ce sera bon^^. (ça reste niveau prodige pour un humain) La seule bizarrerie que j'aurais à noter éventuellement, c'est qu'un guerrier soit inapte en main nue, mais c'est vivable avec lien spatial, même si un peu étrange.
Descriptions de votre personnage :
Physique :
Rien à y redire !
Mental :
Idem^^.
Convictions :
Je n'ai absolument rien à y redire, sauf peut-être qu'il faudrait ajouter son point de vue sur la dualité technologie/magie et ses différents aspects, sur les autres races, mais aussi sur la religion. En pratique t-il une ? Par exemple le culte de la nature elfique ou de la magie Ikhyldien ? Il peut tout à fait pratiquer les deux ou un mélange, ce ne sont pas des religions s'excluant.
Passé de votre personnage :
Liens :
J'aime bien, c'est plutôt complet et cohérent o/ .
Histoire :
Je n'ai rien de spécial à redire à l'histoire si ce n'est un détail à souligner^^.
Disons qu'Orzian est un univers très multiculturel et racial, les humains sont nombreux certes, mais pas la race dominante ou absoluement partout, je pense donc que parmi les tribus barbares il y avait sans doute pas mal d'orcs aussi, il faudrait donc parler d'eux aussi. Voilà c'est tout o/.
Voilà, du coup corriges moi tout cela et ce sera bon pour la validation o/ !
Otmar Ehrlich Deffarès
Feuille de personnage Peuple: Humain Nationalité: Akkatonien Rang social: Noblesse Akkatonienne
Admin
Messages : 4872 Date d'inscription : 13/11/2016 Localisation : Province Akkatonienne
Sujet: Re: Lysanthir Gwynnestri Ven 21 Déc - 10:15
Voilà, du coup je peux peux te valider ! Sache que quand je m'aurais occupé des détails administratifs, tu pourras retrouvé ta fiche d'évolution par ici.
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