Ouvrir !fermer !
Orzian, engrenages et arcanes
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.

Orzian, engrenages et arcanes


Le Deal du moment : -39%
Pack Home Cinéma Magnat Monitor : Ampli DENON ...
Voir le deal
1190 €

Ifrit Moros
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas

 :: Mémoires d'Orzian :: Sujets périmés :: Fiches des personnage supprimés
MessageSujet: Ifrit Moros Ifrit Moros EmptyMer 26 Déc - 18:42

Ifrit, Moros : Aventurier

Ifrit Moros 2a66Ifrit Moros Bscp
Identité


Nationalité : non concerné
Race : Esprit de feu
Nom : Ifrit
Prénom : Moros
Surnom : Nar-morë  
Sexe : Masculin
Date de naissance : Inconnu
Age : 666 ans
Lieu de naissance : Plan élémentaire du feu
Lieu de vie lors de votre entrée en jeu : Terres Sauvages du Nord
Rang social : Vagabond
Métier/Position dans la société : Enchanteur et ranger
Titre : Aucun


Armes et équipement :


Armure et armes en votre possession lors de votre entrée en jeu :

-Baguette du feu radiant d'Ifrit (Bâton de mage) : Fait entièrement en métal. La baguette dans sopn rôle est identique à un bâton de mage. Seule sa taille et son apparence changent. Aussi blanche comme la lumière la plus pure, de fines décorations dans un métal précieux presque blanc réprésentant des flammes viennent se greffer tout autour de l'objet.

-Armure de la suprématie infernale (Armure royale) :
Cette armure dispose d’une protection lourde sous la forme de plaques. Bien que solide comme l’acier trempé et avec des surcouches de cuir d'hydre. Cette armure est comme une seconde peau et elle peut parfaitement remplacer une tenue standard bien que certains lieux n’apprécient guère le port de l’armure. L'armure est avant tout conçue pour offrir la plus grande mobilité possible malgré son lourd poids.
Cuir d'hydre :
Ce cuir en plus d'être souple et très solide, a des propriétés de régénérations qui font qu'une armure faîte en celui-ci, peut se régénérer totalement même si elle est en lambeaux en moins d'une journée.
Légèreté du vent :
L'armure ainsi enchantée devient aussi légère qu'une plume.


Autres équipements

-Cape/Manteau renforcée :Une cape/Un manteau faît(e) de cuir, peut éventuellement arrêter un coup de poignard.

- Masque d'exaltation Eïrnien : D'après les rumeurs, ce masque bien que tout à fait simpliste aurait reçu la bénédiction de la source, quoi qu'il en soit, celui ci est vraisemblablement enchanté de manière à offrir une meilleure récupération de la puissance magique du porteur. (5 pourcent plus rapide)
Esthétique et fonctionnement : Blanc en grande partie avec des décorations colorées. Ce masque de fonction identique à un masque d’exaltation Eïrnien se voit indestructible grâce à un enchantement. Son esthétique est propre au plan du feu. Aussi lorsque l’on décide de mettre le masque et que l’on prononce intérieurement dans la langue des esprits « tranche ». Une déchirure se forme(un portail) au bout de trois minutes et emporte uniquement celui qui porte le masque.  
Indestructibilité :
L'objet ainsi enchanté est totalement indestructible. Ne peut pas être apposé sur des objets beaucoup plus grands qu'un masque pouvant recouvrir un visage humain
Transport élémentaire :
Cet enchantement permet en l'activant de transporter 3 minutes plus tard le porteur du bijou dans un plan élémentaire choisit à l'achat de l'enchantement. Attention, si la téléportation se fait toujours à un endroit à peu près sûr du dit plan, elle se fait totalement au hasard. Bien entendu, on peut user ensuite du bijou pour retourner dans le plan matériel par la suite, ce en reproduisant la gestuelle de transport.

 


Caractéristiques :




Magie : (Description ici.)

Potentiel : Immense

Feu : Virtuose
Eau : Inapte
Vent : Inapte
Terre : Inapte
Lumière : Virtuose
Ténèbres : Inapte
Invocation : Inapte
Nécromancienne : Inapte
Transformiste : Inapte

Mental : (Description ici.)

La volonté : Champion
Contrôle de soi : Champion
L'intelligence : Prodige
La perception : Confirmé
Le charisme :  Confirmé
Technologie : Inapte

Physique : (Description ici.)

Force physique : Adepte
Agilité : Confirmé
Vivacité : Confirmé
Résistance physique : Maitre
Résistance magique : Prodige
Vitalité :Confirmé
Beauté : Champion
Discrétion : Confirmé

Martial : (Description ici.)

Armes de tailles : Maitre
Armes lourdes : Inapte
Armes d'hast : Inapte
Faux : Inapte
Art de la défense : Inconnu
Armes de lancer/fouet : Inapte
Arc/arbalète : Inapte
Mains nue/Arts martiaux : Inconnu
Armes à feu : Inapte
Equitation : Inapte
Domptage : Inapte
Conduite : Inapte



Description de votre personnage :


Description physique :

Depuis toujours on peut dire que l’apparence globale de Moros reste dans des teintes assez sombres. Le jeune homme à tendance à se vêtir de noir et cela peu importe la pièce de vêtement ou d’armure en question. Sa tenue fréquente étant son armure dont seul les tissus en-dessous de ses hanches se voient blanc comme la neige. Ornés de motifs, les tissus blancs semblent cacher les jambières en plaque.

Son propre corps semble être plus proche des humains du moins en apparence. A la chevelure de flammes, sa peau blanche semble plus être comme un mirage allant presque à le rendre flou aux yeux des autres. Son blanc si pure ne lui vient pas de la froideur de la neige, mais de la flamme la plus chaude. Aussi s'il n'est que flamme en son fort intérieur, sa peau semble retenir tout cela sur les plans autres que celui du feu. Dôté d'une musculature assez basique, il n'est pas prêt à réaliser les plus grandes prouesses physiques de ce monde. Sa grande taille ne lui permet pas également de se fondre dans la masse ou bien de passer par divers endroits. Aussi pour ce qui est de l'infiltration ou bien de la dissimulation son corps lui permettra pas d'être à son avantage. Ses yeux blancs et parfois rouges sembler comme être en proie à certains tourments. Dans son dos se dresse une paire d'aile blanche qui peuvent s'embraser. Ainsi sur son apparence dira-t-on terrestre, Ifrit ressemble presque à un ange en armure.

Sur le plan élémentaire son corps garde la même taille. Bien que sa peau et sa chair ne devienne roche en fusion et flammes ardantes. Il garde cependant la même silouhette. Bien qu'étrangement, son corps fait de lave et/ou de lumière semble s'entourait d'un manteau de flammes noires. Ses ailes deviennent noires comme du charbon et des flammes noires en jaillissent. Lorsqu'il se met à ouvrir sa bouche non pas pour respirer car on ne peut pas dire qu'il en est besoin mais pour parler. Sa bouche se met à cracher des étincelles et de micros flammes. il peut arriver que Moros use de cette apparence hors de son plan lorsqu'il ne contrôle ses émotions.






Description mentale :

En ce qui concerne le caractère du garçon on ne peut pas dire grand-chose concernant l’individu.
Si l’on devait lui accorder des valeurs positives, on pourrait évoquer notamment sa discipline à toute épreuve, sa patience légendaire, son courage hors du commun ou bien son ingéniosité qui est assez détestable selon son entourage et qui va de pair avec sa curiosité.
En revanche ses défauts eux se révèles nombreux et on ne peut dire que du mal de l’être qu’il est. Sournois, rusé, trop inventif et dans l’excès. Il est possible de le comparer à un enfant.  Impulsif il est en proie à de forts sentiments et cela de manière régulière. Que cela soit sa colère, sa haine, son envi ou bien son investissement dans tout ce qu’il entreprend, il fera cela toujours de la façon la plus extrême. Avare, gourmand et orgueilleux il est en revanche rarement coléreux ou paresseux. Ses ambitions et son arrogance sans ses principaux défauts bien qu’on puisse aussi y lister son côté asocial et sociopathe. Capricieux comme pas deux, lorsqu’il désire une chose son souhait est de l’avoir au plus vite. Pour cela il n’hésitera pas faire preuve d’un esprit calculateur ou brutale au besoin.

Bien que loyal et honorable selon ses propres valeurs qui se sont forgées avec le temps. Il est souvent à la limite du non-respect de cette dernière. Au plus profond de lui se cache un opportuniste qui n’a pas honte d’aller directement droit au but. Et bien qu’il soit un être sournois et rusé, ses méthodes restent assez brutales est expéditive.
En revanche, cela ne veut en aucun cas dire qu’il est un être têtu ou bien très orgueilleux. Lorsqu’il a tort, Moros est prêt à l’avouer à la seule condition que la partie adverse propose des preuves irréfutables de son ignorance. En cas d’absence d’appuis solides ce dernier restera sur ses positions et cela jusqu’à la mort s’il le faut.


Mais comment agit-il en société alors ? Malgré tout le ressenti qu’il pourrait avoir pour une entité quelconque il honore toujours ses accords et ira jusqu’au terme de sa mission. Mais une fois cette dernière terminée il n’hésitera pas à se retourner contre son employeur selon les circonstances. Car avant tout sa loyauté revient à sa personne et rien d’autre.  

Convictions :

Dans ce qui ne serait qu’une partie du récit de sa vie, il est important de comprendre la vision qu’avait l’esprit de ce monde. Si son esprit et son corps étaient jeunes, il est en revanche impossible d’y appliquer une échelle faîtes par des mortelles. Du simple que Moros n'en comprend pas forcément l'utilité lui qui n'en a pas besoin. L’âge de Moros se trouve être supérieur à ce que l’on nomme un cycle de vie. Ainsi cette nuance a pour but d’évoquer la différence entre mortels et immortelles.
A cela il est également important de comprendre que la vision de l’esprit n’est qu’éphémère et ostentatoire et elle n’est nullement véridique. Pour justifier cette phrase il est nécessaire de comprendre que l’esprit de feu Moros n’a guère connu plus que deux régions dans sa vie l’une étant le plan élémentaire du feu et l’autre la froide région des Terres Sauvages. Ainsi les propos suivants seront amenés à évoluer et critiquer ces mêmes propos tels qui sont à cet instant.

« Que puis-je dire sur cette univers fixe et pourtant en mouvement. Moi qui ai vécu dans un monde flammes voraces. J’ai été amené à migrer par souci d’un ennui de mon âme dans un monde bien plus fixe. Et alors que le temps n’en semblait pas s’écouler dans un sablier qui déversait des torrents de sables. Il s’avérait que bien que figé dans une neige éternelle, ce nouveau royaume se voyait bien plus animé que mon ancien monde. Là où il n’y avait que des flammes ne laissant aucune ombre grandir et évoluer. Ici dans un décor fixe et immuable, je pouvais m’apercevoir de sa lente évolution.
Aux sommets des monts glace et manteau blanc venaient à se déverser dans ce qui était mon espace vitale. Le temps avait son propre rythme. De joie, de passion, de tristesse et de mort.
La mort et la vie était au rendez-vous à chaque coin et il m’était important de constater la merveille de ce deuxième monde. Moi qui voulais en vanter les mérites, ces derniers rares ne s’en rendaient que plus précieux. Mes congénères de feu rigoleraient à mon approche et je leur donnerai l’illusion d’un trésor.
Car si le temps semblait avançer à l’inverse de mon monde, ici tout restait fixe. Vous l’aurez compris l’ennui de l’ennui est la patience de voir l’immobile mobile. Durant quatre temps je n’étais qu’un observateur, un observateur qui n’avait pour mission que de rapporter et de découvrir et cela au service de mon propre intellect.
Durant mes longs et rares voyages. J’ai pu admirer moultes créatures avançaient dans les âges de leur vie. J’ai pu rencontrer des êtres d’un intellect aussi avare que pouvait l’être le mien en matière de curiosité.
Mais alors me diriez-vous, pourquoi est-ce que je ne semble pas satisfait lorsque je vous évoque ceci ?
La réponse est d’autant plus évidente qu’elle n’est simple.
Si ce monde est encore jeune et nouveau à mon esprit. Il n’en est pas pour autant symétrique. La lassitude de n’affronter que deux climats que deux mondes est telle que je ne peux me réconforter de rencontrer des autochtones en ces lieux.
Bien évidemment je garde mes distances, mais il m’arrive d’en questionner certains et d’en épier d’autres.
Ainsi dans l’attente d’un monde nouveau, d’un climat moins froid et moins chaud, d’une communauté dans laquelle il fait bon d’apprendre et de savoir je me tais dans l’ombre. »



Passé de votre personnage :


Histoire :

Je me nomme Moros Ifrit, jadis du temps de mon ancienne existence je parcourais d’immenses et infinies terres. Braises, cendres, flammes et roches en fusion, tout cela n’était qu’un décor qui aujourd’hui provoque en moi presque comme un sentiment nostalgique.

Il est vrai qu’à cette époque je n’avais guère connu la rigueur de l’hiver et le sentiment de solitude que je connais aujourd’hui dans les Terres Sauvages. Dans les plaines chaudes et désertiques du plan élémentaire du feu je me promenais. Ces promenades qui se terminaient par une brève pause s’accompagnaient de rencontres assez hasardeuses. Parfois il m’arrivait de rencontrer un serpent de feu tout à fait aimable et parfois de tomber sur un dragon d’une humeur massacrante. Et bien qu’en général le combat pouvait être rare, il n’en était pas pour autant absent sur ce plan-ci. Fort heureux de mon insolente chance, dès mes premiers jours je venais à tomber comme par magie sur une armure enchantée. Revêtant cette dernière elle était comme faîte pour ma personne.

Le combat qui fut le plus mémorable à mes yeux resta celui dans lequel je m’opposais à un puissant lézard de feu. Un créature aussi imposante qu'une salamandre et dont la gueule exhalait d'un brasier éternel. Dans cette difficile épreuve j’en étais presque arrivé à la certitude d’y perdre ma lame. Et pourtant malgré un acharnement de sa part ma magie et ma maitrise des épées m’avaient permis de prendre l’avantage. Au cours du combat il parvint à m'arracher un de mes bras. La gueule de la bête ne semblait guère souffrir du fait de ma constitution de lave. Plus tard ce bras me revint naturellement en me nourrissant des essences magiques de mon plan au bout de quelques jours.
Son dernier acte fut d’invoquer une sorte de petit bassin magmatique. Malgré cela la distance entre les deux bords ne sauva pas son âme. Et dans un simple et ultime coup je venais de mettre fin à ses jours.

Mais alors qu’est-ce qui m’amenait à partir en quête d’un autre plan ? Et bien pour comprendre cela il faut comprendre d’où me venait ma puissance. Ce savoir était issu de ma rencontre avec un dragon ardent comme la plus vive des flammes, mais aussi sage que les plus anciennes créatures. Son savoir était quant à lui certainement originaire de sages appartenant certainement à la race des dragons. Ce savoir se passait sous la forme de contes pour enfants.

Lors de ma première rencontre avec ce dragon, dragon qui se nommait par ailleurs Volfang cette dernière fut on ne peut plus grossière. Ainsi dès qu’il posa ses yeux sur ma personne sa première réaction fut comme de m’ignorer. Quoi de plus déplaisant que de croiser après plusieurs mois de marche un être singulier et qui en prime vous ignore. Cherchant à entretenir un certain contact il ne daignait pas à s’attarder sur ma personne. Continuant son trajet à son propre rythme qui n’était guère difficile à suivre. Car son temps de pause était bien supérieur à son temps de marche.
Je ne comprenais pas alors pourquoi il était aussi têtu alors que rien n’occupait son emploi du temps.  Puis un jour il était sans doute las de me voir le suivre et brusquement il usait d’un sort élémentaire. Au cœur d’un décor de flammes il s’amusait à en provoquer d’autres, d’autres qui furent bien différentes.

Curieux je m’empressais de le questionner à ce sujet. Je m’attendais à ce qui m’ignore d’autant plus et j’avais perçu son geste comme un désir de solitude. Malgré tout le dragon parvenait une nouvelle fois à me surprendre. Volfang sur un ton presque chaleureux saluait ma persévérance.
Rapidement un sourire venait s’afficher sur mon pâle visage. Ce sourire ne visait pas à attirer sa sympathie, il illustrait simplement la récompense de mes efforts.

Aussi durant près de plusieurs décénies il m’enseignait la magie de feu qui était bien que trop primitive en moi à ce moment-ci. L’apprentissage fut long et rigoureux, mais finalement il fut total et l’intelligence dont j’avais fait preuve m’avait même permis de gagner du temps. Ce temps précieux fut dédié à l’apprentissage d’une autre magie que le dragon semblait maitriser également. Dans cette magie de lumières dansantes mon succès  fut  total également et par la même occasion il ajoutait à mon intellec plusieurs années dans l'art de l'enchetement. Ainsi j'étais presque l'égal en magie de mon maitre, simplement il ne me manquait que son expérience.

A la fin de la formation il m’était apparu une question à laquelle je n’avais pas songé. D’où avait-il pu tirer un tel enseignant allant au-delà du savoir des dragons et une sagesse comme celle-ci. Si l’âge et la mortalité permettait d’obtenir un point de vue tout à fait différent et cela je ne pouvais pas le connaitre. Le temps n’ayant pas d’emprise sur ma personne, il me fallait découvrir de nouvelles choses.


Ainsi honteux, je reconnaissais mon impuissance à comprendre l’origine de son savoir. Ma question venait à ses oreilles comme une douce facétie. D’un ton non pas supérieur mais savant, il me répondait sans chercher à en dissimuler l’exact solution.

Volfang m’indiquait alors l’existence d’un autre plan en omettant de me préciser qu’il n’y en avait pas qu’un autre mais tout une palette. Puis il lui vint l’idée de m’enseigner d’autres langages qui pouvaient s’avérer utiles.  Il m’enseigna les bases communes à cet autre plan, ces langues étaient l’Akkatonien et l’Ikhydlien, mais aussi le dragonien et l’elfique. Il m’intima également de les pratiquer régulière et cela même en solitaire si nécessaire. Car après tout ces langues pourraient peut-être me sauver.  Aussi si je maitrisais aisément le langage des esprits au fil de plusieurs années de formation soit près de vingt ans, il me vint d’autres langues.
Il me confia alors par la suite un masque qui lui servait dans le temps à voyager entre les deux plans. Puis il m’invita à l’essayer sans m’avertir des conditions d’utilisations. Une fois sur mon visage, Volfang m’indiquait de penser au mot tranche en langue des esprits.  Soudain après une attente de trois minutes que Volfang comblait avec son éloquence, il y avait eu comme une déchirure dans le plan lui-même qui m’aspirait sans que je ne puisse rien y faire.

Et c’est ainsi que je rejoignais un autre plan, cet autre plan que les indigènes nommaient les Terres Sauvages. Et pour la première fois je comprenais ce que voulais dire avoir froid. Rapidement je me mettais en œuvre afin de trouver un abri et de la chaleur. Etrangement mon épée ne m'avait guère suivie dans cette entreprise.
Au cœur d’une forêt de sapins comme mon maitre m’en avait vanté les décors, il n’y avait nulle maisonnette me permettant d’y trouver refuge.

Aussi pour la première fois en ce monde j’utilisais un peu de ma magie pour me réchauffer. Le sort chaleur convenait parfaitement à cette situation.  J’incantais l’espace d’une dizaine de secondes et rapidement le froid ne me guettait plus. Il fallait dire que bien que mon armure offre un certain confort pour le voyage et que je puiss supporter les plus fortes chaleurs. Les vents les plus froids eux pouvaient m’atteindre.

Errant d’arbres en arbres je recherchais au pieds d’une montagne dans ses racines comme une sorte de fente. Ainsi je pouvais m’abriter le temps que passe cette tempête. Alors que mon sort commençait à faiblir marquant la fin de ses effets, la neige elle semblait m’en vouloir. Augmentant d’heure en heure la couche de neige devenait extrêmement épaisse.
Puis avec de la chance je parvenais à trouvais une grotte peu profonde. Et bien que l’entrée soit aussi proche que ma jambe l’était de la neige extérieure. Au moins à présent j’étais à l’abri de la tempête. Cependant il me fallait sortir une nouvelle fois afin de récupérer du bois pour y établir un feu de camp. Attrapant mon épée d’une main je me dirigeais vers l’arbre le plus proche. Et après deux coups un jeune et petit sapin venait de se faire abattre. Rangeant mon épée sur le dos, je me dépêchais de retourner dans la grotte avec mon butin.
Je tranchais alors le petit arbre en plusieurs branches et petites buches. Finalement alignant deux buches et quelques branches, il était temps d’allumer tout cela. Bien évidemment je gardais d’autres buches non loin afin d’alimenter le feu durant toute la tempête. L’obscurité arrivait rapidement, si je pensais au début que la tempête ne faisait que grossir. Ce n’était pas tout car à l’inverse du plan du feu au la lumière y est constante ici un cycle existe.
Pour ce feu j’utilisais simplement deux sorts. Le premier étant séchage et le deuxième étincelle. Finalement je me décidais également à me protéger au cas où je devrais faire face à un agresseur. Je jetais de l'huile à l’entrée de la grotte puis je claquais des doigts afin de lancer les sorts huile et étincelle.  Grâce à ce sort la chaleur de la grotte augmentait également ce qui ne fus pas pour me déplaire.

Durant plusieurs jours je marchais dans une direction certaine seulement au levant et au couchant du Soleil. Visiblement je m’en allais vers le Sud. Il m’arrivait de croiser d’étranges mais faibles créatures ou bien des personnes civilisées. Bien évidemment il était récurent de croiser d'immenses ou de dangeureuses créatures, mais j'évitais de trop m'approcher de ces dernières.  Et pourtant ce paysage glacial ne ‘m’inspirait que la solitude de ce lieu. Je marchais ainsi durant plusieurs mois voire des années. Et finalement j’arrivais au pieds de montagnes qui me fallait franchir.

Grimpant petit à petit le terrible mont, je finissais par être proche de son sommet et un passage s’offrait à moi pour me permettre de passer de l’autre côté. Avant de redescendre j’observais le paysage afin d’y percevoir une quelconque vie. A ma grande surprise il n’y avait ni les villes ni les paysages dont Volfang m’avait parlé.
Mais au lieu je pouvais percevoir un léger feu de camp. Je me dirigeais donc vers ce dernier.  


Liens :

-Volfang: Professeur qui lui a donné le goût de l'aventure et d'explorer un autre plan


Qui êtes vous ?


Petite présentation de votre personne :

Rythme rp et particularités : Assez aléatoire

Comment avez vous découvert le forum : Root top

Des ambitions pour votre personnage ? Quelle évolution aimeriez vous lui donner à court ? Moyen ? Long terme ?
Avez vous prévu quelque chose ou êtes vous adepte du "laisser le jeu faire" et voir ce que ça donnera ?
Je suis dans le laisser faire. Cependant, à long terme j’espère trouver une nation pour mon personnage.


Otmar Ehrlich Deffarès
Otmar Ehrlich Deffarès

Feuille de personnage
Peuple: Humain
Nationalité: Akkatonien
Rang social: Noblesse Akkatonienne
Admin
https://orzian.forumactif.com
Messages : 4872
Date d'inscription : 13/11/2016
Localisation : Province Akkatonienne
Revenir en haut Aller en bas
Ifrit Moros
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut
Page 1 sur 1
Sujets similaires
-
» Un feu de joie, mais pas un feu de bois [PW Ifrit]
» Présentation de Moros pour faire court (terminé)

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Orzian, engrenages et arcanes :: Mémoires d'Orzian :: Sujets périmés :: Fiches des personnage supprimés-
Sauter vers: