Charles : Ah bah oui Tumet, si tu sais crocheter des serrures avec ça.

Aziliz : C'est Aziliz, idiot.

La récompense en poche, le baron en cellule et sa mère toujours fière d’être à la tête de sa baronnie pourrie. La conclusion n’était pas la meilleure certes, je n’avais pas particulièrement eu l’envie de l’aider, mais plus je voyais comment cela, c’était déroulé et comment, c’est fini l’histoire, cela ne laissait clairement quasiment aucune chance à ce gros baron pour s’en sortir et sortir le peuple de la grande misère qui les avait assaillie depuis bien trop longtemps maintenant. Arkos et Ghorlorz étaient visiblement près à donner un coup de main eu aussi à la petite troupe du hameau pour sauver le baron, mais surtout la baronnie.

Il ne l’est pas à cause de nous, mais à cause de sa fuite et de son manque de discrétion pour faire passer un message jusqu’au duché responsable de sa baronnie. Cependant, je suis d’accord avec vous que tout cela ne s’est pas déroulé au mieux.

Je fis simplement un signe solennel de la tête pour acquiescer la demande du rôdeur suivis de l’approbation de son compagnon Orc. Nous nous rendions donc sans trop attendre en direction du petit hameau qu’il fallait prévenir des changement dans le déroulement de la mission qu’il devait entreprendre. Charles nous accueillit d’un air déconfit de ne pas nous voir accompagner du baron et Ghorlorz lui apportait alors la réponse ce qui eu pour effet de stresser en grande partie les personne présente dans la petite taverne luxueuse.

Comme tout ceci se déroulais de manière évidente, il nous fallait trouver nombre de solutions pour pallier aux différentes difficultés désormais sur notre route. Ils trouvèrent de quoi remplacer le baron dans sa cellule lorsqu’on le sortirait de celle-ci. Et comme la réaction d’Arkos était la prochaine problématique qui allait se poser a nous, n’ayant plus les clefs du baron à disposition. Si celui-ci posait la question alors c’est qu’il n’en était pas capable et d’un non de la tête quand celui-ci regardait quand la direction, nous nous rendions bien compte que parmi notre groupe il ne restait plus que l’Orc qui, fronçant les sourcils quand nous l’avions regardé nous faisait oublier littéralement l’envie de lui poser la question. En même temps je ne le connaissait pas beaucoup, mais déjà, je le revoyais fracasser la porte chez l’Elf elfiquement elfique et nous voyons la toute la discrétion de notre compagnon.

Une des deux Elfe lançait alors négligemment son kit de crochetage sur les plans du château, objectif de l’assaut. Visiblement, elle se proposait pour nous aider à sa manière. Ce pauvre Charles, c’était risquer à les différencier et n’avait visiblement pas réussi… Que moi-même, je ne face pas la différence était certainement normal, mais qu’un homme qui reste avec elles tout le temps n’y arrive pas cela était bien triste.

Nous finissions les derniers détailles qui constituais le nouveau plan d’action pour la prochaine nuit, mais il restait, un détaille à régler avant de se lancer ce soir dans la capture du butin de la baronnie. Il nous fallait contacter directement la duchesse de Vinche afin de prévenir de la malheureuse situation de l’endroit.  

Arkos, il faut prévenir les responsables de cette baronnie comme à voulu de faire le baron. J’ai la possibilité d’envoyer un messager magique. Il aura certainement moins de chance de se faire arrêter s'il survole toute la zone. Qu’en pense tu ?

Arkos : Un château caché dans une fosse à purin.

J’étais bien content du cadeau qu’avait pu m’offrir Osami. Cet oiseau magique volant allait porter avec lui un message important. Il allait avoir bien plus de chance de réussite qu’un homme envoyer à la sauvette par le baron visiblement pas assez expérimenté ou renseigner pour se douter que sa mère allait veiller sur ses moindres faits et geste. J’avouerais avoir ressenti une certaine fierté à sortir la statuette de l’oiseau qui était dans ma sacoche. De ma main, il prit la forme d’un magnifique oiseau qui s’était poser sur mon bras. Il pesait son poids l’animal et il me tardait que celui-ci prenne son envol vers l’objectif que nous lui avions fixé. D’un mouvement musclé, je lançais la bête afin qu’elle décolle en route vers la Duchesse de Vinch.

Je profitais de l'après-midi nous restant pour me reposer, car il ne s’agissait pas là d’intervenir de front et il allait falloir être vif et alerte à l'intérieur. Si une certaine fatigue se faisait ressentir, il ne faudrait que quelques minutes avant que l’on ne commence pas à perdre notre attention. Après une nuit blanche à peaufiner le plan qui finalement avait déjà été remanié, nous n’avions pas vraiment eu notre nuit, et même si j’avais l’habitude de veiller longtemps, il ne fallait pas pour autant ne pas surestimer son corps et je savais qu’il ne valait mieux pas jouer avec ce genre de chose.

La soirée déjà bien avancée, la nuit enveloppait alors la contrée, apportant fraîcheur et douceur. Nous avions sans mal avancer à travers la forêt pour retrouver la senteur désagréable du lieu de notre nouvel mission. La jeune Elfe qui nous accompagnait nous dévoilait alors ses nombreuses manières pour bien nous signifier qu’elle trouvait la situation et surtout l’endroit fort désagréable. Arkos lui répondit non sans humour tout en poursuivant notre avancée vers l’entrée. N’avait-elle donc jamais vraiment eu conscience de la situation qui subsistait ici même ? Désormais, elle avait très certainement compris la situation, et l’urgence d’autant plus importante.

Arriver devant la fameuse porte par laquelle nous devions entrez, notre compagne de mission nous fit une belle démonstration d’un silence magistral ce qui nous confirmait bien là que sa compagnie allait nous être bien plus qu’utile. La porte s'ouvrait et la dame pris les devant. S'essuyant les pieds sur le paillasson de l'entrée, elle prit le temps lors de notre entrée de se nettoyer des plus proprement ses longues bottes. Suivant le mouvement je faisais de même rendant mes chausses moins boueuses du moins, le nécessaire pour ne pas que nos traces serve à nous suivre à l’intérieur.

Personne en vue, le plan en tête, le premier objectif étant, grâce à l’aide du fameux grand mannequin sur le dos de Gorlhorz, nous allions pouvoir accomplir la première partie d’un plan, certainement avec plein de faille encore inconnue. Justement, arriver vers les geôles, pas si loin de l'accès arrière de la baronnie, un garde regardais son jeu de clefs certainement intrigué de comprendre le fonctionnement de l’objet au vu de sa forme cranté dont il n'avait pas encore saisie tout le mécanisme qui servait à tourner le verrou. Il n’était pas très concentré sur ce qui se passait autour de lui et je regardais Arkos, qui grâce à des gestes indiquerais peut-être nos actions réfléchis par ce fin stratège.

Les yeux au ciel pour montrer l'absurdité de la scène, de voir ainsi l’Orc et l’elfete se faire un peu de jambon en plaine action discrétion pour arriver à atteindre les geôles. Arriver devant le point P, Arkos nous fit signe à moi et Gorlhorz de s’occuper de l’imbécile qui avait les clefs et envoyait en arrière l’elfete pour une raison que j’ignorais encore étant déjà partie pour intercepter le garde. D’un pas léger et vif, l’objectif était de m’approcher rapidement de l’homme, de le maîtriser et le placer dans la portée de notre grand compagnon afin de l’assommer.

Soudain, j’entendais parler d’une assez haute voix l’homme que nous étions venue délivrer qui eu pour effet de faire réagir notre garde afin qu’il sorte de ses pensées pour s’occuper de nous.

“Ho , vous, ici ? ! Quelle joie !”

Gorlorz pris cela pour le signal qui d’un grand coup de main affin de faire taire la cible balayas alors vivement de son bras qui eu pour effet de certe touché l’homme mais aussi mon corps par la même occasion. Me voyant basculé sur le côté et sentir le bras musclé de l’Orc écraser mon épaule et mon bras, j’eu le reflex de me rattraper un peut trop tard dans ce couloir assez fin ou je me voyais m’écraser littéralement contre les barreaux de la geôle d’en face. L’homme un peut sonner commençais a bégayer surpris de nous avoir vue débarquer et quelque peu sonner par la bonne claque qui l’avait bousculer

“Que que ques-ce-que que vous ! Quoi ?”

A priorie nous n’avions vue personne d’autre au allentour et l’homme semblait être encore trop perturbé pour avoir encore donné quelconque alert pour rameuter ses collègue. Arkos allait devoir lui aussi agir tandis que l’elfe était partie faire marche arrière.

Aziliz : ça va me prendre au moins une heure à déverrouiller. On n'a pas le temps, il nous faut cette clef !

Je sentais une vive douleur parcourir mon bras du côté où je m’étais écrasé contre les barreaux, et cela, juste le temps ou le choc avait frappé mon nerf. Quelque peu engourdi par la suite, je pus voir en me ressaisissant rapidement, Arkos réagir en abattant le plat de sa lame sur la tête de l’homme à peine remis de ses émotions. Nous n’avions pas le temps de trop réfléchir et d’instinct le rôdeur assis donc notre homme contre les barreaux puis l’Elfette , quelques gouttelettes de boisson alcooliser coulant encore de ses lèvres, déposais la bouteille près de la masse morte du corps du garde inconscient.

Tout s’organisait très vite, car le boucan de ce que l’on voulait faire passer pour une chute d’un homme en coma éthylique, eu vite fait d’attirer ses collègues qui se tenaient plus loin vers les autres geôles à garder. Cachée de nouveau derrière le muret, notre petite équipée remarquait alors que dans la bousculade, nous n’avions clairement oublié ce que nous étions venue récupérer dans cet assaut surprise, les clefs jonchais encore sur le sol.

Après une remarque cinglante envers son compatriote, le second garde s’emparât du trousseau pour l’emporter avec lui loin des geôles que nous voulions ouvrir. Quelle misère, ce baron n’était vraiment pas un cadeau et je pouvais déjà regretter d’avoir voulu me mettre autant dans la panade pour un abruti pareille.

Imaginez bien ce qui allait se passer si nous nous faisions prendre la main dans le sac entrain de commettre un délie envers une des baronnies du Duché de Vinch ? Il ne faisait la aucun doute qu’une punissions allait nous tomber dessus et qu'Osami qui, avec toute sa confiance, m’avait envoyer pour cet première mission en son nom, ne risquais guère de comprendre ni de me pardonner un tel comportement, pouvant la mettre elle et son duché en porta faut avec celui de Vinche.

Nos espoirs portaient alors sur la jeune maîtresse du crochetage qui à notre plus grand désespoir ne put ouvrir la seule serrure cruciale pour notre manœuvre. Il nous fallait la clef et rapidement. Plus nous nous attardions ici, plus le risque augmentait. Mon bras me revenait et heureusement, car mes agissements allaient être entravés par un malheureux coup dans l’épaule. Il nous fallait savoir combien de personne gardais les geôles pour pouvoir agir vite et efficacement. D’un chuchotement sévère et quelque peu énerver, je m’adressais alors à Adhémar qui faisait déjà son théâtre ridicule.

Jes hommes de garde étaient donc répartis en quatre secteurs, Nord Sud Est et Ouest. La bêtise d’Adémar était un bien plus gros problème que tout le groupe réunit ne pouvait avoir de maladroitesse. J’aurais aimé pouvoir le laisser là dans sa geôle miteuse afin qu’il ne sème pas plus de problèmes qu’il n’avait déjà créé et diable ce n’était que le début.

Nous nous avancions donc avec l’équipé préparant un plant d’attaque pour l’homme qui faisait sa ronde pour prendre en charge la zone abandonnée par son compagnon que l’on avait légèrement assommer. Le plan se passe alors cette fois-ci sans mal, et la surveillance du sud avait été neutraliser. Pour autant, celui-ci n’avait toujours pas la clef, le bougre l’avais donner à ses collègues. Dans quel intérêt ses fichues clefs se retrouveraient de l’autre coté du bâtiment ? Avec la chance que nous avions je voyais bien la notre objectif ce trouvé tranquilement attaché à la ceinture de la dernière personne à neutralisé.

Nous arrivions proche des deux hommes et deux options s’offraient à nous. Une attaque rapide et efficace, mais qui restait bruyante. Une attaque discrète en s’occupant des garde un par un qui certes était le moins risquer, niveau couverture, mais qui allais nous faire perdre un temps précieux que nous étions déjà entrain de gaspiller. Caché derrière la caisse, je pris mon sabre toujours dans son fourreau et je regardais alors mes compagnons de missions. Il fallait agir, nous perdions déjà trop de temps et les chances de se faire prendre augmenterais de toute manière au fur et à mesure du temps passer ici.

Je fis signe au autre leur montrant que j’allais agir afin qu’ils se tiennent près à intervenir en cas de besoin et tant que le garde de notre côté me tournais le dos, j’en profitais pour avancer d’un pas vif mais léger afin de lui assener un coup de fourreau dans la nuque puis l’autre qui avait un peut de répit eu à peine le temps d’ouvrir la bouche et de sortir son arme d’un geste pivoter pour apporter de la force à mon arme, je lui tapais alors contre la tempe à son tour pour le voir s’effondrer au sol. Je me redressais serein passant mon sabre à ma taille, je relevais la tête pour regarder mes compères.

Voilà une bonne chose de fait. Normalement, nous avons les clefs.

En effet après une fouille des corps et une fois les avoir attaché ensemble, nous nous hâtions, désormais seul dans le sous-sol, pour aller ouvrir la porte de la cellule ou nous attendait tranquillement, mais toujours aussi dramatiquement, le baron. Nous lui ouvrons donc la cellule un d’un signe afin de le faire parler moins fort, nous attendions de lui qu’il nous indique la suite du chemin à prendre.

Pendant ce temps, j’aidais Gorhlorz à se délester du faux corps servant à remplacer Adhémar qui, entre nous, n’allais plus trop servir à leurrer, mais bien plus a délester notre ami afin qu’il puisse se mouvoir plus tranquillement, déjà que sont imposante carrure comparer à moi, n’était pas si discrète.

Voilà une affaire rondement menée que de récupérer le Baron et nous diriger vers les coffre, objectif principal de cette mission d’infiltration. Nous réussissions sans mal à évoluer à l’intérieur de la demeure vide de garde, faute au gouffre financier que représentait la Baronne.

Ils ne nous fallut que peut de temps pour crocheter la magnifique serrure qui était censée garder une quantité d’or à faire rougir un dragon, mais ce fut le désenchantement lorsque nous nous retrouvions tous, septique, devant les deux seuls coffres présent dans cette immense salle sensé être pleine d’or. Nous revenions, un peut à la raison, suite à cette légère déception, il était évident que la mère d’Adhémar avait autant que possible, dépenser dans du luxe inutile et qui n’était dors et déjà plus récupérable pour le peuple.

Adhémar nous conduit alors afin de rejoindre la sortis ou nous attendait de quoi déguerpir en vitesse des lieux. Gorhlorz avait un coffre à lui tout seule et tout les trois restant nous étions donnez du courage pour porter le second. Je doutais fortement de mes capacités à porté pour aider, mais nous finissions quand même par voir le bout de ce qui semblerait être le plus difficile de toute la mission.

Nous arrivions donc dans le petit hameau caché ou attendant les autres membres qui comptaient sur notre efficacité. Ceux-ci étaient eus même dessus du maigre résultat, mais content tout de même d’avoir pu faire une petite certes, mais une action quand même contre leur tyran.

J’admirais tout de même le résultat de notre entreprise qui me coûta alors une journée et une nuit de plus, mais qui réconfortait un tant soit peu Arkos et son équipier d’avoir accomplie une bonne action et moi-même d’avoir pu connaître un peu plus ses deux compères.

L’oiseau envoyé à la duchesse n’était pas revenu, il me fallait donc attendre encore un peut pour espérer avoir une réponse. C’est ainsi que la première mission s’achevait, et je repartais en direction du duché de Sarrasi.