Nationalité : Ikhyld
Race : Elfe
Nom : Gwynnestri
Prénom : Lyraselaya
Surnom : La Tisseuse de Lumière/ « Lyra » au près de ses proches
Sexe : Féminin
Date de naissance : 11 Maïa 1679
Age : 321 ans
Lieu de naissance : Principauté Elfique d'Aelieyeeva sur le futur territoire de la Province Ikhyldienne
Lieu de vie lors de votre entrée en jeu : Cité de Jade / Domaine Aelieyeeva
Rang social : Noble
Métier/Position dans la société : Arcane de la Lumière, Ministre de la Culture et des Arts, Artiste reconnue
Titre : Tisseuse de Lumière (Connue) ici.

Armure et armes en votre possession lors de votre entrée en jeu :

Dague elfique : Une dague de conception elfique, cadeau de son père quand elle a commencé à s'élever parmi les mages de la capitale, dans le but qu'elle puisse se protéger un minimum physiquement. Elle a une garde d'argent et ornée d'un petit diamant et une lame légèrement courbe en acier bleuté, avec une fin motif de feuille doré courant sur celle-ci. Jolie, elle est aussi néanmoins efficace, bien qu'elle le serait sans doute plus dans des mains plus expertes que celles de Lyraselaya.

Armure de l'Archimage de Lumière : En dépit de son nom d'armure, le tissu composant celle-ci est assez léger, formant une armure légère en tissu pouvant être portée au-dessus d'une robe. Totalement blanche, elle est parcourue de fils d'or qui forment des motifs artistiques abstraits évoquant la lumière.

Bâton de l'Archimage de Lumière : Bâton de mage de Lyraselaya, il est fais en bois blanc assez rare et solide, avec un fil d'or courant de haut en bas et formant à son extrêmité un écrin doré où est enchâssée une pierre de lune de belle taille à la pureté parfaite.

Nelaeryn : Nelaeryn est un pégase, et la monture généralement utilisée par Lyraselaya quand elle doit se déplacer sans avoir pour autant à utiliser la magie. D'une magnifique couleur blanche, le cheval ailé est très fidèle à sa maîtresse qui le traite avec bonté, un peu comme un ami précieux.

(Ikhyld uniquement) Héraut de la magie : 400 pièces d'argent
Permet à un Ikhyldien de faire en sorte que la magie de ses sorts ou enchantements soit modérément moins vulnérable à l'influence de la technologie.

Catalyseur vivant : 600 pièces d'argent
Votre corps devient une sorte de catalyseur vivant capable de plus aisément stocker et interagir avec le magie. Concrètement cela augmente de 20 pourcent votre stock de mana.

Autres équipements

Chevalière de l'Archimage de Lumière : Chevalière de mage de Lyraselaya, offerte par son père pour fêter sa maîtrise totale de la magie lumineuse. C'est un anneau en platine très simple, portant une pierre de lune parfaitement pure, avec gravé de chaque côté le blason familial, la pierre restant pure de toute trace pour mettre en avant sa perfection naturelle.
Transport élémentaire : 500 pièces d'argent (plan de la lumière)
Cet enchantement permet en l'activant de transporter 3 minutes plus tard le porteur du bijou dans un plan élémentaire choisit à l'achat de l'enchantement. Attention, si la téléportation se fait toujours à un endroit à peu près sûr du dit plan, elle se fait totalement au hasard. Bien entendu, on peut user ensuite du bijou pour retourner dans le plan matériel par la suite, ce en reproduisant la gestuelle de transport.

Relique de l'esprit gardien : Une relique d'esprit gardien en pierre blanche, prenant la forme d'un Céleste ressemblant à un lion ailé, ses ailes déployées autour de lui de façon protectrice.
Création d'esprit gardien : 300 pièces d'argent (un seul enchantement de ce type par relique)
Crée un esprit gardien propre à le relique (son apparence est laissée au choix du joueur) et de taille humaine qui peut être invoquer 3 fois par jour pendant une durée de 20 secondes pour combattre au côte du possesseur de la relique. Pour cela il faut réciter une incantation et accomplir une gestuelle prenant 5 secondes à effectuer.

Ensemble de l'Arcane de Lumière : Ensemble digne d'un roi que son père a fait créer pour elle lors de son accession au rang d'Arcane, il est à la fois luxueux et élégant, avec ses couleurs blanches et or. S'articulant autour d'une longue robe élégante, il met en valeur la beauté de Lyraselaya.

Ensemble de magicienne : Ensemble élégant plus modeste, il est néanmoins tout aussi gracieux. Blanc lui aussi, parcouru de motifs argentés discrets, il permet si pas la parfaite discrétion du moins d'éviter l'ostentatoire et d'être plus pratique au quotidien.

Magie : (Description ici.)

Potentiel : Immense

Feu : Inapte
Eau : Inapte
Vent : Inapte
Terre : Inapte
Lumière : Légende
Ténèbres : Inapte
Invocation : Inapte
Nécromancienne : Inapte
Transformiste : Inapte

Mental : (Description ici.)

La volonté : Virtuose
Contrôle de soi : Maître
L'intelligence : Maître
La perception : Confirmé
Le charisme : Prodige
Technologie : Inapte

Physique : (Description ici.)

Force physique : Confirmé
Agilité : Maître
Vivacité : Confirmé
Résistance physique : Confirmé
Résistance magique : Confirmé
Vitalité : Champion
Beauté : Prodige
Discrétion : Adepte

Martial : (Description ici.)

Armes de tailles : Adepte
Armes lourdes : Inapte
Armes d'hast : Inapte
Faux : Inapte
Art de la défense : Inapte
Armes de lancer/fouet : Inapte
Arc/arbalète : Inapte
Mains nue/Arts martiaux : Inapte
Armes à feu : Inapte
Equitation : Maître
Domptage : Inapte
Conduite : Inapte

Si dragon

Combat dans les airs : Non concerné
Combat sur la terre ferme : Non concerné

Description physique :

Comme la plupart des membres de sa race, Lyraselaya est de haute taille, avec un corps mince et élancé, non dénué de beauté. Sa démarche est douce et aérienne, ressemblant plus à celle d'une sylve ou d'une douce courtisane que celle d'une guerrière, et si elle montre une certaine agilité dans ses mouvements, celle-ci est plus celle d'une danseuse que d'une combattante dans les faits. Elle est considérée par beaucoup comme très belle, avec ses traits fins, qui cisèlent un visage doux, plus habitué à sourire qu'à afficher la colère, même si son beau visage peut aussi afficher une résolution inflexible quant il le faut.

La damoiselle possède des cheveux d'or clair, qu'elle porte long, pendant généralement loin dans son dos en une cascade gracieuse, ainsi bien entendu que de longues oreilles effilées, caractéristiques de ceux de son peuple. Ses beaux yeux verts semblent avoir vu de nombreux mystères, au cours de ses nombreuses explorations magiques, et pourtant peuvent aussi pétiller facilement de joie ou de contentement dans la vie de tous les jours. Elle affectionne les vêtements élégants, dans les tons blancs ou du moins clairs, et ne dédaigne pas les bijoux, loin de là, habituée généralement à toujours porter quelque parure,  affectionnant particulièrement les métaux précieux.

Enfin, en partie naturellement, en partie grâce à son long apprentissage magique, qui a peu à peu renforcé sa volonté naturelle et lui a appris à mettre en avant le meilleur d'elle-même, la beauté de la jeune femme se conjugue avec un charisme bien présent, qui inspire généralement ceux qui travaillent avec elle ou sous sa tutelle.

Description mentale :

Lyraselaya a toujours été d'une nature bonne et généreuse, naturellement portée à aider les autres et à se montrer clémente. Mais une jeunesse d'abord formée à potentiellement prendre la suite de son père en cas de problème, puis de longs siècles à apprendre la magie de la Lumière jusqu'à son plus haut degré ont peu à peu façonné son caractère, affinant ce qui de base aurait sans doute été une nature trop douce pour son propre bien. Si elle est toujours d'un caractère agréable et plutôt généreux, elle a acquis une volonté farouche, et si elle préfère généralement manœuvrer en douceur pour obtenir ce qu'elle veut, elle est aussi capable de déployer une grande autorité lorsque nécessaire, et surtout se laisse très difficilement détourner de ses décisions ou de ses convictions une fois qu'elles ont été fermement arrêtée.

Comme déjà mentionné, la magie a joué un grand rôle dans sa vie, et en vérité tient pour elle une importance primordiale. Elle ne pratique pas seulement la magie de la lumière, elle la vit d'une certaine manière et encore aujourd'hui consacre toujours une partie de son temps à l'exploration des arcanes de lumière et du monde de la magie lumineuse au sens large. Son autre grande passion, assez prévisible au vue de sa fonction, est l'art, qu'elle pratique depuis sa tendre jeunesse. Elle adore créer quelque chose de ses mains, et se montre habile à la peinture, la sculpture et le tissage, créant souvent des vêtements merveilleux qu'elle imprègne parfois d'enchantements lumineux, qui ont en partie inspirer son surnom de Tisseuse de Lumière.

Si elle a une haute idée de sa propre noblesse et de sa propre valeur, elle n'a pas cette arrogance un peu snobinarde de certains autres elfes, et que montre d'ailleurs son propre père. Elle est fière d'elle-même, de sa race, son rang et sa magie, mais n'en tire pas d'arrogance particulière, préférant à cela la douceur vis-à-vis des autres, y compris ceux qui sont moins favorisés qu'elle par le destin et la magie. Au-delà, elle n'a aucune inclinaison pour la violence, et rêverait plutôt d'un monde où les différents peuples pourraient se débarrasser de la pulsion primaire de se taper dessus. Elle n'a d'ailleurs que très peu de goût pour les choses martiales ou le combat en général, même si elle sait se défendre avec sa magie quand elle n'a pas le choix.

Convictions :

Même si elle n'est pas de naissance une citoyenne d'Ikhyld, Lyraselaya montre une grande fidélité à sa patrie, qui à ses yeux a apporter la paix, l'union et la tranquillité politique aux vastes archipels d'Orzian du sud-est. En deux siècles, elle a eut le temps de s'imprégner de la culture ikhyldienne, et l'apprécie particulièrement. Elle est convaincue que celle-ci est la meilleure forme de culture à laquelle puisse arriver l'espèce elfique, et donc par extension les espèces conscientes en général, et souhaiterait voir ce mode de vie étendu à l'ensemble du continent. Elle est néanmoins profondément pacifiste, et convaincue que cette extension devrait se faire par la diplomatie et surtout le rayonnement culturel.

Elle prend ainsi sa fonction particulièrement au sérieux, et a à cœur de faire en sorte de tirer le monde culturel ikhyldien sans cesse vers le haut. Elle apprécie particulièrement les artistes de talents, autant que les grands mages, et est convaincue que c'est par ses arts qu'Ikhyld s'imposera en Orzian. Au niveau de la dualité magie-technologie, elle penche bien entendu du côté de la magie. Elle trouve la technologie akkatonienne froide, impersonnelle, et plus que tout laide, dépourvue de tout charme, en plus de la privation de cet élément à ses yeux primordial de la vie qu'est la magie. Elle a un certain respect pour Akkaton en tant que civilisation, mais souhaiterait dans le secret de son cœur qu'il renoncent à cette voie technologique laide et glacée.

Au delà, elle considère les diverses civilisations d'Orzian comme étant à divers degrés de barbarie, et leur accorde une bienveillance plus ou moins grande en fonction des cas. Elle trouve ainsi le régime de Teïder souverainement déplaisant, aimerait un jour voir celui d'Eïlynster perdre sa laideur guerrière, les Duchés sortir de leur ploutocratie grossière et Erin être gouvernée par une cité plus franche et moins isolationniste, mais ne montre généralement pas ces avis négatifs, sauf lorsqu'il y à matière à le faire. De la même manière, si elle a quelques préjugés raciaux propres à sa race, elle s'efforce toujours de ne jamais se montrer blessante à cause d'eux, et est toujours prête à reconnaître une valeur personnelle au-delà de toutes ces données... dans une certaine mesure.

Histoire :

On peut dire que Lyraselaya est née dans la Province ikhyldienne, et pourtant elle n'est pas née en Ikhyld. En effet, elle est née sur ce qui est aujourd'hui le territoire de la Province, mais plus d'un siècle avant qu'Ikhyld ne se lance à la conquête de ce territoire. La Principauté d'Aelieyeeva se trouvait dans le sud du territoire actuel de la Province, et était un royaume elfique, structuré autour de la famille royale des Gwynnestri, qui avait mené jusque là un ensemble de familles elfiques bien des années au part avant et en avait toujours guidé les destinées depuis, respectée pour ses talents guerriers, artistiques et magiques, qui éclosaient diversement dans les membres de l'ancienne lignée. Comme l'auront remarqué les plus attentif, du reste, Lyraselaya n'y naquit pas en tant que simple citoyenne, mais en tant que princesse.

Son grand-père vieillissant dirigeait la principauté depuis de nombreuses années déjà quand elle vint au monde, tandis que son père se préparait activement à prendre la succession. Deuxième enfant de l'héritier, elle n'était donc pas à priori destinée à diriger elle-même, mais son éducation fut tout de même mené avec grand soin, car elle pouvait tout de même être amenée à hériter si un coup du sort frappait son frère aîné. Contrairement à celui-ci, la damoiselle n'avait aucun don pour la chose martiale, mais elle se révéla très jeune avoir un véritable don artistique, qui fut bien entendu cultivé soigneusement par sa famille. Au début, sa magie passa inaperçu, bien qu'elle ait toujours fait de petites choses en rapport avec la lumière dès ses jeunes années, mais ses dons éclatèrent au grand jour vers sa vingtième année, au cours d'un jeu innocent. Dès cet instant, ce don aussi fut cultivé.

Néanmoins, la Principauté d'Aelieyeeva était assez reculée, et entourée par des tribus humaines que l'on pouvait sans peine qualifiée de barbares, et les arts magiques n'y étaient pas si développées qu'en d'autres lieux du monde elfique d'Orzian au sens large. Avec les années, toutefois, la jeune femme grandit comme elle pu en art et en magie, alors que son père finissait par monter sur le trône princier, et que son frère prouvait plusieurs fois sa valeur en repoussant divers assauts de leurs remuants voisins, les armes à la main. Dès cette époque toutefois, la damoiselle désapprouva vivement cette violence, sans pouvoir trouver hélas de solution pour l'éviter, car leurs voisins leur laissaient rarement le choix. Elle refusa toutefois de s'impliquer dans ces combats, déclarant qu'elle n'userait de sa magie que pour défendre les murs de leur cité.

Elle avait un peu plus d'un siècle quand les premiers contacts se firent avec l'Empire d'Ikhyld. Si de nombreux peuples durent être conquis par la force, au contraire des habitudes de l'Empire, quand celui-ci s'agrandit sur Orzian, ce ne fut pas le cas  d'Aelieyeeva. La Principauté fut parmi les premiers états à rejoindre l'empire en pleine expansion, en échange de l'intégration de leurs dirigeants dans la noblesse impériale et de la garantie de pouvoir continuer à se gouverner. L'empire obtint ainsi une tête de pont idéale dans cette région, ainsi que des troupes peu nombreuses, mais de valeur, qui connaissaient bien la région et les différentes forces qui s'y trouvaient. Ainsi Leayonadas Gwynnestri devint-il gouverneur de la cité d'Aeliyeeva et du Domaine dépendant de celle-ci, et facilita-t-il l'avancée d'Ikhyld en Orzian.

De son côté, Lyraselaya regrettait la guerre de conquête, mais fut ravie de découvrir la société ikhyldienne. Envoyée par son père pour représenter leur famille à la cour impériale, pendant qu'il gouvernait et que son frère accompagnait l'armée de conquête avec leurs troupes, elle fut rapidement charmée par la civilisation ikhyldienne. Discutant avec des philosophes de la Cour, elle pu accepter la conquête comme un mal nécessaire : un moment de violence rendue nécessaire par l'avancée d'un empire militariste à l'Ouest, et qui surtout permettrait d'unir toute la grande île dans un gouvernement commun. En somme, une guerre pour mettre fin à toutes les guerres et tous les conflits internes de la région : une fois que tout le monde serait intégré au sein de l'Empire d'Ikhyld, il ne serait plus besoin de combattre entre voisins.

Du reste, elle s'intégra très bien à la cour impériale, elle qui était à la fois elfe, très belle, très douée dans les arts et doté, comme on ne tarda pas à le découvrir, d'un énorme talent magique. Alors que la Cité de Jade commençait tout juste à être construite, elle entra ainsi en apprentissage au près de grands mages dans la capitale impériale. Elle fut finalement repérée par l'Arcane de cette époque, qui vit en elle un immense potentiel pour la magie de la lumière, qu'elle semblait pratiquer presque instinctivement. Pendant toutes ces années, elle ne s'intéressa d'ailleurs jamais aux autres éléments, toute entière tournée vers une longue et profonde exploration des arcanes de la lumière. Il ne s'agissait pas seulement d'apprendre les sorts, mais de vivre et comprendre cette magie.

Au fil du temps, elle devint une magicienne de plus en plus puissante, et se perfectionna aussi dans de nombreux arts, comme lui permettait sa longue vie. De son côté, la Province Ikhyldienne actuelle fut conquise, et la Cité de Jade édifiée, devenant avec le temps la résidence principale de la damoiselle, du moins quand la Cour se déplaçait là-bas. Plus que tout, elle s'imprégna de la culture ikhyldienne, et l'adopta totalement. Elle aimait tout de celle-ci, de son attachement profond à la magie jusqu'à ses valeurs de paix et de diplomatie. Elle se fit d'ailleurs une place respectée à la Cour Impériale, aidant à maintenir dans une lumière respectable le nom de sa famille, qui sans ça aurait sans doute rapidement été celui d'une maison terrienne un peu oubliée, une fois la guerre terminée.

Finalement, elle atteint la plénitude de l'art de la lumière, et fut considérée comme une légende dans le maniement de celui-ci, égalant presque les pouvoirs de son maître, l'Arcane. Elle continua néanmoins d'étudier, explorant le plan élémentaire de la Lumière et apprenant de nombreuses choses sur la magie en général. Elle mettait aussi ses pouvoirs au service de la communauté, soulageant la douleur, aidant à soigner les blessures et n'hésitant pas même à exécuter le rituel de résurrection pour aider ceux qui étaient morts trop tôt et méritaient une nouvelle vie. Lyraselaya devint ainsi un membre respecté de la Cour, ainsi que de la communauté magique, autant pour sa noblesse et sa beauté que pour ses talents artistiques et magiques, ou son caractère bon et sa grande volonté.

Elle avait en effet toujours été volontaire, dès sa jeunesse de princesse d'un petit état elfique isolé, mais elle l'était devenue plus encore au fil de ses longues études en magie. Elle avait montré une volonté inflexible, autant lors de ses pratiques magiques que dans d'autres occasions, et la chose était appréciée par de nombreux mages. Elle s'était d'ailleurs liée d'amitié avec de nombreux nobles et magiciens avec le temps, y compris avec des Arcanes d'ailleurs, comme par exemple le maître invocateur, Xin Nahalëm, qui était déjà un ami de son maître.

Finalement ceci dit, celui-ci fini par rendre son dernier souffle, chargé par le poids des ans. Les Arcanes se réunirent alors, et, à sa propre surprise, car elle n'avait pas eut l'arrogance de considérer cette proposition, choisirent Lyraselaya pour lui succéder. Elle était la plus douée de ses élèves, et avec bien peu de rivaux dans la maîtrise de son art, en plus d'être une artiste de renom, ainsi qu'une noble très appréciée de la Cour comme du peuple, connue pour sa générosité et les nombreuses aides qu'elle avait fournie dans le passé notamment, autant de choses qui la démarquait, justement, de ses quelques autres rivaux. L'Empereur lui confia la charge de s'occuper de la culture et des arts, qu'elle accepta avec honneur en même temps que le titre d'Arcane, jurant de servir le peuple de l'empire et de représenter dignement la magie lumineuse.

C'était il y a quelques décennies, et elle a eut le temps peu à peu de se faire à cette vie. Elle a été forcée, suite au quasi-harcèlement d'un père débordant de fierté, mais aussi très inquiet, d'apprendre les rudiments du maniement d'une lame, mais reste toujours farouchement opposée à la guerre et à la violence, tant qu'elles peuvent être évitées, même si sa résolution est aussi plus forte que jamais et qu'elle n'hésiterait sans doute pas à déchaîner ses pouvoirs si nécessaire pour protéger cet Empire qui est aujourd'hui le sien, cet Ikhyld qui est devenue sa véritable patrie, autant officiellement que par le cœur et l'âme.

Liens :

Leayonadas Gwynnestri : Son père, jadis Prince et aujourd'hui gouverneur d'Aeliyeeva, il fréquente rarement la Cour, préférant s'occuper de son domaine, mais y vient parfois surtout pour visiter sa fille, qui lui rend également souvent visite chez lui. Elle aime beaucoup son père, qui de son côté l'adore et est également très fier d'elle, considérant qu'elle a porté au plus haut le nom des Gwynnestri.

Lysanthir Gwynnestri : Son frère aîné, destiné à hériter du titre de son père, il a été élevé pour protéger son peuple, et est ainsi devenu un mage guerrier. De nature plus passionné que sa sœur, il est partisan de l'usage de la force quand cela est nécessaire. Cette différence idéologique n'empêche toutefois pas les deux elfes de s'aimer fraternellement, même si leurs débats sont parfois passionnés.

Leilatha Gwynnestri : Sa demi-sœur cadette et beaucoup plus jeune, disposant d'un faible potentiel magique, c'est néanmoins une musicienne de grand talent, qui lui ont toujours valu l'estime des autres nobles. Née dans l'Empire, elle est sans doute plus imprégnée encore des valeurs ikhyldienne que Lyraselaya. Bien qu'elle ne soit que sa demi-sœur, elle l'aime énormément elle aussi.

Sarya Gwynnestri : Seconde épouse de son père, qui s'est remarié après la mort de la mère de ses deux enfants, désirant avoir d'autres héritiers pour assurer la continuité de sa lignée, vu qu'il devenait évident que Lyraselaya ne reviendrait jamais gouverner son domaine. Issue de la petite noblesse terrienne du continent d'Ikhyld, elle a une relation en demi-teinte avec Lyraselaya, qui partage de nombreuses vues avec elle, est toujours chaleureuse et amicale, mais garde intérieurement une réserve face à cette remplaçante de sa propre mère.

Lorelei Gwynnestri : Sa mère, morte de s'être laissée dépérir après la mort en couche de son troisième enfant, et qui a refusé que sa fille la ramène à la vie.

Albondiel Chinlamin : Arcane de la Lumière précédent Lyraselaya, il vit son immense potentiel et la pris comme élève, lui apprenant nombre de choses sur la magie lumineuse ainsi que sur la société impériale et les devoirs d'un noble. Aujourd'hui mort de vieillesse, Lyraselaya s'en souvient avec affection.

Xin Nahalëm : Arcane de l'Invocation et chef du renseignement Ikhyldien, c'est devenu avec les années un ami autant qu'un allié au sein des Arcanes. La jeune femme le soupçonne d'avoir fortement appuyé sa nomination parmi ceux-ci, sans jamais lui avoir demandé confirmation.

Hansing Liuxian : Jeune mage et artiste récemment nommé comme diplomate, Lyraselaya apprécie autant sa fraîcheur que ses talents artistiques et magiques, et a appuyé sa nomination à ce poste, convaincue qu'il partage et propagera un désir de paix semblable au sien.

Petite présentation de votre personne : Vous pouvez m'appeler Lyly, je RP depuis quelques années et j'espère bien m'amuser avec vous

Rythme rp et particularités : Variable en fonction de mes disponibilités, mais toujours correct je pense, disons au grand maximum une réponse dans la semaine quand je suis occupée, souvent beaucoup moins quand j'ai un peu de temps.

Comment avez vous découvert le forum : J'ai parcouru une chaîne de partenaires un peu au hasard jusqu'à tomber sur vous !

Des ambitions pour votre personnage ? Quelle évolution aimeriez vous lui donner à court ? Moyen ? Long terme ?
Avez vous prévu quelque chose ou êtes vous adepte du "laisser le jeu faire" et voir ce que ça donnera ? Hmm plein de petites améliorations du personnage : monter d'autres magies, des compétences diverses, tout ça... sinon ben tout simplement m'amuser avec