Nationalité : Duchéen Race : hybride elfe et humain Nom : Aurenaïm Prénom : Croyance Surnom : L'esclave, gamin Sexe : garçon Date de naissance : 1 janvier 1974 de l'Age d'Acier Age : 26 ans Lieu de naissance : Duchés du Sud Lieu de vie lors de votre entrée en jeu : Duchés du Sud Rang social : peuple Métier/Position dans la société : Esclave et marchand Titre : aucun
Spoiler:
Armes et équipement :
Armure et armes en votre possession lors de votre entrée en jeu :
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Autres équipements
- bracelet magique
Description:
Ce bracelet placé à la cheville envoie un signal télépathique qui fait un mal de tête et une brûlure quand le maître le veux. Il consiste à faire en sorte d'enlevé l'idée de la fuite à Croyance puisqu'il sort tout les jours et que le risque est toujours présent.
- Montre a gousset
Description:
C'est une jolie montre à gousset orné d'une petite chaîne de couleur noir métallisé. Son couvercle possède de fines gravures ressemblant à des fleur. La montre s'ouvre sur deux aiguille sur un fond noir qui entourent le mécanisme. L'arrière est décoré de motifs floraux sur un fond argenté de la montre. Celle-ci lui à été offerte par son maître pour qu'il sache l'heure et qu'il rentre à temps. C'est la seule chose que Croyance arrive à lire. Et c'est aussi la seule chose sympathique que son maître lui a apprit et offerte. Croyance ne sait pas d'où vient vraiment sa montre mais il l'aime déjà.
- Des vêtements de luxe fabriquait par Sofya pour bien passer.
Description:
Ces vêtements luxueux dont il a l'habitude de porter son fabriqué par les mains de Sofya. C'est entièrement elle qui les fabrique pour, à la base des personnes haute classé. Mais sachant le métier de son chéri etaussi celui de Croyance elle préfère aussi leur en faire.
Il faut avoir un niveau prodige en domptage pour l'avoir à ses côtés.
Description :
Capable de se rendre complètement invisible de tout le monde tout en effaçant leurs bruits même aux yeux de toutes espèces pouvant voir l'invisible, les Tiyranhiums ont une plus grande chance de survie, ils reste tout de même rares. On dit alors que se sont des monstres éthérés une fois invisible. Ils sont plutôt timide ce qui explique leurs attitudes. Cependant, ils sont capable de différencier le bien du mal et ainsi se lier avec une personne pour l'éternité à ce moment là une cage noir apparaîtra sur l'épaule gauche des deux partenaires. Les Tiyranhiums ont beau être timide, certains seront plus agressif que d'autres. Leur tempérament change selon l'histoire qu'ils ont eu mais aussi leur caractère naturel. Certain savent très bien se battre, uniquement sous une apparence visible. Ils ont aussi la faculté d'avoir une apparence artifice uniquement humanoïde qu'ils choisissent eux-même. Sous cette forme ils savent très bien se battre mais bien sûr pour qu'ils puissent se battre sous cette forme ils doivent obligatoirement se matérialisaient peu à peu, et redevenir visibles. Ils se nourrissent de n'importe quels aliments comestibles mais ils ont une préférence pour la chair des morts. Ce qui les rend d'autant plus effrayants. Mais pour cela il sont obligeait de reprendre leur vraie forme.
Tiyranhium adulte:
Lames des ombres : 100 points de mana toutes les 10 secondes pour maintenir ce sort.
Ce pouvoir consiste à invoquer des ombres et de les manipuler. Elles ne sont pas obligées d'être sur le sol puisqu'elles ne sont pas complètement des ombres, mais plutôt des sortes de lames noires sortant des pieds de l'utilisateur et couverte d'yeux et de bouches. Elles demandent beaucoup de concentration et sont dangereuses quand on sait parfaitement les contrôler, car ces ombres sont aussi tranchantes que des lames. Elles peuvent facilement couper le bras d'un humain.
Armes de tailles : Inapte Armes lourdes : Inapte Armes d'hast : Inapte Faux : Inapte Art de la défense : Inapte Armes de lancer/fouet : Inapte Arc/arbalète : Inapte Mains nue/Arts martiaux : Adepte Armes à feu : Inapte Équitation : Inapte Domptage : Prodige Conduite : Inapte
Description de votre personnage :
Description physique :
« Âgé de 26 ans, je suis un hybride entre une magnifique elfe et un bel humain. Physiquement, j'ai tous pris de notre père même si ces deux espèces se ressemblent beaucoup, je ne possède pas de grandes oreilles et je ne suis pas non plus très grand. En ce qui me concerne, j'ai des cheveux bleu peu ébouriffés et coupés courts. Et mes yeux sont grand et malicieux de couleur bleue foncé. Même si qu'un seul d'entre ne fonctionne. Je ne vois absolument plus rien avec mon oeil gauche depuis bien longtemps. A force on est habitué. J'ai la peau mate mettant en valeur mes yeux et mes cheveux. Lucius, lui est un petit blond aux yeux bleu saphir. Cela lui donne un côté un peu fou. Mais heureusement pas grand monde n'a la chance de le voir, bon, en même temps tout le monde prendrait peur. Nous mesurons tous les deux 1m54, alors on peut dire qu'on est un peu plus petits qu'un humain habituel de notre âge. Mais il y en a tellement aujourd'hui qui sont plus petits, que ça devient normal dans ce monde. Sofya est une excellente couturière. C'est elle qui nous fabrique nos vêtements. Elle est super douée, fait main et robustes, ils se vendent suffisamment chère pour satisfaire notre maître et grâce aux vêtements qu'elle fait, on peut facilement se fondre dans le décor et ainsi passé pour des personnes modestes dans notre ville. Lucius à un petit penchant pour le violet, il dit que sa passe bien avec le rouge du sang, perso, je préfère le bleu. Je sais pas pourquoi, mais ça à toujours été une couleur que je préfère. Je trouve ça plus élégant. Après, chacun ses goûts.»
Description mentale :
« On m'a souvent dit que j'étais fou. Que je devais être dans un endroit spécialisé. Moi, je dis qu'ils sont jaloux. Jaloux de notre amitié fraternelle. Lucius et moi vivons très bien ensemble. On se soutient mutuellement et sa compagnie me fait souvent du bien. Et ceux qui disent le contraire ne comprennent rien à la vie. Ils sont seuls. Tellement qu'ils se sentent obligés d'arracher la liberté à des gens sans même s'en soucier. Ces gens-là ne se sont jamais imaginés à la place de leurs victimes. Et pour ceux où ils leur restent un bout de cœur, préfère se dire qu'ils aiment être seuls pour donner un sens à leur solitude. Mais nous en s'en fiche de ce qu'ils disent. C'était notre vrai père qui nous disait ça. Tant que nous, nous sommes heureux, ensemble, c'est le principal. Lucius n'est pas de la même espèce que moi. Je sais ce qui il est, car nous ne nous cachons rien. Si les gens le verraient, ils l'appelleraient « le monstre ». Moi, je ne suis pas comme eux. Je le respecte et c'est pour ça qu'il m'aime autant. Nos vrais parents disaient que j'avais eu de la chance de l'avoir trouvé et que je ne devais jamais le laisser tomber. En même temps, j'en ai jamais eu l'intention. On s'est toujours bien entendu alors pourquoi le faire ? Il est peut-être un peu fou parfois, mais il m'aide à rester dans le droit chemin. Si je connais encore sa vraie signification. Je dis que Lucius est fou parce qu'il est envahi par la colère et la soif de vengeance. Pour lui, la violence règle tout et je sens que parfois, il a bien envie de taper sur quelqu'un. Heureusement, je sais comment faire pour le calmer parce que je sais très bien que même à deux, nous sommes trop faibles pour gagner un combat. Alors, autant éviter de s'attirer de gros ennuie et de mourir tout de suite et restons calme. Bien sûr, on ne se laissera pas faire non plus si on a envie de nous tuer. Mais il faut savoir être raisonnable. Contrairement à Lucius, j'ai plus de facilité à me contrôler. Quand j'ai envie de taper sur quelqu'un j'arrive à me ressaisir en pensant à quelque chose d'autre. Aux conséquences par exemple et la plupart du temps ça fonctionne. J'ai la fâcheuse tendance à m'énerver pour un rien et de me vexer facilement. Je prends toujours mal les choses qu'on me dit, parce qu'au final personne, mis à part Lucius, me dit des choses gentilles, alors forcément je ne peux qu'être comme ça. Mais c'est aussi parce que j'ai toujours cette boule qui me fait mal. Toujours présente, elle ne me quitte jamais. Le stress probablement. C'est ce que Lucius me dit. Il me dit aussi que c'est à cause de la peur, un signe de faiblesse qu'il faut que je me débarrasse. Mais je ne sais pas comment faire pour la faire fuir. Un gros problème. »
Convictions :
« Vraiment, on n'espère pas grand-chose de ce monde. De toute façon, il meurt de plus en plus et devient de plus en plus nul. On n'espère pas non plus revoir rien qu'une seule fois nos parents parce qu'on sait très bien que c'est impossible. Non, nous voulons seulement retrouver la liberté qu'on avait avant. Cette joie de vivre que nous n'avons pas. Découvrir d'autre pays surement meilleur que celui-là. Ça doit forcément exister. Mais bien évidemment, nous avons aussi tous les deux une peur, une colère et une tristesse à faire disparaître définitivement, mais nous savons déjà comment faire… Il nous faut juste un peu de temps. On dit aussi que lire est une sorte de liberté. Pourquoi pas un jour apprendre à lire ? Et peut-être aussi découvrir la technologie dans un meilleur point de vue. A part ma montre on as jamais vraiment vu ce que la technologie peut faire. Elle est peut-être bien meilleur que ce que les gens le disent... »
Passé de votre personnage :
Histoire :
La paix n'est jamais éternelle:
« - Regarde mon chéri notre magnifique bébé. Notre petit Croyance. La vie te tend les bras. Ne passe pas à côté d'elle sans même lui adresser un sourire ou tu le regretteras.
- Ne lui dis pas ça, tu vas lui faire peur, mon amour. »
« Quand on était petits, Lucius et moi, étions heureux. Notre maman, Aurora, était super gentille. Elle nous faisait toujours plein de câlins. Notre père, Cristopher, avait eu un accident quand je n'avais que deux ans. On ne nous a jamais dit ce qui s'était réellement passé, mais résultat, il était en fauteuil roulant. Pour tout vous dire, Lucius n'a pas toujours été avec nous. On s'est rencontré dans la nature. J'avais trois ans à l'époque. Maman et papa étaient avec moi. On se baladait tranquillement quand on l'a repéré. Il était encore tout petit, mais savait parler notre langue. Un peu. Du moins, il comprenait ce qu'on disait et nous aussi. Il était terrifié et triste. Il avait pris sa forme de petit garçon quand on l'avait trouvé. Il nous a dit que c'était pour éviter de se faire tuer. Les monstres ne sont pas toujours bien vus. Il nous a cependant dit que ses parents avaient été tués très tôt ce matin et par la peur, il s'était enfuit. Il s'est toujours reproché cela d'ailleurs, même aujourd'hui. Il dit qu'il a lâchement abandonné ses parents alors qu'ils avaient besoin d'aide. Mais il ne pouvait rien faire puisqu'il n'avait que trois ans comme moi. On n'a pas hésité à le recueillir à la maison. Une petite créature désespérée au milieu d'un monde brutale. Qui aurait un cœur aussi cruel pour le laisser seul ? Pas nous. Il nous a dit qu'il s'appelait Lucius et que c'était un Tiyranhium, une espèce à la capacité de se rendre complètement invisible, et de prendre une apparence humaine et de se lier avec quelqu'un. À la maison, tout le monde le voyait, mais dès qu'on sortait, il se rendait invisible de tout le monde. Étant un monstre, il racontait que c'était mieux pour lui. Moi, je me suis toujours dit que c'était parce qu'il avait peur des gens. Mais tant qu'à la maison, il était heureux, c'était le principal. »
Quand la Peur s'invite:
« On a toujours vécu en paix. On était heureux, on ne sortait pas beaucoup de la maison, mais on était heureux, du moins, jusqu'à nos 10 ans. À nos 10 ans, le cauchemar a commencé. On ne savait pas trop qui était ces gens. Ce qui est sûr, c'est qu'ils ont tué nos parents et détruit notre enfance. Ils ont sonnés à la porte se faisant passer pour d'autres personnes. Maman était trop méfiante et ne les avait pas laissé entrer. Mais ils étaient plusieurs et l'ont repoussé. Ils sont entrés, armes à la main. Instinctivement, nos parents nous ont dit de nous cacher dans le sous-sol. Mais on n'avait pas écouté. Malgré les inquiétudes de nos parents. Notre mère a été la première à être tuée. Elle voulait juste nous protéger avec notre père qui ne pouvait se défendre. Elle s'était prise un couteau dans le ventre en voulant repoussée l'un d'entre eux. Par la colère de celui-ci, elle s'était prise minimum six coups de couteaux par la suite. Et notre père, lui a été jugé inutile à cause de son handicap et a été violemment tué. Ils ont commencé par le frapper tellement fort au visage qu'il est tombé du fauteuil. Puis profitant de son impuissance il l'ont frappé jusqu'à la mort. Lucius, se rendit complètement invisible.
On ne le voyait pas. Je ne savais donc pas ce qu'il faisait. Moi, quand ils m'ont vu, ils m'ont attrapé et mis les mains dans le dos, l'un d'eux, c'était placé en face et avait fait rouler les têtes de mes parents sur le sol jusqu'à mes pieds. Leurs yeux étaient vides. Leur esprit avait disparu, leur corps sans vie était allongé sur le sol, devenu écarlate. Ils avaient tous un sourire affreux, mais lui encore plus. Son sourire sadique me glaçait le sang. J'en avais déjà vu des affreux sourires. Mais jamais comme ça. Il laissait transparaître ses dents jaunâtres. Et on pouvait presque voir les visages de toutes ses victimes à travers ses yeux. Il m'avait dit qu'il s'appelait Jason. Un nom qui resta toute ma vie dans mon esprit. Ayant tout assisté à la scène de crime qu'ils avaient commis, j'étais pétrifié. Incapable de bouger. À coup sûr, c'étaient des barbares dont leur seule raison de vivre est le sang. C'était la première fois de toute ma vie que la Peur s'était invitée autant en moi. De plus, je ne savais pas où était passé Lucius. M'avait-il laissait tombé ? Pourquoi dans un moment pareil ? Et puis… D'un coup, le vide s'installa…
Une douleur vive me réveillât. Mon œil droit me faisait souffrir de plus, je ne voyais qu'à moitié. L'inquiétude arriva. J'étais devenu aveugle d'un œil. Je posai mes mains sur celui-ci pour essayer de calmer la douleur, mais quand je les avais retiré, je vis une couleur rouge sur mes mains. L'homme qui m'avait frappé avait sûrement dû toucher mon œil droit et il devait peut-être avoir une grosse bague pour me le rendre inutile. Avec le seul œil qui me restait, je vis que j'étais attaché par des grosses chaînes aux poignets, aux chevilles et au coup portant une tenue assez moche. J'étais à moitié assommé encore, mais j'avais vu que je n'étais pas seul. Il y avait d'autres gens attaché, eux aussi ils étaient tristes, certains pleurés, tendis que d'autre discutaient et rigolaient à l'avant. J'avais vu aussi qu'on était tous enfermé dans une grande cage. Lucius était apparu à ce moment-là. Il avait pris ma main et m'avait regardé dans les yeux. Il m'avait dit qu'il me choisissait comme partenaire. Il m'avait déjà parlé de ce système. Grâce à ça, je pourrais toujours le voir et l'entendre même quand personne d'autre le verra. Il disait que ce sera bien plus simple pour nous deux et j'étais totalement d'accord. C'était un privilège énorme que j'avais. J'avais gagné sa confiance. Un symbole était apparu sur notre épaule gauche. Il ressemblait à une cage noire avec une allure ténébreuse. Puis Lucius avait disparu de nouveau. Enfin, pour les autres. Pour moi, il était encore là, assis et triste. Il ne pouvait même pas nous aider puisque les clefs étaient avec les barbares à l'avant. On n'avait pas d'autre choix que d'attendre et d'espérer que tout aille bien, même si on n'y croyait pas trop.
Plongé dans nos sombres souvenirs, on avait fini par perdre toutes notions du temps, embarquant nos faibles repaires. On s'était retrouvé dans un endroit qu'on ne connaissait pas. Nous n'étions jamais allés aussi loin, jamais.
- Ta vie est foutue mon garçon. Tu as très peu de chance de tomber sur des personnes bien, les gens viennent acheter des esclaves, pas des amis. Et ton jeune âge ne va certainement pas t'aider. Prépare-toi à vivre une vie où la mort aussi violente soit-elle devienne une amie.
Je me suis toujours rappelé de ces phrases parce qu'elles nous ont complètement détruit nos espoirs. C'était un humain en apparence qui nous avait dit ça en vrai, c'était un thérianthrope. Un thérianthrope qui savait ce qui allait se passer. Nous, on en avait aucune idée, mais on n'allait pas tarder à le savoir.
Quand la cage s'était arrêtée, il y avait plein de bruit de partout. Des cris de peur mélangés avec des cris de joie. Ça ne donnait pas du tout envie de sortir. Mais des gens costaud sont arrivés. Ils ont enlevé les chaînes qui nous tenaient aux barreaux de la cage, mais pas celle aux chevilles ni aux poignets. Puis ils nous avaient traîné jusqu'à une longue queue de gens vêtus comme nous. Des esclaves que disent les autres. Lucius m'avait dit qu'on allait être vendu à quelqu'un qui voudra de moi. Étant invisible, il avait eu la possibilité d'aller dans la foule sans que personne ne le remarque et avait put écouter ce que les gens disaient. C'est comme ça qu'il avait pu le savoir. Mais pourquoi les barbares ne nous ont pas tués ? On était inutile… Bien trop jeune, pour que des gens nous prennent.
La file avançait de plus en plus, ceux qui ne se faisaient pas acheter aller de l'autre côté. Qui sait ce qui leur arrivera ? Moi, je ne voulais pas savoir en tout cas. Puis vint mon tour. À ce moment-là, j'étais vraiment stressé et j'avais très peur aussi. Quand on a 10 ans, peu de gens nous prennent parce qu'on est trop jeune. On risquait fort d'aller de l'autre côté. Le vendeur à côté de moi raconté plein de choses, des qualités qu'apparemment, j'avais pour booster les acheteurs. Mais ça n'avait pas l'air de fonctionner. Les gens se regardaient entre eux. Parlaient. Mais aucun signe. Cette foule nous terrifiait et les gens le sentaient. L'homme à mes côtés me disait de me préparer à la pire des choses. Voulait-il parlait de l'autre côté ? Mais finalement, c'est au dernier moment, qu'un humain aux cheveux noirs et les yeux marron avec une carrure de criminel avait levé la main en criant. Tout le monde le regardait. Étonné.
- Moi, je vous le prends. Un gamin de cet âge, serte, c'est inutile en ce moment, mais on peut lui faire faire devenir n'importe quoi plus-tard. N'êtes vous pas d'accord monsieur ? »
La maison de "rêve":
« Le vendeur était clairement soulagé. Nous pas trop. On voyait que ce type était mauvais rien qu'avec son air. Mais il n'empêche que rester là bah n'était pas mieux non plus. Lucius et moi étions complètement d'accord. Sur le chemin, il me posait plein de questions. Mon nom, mon âge si je pratiquais de la magie et qu'est-ce que j'étais. Je lui ai répondu pour certaines choses, mais je ne lui ai pas dit que j'étais un hybride. Je ne sais pas pourquoi, mais c'est comme ça. En ce qui concerne ma magie, je n'étais pas conscient de ce qu'elle était réellement capable de faire. J'avais eu une fois un aperçut de celle-ci. Mais juste une fois et je ne sais même pas pourquoi elle était apparue. En tout cas ce qui est sûr, c'est qu'elle était un peu effrayante. Notre maître nous a dit qu'on n'avait pas intérêt à la montrer sans son autorisation sinon on risquait gros. Sauf que je ne la contrôlais pas. En ce qui concerne mon oeil qui ne voyait plus, il m'avait dit que Sofya arrangerait ça.
Quand on était arrivé à sa "brouette" tiré par un cheval, il nous a dit qu'on allait vivre ici, aux Duchés du Sud. Il nous a aussi dit pendant le trajet jusqu'à chez lui, qu'il s'appelait Vladhimir, qu'il avait quarante et un ans et qu'il comptait sur moi pour l'impressionner malgré mon jeune âge. Il nous a aussi parlé de sa femme Sofya, qu'il aime énormément. Ça se voit quand il nous parle d'elle.
Une fois arrivés, Lucius et moi étions tristes. L'ambiance était maussade, mais on était aussi apeuré. Les gens nous regardaient de haut. Enfin… Surtout moi sachant qu'il ne voyait pas Lucius. Notre maître nous avait conduits jusqu'à la maison. Il nous l'avait présenté du début à la fin. Cette maison est assez petite et donne l'impression qu'elle est complètement envahie par des termites à cause de son aspect assez moche et l'odeur insupportable qu'elle y dégageait. Pourtant, on allait devoir s'y faire parce qu'elle allait être notre maison pour toujours. Et comme promis Sofya m'avait donné un bandeau pour cacher mon œil. Je ne comprenais pas pourquoi elle voulait autant que je le porte, mais je l'avais quand même pris parce que je n'avais pas le choix. »
De plus en plus difficile:
« Pendant un an, la vie dans cette maison n'était pas totalement désastreuse. Au début, notre maître nous avait apprit les règles de base. C'est-à-dire : ne pas courir, ne pas déplacer les objets, ne pas parler sans l'autorisation, ne pas manger sans autorisation, ne pas sortir sans autorisation… Enfin voilà quoi… Toutes ses règles logiques pour un esclave, mais injuste pour nous. Notre maître sortait à des moments et revenait à des heures à chaque fois différentes. Sofya, elle restait toujours à la maison sauf pour aller au marché et acheter la couture nécessaire pour nous fabriquer des vêtements luxueux dont certains étaient vendu pour des personnes riches. Ils arrivaient à se débrouiller et ne pas mourir de faim. Le problème quand il y a deux enfants de plus à la maison dont un qui ne se montre jamais et qui du coup profitait de chaque petit moment où on était seuls pour voler à manger, la vie était un peu plus difficile. Alors, j'aidais Sofya avec ses vêtements. On en fabriquait plus, et vu qu'elle m'avait bien appris, c'était simple.
Le soir, quand ils dormaient, Lucius et moi faisions encore des vêtements sans leurs autorisations. Quand ils l'ont appris, notre maître était en colère parce qu'on se servait de la machine sans autorisation. Il était furieux, on ne l'avait jamais vraiment vu comme ça. Il commençait à jeter des objets et à me frappait. Je le suppliais d'arrêter, mais il s'en fichait.
Pourtant, la nuit prochaine, on a recommencé parce que ça les aidait beaucoup. C'était seulement au bout de dix nuits que Sofya nous a défendu. Elle avait dit à Vladhimir que ça les aidait beaucoup parce qu'ils étaient bien faits et que la vente était du coup plus grande. Finalement, notre maître a accepté parce qu'on avait l'autorisation de Sofya. Enfin… Ils m'autorisaient moi, pas Lucius. Mais ce n'est pas grave.
La nuit était pour nous compliquée. Notre chambre était en réalité le grenier. Il était vide et il y avait un matelas et une couverture. Le matelas était assez grand pour qu'on puisse tous les deux dormir dessus. Il faisait très froid et on entendait tous les bruits étranges de la nuit. De plus, le noir nous refaisait penser à la mort de nos parents. Aux moments difficiles qu'on a eu en si peu de temps… Lucius profitait du seul moment qu'on avait pour retrouver sa forme normale et se rendre visible. Parfois, on discutait de notre plan qu'on avait en commun. Mais à cet âge-là, il n'était pas aussi violent. Disons que même si on avait énormément souffert, l'idée de tuer quelqu'un ne nous était jamais passé par la tête. On discutait juste d'un parfait plan pour s'enfuir. Et on aurait dû en profitait tant qu'il en était encore temps. Un soir Lucius me demanda une drôle de question. Il m'avait demandé comment était la mort pour moi. J'ai réfléchi et je lui ai répondu qu'il ne fallait pas avoir peur d'elle, elle n'est que chemin vers un monde meilleur… Elle peut paraître horrible, mais on finira par la remercier. Car parfois, la vie peut être bien plus cruelle que la mort ! Il a rigolé et il m'a dit que c'était une bonne vision, alors je lui ai demandé la sienne et voici ce qu'il m'a dit :
« Toujours, tu courras, toujours, tu tomberas, toujours, tu te relèveras, mais jamais tu ne lui échapperas. Du haut de son épouvante élégance, elle te traque, te pourchasse et te rattrape et sans même te prévenir, elle t'enlace de ses chaînes obscures et à ce moment-là, tu auras beau crier, hurler, pleurer, ça ne servira à rien, ta souffrance l'amuse, comme un chat avec une souris, et quand tu seras trop faible pour te débattre, pour pleurer sur ton triste destin, elle te laissera tomber comme le chat qui trouve que la souris n'est plus amusante, te laissant, mourir, pourrir et souffrir, en attendant, elle, elle ira trouver un nouveau joujou... Jusqu'à ce que lui aussi rejoigne son immense demeure aussi horrible que magnifique. Puis, elle ira en choisir un autre… Hé oui, elle est comme ça la mort, sadique et cruel à la fois, c'est ce qui lui fait son charme. »
Je lui ai répondu qu'il pouvait être poète plus tard. Puis on a rigolé. Nos visions étaient différentes, mais c'était juste une façon pour nous de nous divertir. De penser à autre chose. On ne voulait pas mourir, mais on ne voulait pas survivre non plus. Nous, on veut vivre et s'amuser. Et de temps en temps, rigoler fait du bien.
Mais ces moments-là ne dur pas longtemps, car quand vint le temps de dormir, c'est à ce moment qu'on sombre le plus et c'est ce qu'il s'était passé. Plongé dans le douloureux souvenir de la mort de mes parents, une chose imprévue se passa. J'étais à ce moment-là, couché sur le dos sur le dur matelas de la salle. Pensant à la tête de mes parents. Me revoyant encore une fois à ce moment-là. Quand des ombres apparurent. Je ne les avais pas remarqués. C'est Lucius qui me l'avait dit. Il était inquiet, car la première fois que cela m'était arrivé, elles avaient tout détruit. Mais cette fois, c'était différent. Des visages étaient apparus. Ils n'étaient pas là la dernière fois. Ils étaient tout autant effrayent. J'avais eu très peur d'eux ce jour-là. Je trouvais ces visages horribles et terrifiants. Les ombres avaient presque envahi la salle et je ne savais pas quoi faire. Heureusement, il n'y avait pas grand-chose à casser, en revanche, elles pouvaient faire du mal à Lucius. Et je ne voulais pas ça. Mais un problème plus gros était intervenu. Notre maître était entré dans le grenier et quand il avait vu la salle envahie par ses ombres avec des visages, il a eu peur. Un peu normale. Heureusement, il n'a pas eu le temps de voir Lucius, mais quand je me suis retourné, les ombres ont dû voir que j'avais peur de lui parce qu'elles se sont toutes jetées sur lui. Il n'a pas réfléchi et quand il a vu ça, il a vite fermé la porte, mais l'une d'entre elles avait quand même put l'atteindre et lui à transpercé le bras.
Ce n'était évidemment pas des ombres comme les autres. On pouvait les toucher. C'était comme des armes complètement noires avec des visages. On les appelle les ombres parce qu'elles y ressemblent beaucoup, mais je ne pense pas que ce soit réellement un nom approprié. Ce qui est sûr en tout cas, c'est que notre maître n'était vraiment pas content. Il a attendu un peu avant de revenir. On l'avait entendu descendre, sûrement pour aller rejoindre Sofya. Les ombres ont fini par disparaître. Lucius et moi on, c'était regardé redoutant le moment où il reviendrait.
Quand il était revenu, il était au côté de Sofya et il avait un bandage au bras droit. Il était très énervé. Je ne me souviens plus trop de l'âge que j'avais exactement à ce moment-là, mais je sais qu'on était trop jeune pour pouvoir bouger tellement qu'on avait peur. On voyait, rien qu'à leurs visages la colère qui s'emparait d'eux. Comme par hasard, les ombres ne revenaient plus. Je ne savais pas quoi faire et Lucius n'arrêtait pas de me dire de le faire revenir. Mais impossible. Je n'y étais pas arrivé. Je me souviens encore très bien de ce moment. Je sais que Vladhimir avait un couteau à la main. Un couteau qui me fit penser à ceux de ces barbares.
« Dit moi Croyance, j'espère que tu as une très bonne explication ou ce couteau brillant va avoir une nouvelle couleur. »
C'est horrible, n'est-ce pas ? C'est exactement ce qu'il m'avait dit. Malheureusement, je n'avais pas de bonne explication mise à part le fait que je ne les contrôlais pas. Bien évidemment, ce n'était pas convenable pour lui. Et comme promis son couteau avait prit une teinte rouge et une douleur vive apparût à mon bras gauche. Le sang coulait de celui-ci. Je n'avais pas pu m'empêcher de pousser un cri de douleur et de m'écrouler sur le sol. Lucius, paniqué courut vers moi. Mes larmes coulaient et notre maître se tenait droit devant nous, mort de rire. Il disait que je le méritais et que je ressentais la douleur qu'il avait eu. Cette leçon qui, pour moi était illogique puisque je ne l'avais pas voulu. Même si aujourd'hui, je ne suis pas déçu.
Le temps passa et Sofya m'aidait à contrôler ces ombres. Au début, c'était difficile, mais j'y arrivais de plus en plus. Elle me disait que je m'en sortais très bien. J'ai toujours eu la faculté d'apprendre vite et de bien les comprendre. Je sais que pour invoquer ces ombres, il faut être concentré, vidé son esprit et avoir confiance. Les deux premières fois qu'elles étaient apparue j'étais beaucoup trop stressé pour les contrôler. Je n'avais pas assez confiance en elles. Et j'avais trop peur. Ce que j'aimais bien avec Sofya, c'est qu'elle était patiente. Disons qu'elle ne voulait pas qu'une catastrophe se reproduise. On allait dehors pour s'entraîner. Loin des gens pour plus de tranquillité. Plus les jours passés et plus j'arrivai à les faire apparaître. En revanche, pour les faire bouger sans tuer quelqu'un était plus compliqué. Aujourd'hui encore, c'est compliqué, mais je suis capable de les invoquer à ma guise et de les déplacer, même si parfois, elles ne veulent pas. Mais je ne perds pas une journée sans les invoquer au moins un peu. Un entraînement acharné, dirait certains.
Ce qu'on appelle une vie:
Jusqu'à nos 20 ans, nous avons surtout fabriqué des vêtements et fait des entraînements intensifs. À 20 ans par contre la vie a changé. Finis la couture de jour pour aider Sofya. Un jour, en rentrant, notre maître à ramener une sorte de bracelet. Comme les colliers qu'on mettait autour du cou des prisonniers. Sauf que là, c'était un bracelet qu'il avait mis à ma cheville. Il m'avait dit que pour la première fois, j'allais sortir tout seul, mais j'avais un maximum de temps. Le bracelet était relié avec un autre que Vladhimir gardait sur lui, je ne sais pas complètement comment il fonctionne, mais je sais qu'il est capable m'envoyer un message télépathique, à cet instant, il chauffera et me brûlera. Avant, il avait fait un test. La douleur est atroce et le message télépathique fait un énorme mal de tête. Mais en même temps, c'était le but. Notre maître était effectivement une mauvaise personne. Sous ses grands airs d'aristocrate, se cache un criminel. Même si à notre première rencontre, il avait bien l'impression d'en être un.
Au début, il était avec nous pour nous présenter tous les clients et le lieu où ils habitaient. Puis après, il nous laissait seul. Le but était de vendre de la drogue à des gens peu aimables. Si on avait le malheur d'arriver en retard chez eux, ils prévenaient notre maître qui actionnait le bracelet et une fois à la maison, il me frappait jusqu'à ce qu'il en ait marre. Alors à chaque tournée, on faisait bien attention à l'heure. Notre maître m'avait donné une montre à gousset. Il disait que c'était son grand-père qui lui avait donné et qu'avec elle, je n'avais plus de raison d'être en retard. Apparemment, elle vient d'Akkaton et elle est très vieille alors il fallait que je fasse très attention, aujourd'hui encore. En revanche, elle paraissait être un objet de valeur, c'est étonnant qu'il me l'a donné. À notre avis, il l'avait volé à quelqu'un de riche. Mais bon, maintenant, c'était la nôtre. Même si, règne encore un grand secret sur cette montre. Peut-être qu'un jour, on retrouvera son ancien propriétaire. Mais, aujourd'hui, c'est la nôtre. Rien qu'à nous.
Lucius et moi connaissions le chemin par cœur. Trimbalant sur le dos, un sac remplit de drogue, nous empruntions ce chemin chaque jour en partant l'après-midi pour revenir le soir. Ce travail était épuisant surtout quand les clients étaient énervés ou trop chiant, mais on n'avait pas le droit de se laisser distraire même si parfois, on ne pouvait pas faire autrement. Un jour, d'ailleurs, quand nous étions en train de faire notre tournée habituelle un problème légèrement agaçant, c'était produit. Lucius et moi gardons toujours ce souvenir en détail dans la tête.
C'était, ce qu'on croyait, une journée comme les autres. J'avais pris le sac que notre maître avait préparé et, comme d'habitude, on prenait le chemin pour aller en premier, chez les Lombard. Un couple pas très agréable, à voir et à connaître. Mais en même temps quand on prend ces choses-là notre tête ne s'arrange pas… Enfin bref.
On avait emprunté un chemin assez large qu'on aimait bien parce que généralement, il y avait peu de gens qui passaient par là. Il était beaucoup trop glauque pour les gens normaux. Malheureusement, ce jour-là, on avait croisé une personne que personne n'aurait aimé croiser. On ne connaissait rien de lui comme lui ne connaissait rien de nous. Mais notre sac avait attiré son attention. Lucius avait senti qu'il n'était pas aimable. Il le regardait d'un air louche et ne le quittait pas des yeux. Il m'avait dit qu'il ne l'aimait pas. En même temps Lucius n'aime personne…
« Et gamin y a quoi dans ton sac ? »
« Il ne faut pas qu'il le sache Croyance. Improvise !»
Ça, je le savais. Mais c'était étrange Lucius ne m'avait pas demandé s'il pouvait le tuer. Il avait donc senti qu'il était trop fort. Il fallait que j'invente quelque chose en une fraction de seconde.
« Ce n'est rien d'intéressant laissez-nous passer s'il vous plaît ! On a d'autre chose à faire plus importante. »
Quand on est un gosse et qu'on est dans une situation comme ça, on ne réfléchit pas à ce qu'on dit. S'en même m'en rendre compte, j'avais dit « nous » et en plus, j'avais encore plus attiré son attention.
« Vous ? Et qu'est-ce que vous avez de plus important à faire ? Hein ? Aller, tu peux bien me dire ça ? »
« Super, on fait quoi maintenant ? »
Lucius était inquiet. Et quand il est inquiet, ce n'est pas bon. Je ne trouvais pas d'échappatoire et si on continuait comme ça, on allait être en retard. Ce qui ne serait pas bien du tout. Malheureusement, l'inconnu avait perdu patience. Il ne devait pas être très âgé, mais il savait manipuler la magie. Notamment la magie du vent. Il y avait beaucoup de gens dans les Duchés et bien évidemment, on était tombé sur lui. Super…
« C'est ta dernière chance. Dis-moi ce que tu trafiques. »
S'il savait ce qu'on faisait... Lucius avait renoncé à son anonymat en se rendant visible. Prenant sa forme humanoïde. L'inconnu fut surpris de le voir. Il crût d'abord que c'était moi qui l'avais invoqué. Comme si j'étais capable de faire ça… Mais bon, on n'a pas tous la chance d'avoir un cerveau. Lucius en avait même rit. Mais il reprit son sérieux. On se lança un regard comme pour se donner de l'espoir. Je ne perdais pas de temps. Je m'étais concentré sur mes ombres. Fermant les yeux, je ne voyais plus qu'elles. D'un coup, j'ouvris les yeux et elles apparurent. Je n'avais jamais été aussi content de les voir. J'étais fier de moi. L'homme grogna de rage. Mes ombres lui faisaient peut-être peur. Ce fait du bien de savoir que quelqu'un a peur de toi. C'est tellement agréable. J'avais fixé droit dans les yeux l'inconnu d'un air violent apparemment et mes ombres s'étaient lancées sur lui. Mais il les avait toutes esquivées. Elles n'étaient pas assez rapides et il éclata de rire.
« C'est tout ce que t'as dans le ventre gamin ? Vous croyez me battre avec vos sorts minables ? Vous n'êtes pas des gosses pour rien. Ha ! »
Je m'étais concentré de nouveau sur lui et mes ombres lui foncèrent dessus. Mais pareil. Il les avait toutes esquivées, de justesse certes, mais aucune ne l'avait touché. Inquiet, je savais plus quoi faire, je n'arrivais plus à réfléchir. C'est à ce moment que Lucius prit le relais.
« t'as pas honte de t'en prendre à plus petit que toi ? »
« Bien sûr que non, avec les gosses t'es sûr de gagner le combat au moins. »
« Je vois le genre. T'es qu'un lâche en fait. Tu as peur des adultes alors tu t'en prends aux enfants. Mais que feras-tu si t'en trouve un plus fort ? On va te faire payer et tu vas regretter de t'en être pris à nous ! »
Emporter par la colère Lucius ne voulait qu'une chose : la mort de l'inconnu. J'étais inquiet, car on avait peu de chance de le battre même si on était deux. L'inconnu rigolait, car lui non plus n'y croyait pas. Il s'était rapproché de nous et avait regardé tout autour. Il y avait un mur juste à côté. Sur son visage, se trouvait encore ce sourire insupportable.
Mes ombres venaient juste de disparaître alors qu'il me regardait fixement. Je n'arrivais plus à les faire apparaître. C'était impossible. La poisse… Bien entendu, il en profita pour me plaquer contre le mur. Ses yeux noirs étaient plongés dans les miens et son sourire était horrible. Les souvenirs des barbares étaient apparus, laissant place à la peur. Mes pieds ne toucher plus le sol et sa grosse main me serrait la gorge. J'avais l'impression de voir la mort. On m'a toujours dit de ne pas avoir peur d'elle, mais c'est impossible. Elle est si terrifiante et douloureuse. Sa main ce serré petit à petit. Je commençais à ne plus avoir d'aire. Alors je fermai les yeux pour essayer d'invoquer mes ombres, mais elles ne venaient pas. Ça m'énervait, je ne savais pas pourquoi elles ne voulaient pas venir, mais en tout cas, il fallait que j'y arrive. J'essayais plusieurs fois, mais impossible. J'avais perdu espoir. Alors de toutes mes forces, j'essayais de me rappeler de mes beaux souvenirs même s'ils étaient peu nombreux. Je voulais juste accepter mon sort et calmer la peur. Peut-être qu'alors après ça elles accepteraient de venir.
« C'est bien de souffrir en silence et d'accepter son sort petit. Même si tu sais que ton ami aussi va mourir. C'est bien ça, jamais plus vous serrez séparés. Qu'en pense tu ? Mais je vais te faire une dernière faveur. Dis-moi à-tu une dernière volonté ? »
Sa main se serrait encore plus je n'arrivais plus à parler. Alors il l'avait desserré. Derrière lui, j'avais vu Lucius qui venait de prendre son apparence originale, il avait une grosse pierre dans sa main. Et il m'avait regardé d'un air confiant.
Mon regard se retourna vers l'inconnu et je lui avais répondu d'un air sec.
« Vivre ! »
Il avait rigolé. Pour lui, c'était clair que notre heure était arrivée, mais pas pour nous. Il serra de nouveau son poing, mais d'un coup, à une vitesse incroyable Lucius se précipita sur lui, et, d'un bond le frappa d'un grand coup à la tête.
Il n'avait pas vu ce coup venir et Lucius avait frappé assez fort pour l'assommer. La pierre était grosse et le coup suffisamment puissant pour assommer quelqu'un, surtout quand il ne s'y attendait pas.
Hurlant de douleur, il recula, quant à moi, j'étais retombé sur le sol, épuisé. Reprenant mon souffle difficilement. Le sang coulé sur son visage. De ses mains, l'inconnu tenait sa tête. Tout en pleurant. Lucius se précipita vers moi et éclata de rire.
« Alors ? On fait moins le malin-là n'est-ce pas ? Que ce que ça te fait de te faire battre par un gosse ? »
« J'ai pas encore perdu ! »
« Nan, c'est vrai, tu vis encore. »
Lucius me regarda, mes ombres étaient apparues, comme si elles n'auraient pas pu venir plus tôt... J'avais encore du mal à respirer correctement, alors je ne savais même pas pourquoi elles ne venaient que maintenant. Mais j'avais bien compris ce que voulait dire Lucius. J'avais fixé du regard l'inconnu profitant que mes ombres soient là, qu'elles ne viennent pas inutilement... De plus, il fallait en profiter tant qu'il était distrait. Toutes ensembles, elles foncèrent sur l'inconnu, pas si loin de moi. Il en esquiva une, mais une autre le prit par surprise lui planta la jambe. Il n'arrivait plus à marcher donc plus à esquiver. On en avait marre. On avait perdu beaucoup trop de temps. Alors, l'une d'elles lui transperça le cœur. Son corps inanimé s'écroula sur le sol. Puis mes ombres revinrent à moi avant de disparaître encore une fois. On avait gagné le combat, on était fier alors qu'on venait de tuer quelqu'un.
On avait en tout perdu presque une heure. Une heure de retard. Les Lombard n'avaient pas été contents puisque le temps que je reprenne mes forces, ils avaient encore dû attendre.
Le temps que j'avais récupéré pour reprendre mes forces Lucius profita d'avoir un cadavre pour se nourrir de sa chair. Au départ, c'était carrément dégoûtant. Mais c'est leur instinct naturel qui les fait aimer ça. De plus, ça lui redonnait des forces. Chacun sa façon…
Les Lombard avaient été très en colère de mon retard. Mais quand ils ont vu mes traces de l'étranglement sur mon cou, ils avaient compris que j'avais eu une complication. Mais ils étaient quand même en colère le mari m'avait violemment frappé au visage. Était-ce mérité ? Pour les autres, c'était plus tranquille. Seulement quelques menaces et des cris. Mais bien évidemment, les Lombard avaient prévenu notre maître de mon retard. Mon bracelet à la cheville m'avait brûlé et la douleur avait parcourue tout mon corp. C'était très douloureux et je tenais fortement ma cheville comme si ça allait guérir. Mais pas du tout. La douleur était restée un long moment. Comme si je n'avais pas assez souffert. De plus, une fois à la maison, c'est Vladhimir qui m'a énervé. Je me suis laissé faire évidemment, mais j'en pouvais plus. Il avait une arme à la main, j'avais beau lui expliquer la raison de mon retard ça ne servait à rien. Même s'il avait bien vu la marque que j'avais au cou. Il s'en fichait. Il avait balancé tout ce qui se trouvait sur son passage. Ce caprice à durée une heure. Sofya en avait eu marre qu'il casse tout et m'avait dit d'aller dans ma chambre, qui était un simple grenier vide et poussiéreux… Depuis ce jour, on a toujours fait attention à l'heure, mais surtout à ne croiser personne pour éviter de se retrouver dans ce cas. Les gens nous ont toujours fait peur. On a toujours peur qu'ils soient comme celui qu'on a croisé ce jour-là. Mais même s'ils sont gentils, ils nous feront toujours perdre du temps. Les gens sont horribles et peuvent être inconscients.
Sur le chemin de monsieur Corcas, nous avons aussi trouvé une petite créature verte. Elle ressemblait à un loup. Un bébé loup trop mignon, perdu et sale. On n'a pas pu le garder ou le ramener à la maison à cause de notre maître. Mais tous les jours, on lui ramène à manger et à boire. On se dépêche toujours pour pouvoir passer du temps avec lui. Et on lui a même donné un nom. Toxin. C'est à cause de sa couleur verte peut-être. Au début, il avait peur de nous, mais quand on a commencé à lui ramener à manger, à boire et qu'on a prit soin de lui, il a commencé à nous faire confiance. Mais il ne veut toujours pas quitter sa cachette. Peut-être qu'il s'y sent en sécurité. Aujourd'hui encore, on le croise tous les jours. Il est devenu un très bon ami pour nous.
On s'était toujours demandé pourquoi notre maître nous faisait vendre cela à des gens. Mais on a eu la réponse un soir où Sofya et lui se disputaient. Lucius a été attiré par les cris. Il voulait savoir ce qu'il se passait. Alors bien évidemment, il a eu la mauvaise idée d'écouter aux portes. De cette façon, on a appris que Vladhimir faisait partie d'une mafia duchéenne, et pas n'importe qui. C'était le chef. Il avait tellement de travail et de responsabilité, disait-il, qu'il ne s'en sortait plus. C'était donc pour cette raison qu'il nous avait embauchés. Même si j'étais petit, j'étais pas chère, et en plus docile. L'esclave parfait pour ça. Un mafieux dans notre maison. Il avait embarqué sa femme dedans et nous avec. C'était donc pour ça qu'elle s'était énervé, elle en avait marre de ce trafic.. Si les gangs rivaux ou les autorités le choppent, ils le tueront et nous aussi. À chaque fois qu'on franchissait la porte avec Lucius, on risquait notre vie pour quelqu'un venant d'un gang qui n'en a rien à faire des autres et qui n'avait plus de temps pour faire la tournée ni pour s'occuper de sa femme. C'est pour ça qu'il nous avait adoptés et embauchés. Au fond, c'était logique et ça ne nous étonnait pas non plus. Cependant, nous étions épuisés de cette vie. Mais nous n'avions aucune échappatoire. On était comme enchaînés par la peur. De simples petits pantins de bois manipulés par un monstre et prisonnier de sa démence. Jusqu'où irait ce petit jeu qui nous torture l'esprit nous rendant chaque jour de plus en plus fous ? Depuis nos 10 ans, nous traversons une vie difficile et nous savons très bien qu'elle existera encore bien longtemps. Elle sera peut-être sans fin. Il faudra donc être fort pour pouvoir espérer voir le bout de cet enfer. S'entraîner dur pour détruire nos chaînes et pouvoir être heureux comme on l'avait été une fois. Mais surtout, il faudra rester déterminés pour retrouver la paix qui est restée dans notre ancienne maison et qui nous manque tellement. »
Liens :
Aurora Hokoron : Aurora était notre mère. Une sublime elfe au caractère apaisant. Elle est morte pour nous protéger à cause des barbares. C'est dommage, on l'aimait beaucoup. Mais un jour on la vengera. On torturera les types qui lui ont fait ça. On leur arrachera membre par membre, petit à petit, pour qu'ils regrette ce qu'ils nous ont fait. Le pire des martyre s’offre à eux. Si on survit assez longtemps pour ça…
Cristopher Hokoron : Cristopher était notre père. Pareil, il est mort à cause d'eux. C'est bête, il était peut-être malade mais on l'adorait aussi. Mais, lui aussi on le vengera, c'est tellement facile de s'en prendre au plus faibles… Le pauvre, je me demande ce qu'il a ressenti à ce moment là ? Sûrement la pire chose qu'un père peut avoir. Ne pas pouvoir protéger sa famille… Quelle chose horrible pour un père.
Lucius : Lucius est un Tiyranhium, je l'ai rencontré lors de mes trois ans. C'est comme un frère pour moi. Il est ma raison de vivre. Il m'aide énormément à garder espoir, à ne pas sombrer dans le désespoir. Il se cache tout le temps à la vue des autres. Il ne se rend pratiquement jamais visible, du coup Vladhimir et Sofya ne connaissent même pas son existence. Marrent n'est-ce pas ?
Vladhimir Aurenaïm : Vladhimir est un simple humain, arrogant et stupide. C'est l'une des personne qui mérite de mourir et de souffrir toute sa vie. Mais il est aussi mon maître et pour l'instant on doit faire avec. Mais un jour il finira par payer. Étant haut classé dans une mafia, il ne se balade jamais sans ses armes. Alors quand il est là on préfère rester silencieux, histoire de ne pas aggraver notre cas. Si on peut faire pire…
Sofya Aurenaïm : Sofya quant à elle à le malheur d'être sa femme. Même si tout les deux s'aime autant qu'un psychopathe aimant tuer, l'amour ne dure jamais longtemps avec un type comme lui. Sinon, elle n'est pas si méchante que ça. Elle m'a bien aider à contrôler mes pouvoirs, je ne la remercierais sûrement pas assez pour ça, mais on pense qu'un jour elle finira par le regretter. Elle nous à aussi défendu parfois quand on faisait trop de bêtises. Ce qui prouve qu'elle vaut mieux que celui qui lui sert de chéri…
Qui êtes vous ?
Petite présentation de votre personne : je suis Laura, vous savez ? Celle qui as fait la voleuse au nom d'Aerin x) Si je ne me trompe pas je suis toujours la même qu'autrefois. Peut-être que depuis, ma folie à augmentée mais c'est tout normalement =3
Rythme rp et particularités : Je peux répondre que quand j'ai le temps, c'est à dire plutôt le mercredi après midi et le week-end et pendant les vacances une semaine ou un mois sur deux généralement. Mais je préviens toujours quand je sais que je ne serais pas là avant un moment. Bien sûr selon mon envie je peux aussi répondre le soir après 17h ^^
Comment avez vous découvert le forum : Ben, ça n'a pas changé depuis la dernière fois non plus. ^^
Des ambitions pour votre personnage ? Quelle évolution aimeriez vous lui donner à court ? Moyen ? Long terme ? Avez vous prévu quelque chose ou êtes vous adepte du "laisser le jeu faire" et voir ce que ça donnera ? J'aimerais juste qu'ils restent longtemps dans cette vie là. Et pourquoi pas qu'un jour ils accomplissent leurs rêve et aussi qu'ils évitent de mourir dès le premier rp. XD
Age : 26 ans pour les deux mais 12 ans mentalement
Métier : Explorateurs du monde extérieurs mais aident aussi au monastère
Réputation : Rien pour l'instant
Résumé de l'histoire : A venir
Croyance
Résumé physique : Croyance possède les traits doux et fins d'un enfant de 12 ans. Sa taille et sa corpulence correspondent à celle d'un jeune ado bien qu'il soit bien plus pâle que la normale. Il possède toujours son bandeau noir à l'œil droit cachant une lourde cicatrice, mais cela ne l'empêche pas de garder son regard malicieux et sa petite tête d'ange.
Résumé mental : Croyance est un jeune hybride âgé de 26 ans, pourtant, n'importe qui lui en donnerait beaucoup moins. En effet, son passé douloureux à fait de lui un être de 26 ans coincé dans un corps et un mental d'un enfant de 12 ans. Curieux, parfois timide, naïf et bien trop peu méfiant il veut croire en un monde meilleur malgré tout ce qu'il a dû endurer durant son enfance. Mais c'est justement parce qu'il n'a pas eu la chance d'avoir une vraie enfance qu'il est resté bloqué dans le corps d'un enfant. Et il y croit tellement que même son physique à du mal à changer.
Lucius
Réusmé physique : Lucius n'a pas changé physiquement. Sa forme naturelle est celle du tiyranhium mais il préfère toujours prendre l'apparence du garçon de 12 ans blond aux yeux bleus. Ainsi, il n'a plus l'impression d'être différent et a aussi moins peur du regard des autres. Cependant, son regard est toujours plus glaçant que celui de son ami, prouvant qu'il ne fait plus confiance à personne.
Résumé mental : Si leur passé douloureux a fait de Croyance un enfant innocent, pour Lucius c'est différent. Bien qu'il ait moins souffert physiquement par leur maître, son mental a pris un sale coup. Malgré leur liberté et leur vie plus paisible, Lucius est comme qui dirait, devenu froid. Il est devenu méfiant et froid avec les autres et l'innocence de son frère ne l'aide pas. Il est plus agressif, plus fou et s'emballe vite. Un simple mauvais geste pourrait le rendre incontrôlable. Contrairement à Croyance, devoir se battre contre quelqu'un ne lui poserait aucun problème. Parfois même, c'est tout ce qu'il demande. Mais il peut aussi surprendre puisque quand il est dans ses bons jours ou que la tête de l'interlocuteur lui va, il peut se montrer bien plus agréable.
Armes de tailles : Inapte Armes lourdes : Inapte Armes d'hast : Inapte Faux : Inapte Art de la défense : Inapte Armes de lancer/fouet : Inapte Arc/arbalète : Inapte Mains nue/Arts martiaux : Adepte Armes à feu : Inapte Équitation : Inapte Domptage : Prodige Conduite : Inapte
Stats :
(Stats elfiques -> stats demi-elfe) +1 en vivacité -> 0,5 +2 en agilité -> 1 -1 en résistance physique -> 0,5 -1 en vitalité -> 0,5 -1 en force -> 0,5 +2 en beauté -> 1
Talents
Domptage - prodige
Loyauté indéfectible : Vos compagnons animaux ou monstrueux vous sont particulièrement loyaux. Novice : Vos compagnons animaux et monstrueux bénéficient d'un bonus de 10 en volonté pour résister aux tests d'influence. Adepte : Vos compagnons animaux et monstrueux bénéficient d'un bonus de 5 en attaque. Maître : Vos compagnons animaux et monstrueux se battront toujours jusqu'à la mort pour vous, ils ne fuiront que s'ils y sont contraints d'une manière impérieuse. Expert : Vos compagnons animaux et monstrueux ne peuvent jamais être retournés contre vous.
Magie - Maître (invocation) et prodige (ténèbres)
Catalyseur magique : La magie passe naturellement à travers vous, faisant de votre personnage un bon catalyseur. Novice : Le coût de tous les sorts est réduit de 5 pourcent pour vous. *Adepte : Vous absorbez 5 pourcent de la magie de tous les sorts utilisés sur vous, sauf ceux de masse.* Maître : Vous pouvez tenter d'absorber une partie de la magie environnante contre un test de volonté très difficile et ainsi reconstituer en partie vos réserves de mana, attention cela à tendance à épuiser rapidement physiquement parlant. Expert : Vous pouvez tenter un contre sort contre un mage ennemi si vous maîtrisez la même magie que lui, si tel est le cas, en réussissant un test de magie opposé vous lui renvoyez son sort.
Puissance magique : Vous déchaînez votre magie comme un ouragan difficile à contenir. Novice : Vos sorts sont tous légèrement plus puissants et leurs effets plus efficaces. *Adepte : Vos réussites critiques quand vous lancez vos sorts sont plus puissantes.* Maître : Le taux d'échec critique de vos cibles pour résister à vos sorts augmente de 5 pourcent. Expert : Votre taux réussite critique à vos test pour lancer des sorts virtuoses ou légendaires augmente de 5 pourcent.
Volonté - prodige
Volonté d'acier : Vous savez tenir bon, même quand vous devriez céder. Novice : Il faudra vous infliger un peu plus de blessures pour vous mettre hors combat. Adepte : Vous pouvez faire abstraction plus aisément de la douleur que vous ne le devriez. Maître : Vous pouvez une fois par jour faire un test de volonté au lieu d'un test de résistance physique. Expert : Si vous devez être mis hors combat, vous avez le droit de faire à un test de volonté avec un malus de -30, si vous le réussissez vous tenez bon. Augmentez le malus de 10 à chaque nouvelle tentative dans la même journée.[/color]
Lucius se méfie en maroon Croyance discute en darkcyan
Mes bébés:
Croyance Aurenaïm
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Sujet: Re: Croyance Aurenaïm Mer 13 Avr - 22:08
Equipement
Créatures / Monstres
Lucius - Tiyranhium (artefact):
Description de l'espèce: Capable de se rendre complètement invisible de tout le monde tout en effaçant leurs bruits même aux yeux de toutes espèces pouvant voir l'invisible, les Tiyranhiums ont une plus grande chance de survie, ils reste tout de même rares. On dit alors que se sont des monstres éthérés une fois invisible. Ils sont plutôt timide ce qui explique leurs attitudes. Cependant, ils sont capable de différencier le bien du mal et ainsi se lier avec une personne pour l'éternité à ce moment là une cage noir apparaîtra sur l'épaule gauche des deux partenaires. Les Tiyranhiums ont beau être timide, certains seront plus agressif que d'autres. Leur tempérament change selon l'histoire qu'ils ont eu mais aussi leur caractère naturel. Certain savent très bien se battre, uniquement sous une apparence visible. Ils ont aussi la faculté d'avoir une apparence artifice uniquement humanoïde qu'ils choisissent eux-même. Sous cette forme ils savent très bien se battre mais bien sûr pour qu'ils puissent se battre sous cette forme ils doivent obligatoirement se matérialisaient peu à peu, et redevenir visibles. Ils se nourrissent de n'importe quels aliments comestibles mais ils ont une préférence pour la chair des morts. Ce qui les rend d'autant plus effrayants. Mais pour cela il sont obligeait de reprendre leur vraie forme. Visuel
Amélioration par artefact:
Tiyranhium particulièrement puissant, supérieur à la plupart des siens, Lucius est doté des capacités générales de son espèce, mais semble encore plus redoutable. Et aussi plus malin, difficile de dire à quoi cela est dû. Peut-être à une exposition trop intense à une source magique récemment, qui aurait fait muté Lucius, mais dans le bon sens ? En tout cas, depuis un certain temps ce dernier se sent investit d’une certaine puissance, qui ne demande probablement qu’à pouvoir s’exprimer.
-Endurance prodigieuse : Lucius n’est pas à proprement parlé immortel, mais très difficile à tuer, il aura souvent tendance et la possibilité lorsqu’il devrait être vaincu de pouvoir s’échapper in extremis en plongeant dans les ténèbres. Par contre, il lui faudra alors plusieurs jours pour récupérer.
-Transcendance : Lucius par la magie qui inonde ses veines, se sent doté d’une intelligence soudainement très aiguisé (+2 en malignité) et de meilleurs capacités de combat (+1 en attaque et constitution)
(-Bombes aspirantes : Lucius peut projeter cinq fois par combat des sortes d’orbes de ténèbres explosives, qui en plus d’infliger des dégâts à distance honorables, soigneront en partie ses blessures selon la gravité de celles qu’il infligent, même si bien entendu pas de manière égale.
-Lame ténébreuses : Lucius est capable d’invoquer au corps à corps une lame de ténèbres qui lui permettra au lieu d’attaquer le corps, d’attaquer le mental. Si, elle n’ignorera pas les armures, ainsi elle frappera la volonté adversaire et non sa résistance physique. De plus, la lame inflige donc des dégâts de ténèbres.)
Stat de Lucius -Attaque : Prodige -Défense : Virtuose -Constitution : Champion -Malignité : prodige -Taille : Confirmé
Conditions restantes : -Accomplir un exploit quelconque avec Lucius -Devenir fameux dans une nation et connu dans deux ou connu dans quatre
Poupée féline :
Une poupée possédant une forme de félin bipède. Il ressemble vaguement à Karma, dans le physique global, mais la ressemblance s'arrête là. Noire et blanche, la peluche possède quelques marques ressemblant à des tatouages et sa queue se termine par une touffe de poils semblant être à moitié arrachée. On peut également noter que l'un de ses yeux et normal, mais que l'autre est rouge et noir, peu naturel et étrange. En elle-même, la peluche semble agressive, et c'est ce qui semble être le plus bizarre chez elle. Nul ne sait qui a fait cette chose, mais peu la laisseraient entrer chez eux.
Particularités : - Appel : La peluche est dotée d'un étrange enchantement. Une fois par jour et jusqu'à ce qu'elle soit vaincue, elle est capable de devenir énorme. Son tissu devient aussi solide qu'une peau humaine et ses griffes, auparavant en mousse, deviennent solides. Elle est reliée à l'esprit de son possesseur et obéira aveuglément à ses ordres, le défendant sans chercher à comprendre
- Rematérialisation : La peluche est également dotée d'un second enchantement, lui permettant de devenir presque indestructible. Une fois détruite, la peluche transformée retrouve en effet sa forme de peluche naturelle sans les blessures qui auraient pu lui être infligées. Son énergie magique est déchargée et elle devient inutilisable pendant une journée, avant de se recharger.
Arme / armure
Protection au froid:
Cet enchantement protège totalement le porteur du froid, sauf ceux en dessous des -50 degrés ou dû à des sorts.
Autre
Montre à gousset:
C'est une jolie montre à gousset ornée d'une petite chaîne de couleur noire. Son couvercle possède de fines gravures ressemblant à des fleurs. La montre s'ouvre sur deux aiguilles sur un fond noir qui entourent le mécanisme. L'arrière est décoré de motifs floraux sur un fond argenté de la montre. Celle-ci lui a été offerte par son ancien maître. Bien qu'elle lui apporte des souvenirs désagréable, il préfère la garder. Après tout, elle est bien utile.
2 novembre de l'an 2000 -> 7 novembre de l'an 2000
Après que Vittoria et Karma les aient libérés des griffes de Vladhimir, Croyance et Lucius ont suivi la jeune femme pour aller vivre avec elle au sein de son monastère à Ikhyld. Si les débuts étaient difficiles, les deux frères ont sut s'adapter et ont rapidement changé de comportement vis-à-vis des autres.
Cette journée là, Coyance et Lucius ont fait la rencontre de Vittoria et Karma qui les ont libéré de l'emprise de Vladhimir. Bien que Lucius a mis beaucoup de temps à leur faire confiance, Croyance avait tout de suite remarqué qu'ils étaient leur espoir.
Les deux garçon pensaient avoir une journée comme les autres quand ils font la rencontre d'une jeune fille agaçante, qui, prise par curiosité de voir Croyance parler tout seul prend Lucius sous son emprise. Une expérience qui forcera les deux garçons à faire plus attention quand ils parleront ensembles.
Lucius se méfie en maroon Croyance discute en darkcyan
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Croyance Aurenaïm
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Sujet: Re: Croyance Aurenaïm Mer 13 Avr - 22:49
///Liens///
Vittoria Benedetti
///Meilleure amie / sœur de coeur///
///Vittoria a sauvé les deux frères d'un esclavagiste. De ce fait, il est évident que Croyance et Lucius l'adorent, mais ils ne savent pas s'ils doivent la considérer comme leur héroïne, leur meilleure amie ou leur sœur de cœur. Quoi qu'il en soit, elle fait à présent partit de leur famille et ils feront tout pour ne pas la décevoir.///
Karma O'Barai
///Meilleur ami / frère de coeur///
///Tout comme Vittoria, Karma a sauvé les deux frères des griffes de l'esclavagiste. Il possède alors la place de héros au cœur de Croyance et Lucius, mais ils le considèrent aussi comme leur frère de coeur.///
NOM Prénom
///Nature de la relation///
///Décrivez ici la relation que votre personnage entretient avec ce pj ou ce pnj.///