24 Février de l’An 2001 de l’Âge d’Acier

Depuis le début de l’année, l'atelier de Yodgran Wonrlir Illuminès abrite un nouvel habitant. Ou du moins, les rue aux alentours se voit investie par un nouvel être. Souvent dans les coin de verdures de la ville, un gros automaton s'amuse comme un enfant, bien que son corps massif lui attire bien plus de soucis que d'amusement.

Cependant, ce jours-là, l'automaton "juvénile" était plus calme, assis à côté d'un banc. Il faisait de multiple gestes lent et précis, avec ses bras anormalement long, ce qui lui donnait un air presque effrayant. les passant préféré évité le petit parc où il se trouvait. au yeux du reste des gens, il restait étrange, bizarre et, vue sa taille, dangereux.

Mais ces ressentit n'était dut qu'a une simple incompréhension. En effet, Jazari, tel le curieux robot qu'il était, essayait simplement de toucher un oiseau perché sur un arbre, un insecte se promenant sur une feuille, de caresser un chat errant passant par là. Mais il était gros et grand, et sa force était totalement supérieure à ces pauvres êtres. Alors il approché ses bras surdimensionner doucement, avec patience, dans l'espoir de ne pas les blesser ou les effrayer.

Malheureusement pour lui, son corps, si massif, si grand, si effrayant, ne lui attirait pas la faveur des créatures du parcs, qui fuyait lorsqu'il approché son bras de trop près. Il n’abandonnait pas cependant, et changé simplement de cible. "J'arriverai à toucher ces êtres", pensa-t'il. Mais au bout de plusieurs heures d’essais, le parc fut plongé dans un silence relatif. Plus aucune créatures animales ne se manifesté dans ce dernier, toutes effrayé par le gros robot.

Jazari se replia sur lui-même. Ses bras était posé le long de son corps et leur longueur les faisait s'étendre au sol, à côté de ses jambes. Sa tête penchait vers le bas, et il semblait affaissait sur lui même. Une immense tristesse et solitude l'envahit, alors qu'il se rendait compte que les animaux avait peur de lui, mais les passants aussi. Et avec ce sentiments, les Démons commencèrent à lui envahir la tête. Mais ils n'eurent pas le temps de prononcer leurs paroles, car l'état de jazari fut interrompue par une rencontre inattendue.

L’air de février était humide dans la Cité d’Airain. Un climat tout à fait classique pour cette période de l’année et que la mercenaire scorpioïde n’appréciait pas. Le printemps arrive bientôt, mais il fallait encore supporter pour un bon mois les caprices de l’hiver qui ne voulait pas céder sa place. Souvent, l’amplitude de température entre la journée et la nuit mettait à mal les organismes Akkatoniens. Supporter ces écarts de chaleur et d’humidité était un bon test à passer pour savoir si vos défenses immunitaires étaient efficaces ou non.

Araja marmonnait des paroles inaudibles alors qu’elle revenait d’un entraînement avec Naja, son serpent-roc. La créature avait été efficace pour suivre les ordres de sa maîtresse. La discipline était une notion importante à respecter lorsque l’on dompte des créatures sauvages, et la thérianthrope procédait régulièrement à ce genre d’entraînement. Sans cette discipline, son serpent-roc ou son arachnae pourraient attaquer des alliés ou être moins résistants car moins efficaces. Le but étant bien qu’ils comprennent des ordres de plus en plus complexes, qui permettraient à la mercenaire de réaliser des missions plus ardues et mieux rémunérées.

Pour le moment, tout se passait parfaitement bien pour sa carrière. Sa réputation dans la cité d’Airain ne faisait que croître avec le temps. Il n’était pas rare qu’elle soit reconnue par quelqu’un dans les rues, sans être une célébrité ou une vedette locale, elle possédait tout de même un bon cercle de connaissances dans le petit monde des mercenaires d’Akkaton. Cela lui assurait le respect, mais aussi l’assurance de trouver des missions et des contrats de manière régulière. Sa force de vente résidait dans sa thérianthropie, et dans ses monstres domestiqués qui se battaient à ses côtés.

C’est sur cette dernière pensée, dans une rêverie où elle se voyait dompter un monstre encore plus dangereux que son serpent-roc, que la scorpioïde marchait en direction de sa demeure après l’entraînement. Son trajet l’avait fait passer dans des rues commerçantes, où elle avait croisé son amie Naine, la marchande de bijoux, puis dans ce grand parc familial qui était apprécié par toutes les races d’Akkaton. Vu les températures et le climat, l’ambiance était très calme, peu d’enfants s’y amusaient pour le moment. Enfin, c’est ce qu’Araja pensait en voyant l’endroit presque vide.

C’est en se rapprochant d’un banc qu’elle pu constater que ce qui avait fait fuir les petits enfants et leurs parents était  un automaton. Pas le genre de petit montage que l’on peut trouver dans les rues pour des fins commerciales, comme ceux qui font des livraisons de biens ou qui font de la petite surveillance. Non, non, c’était un autre genre d’être de métal. Du genre militaire celui-là. En tout cas, c’était clairement visible, il avait des armes intégrées à sa robotique. Forcément, pas le genre de choses qui rassurent les enfants qui veulent juste jouer à Kitsune perché ou à la marelle. Néanmoins, c’est loin d’intimider la mercenaire qui s’approche du banc et de l’automaton immobile. Il lui en fallait beaucoup plus pour penser que le danger était présent et réel, et puis, si la machine est désaffectée, elle réussira peut-être à en tirer un bon prix ?