Je venais d'utiliser la Nécrose en situation réel, je n'ai cependant pas su protéger ma famille et j'ai fait souffrir quelqu'un qui ne faisait que suivre les ordres, surement une ordure de la pire espèce. Cette seule pensée me suffisait amplement pour me calmer. La petite avait trois ans et elle venait de me voir transformer, je voyais bien que dans ses yeux, je n'étais plus son père humain. Quittant le temple, remerciant mes maîtres de magie interdites, je mis le cap ailleurs, la sécurité de ma ville n'était plus garantis ici, le danger était partout. Les cris de l'assassin se faisait encore entendre, les seules personne aillant survécus a ce sortilège me l'avait décris comme inhumain, a ne pas souhaiter a son pire ennemie, un mal a rendre fou les meilleurs d'entre nous.


La petite dans mes bras, c'est vers les Vastes duchés du sud que mes porterons, j'essayerais de mener une vie moins tendu. Au vue de mon apparence, j'aurais du mal a me faire accepté, mais je tendrai la mains aux autres comme je l'ai toujours fait, je ne pourrais pas être le fils de ma mère autrement, des raclure de la société certe, mais de bonnes personne quand même, l'habit ne fait pas le moine dit-on.

Une très longue route, avec quelques provision plus pour elle que pour moi. Mon but était de prouvé que cette magie ne déformait pas les intention d'un individu purement intentionné, que la présence de noirceur ne voullait pas dire que la lumière y était inexistante et que le mal peu se dissimulé dans la lumière.

Au bout de quelques jours de marches, j'entend alors plusieurs cris et des rire avec des reproche au sujet d'une dette. Je suis pas sans connaître la réputation de ce coin de pays au sujet des bandits et des mercenaire, dieu seul sais ce qui doit d'y passé. Je soupira en apportant ma fille avec moi, trop dangereux pour la laisser seul.

Trois Gars qui tabassait un type... d'allure assez négliger, sans dire que je suis placé pour parler d’apparence, pourtant, j'avais une petite fortune pour bien vivre ma vie de nomade sans trop jouer les charognard. Je me pointa face a eux, ma fille derrière moi. Si je comprenais, le type qui se faisait tabasser avait une dette de 40 pièce d'argent. RIDICULE... et ils le tabassaient trois contre un? Je crois pouvoir équilibrer les débats. M'approchant dangereusement, je finis par attirer l'attention. L'odeur de décomposition, le bruit des chaîne avec mon ouvrage épais leurs signala tout de suite ce que j'étais: Un adversaire costaud ou un allier, a voir. L'un d'eux me signala de partir en disant qu'il n'avait rien a voir ici... non... j'ai surtout pas vue le type que tu tabasse pour une poignée de pièce... connard. Je pris mon bâton en frappent avec eux l'homme au sol, d'une voix forte et guttural sortis les fameuses paroles de cette magie "De la douleur tu es indigne.". J'entendis un soupir de soilagement venant de lui. Je me retourna vers eux, prononçant l'incantation suivante: «Mysté Arka Prima septem iktus Morbius» avec les main au sol, tout l'attention était tournez vers moi. Je lâcha un hurlement digne des Banshee. L'un d'eux tomba alors, gêné dans sa fuite par les mains qui l'empêchait de bouger, l'autre réussit a garder son sang-froid sans m'approché et le troisième était pétrifié de peur, ne pouvant juste pas réagir. Dans un cris autoritaire, je dis:

-Partez ou vous goutterez à la justice de la tombe!

L'homme que je protégeais semblait encore plus effrayer par ce spectacle surnaturel, les blessures était très grave et les mains ne cherchait pas a lui nuire. Je posa une main sur son torse en lui disant:

-ton heure n'est pas venu...

Je me mord la main très nettement et commença a soigner ses très nombreuses blessures a l,aide de ma propre force vital. Deux jambes cassé, un bras, des côtes fracturer, je serait surement KO par après ou très faible. A voir. Les blessure commença a se réparer d'elle même, au même rythme que moi-même faiblissait, lentement mais surement.

Osami était occupée à s'aventurer au sein de son duché sous forme de grande renarde, pourquoi ? Parce qu'elle aimait bien de temps en temps se balader sur le territoire de Sarrasi, cela et puis il fallait bien de temps en temps prendre ses distances avec ses responsabilités de duchesse qui étaient multiples, se perdre un peu dans la nature était donc un bon moyen pour cela, même si évidemment elle tâchait de rester prudente en même temps, ce car elle ne tenait pas non plus à tomber d'une falaise par exemple ou bien être prise au dépourvue par des bandits... Même si dans ce dernier cas, la kitsune savait pouvoir gérer le danger au pire.

C'est ainsi pendant qu'elle se contentait de sa balader tranquillement au sein du territoire montagneux que son attention fut tout à coup attirée par une scène qu'elle vit au loin. Décidant d'y réagir car elle devinait que ce n'était pas juste une amicale discussion, elle s'y rendit donc au triple galop… Pour apercevoir quand elle fut plus proche ce qui semblait être un sinistre individu penché au dessus de quelqu'un et entouré de quelques personnes qui n'étaient pas forcément dans une situation glorieuse.

« Que se passe t-il ici ? » Dit-elle donc à voix haute d'un ton ferme en observant tout ce petit monde avec attention et prudence. Elle espérait bien avoir des réponses dans les faits, mais se préparait aussi à se battre si nécessaire. Car visiblement elle venait de tomber sur une scène de violence peut légale. Bon ce n'était pas non plus un petit groupe de caravaniers de faisant attaquer par des pilleurs orcs des montagnes, mais quand même autant qu'elle s'y intéresse… Surtout que de ce qu'elle voyait, il y avait de la nécromancie dans l'air, une magie dont elle se méfiait quand elle impliquait la présence potentielle de zombis, même si évidemment elle préférait en connaître davantage sur la situation présente avant de juger. C'est pour cela d'ailleurs qu'au lieu d'attaquer immédiatement, elle avait commencée par demander ce qui se passait avec une certaine fermeté et autorité… Restait donc à voir ce qu'on lui répondrait et qu'elle serait la nature de cette dîte réponse évidemment. Car si celle-ci était agressive, il serait normal que la kitsune se défende. On était dans les Duchés du Sud après tout, elle s'attendait bien à ce qu'il y ait possiblement de la méfiance, même si évidemment elle laissait à ces inconnus leur chance.

Une étrangère, de ma vision trouble, une grande renarde qui parlait, une transformiste a la voix qu'elle avait. Je continua mon sort d'offrande pour aider l'invidue sous le regard des bandit, qui malgré leur position n'avaient pas totalement abandonné l'un d'eux prit alors la parole, clamant haut et fort:

-Ce grand malade nous a attaqué avec des sort interdit, faites quelque chose, il a menacé nos vie!

Je soupira, malgré le sort qui continuait a m'affaiblir, je n'étais pas sourde, cette foutu étrangère pourrait me mettre des bâton dans les roues, ou alors m'aider si elle observait bien ce que je faisait, oui... dans les fait j'avais commencé les hostilités contre eux, une vision binaire des chose. Évidament, je n'avait fait cela que pour aider le pauvre homme qui était dans la misère en ce moment, ses blessures commença a ce reffermer et ses os se réparer, c'était le jours de chance de cet homme, rare sont les nécromancien au bon vouloir d'aider en utilisant des magies interdite et dangereuse pour eux-même. Le problème est mon énergie vital. c'est presque ce qu'il va ma falloir pour réparer cet homme, même si je n'ai pas confiance en la nouvelle arrivante qui pourrait simplement m'achever après que j,ai aider cet inconnu. Je tomba finalement a genou en arrêtant les soins pour essayer d'aux moins me défendre quand ma fille se montra pour le faire a ma place.

-Papa voir méchant frapper dit'elle en pointant les bandit. Papa vouloir aider monsieur

Je profita de cette distraction pour commencer un incantation, j'arrêterais si jamais elle commencerait a venir vers moi ou vers les bandit. je voulais seulement quelque chose pour me défendre si jamais elle décidait de ne pas me croire. L'incantation était dite d'une voix sombre et caverneuse. Je regardait la grande renarde, d'un regard méfiant en me replaçant devant celle que je voulais protéger, ici, on ne pouvait faire confiance a personne. Je ne faisait aucun geste brusque ni provocateur, ma fille avait tout dit a quelqu'un que je connaissait aucunement. Décidant de ne rien lancé au final. Elle avait remarqué ma tentative d'incantation, j'avais par fait attention, mais je ne voulais pas déclarer les hostilité, je m'arrangerais en temps et lieux avec elle. J’ouvris la discutions par la suite, une bonne partie de ma force vital en moins, je ne croyais pas être un danger pour elle. Sans rechanger ma voix, je dis:

-Je... J'ai passé ici a la suite d'un tragique évènement dans ma vie personnel.Repartir sur des nouvelle base avec ma fille. J'ai entendu et assister a cette querelle, si j'ai compris, celui que j'ai décider d'aider a une dette envers ses bandit ou leur patron, j'ai pas saisi l'histoire dans son entièreté. J'ai alors décidé de m'interposé. Ils étaient bien partis pour le tuer... et moi aussi. Pour une raison qui m'ai personnel, j'ai du mal a faire preuve de pitier envers des raclure comme eux. Si vous voulez passé votre chemin, allez-y je m'occupe d'eux, j'ai pas besoin de votre aide... malgré les apparence, ma magie les dévoreront vivent. Ou alors, aidez moi et je m'expliquerais davantage avec vous...

Pour les bandit, hors de question de fuir, cela démontrerais leur culpabilité et puis... un animal comme elle les rattraperais dans le temps de le dire et encore, ouvrir les hostilités s'avèrerais dangereux. leur supercherie était la seul option de m'éliminer

La renarde analysa du regard la scène, un mage nécromancien visiblement penché au dessus de quelqu'un et qui usait d'un sort ? Du moins c'est l'impression qu'elle avait et des gaillards qui disaient que ce dernier les avaient menacés avec des sorts illégaux… Seul ? Sans zombis ou esprits réanimés pour le soutenir ? Les nécromanciens généralement usaient de cela pour se battre efficacement, car ils n'étaient que très rarement de bon combattants en dehors de leur capacité à faire se battre les morts ou les esprits à leur place.

Et quels sorts interdits avait-il utilisé pensa t-elle… Elle ne s'y connaissait pas trop en nécromancie, mais pour elle les sorts interdits consistaient en des zombis ou un festival de chair putréfié et elle ne voyait rien de cela. Sauf si la mage avait essayé d'absorber leur force vitale avec sa magie ? C'était une possibilité en effet… Le genre qu'elle ne pouvait pas ignorer et elle aurait sans doute attaquer le mage d'ailleurs si elle n'avait pas remarquée la petite non loin de lui, pas forcément pour le tuer, mais plus dans l'optique de pacifier les alentours.

Et que disait cette petite d'ailleurs ? Que c'était le nécromancien qui était venu à la rescousse de l'homme blessé ? Hum, elle avait du mal à être sceptique devant les paroles d'une enfant de 3 ans, après tout à cet âge l'on est difficilement capable de mentir, mais que devait-elle faire de ce fait ?

Elle hésita dans les faits à attaquer tout de même quand le nécromancien se mit à incanter, puis se dit qu'il valait mieux attendre, après tout Osami se savait assez forte pour pouvoir espérer gérer la situation si nécessaire. Cela et puis, si on l'attaquait elle serait en situation de légitime défense, sans compter que ça laisserait en plus le temps aux 3 hommes suspects dorénavant de s'enfuir si un combat se lançait entre-elle et le mage. Elle accueillit donc avec un certain calme les paroles de la liche, liche à laquelle elle répondit.

« C'est très louable de votre part de vouloir aider cet homme et moi-même je l'aurais fais, mais préparez vous à venir souvent en aide aux inconnus si vous essayez de régler les problèmes de tout ceux ayant une dette dans les duchés. Cela et puis, qu'est-ce qui empêchera l'homme auprès duquel il s'est endetté de se venger de manière radicale suite à votre action ? » Puis elle reprit plus ferme d'abord à l'égard des bandits.

« Vous trois, restez là et ne vous avisez pas de vous enfuir, j'aurai quelques affaires à régler avec vous, quand à vous... » Elle s'adressa cette fois-ci au mage. « Si je vais fermer les yeux sur ce que vous venez de dire en glissant que vous tueriez trois hommes de sang froid pour en sauver un, ce que je peux comprendre, mais qui est une conception de la justice trop radicale à mon goût, je vais vous enjoindre de tempérer vos ardeurs. Ici nous sommes dans les Duchés du Sud, si vous vous amusez à réagir ainsi à tout, nécromancien ou pas vous allez finir avec beaucoup d'ennemis et surtout avec un poignard ou un carreau d'arbalète dans le cœur. Et ne croyez pas que vous y échapperez, ceux qui le pensent ne survivent pas longtemps en ces terres... » Oui et ce n'était pas le premier nécromancien à rôder dans les duchés, très loin de là. Dans tous les cas elle conclut suite à cela avec patience. « Est-ce bien compris ? Je ne dis pas cela pour vous sermonner, pensez plutôt que c'est un conseil qui risque de s'avérer vital pour vous. » Sur ce elle se retourna donc vers les bandits et leur glissa. « Vous trois là, vous allez vous expliquer calmement, que je sache exactement ce qu'il s'est passé et pourquoi un nécromancien se retrouve à devoir soigner un homme passé à tabac... » L'un des bandits sourit et répondit.

« Il n'a pas remboursé ses dettes, c'est le droit de son usurier de faire en sorte qu'il rende des comptes, cet homme n'avait pas à intervenir et cela vous le savez fort bien. Nous n'avons donc rien fait d'illégal, c'est lui qui nous as attaqué sans raison valable. Vous l'avez entendu d'ailleurs, il n'aurait pas hésité à nous tuer alors que nous ne faisions que notre travail ! » La duchesse regarda alors le nécromancien et répondit aux trois hommes. « En effet il n'avait pas le droit techniquement, mais en ces montagnes c'est moi qui gouverne et si je décide de passer par dessus cette coutume pour cette fois-ci, c'est mon droit. Allez dire à votre employeur que je rembourserai la dette du pauvre homme que vous avez violenter et ne faîtes pas davantage d'histoires. » Ceci fait, elle regarde les bandits partir et revint en direction du nécromancien pour ajouter avec une certaine tristesse.

« C'était en effet leur droit de passer à bastonner cet homme tant qu'ils ne le tuaient pas, et encore... C'est malheureux, mais c'est comme ça et c'est une coutume existant depuis des siècles en ces terres et que quasiment personne ne remettra en doute car les contrats sont sacrés pour les Duchéens. Le seul conseil que je puisse vous donner c'est de vous y faire, ou du moins de négocier ce genre de cas plus diplomatiquement, ou alors vous allez risquer plus que vous ne désirez votre vie et celle de vote fille. Surtout que tous les ducs et comtes ne sont pas aussi arrangeants que moi... » Il allait en effet être vital pour lui d'apprendre comment les choses fonctionnaient dans les Duchés, car les évènements allaient sinon prendre très rapidement un mauvais tournant pour lui.

Bon, je n'avais rien d'autre a faire maintenant que de l'écouter... Elle semblait beaucoup plus réfléchie que moi... ou plus tôt, elle savait comment vivre ici... contrairement à moi qui ne c'est informer que de la base minimale, en effet, je ne connaissais pas les lois de ces lieux. Par contre, cette violence gratuite me dégouttait au plus haut point, il y avait d'autres manière que de tabasser quelqu'un, légal ou pas. Je ne répondis pas directement à ses premières paroles. Dans les faits elle avait parfaitement raison, je suis intervenu et parler trop vite et trop librement surtout, au moins, je me suis montré assez franc à ce sujet, car lui, je les aurait tous tués ou alors je leur aurais offert une éternité de servitude et de souffrances. par contre, ça je n'étais pas obligé de le dire. D'ailleurs, je n'étais pas obligé de trop en dire à mon sujet, dirigeante ou pas et ce peu importe ses intentions, car dans les faits, je ne la connaissais pas plus que ceux que je venais de terrasser... si l'on pouvait dire ça ainsi. Le premier acte de sagesse que je pouvais faire est de me taire, elle en avait bien sassé vu sur moi.
Je l'observai attentivement et surtout je l'écoutais, elle régla l'histoire des "bandits" en jugeant rapidement mes actes, bien qu'honorable, j'étais encore illégal. J'aurais bien soupiré de lassitude, mais cette erreur ne sembla pas me coûter trop cher pour le moment. Je me repenchai sur celui que j'avais arrêté de soigner avant d'accorder un furtif regard à cette renarde. Sur ses dernières paroles, je décidai d'arrêter les soins, il restait quelques blessures interne qui lui ferait qu'un peu mal, après, ça lui servira à réfléchir sur ses actes et de mon côté, je ne voulais pas m'endormir à force de soigné. Ce qui me fit l'effet d'une claque est le moment où elle parla de la vie de ma fille, Pour rien au monde je voulais la mêler à toutes mes histoires, héroïque ou pas, une larme aurait bien pu couler, mais rien ne sortis de mon corps décrépi jusqu'à la moelle. La seule chose que j'aurais pu dire est: vous avez raison, mais jamais je ne dirais cela, je préfère plutôt changer de disque. Prenant le temps de choisir mes paroles, pour ne pas l'envoyer pétré car elle venait de toucher une corde sensible, je finis par dire, toujours de ma voix changer:

-Il me manque en effet des notions aux sujet des duchées du sud, mais le fait de laisser quelqu'un se faire battre sans réagir m'est insupportable, c'est simplement plus fort que moi, bref... je vous remercie quand même.

Je pris le temps de m’asseoir, je me fichais du confort du sol. Je regarda ensuite celui que j'avais aider avec un manque d'émotion presque effrayant puis lui dit:

-Si jamais je te reprend dans cette situation, je ne t'aiderais pas, apparemment que je risque des ennemie a cause de toi, files.

L'homme se releva puis partit a la course, j'étais maintenant seul ici avec elle et ma fille adoré qui, sembla apprécié cette inconnue. Je dis alors:

-Pourriez-vous simplement me dire ou je peux trouver un endroit sur les lois de ces lieux?

« Cela peut se comprendre, tâchez juste d'apprendre à gérer les choses plus diplomatiques. » Et de manière plus morale peut-être pensa t-elle, car bon aspirer la vie des gens juste parce qu'ils avaient tabassés quelqu'un… C'était trop radical à ses yeux et pas vraiment digne de quelqu'un voulant émettre une quelconque justice.

Dans tous les cas, elle ne dit rien aux paroles du nécromancien qui chassa l'homme qu'il venait de soigner, comme pour dire à celui-ci de se montrer plus prudent à l'avenir. Ce avant d'ajouter pensivement aux derniers propos du nécromancien à son égard.

« Des lois ? Les Duchés n'ont quasiment aucune lois écrites communes, mais plutôt des coutumes et pratiques que nous respectont à peu près tous et qui permettent un peu d'ordre dans cette nation divisée. Quant à savoir où vous pourriez les apprendre, il suffit juste de les demander à n'importe qui d'un minimum honnête. » Elle pencha la tête sur le côté et ajouta pensivement.

« Je pourrais le faire je suppose, après tout cela vous évitera sans doute de fâcheux ennuis. Par contre en attendant, je pense qu'il vaut mieux amener votre fille et votre personne en un endroit plus sécurisé. Il y a disons un petit village au Sud où ils ne sont pas vraiment regardant sur les voyageurs de passages tant que ces derniers ont de quoi payer une nuit à l'auberge et ce qu'ils y achètent. » Elle sembla prête à partir et à les guider jusque là, mais avant cela elle ne manqua pas d'ajouter calmement.

« Suivez moi, je vais vous y mener, vous pouvez rester ici si vous ne me faîtes pas confiance sachez-le, mais dans votre état de toute manière ce n'est pas comme si cela me rapporterait spécialement quelque chose si j'avais envie de vous doubler de ne pas m'en prendre à vous maintenant. » Pourquoi avait-elle dit cela ? Pour expliquer que d'un point de vue logique on pouvait en effet lui faire confiance. D'ailleurs, elle ne laissa pas tant le temps que ça au mage de réfléchir qu'elle se mit déjà en route tout en ajoutant peu après.

« Et que faîtes vous d'ailleurs au sein des Duchés ? Je suppose que ce n'est pas forcément pour l'argent que vous êtes là, je me trompe ? » Allez savoir pourquoi, mais elle doutait faire erreur à ce sujet, après tout il n'avait pas l'air d'être le genre d'homme avide de richesses qui venait offrir ses services aux plus offrants par ici. D'ailleurs il n'avait pas l'air du tout d'être un homme, mais bon ça c'était un détail qui pour sa part ne la choquait pas tant que cela… Les êtres bizarres elle en avait vu, cela et puis ce n'était pas comme si elle-même par le don de sa magie transformiste n'était pas capable d'adopter des formes plutôt étranges...

Une terre quasiment anarchique, avec quelques coutume qui aidait a conserver un certain ordre... Ce n'était pas l'idéal pour faire une vie calme et paisible et tout recommencer, mais cette étrangère semblait me tendre la main. Je pencha la tête sur le côté en pleine réflexion. Je réfléchit aussi sur son commentaire au niveau de ma manière de régler les choses qui me troublait. Certainement, mais je n'aime pas les lâches qui s'attaque a plus faibles qu'eux, surtout pour une question aussi inutile que l'argent.

Je pus sourire a son commentaire, bien placé. Je n'avais rien fait de grave, mais ça l'aurait néanmoins pu arrivé, je connaissait mon caractère et en effet, sans son intervention, l'aspiration de vie aurait été une possibilité plus que plausible. Elle semblait bien plus sage que moi, aussi, digne de confiance. Elle me proposait même l'idée de me mettre en sécurité, moi et ma fille et de m'apprendre les coutume de cet endroit. Je ne pouvais pas refusé, de toute façon, elle aurait déjà pu me tuer ou me capturer si elle aurait voulu. Donc, pourquoi avoir peur d'elle maintenant? Elle n'aurait pas eu besoin de me le rappeler, mais elle le fis quand même. Évidement que je lui faisais assez confiance pour ce genre de rudiment, je ne demandais pas la lune non-plus!


Aussi, je me remémora les paroles qu'elle avait adressé aux trois hommes: c'était elle qui gouvernait ici, elle était donc une personnalité importante. Chose a retenir, pas que j'en voulais spécialement a son argent, mais elle pourrait devenir une références intéressante. Encore, elle devait avoir des contacte intéressant pour ce que je voulais faire. De plus, il n'y avait pas 36 solutions. J'étais bon que pour une chose: la magie.

Elle me posa finalement la question sur ce que je faisais ici... Elle avait parfaitement raison, j'en avais rien à battre de l'argent, je voulais seulement vivre ma vie en paix loin des problème, mais dans le monde actuel, sans argent et sans affiliation a une cause, c'est strictement impossible, a moins d'être un sauvage. Tout en la suivant, je répondit:

-L'argent est futile moi, elle fait faire des choses indescriptible a des hommes a la base bon, c'est, pour moi un mal nécessaire. En effet, je ne viens pas pour ça. Je viens ici dans le but de refaire ma vie paisiblement.Je viens de fuir Teïder après avoir tué l'assassin de sa mère.

Sur ses dernier mot, mon poing se resserra et ma voix changea pour un aspect fantomatique quasiment irréel. Ma fille regarda la grande renarde et fini par l'avertir

-Quand papa parler comme ça, lui fâché.

« Les Teïderiens ne sont guère connus pour être tendres ma foi. Ils mettraient bien une créature telle que moi sur un bûcher s'ils le pouvaient d'ailleurs. Mes excuses en tout cas pour ce qui est arrivé à la mère de cette pauvre enfant… Je suppose que vous avez toujours plus de chance au moins de trouver votre bonheur en ces terres qu'à Teïder. Les Duchés ne sont pas parfait, mais il est toujours possible de s'y débrouiller avec astuce et pragmatisme. » Répondit-elle calmement alors qu'elle se rendait vers le village avec l'homme et la jeune fille, ce avant d'ajouter d'un ton se voulant apaisant.

« Si vous désirez le bien de cet enfant… J'ai entendu parler d'un monastère qui recueille les femmes quel que soit leur âge et qui est situé dans une montagne bien plus au Sud… Cela pourrait être un bon endroit pour elle pour vivre en paix et loins des troubles qui agitent ce monde, mais... Je ne sais pas, ce risque d'être dur pour elle de devoir vivre loin de ses parents, après tout une enfant a besoin autant d'un modèle masculin que féminin pour grandir. » Se doutait-elle du fait que le nécromancien avait un lien de famille avec l'enfant ? Evidemment, cette dernière disait que c'était son père… Dans tous les cas, la kitsune ne manqua pas d'ajouter pensive.

« Ce n'est pas l'idéal certes, mais je suppose qu'en ce monde, le moindre mal est des fois le mieux qu'on puisse espérer… Sinon, vous pourriez peut-être vous mettre au service d'un riche seigneur des Duchés qui saurait apprécier vos talents et vous payer pour cela ? Si vous vous débrouillez bien, vous pourriez ainsi obtenir une certaine prospérité et stabilité, même si évidemment ce n'est pas non plus le choix de la sécurité. Mais vous trouverez difficilement un pays où il y a plus de libertés qu'en ces terres de toute manière... » Graviter autour du pouvoir et de l'argent n'était jamais des plus sûr après tout en ces terres, mais c'était dû en partie à la grande liberté qui y régnait. Dans tous les cas, elle ne manqua pas sinon de conclure pensive.

« Et vous ? Qu'espérez-vous pour vous même ? Ou qu'espérez vous pouvoir accomplir ? Du moins quand votre fille sera mise en sécurité... » Difficile question, mais légitime d'après Osami, après tout il était important de protéger ses enfants évidemment, mais il fallait aussi penser en partie à soi, ne serait-ce que parce que ces mêmes enfants se portaient mieux évidemment si au moins un de leur parent survivait… Quant au reste, elle estimait important de se doter d'un but pour continuer à vivre envers et contre tous, surtout quand comme cet homme en semblait avoir un passé très amer. Après tout il était des fois si facile d'abandonner, mais est-ce que choix facile rimait avec bon choix ? Non, malheureusement en ce monde les meilleurs choses ne s'obtenaient qu'avec le temps et les efforts, mais pour cela il ne fallait pas perdre et la foi et malheureusement le monde était si cruel que c'était là une tâche paraissant presque impossible...

Les duchés étaient une terre bien bizarre. J'écoutais ce qu'elle disait en la suivant. Apparemment, que Teider était aussi reconnue ici pour cramer tout ce qu'ils n'aimaient pas, c'était presque rassurant, je n'étais pas fou, ces demeurées représentait bien un danger pour leurs voisins et bien plus sûrement, bien qu'ils ne s'attaqueraient sûrement pas à la capitale de la technologie sans se faire décimer.

Elle me parla d'un endroit qui recueillait les femmes... Très intéressant, un avenir prometteur pour elle finalement, bien que je devrais me séparer d'elle, mais c'était bel et bien un mal nécessaire. Oui, elle a besoin d'un modèle masculin, mais elle a avant tout besoin de grandir en sécurité sans se demander si elle mangera demain ou comment elle risque de mourir. Je devrais donc faire des recherche pas moi-même a ce sujet. Je ne voulais pas vivre au service d'un seigneur, je perdrais ben vite ma liberté d'agir ainsi... Ce n'était pas dans mes valeurs, surtout pas ici, j'en avais vu assez pour comprendre comment cela fonctionnait. Ma pensée se tourna vers les ennemis mortels de Teider, mais faudrait encore les rencontrer, surtout que je ne voulais pas lever des armée de mort-vivent pour une cause de rivalité ou les mêmes innocents payerais les conflits des plus riches, non ceci n'était pas pour moi. Par contre, si elle avait des services à me demander, je ne dirais pas non de temps à autre. Elle me semblait, à première vue, assez noble pour ne pas faire de massacre. Je lui répondis poliment à ce commentaire :


-Servir au nom d'une cause conflictuel et si divisé est loin de mes valeurs et du train de vie que je cherche, par contre, vous, de première approche, vous me paraissez bien noble, si jamais vous devez recourir aux services d'un nécromancien, je ne demanderais rien sauf un merci.

Pour moi-même, je verrais une foi la petite en sécurité, je n'ai pas envie d'oublier la priorité après tout. Sans trop réfléchir à sa question, je répondis très directement :

-On verra une foi cette petite hors de danger, je n'ai pas de projet fixe pour le moment.

Osami n'avait que peu d'estime pour Teïder en tant que nation, mais surtout pour le gouvernement de ce royaume. Oh, elle n'haïssait pas le peuple de ce pays car elle considérait que c'était davantage des marionettes qui ne pouvaient qu'obéir ou mourir, mais elle ne pouvait par contre pas avoir une telle pitié pour ceux qui devaient activement profiter de la situation tragique de cette nation.

Par contre, Teïder restait une nation puissante, cela il ne fallait pas en douter… Mais elle ne pouvait pas apprécier un pays où la liberté était si pressurisé et qui semblait autant fondé sur la haine de tout ce qui était différent d'eux. Même s'il fallait l'avouer, tout cela avait permit à cette nation d'être unifiée malgré le fait que c'était aujourd'hui un régime tyrannique qui y régnait.

Elle se demandait d'ailleurs si c'était cela d'une autre manière qui avait permit à l'empire Akkatonien de devenir ce qu'il était aujourd'hui, un empire unifié et puissant malgré son immense superficie. Peut-être, il est vrai après tout que c'était la seule nation au monde ayant clairement davantage privilégiée la technologie que la magie, ce qui même sans les faire forcément haïr les autres, devait les mettre dans une position les poussant à rester unis pour êtres forts et protéger leur mode de vie… Peut-être.

« Vous vendriez vos services contre un simple merci ? Ma foi je ne pourrais me contenter de vous donner seulement cela si j'ai besoin de votre aide un jour, mais méfiez-vous... D'autres pourraient êtres tentés d'abuser de vous en se faisant passer pour de nobles personnes justement. Les Duchés sont une terre où la manipulation d'autrui est une tradition millénaire. » Ne manqua t-elle pas sinon de dire au nécromancien avec franchise quand il se montra modeste concernant le prix qu'il demanderait pour ses services. En effet, il vaut mieux éviter de se montrer trop généreux ou serviable en ces terres, sauf lorsque l'on était pleinement sûr de soi. Dans tous les cas elle ne manqua pas d'ajouter ensuite avec réflexion, mais en mettant directement les pieds dans le plat…

« Pourquoi être devenu nécromancien ? Du moins si vous me permettez cette question, ce n'est disons pas le genre de magie dont je vois souvent quelqu'un de bon faire usage. » Et alors qu'elle demandait cela, ils voyaient se profiler le village où elle voulait les emmener, de loin on pouvait constater que c'était une petite bourgade fortifiée typiquement montagnarde et à la fumée qui s'en dégageait, qu'elle devait vivre d’artisanats, notamment de ceux nécessitant l'utilisation d'une forge ou d'un four comme la forge ou la poterie...

Bon, elle me rappela en mot plus poli que la bonté dans les duchés était plus-tôt de la naïveté. Bon, s'il fallait être sur ses gardes ici... Son avertissement n'était clairement pas tombé dans l'oreille d'un sourd. Je n'aiderais plus personne et j'allais me mêler de mes petites affaires sans faire trop attention aux autres, un triste lieu finalement... Mais, bref. La manipulation semblait être chose courante en ces lieux, selon ses dires du moins, mais quelque chose me disait qu'elle avait raison, juste le fait que j'ai eu tord d'intervenir contre des malfrats qui tabassaient un homme pauvre et endetter en disait bien long finalement.

Elle me posa une question qui me fit sourire : pourquoi la nécromancie ? À cette question, je ne pouvais pas être de mauvaise humeur, car la réponse était toute simple : j'avais simplement suivi la trace du héros de mon enfance, celui qui, selon moi était le responsable de ma liberté, il n'avait pas fait de massacre sur sa route ni envoyé de serviteurs aux trouces des feuillard. Il avait simplement donné la liberté a tout le monde en épargnant les vies qu'il lui avait été possible d'épargner. Alors voilà, j'ai suivi les traces des actions de cet homme et aujourd'hui, je prouve que la nécromancie n'est pas une arme réservée au mal. Je regardai la grande regarde et lui dis :

-Parce que aujourd'hui, je suis les traces d'un héros qui m'a permis de devenir celui que je suis aujourd'hui, tout simplement.


Je pourrais ainsi essayer d'en démontrer une autre face, mais chaque chose a son temps. Maintenant, le temps était devenue une chose puérile pour moi, je n'en manquerais plus jamais, fini la peur de mourir trop vieux, j'étais maintenant éternel. Je regardai ma fille qui semblait commencer a fatigué avec un sourire désolé sans trop le démontrer à cette étrangère, ceci ne la concernait nullement malheureusement, Je continuais de me répéter intérieurement que je devrais m'informer sur le lieux qu'elle parlait, car elle en serait surement plus heureuse la-bas, J'ouvris la discutions a ce sujet.

-Pouvez-vous me dire exactement ou vous avez obtenu ses informations au sujet du lieux pour les femmes?

« Ahhhh. » Commença à dire Osami pensive quand le nécromancien lui dit que s'il pratiquait la magie des morts à l'heure actuelle, c'était notamment parce que son héros d'enfance le faisait, elle ne manqua pas d'ajouter d'ailleurs avec amusement à cela. « Comme moi en partie, même si mon mentor était un grand maître en arts martiaux pour sa part. Il est très constructif à mon avis d'avoir un modèle vertueux à suivre, c'est toujours bien de savoir ce que l'on veut devenir, même si évidemment il ne faut pas non plus se faire la copie exacte de son idole. »

Oui, elle doutait par exemple que son défunt maître aurait eut envie de devenir général mercenaire dans les Duchés ou même duc. Non, il avait été beaucoup plus humble dans ses ambitions à sa manière, mais ce n'est pas pour autant qu'elle ne lui vouait pas encore aujourd'hui le plus profond des respects. Elle ne savait pas si la paradis existait, à peine croyait-elle à la foi Ikhyldienne tournant autour de la magie, mais elle espérait que quoi qu'il en soit, son maître avait trouvé le repos après son trépas.

« Curieuse question. » Ne manqua t-elle pas sinon d'ajouter avec un léger gloussement féminin quand le nécromancien lui demanda où elle avait entendue parler du sanctuaire, elle ne manqua donc pas de lui répondre avec honnêteté.

« C'est un endroit très connu dans les Duchés du Sud, l'oracle qui en est la maîtresse se targue d'être une intermédiaire neutre entre les ducs et comtes de ces terres. Sachant que la neutralité est bien rare par ici, ce simple fait lui vaut disons une certaine estime, estime probablement dû au fait que sa neutralité va dans l'intérêt de presque tout le monde en ses terres. » Après tout c'était toujours utile d'avoir un intermédiaire neutre sous la main quand on devait négocier avec ses ennemis ou prendre des conseils, il n'y avait pas grand monde après tout en qui un seigneur des Duchés pouvait placer sa confiance la plupart du temps. Dans tous les cas elle ne manqua pas d'ajouter ensuite.

« Par contre je trouve curieux qu'elle ne tolère que les femmes dans son sanctuaire… Et peut-être un peu dommage aussi, sinon je vous aurais conseiller d'y trouver refuge, mais bon. Vous pouvez toujours aller lui demander des conseils si vous le désirez, après tout elle est connu pour avoir une grande sagesse... » Sur ce elle réfléchit, puis ajouta avec sérieux.

« Et si dans les faits les Duchés ne sont pas à votre goût pour y vivre, je vous conseillerais de vous tourner vers les nations restantes que ce soit Eïrn ou même Eïlynster, voir Akkaton ou Ikhyld, du moins si vous vous sentez de ne pas enfreindre leurs lois. Quoique je ne sais pas si l'empire Akkatonien serait le mieux pour un mage comme vous... » Surtout un nécromancien pensa t-elle néanmoins sans le préciser, il fallait le dire en même temps, il ne se facilitait pas la vie en semblant plutôt enclin à user du versant souvent considéré comme illégal de sa magie...

Elle avait donc quelques point commun avec moi, mais d'un point de vue très différent, elle avait pas apprit les sombres secrets de la magie de la mort. Je n'avais pas suivi le dévloppement de mon idole, je ne pouvais donc pas dire si j'avais suivi le même parcoure que lui ou pas. Il m'avait servi d'inspiration pour la nécromancie, c'est tout. Elle énonca quelque chose, qui chez moi était problématique: Je ne savais pas du tout ce que je voulais devenir. J'avais essayer la vie normal, mais j'étais vite retomber sur terre, ce n'étais pas pour moi, du moins sa ne le serait pas t'en que j'aurais pas une assurance de sécurité, un monde sans Teïder sur mon chemin, mais tout ceci n'est qu'un beau rêve.

Les Duchées auraient pu représenter un beau lieu sans ce côté chaotique. Elle répondis a ma question au sujet de ce sanctuaire. Déjà, que les femme... Pourquoi au juste? Bref, c'était un minimum requis pour que je m'intéresse a ce lieu, car ce n'est pas pour ma sécurité que j'allais m'en informer, mais pour celle de ma fille. Je pouvais déjà la remercier pour ce petit coup de pouce. Elle m'en dit plus sur elle. Une intermédiaire neutre entre tous, le profil pour le moment parfait. De mon coté, je ne sais pas si je serais capable de vivre ainsi dans un sanctuaire... il aurait fallu essayer, mais je ne suis pas une femme... Demander conseil. C'est bien la seule chose que je puisse faire pour mon bien être personnel et encore... cela ne m'avancerait surement pas dans mes réels problèmes: Les Teideriens, toujours aussi acharné, ils me traqueraient jusqu'au confins de l'univers pour hérésie, simplement pour ce que je suis et non ce que je fais... des idiots. Déjà trop de vie simplement pour me pister. Ses simples d'esprits ne m'avait même pas encore tuer, chose triste, car ma vie ne vaut pas si cher... encore combien allait crever.

-Je peux bien aller la voir pour conseil, mais au vue de nos parcourt de vie différent, je ne crois pas qu'elle puisse m'aider a me faire moins harceler par Teïder. J'ai fais des choses qu'ils ne pardonneront jamais pour protéger ma vie et celle de ma fille.Par contre, un seul détail, je n'y aurait jamais demander refuge, même si elle m,y aurait autoriser. Je suis un homme ainsi qu'un mage extraordinaire, capable de protéger ma vie. Comment dire... Mes valeur prône le fait de me débrouiller seul et d'aider autrui. Et non l’inverse, jamais je ne dépendrais de quelqu'un d'autre. Pour ce qui est des nations... Merci, encore une foi... L'empire de la technologie... hors de question, ça me répugne, pour ce qui est des autres, je demande qu'a saisir un opportunité de les rejoindre, le temps saura me dire vers ou je dois aller.

J'étais encore en réflexion, Si jamais je devais rejoindre une nation, l'armée serait une option, non pas pour enlever des vie, mais pour en préserver, enlever des vie qui désire en effacer d'autre était suffisamment noble, mais faudrait encore trouver chaussure a mon pied.

Alors qu'ils arrivaient à seulement quelques dizaines de mètres des portes du village, Osami s'arrêta soudainement, sans doute car il lui semblait valoir mieux de finir cette conversation avant d'entrer dans le hameau, après tout ce n'était pas forcément le genre de sujet de discussion qui pouvait mettre à l'aise des villageois...

« Le temps, oui vous avez le temps heureusement. Je suppose que vous êtes encore assez jeune après tout, enfin je ne fais que supposer car c'est assez difficile à constater. » Que ce soit à l'odeur ou du peu qu'elle voyait, mais le fait qu'il avait une fille et sa manière d'être et de penser témoignaient tout de même d'une certaine jeunesse. Disons qu'un nécromancien de plusieurs siècles ne penserait sans doute pas comme cela... Le temps avait après tout cette qualité et ce défaut de faire changer ceux qui le subissaient d'une manière ou d'une autre, des fois en les bonifiant, des fois en les détériorant au contraire…

Sur ce elle reprit donc la marche et personne ne les empêcha d'entrer dans le village dans les faits. Il y avait bien quelques mercenaires qui surveillaient la grande porte de l'enceinte en bois par laquelle ils passèrent, mais ils ne leurs dirent pas de s'arrêter pour se justifier, peut-être car ils avaient reconnus Osami même si cela le nécromancien l'ignorait sans doute. Ainsi ils ne fut guère difficile pour eux de pénétrer dans le village, la kitsune demanda alors avec réflexion au nécromancien.

« Aimeriez-vous vous occuper de quoi que ce soit en priorité avant de chercher un logement pour la nuit ? Disons que je risque de devoir dans quelques heures prendre congé car j'ai beaucoup à faire à cause de certaines responsabilités qui sont miennes, alors autant que je puisse vous rendre service au mieux avant. » En somme, qu'il ne compte pas sur elle pour lui offrir son aide le lendemain, pas qu'elle était contre, mais malheureuse une femme avec certaines responsabilités comme elle devait de temps en temps honorer celles-ci, sinon… D'autres en souffriront, si ce n'est elle à terme. Surtout dans une terre comme les Duchés du Sud ou il valait mieux faillir le moins possible quand on était au pouvoir.

Elle m'offrait encore de l'aide, très généreux de sa part, mais je crois et heureusement pour elle être capable de me débrouiller dans une ville et de plus, elle semblait un peu occupé... bref plus qu'un peu. Déjà, je me demandais encore comment j'avais eu la chance de croiser l'une des dirigeante des duchée du sud et le tout sans qu'il y ai rien de dramatique en arrière. Très chanceux même car j,aurait pu payer cher le fait d'avoir commis cette erreur car je comprenais également qu'il était bon devoir de m'informer des pratiques d'un lieux et que l'ignorance des lois n'est pas un argument valable pour enfreindre celle-ci.


-Je vous remercie de votre petit coup de main et de vos conseil jeune dame, mais sachez que je crois pouvoir trouver ce que je cherches seul, si vous avez fort a faire, je vous encourage a y aller. Je suis un garçon assez débrouillard pour m'en sortir seule dans une ville.

Je lui fis ensuite une révérence pas très élégante en signe de respect avant de lui dire pour lui rappeler:

-Souvenez-vous que j'existe, si un jours vous avez besoin d'aide, je serais de la partie avec joie, les Grand artiste ne cours pas les rue habituellement.

J'avais dit artiste, j’espérais bien qu'elle comprenne le mot nécromancien. J'avais changé mon vocabulaire pour ne pas effrayer ceux qui pouvais nous écouter ou même nous observer, les murs on des oreille dit-on. Déja que les gens sache que j'étais "redevable" Me dérangeait, car je n'étais pas du genre a me faire aider par qui que ce soit. Peut-être que dans un futur proche, je devrais accepté de changer pour le bien de ma fille et de ceux qui accepterais de me côtoyer. Ce qui m'énnervais un peu c'est la possibilité de choisir entre des relation social et ma magie, en cela, je craignait d'avoir déja fait mon choix via le rituel du fils de la mort.