Dans ce topic vous pourrez en découvrir davantage sur l’histoire passé de certaines personnalités célèbres du continent Orzanien. Que ce soit des personnages mit en avant dans l'histoire des grandes nations ou d'autres plus occultes.

Figures historiques :

Figures du passé dans l'existence est sûre et dont certains hauts faits sont prouvés, elles peuvent aussi être associées à des mythes, mais on peut sans trop extrapoler se faire une vision assez plausible de ce qu'a été leur existence.

Akkaton :

L'empereur Dracos :

Dracos Alérich Draenor est l'un des plus grands empereur que l'empire d'Akkaton ait jamais connu, du moins de l'avis de beaucoup d'Akkatoniens, notamment les Draenor. Connu comme le "conquérant d'Aros", il a participé au cours de toute sa vie, que ce soit pendant ses 10 ans de mandat en tant qu'empereur que pendant une bonne partie de sa longue existence de dragon à l'expansion de l'empire sur le deuxième continent maintenant sous tutelle impériale. Aujourd'hui l'un des seigneurs juges d'Aros, il a atteint l'âge très vénérable de 1700 ans et sa loyauté envers l'empire n'a jamais été émoussée au cours des siècles. Ayant participé évidemment avec enthousiasme à la grande croisade lorsque celle-ci a eu lieu, il brûle d'un grand désir actuellement de ne pas laisser Akkaton être devancé par Ikhyld et apporter la parole et la domination de son empire bien aimé dans le reste du monde. Populaire parmi les militaires, loyal au point d'en être fanatique à Akkaton, il a contribué par sa vie en bonne partie à la puissance de l'armée impériale, mais aussi à son rayonnement sur le monde. Aujourd'hui s'il est plus proche de la fin de sa vie que de ses débuts, il n'a rien perdu de la vigueur de sa jeunesse, mais surtout de son enthousiasme, la différence c'est que dorénavant tout cela il peut le tempérer par une certaine sagesse. Malgré son côté belliqueux, il faut savoir qu'il est aussi connu pour sa grande bonté, que ce soit envers ses hommes ou les citoyens qu'il est censé protéger.

Eïrnich Doris :

Simple humain ayant vécu il y a 200 ans de cela, c'est lui qui a lancé l'empire Akkatonien dans les débuts de l'ère industrielle prospère qu'il connaît aujourd'hui. Inventeur génial ayant vécu longtemps parmi les nains, il a hérité d'eux leur ingéniosité, mais sa courte vie humaine le frustrant, il a décidé de compenser celle-ci en la vivant très activement. S'il est mort à seulement 50 ans dans une dernière expérimentation qui a finit de manière explosive, c'est lui qui a créé la première machine à vapeur et l’éclairage au gaz notamment, mais aussi d'une myriade d'autres inventions certes mineures, mais qui ont finit par avoir leur importance au cours du temps, comme la nitroglycérine et les prémices de la fonte de l'altagane.

L'impératrice elfique Aradrïa :

C'était une elfe qui a été élue impératrice de l'empire Akkatonien il y a plus de 700 ans de cela. Finz convaincue, elle avait aidée à l'intégration effective et surtout pacifiste de nombreux peuples d'Aros à l'empire Akkatonien, notamment des petits royaumes et communautés Arosiennes elfiques ou non diverses. Son règne a été plutôt pacifiste en vérité et prospère économiquement, elle a aussi aidée à mettre en place de nombreuses bases solides pour l'économie du continent Arosien pour qu'il ne dépende plus totalement de celui d'Akkat et puisse échanger de manière profitable pour les deux avec celui-ci. On peut aussi noter qu'elle a améliorée grandement sous son règne les relations auparavant plus houleuses avec l'empire Ikhyldien, le rival de toujours. Elle représente sans aucun doute pour cela un modèle pour de nombreux pacifistes Akkatoniens.

La Grande dame :

Arcadia de cœur et vampire par consentement, la grande dame est la descendante d'une riche famille d'industriels qui avait prospéré avant même l'industrialisation de l'empire, mais a d'autant plus profité de cette dernière. Ancienne gouverneure d'Aros, elle est surtout restée par la suite maire de la capitale de ce continent et a dit-on grandement contribué à la richesse de cette dernière, que ce soit par une politique économique astucieuse qu'elle sut mener que par des contributions et dons personnels que ce soit en subventions ou donations sociales… C'est une femme très aimée du peuple en vérité qui a su se forger une bonne image aussi bien pour sa générosité que sa tendance à organiser des événements et fêtes aussi bien mondaines pour certains que populaires pour d'autres. Mais c'est aussi une conseillère très appréciée des derniers dirigeants ou dirigeantes d'Akkaton.

Ikhyld :

L'empereur de Jade :

Premier empereur d'Ikhyld dont le passé connu aujourd'hui paraît plus tenir du mythe que de l'histoire véritable. On dit que c'était l'enfant d'un esprit du vent et d'une elfe. Il était l'un des plus puissants mages de vent qu'a jamais connu ce monde, mais aussi un grand bretteur. C'est lui qui achevé de fonder les bases de l'empire Ikhyldien, que ce soit administrativement, culturellement ou militairement en pacifiant notamment les tribus barbares et les menaces monstrueuses et magiques diverses qui représentaient dans les temps passé un obstacle majeur à la prospérité de l'empire. Les légendes entourant les innombrables exploits qu'il aurait soit disant accomplit de son vivant, comme briser un tsunami à l'aide de sa puissance magie ou triomphé à lui seul d'une armée barbare entière sont innombrables. Ce qui est sûr par contre, c'est qu'il fut un des fondateurs de l'empire Ikhyldien tel qu'il est aujourd'hui, mais qu'il a disparu du jour au lendemain il y a 1500 ans de cela, ce sans donner d'explications. Aujourd'hui encore, de nombreux mages et guerriers plus ou moins romantiques pensent qu'il reviendra quand l'empire Ikhyldien sera en grand péril, pour mener celui-ci à la victoire et à sa véritable gloire.

Le grand archimage :

Aujourd'hui règne un grand culte de la magie dans l'empire Ikhyldien, un culte aux allures de religion rituelle suivit scrupuleusement par beaucoup d'enfants d'Ikhyld et qui fait de la magie une essence divine en elle-même à défaut d'une divinité. Les rituels et préceptes de ce culte remontent à des temps anciens, aux prémices de l'empire de magie et d'un personnage particulier qui représente aux yeux des Ikhyldiens d'aujourd'hui la perfection dans le domaine magique. Le grand archimage, disait-on qu'il maîtrisait toutes les mages à la perfection sans aucune limite et qu'ainsi les éléments devaient se soumettre à sa volonté. Disait-on aussi qu'il était le plus grand élu que la magie ait jamais désigné. Ceux qui vivaient sur le continent d'Ikhyld en ces temps anciens lui devaient beaucoup de bienfaits que ce soit la prospérité de leur récolte dû au bon temps qu'il pouvait convoquer à loisir, la protection contre les élémentaires malfaisants et la guérison de nombreuses maladies. Néanmoins le grand archimage était aussi un mortel et quand il a sentit que sa vie déclinait, dit-on qu'il a prit le plus d'élèves possibles et leur a enseigné ces préceptes, transmettant ainsi son héritage aux générations futures, mais aussi sa vision de la vie où la magie occupait une place au cœur de toute chose. Ce n'est pas cela qui a exactement donné naissance à la religion grandement répandue aujourd'hui dans l'empire d'Ikhyld, mais cela y a certainement aidé. C'est encore une fois un personnage qui selon beaucoup d'Ikhyldiens est destiné revenir en ce monde quand ses héritiers seront en grand péril et qui les mènera vers des temps meilleurs.

La kitsune lunaire :

Voilà une kitsune qui est entrée dans la légende, taisho Ikhyldienne, c'est une grande militaire autant connue pour sa beauté de dame sublime et raffinée que sa férocité au combat, comme si c'était là deux aspects opposés mais complémentaires de la même personne. Elle est donc une noble tout à fait estimée faisant preuve du raffinement et de la noblesse, voir générosité même au combat des fois dont l'on s'attend de toute noble Ikhyldienne. Mais elle a su aussi lors de la guerre visant à la pacification de la future province Ikhyldienne faire preuve d'une ruse et d'un mélange de férocité impitoyable et de miséricorde admirable qui a su inspiré un art de la guerre en lui-même. Ou l'art d'écraser les forts sans pitié et ménager les faibles...

La lame opale :

C'était une grande guerrière elfique dont les origines sont mal connues et qui serait née bien avant l'époque de Balthazar, dit-on qu'elle n'aurait jamais été vaincue au combat. Fidèle au peuple Ikhyldien, disait-on aussi qu'elle était l'une des rares personnalités de l'empire auquel le tyran lui-même ne pouvait nuire au risque sinon de perdre d'autant plus vite son pouvoir. Et malgré le mépris qu'elle avait pour Balthazar, elle avait lutté contre la croisade Akkatonienne quand celle-ci vint sur le continent Ikhyldien. Et si dans les faits elle a su s'illustrer lors de cette dernière, elle a aussi disparue sans qu'on ne sache pourquoi au cours de celle-ci… Mais bien peu en vérité croient à sa mort.

Duchés du Sud :

Ilfrido le conquérant :

Personne ou presque n'a autant marqué au cours de son existence les Duchés du Sud qu'Ilfrido le conquérant, mais si son histoire est connue de tous, celle de l'homme ayant unifié temporairement les Duchés au cours d'une existence parsemée d'innombrables batailles et intrigues, un homme au destin tragique et mort assassiné. Moins connaissent l'homme qu'il était au cours de son vivant. Ilfrido était un descendant de duc, amené naturellement à régner sur Vinche par sa naissance, mais c'était aussi un homme comme il y en a peu. Un véritable génie qui excellait dans tout ce qu'il faisait. C'était un grand guerrier perçu comme indestructible depuis le jour où il se reçut un boulet de canon en plein torse et y a survécu, mais aussi un véritable génie du siège, qui faisait ployer les cités et les forteresses sans mal, même en étant en infériorité numérique évidente par rapport aux assiégés. Grand lecteur, il avait lu des milliers d'ouvrages parlant aussi bien de sciences que de philosophie civile ou guerrière, inventeur excentrique, il avait participé à la création de quelques machines étranges utilisées encore dans les Duchés aujourd'hui, notamment concernant l'art du siège et la navigation. On disait aussi de lui qu'il était un excellent cuisinier. Au final ce qui lui aura coûté la vie aura été son tempérament tyrannique, ainsi que son arrogance et son imprudence, car persuadé de sa supériorité incontestable sur les autres, il n'a pas su assez se méfier d'eux quand il l'aurait fallut. Ainsi s'acheva son rêve, un glorieux rêve, par son assassinat dans sa propre baignoire.

Bartholoméo le Grand :

La vie de Bartholoméo était une saga, une saga qui fait encore rêver aujourd'hui d'innombrables mercenaires Duchéens. Cet azurien était comme beaucoup des siens un être aspirant à la liberté et par nature enthousiaste, mais il eut un destin exceptionnel. Sa soif de curiosité, son courage confinant au suicide l'amenèrent au cours de sa vie qui dura de l'an 1800 à l'an 1875 à explorer tout Orzian, à faire face à toutes sortes de dangers et à servir d'innombrables employeurs différents. On raconte qu'il s'enfonça dans la vallée sans retours et y triompha des nombreux dangers y rôdant, qu'il vainquit en combat singulier un dragon qui semait la terreur dans le cœurs de nombreuses tribus du Grand Nord, mais aussi qu'il fut un participant acharné de la rébellion qui s'opposait au régime Teïderien. Ce n'est là évidemment qu'une infime partie des aventures qu'il vécut, mais qui donne une bonne idée du destin qu'eut cet azurien exceptionnel, un azurien qui eut même le bon goût de mourir de vieillesse entouré de ses petits enfants lorsqu'il retourna vive dans son village natal au sein des montagnes Duchénnes. Autant dire, que des fois la vie sourit à certains.

La comtesse écarlate :

La comtesse écarlate est une comtesse naine encore en activité qui est vassale de la duchesse actuelle de Vinche. Connue pour ses tendances plutôt pacifistes, elle ne doit pas son nom à un quelconque goût pour faire couler le sang, mais plutôt au fait que son petit comté très prospère produit énormément de biens commerciaux de couleur rouge, que ce soit le safran, les tissus, les pierres précieuses et autres produits qu'ils soient agricoles ou miniers entres autres qui s'exportent à travers tout Orzian. Il semblerait en vérité qu'elle ait une passion étrange pour tout ce qui est de couleur rouge même si elle n'aime pas forcément s'habiller elle-même en rouge. Et qu'on ne s'y trompe pas, même si elle est pacifiste c'est commerçante impitoyable qui a su faire prospérer son comté et l'armée de celui-ci est bien garni, aussi bien par sécurité que pour escorter ses convois de marchandises...

Orgulf :

Orgulf était une grande générale orc qui s'est illustrée lors de la guerre de sécession entre Teïder et les Duchés du Sud qui a menée à la naissance de ces derniers. Dit-on que sans elle le royaume de Teïder aurait remporté la bataille et finit à terme par conquérir tout le continent Orzanien. Tout le monde aujourd'hui dans les Duchés loue son courage et sa force, mais surtout le combat héroïque qu'elle a menée contre le roi de Teïder de cette époque, qui lui a certes coûté la vie, mais aussi à ce tyran. Déstabilisant ainsi assez l'armée Teïderienne pour que les sécessionnistes Duchéens en profitent et remportent la guerre...

République d'Eïrn :

Le grand chasseur :

Il est dit que dans les vastes forêts d'Eïrn, le plus puissant monstre y rôdant n'est pas vraiment un monstre, mais un mage transformiste que l'on nomme l'affamé. On ne sait pas grand-chose au sujet de l'affamé, ni sa race, ni son passé, ni quel âge il a. Tout ce que l'on sait vient des rares ayant pu lui échapper que ce soit voulu de sa part ou non. Ce serait un mage maudit pour ne pouvoir être rassasié que d'une seule manière, en mangeant de la chair d'êtres pensants et c'est ce qu'il fait activement. Prenant une forme monstrueuse pour s'en prendre aux voyageurs ou à ceux assez imprudents pour s'enfoncer dans les forêts d'Eïrn, ce pour les tuer et les dévorer. Si évidemment ses victimes ne représentent qu'une infime partie des personnes périssant par Eïrn à cause des monstres, son histoire a suffit à suscité l’effroi dans une bonne partie du territoire de la République. Et aujourd'hui, à Eïrn l'on parle souvent de lui aux enfants désobéissants pour dire qu'il viendra les dévorer s'ils vont jouer trop loin du village natale. Le pire étant que des fois cela est véridique...

La reine des sylves :

Beaucoup de petits royaumes elfiques existent sur le territoire de la République d'Eïrn, mais aucun n'est plus mystérieux que celui de la reine des sylves, car personne ne sait étrangement où il se trouve. Tout ce que l'on sait, c'est qu'il existe et que certains elfes en mission pour ce royaume à travers le monde parlent en son nom. Que prétendit-ils ? Souvent que le royaume des sylves est le seul véritable héritier de l'empire elfique qui régnait par le passé sur une bonne partie des terres Orzaniennes et que leur but est la survie et la prospérité du genre elfique, ce sans distinction d'allégeance ou de provenance. Il est dit ainsi qu'au cours des millénaires, la reine de sylves qui serait une reine éternelle aurait fait avancé de nombreuses manières à la cause elfique à travers Orzanien, permettant ainsi à son niveau, de faire en sorte que cette ancienne et respectable race soit encore une actrice majeur de ce monde et non un peuple décadent et lentement en voie d'extinction.

Le roi Oris :

En Eïrn, l'histoire du roi Oris est aussi célèbre que tragique, dit-on que ce fut un roi humain ayant fuit le continent d'Aros devant l'avancée de l'empire Akkatonien avec quelques-uns de ses sujets, et qui se serait installé à Eïrn il y a des siècles de cela. Mais ambitieux et désireux en vérité de bâtir un grand domaine, il avait fait le pari d'arriver à conquérir et prospérer au sein de la vallée sans retours ce malgré les nombreux dangers associés à celle-ci. Dit-on que l'entreprise fut auréolée de succès pendant quelques années… Puis la nature prit son dû et Oris et son peuple furent du jours au lendemain dévorés par les monstres de la vallée, ne reste maintenant d'eux que quelques ruines se trouvant au sein de celle-ci...

La grande chasseuse :

Peu d'Eïrniens sont aussi connus que la grande chasseuse, cette azurienne aux origines tribales qui a prit assez tôt goût à la chasse. Non pas la chasse de proies, mais celle de prédateurs. Belliqueuse et passionnée par son art, elle considère qu'une vraie chasse a besoin de l'excitation du danger pour être satisfaisante, elle ne s'en prendra jamais aux êtres faibles ou vulnérables dit-on, mais seulement aux grands prédateurs et évidemment plus le défi est ardu, plus elle apprécie celui-ci… Après ça reste une azurienne au niveau du caractère, bavarde et sociable souvent, mais elle a disons ce côté prédatrice vivante qui peu la rendre assez intimidant.

Teïder :

Le grand prophète :

Le grand Zheznev, le fondateur et l'unificateur du royaume de Teïder. Premier roi de ce royaume, mais aussi premier prophète du père de la souffrance. Autant dire qu'il n'y a pas personnalité plus sacrée et vénérée par les Teïderiens que le grand nécromancien. Sa vie passée est comtée dans de nombreuses œuvres religieuses du royaume, mais a aussi été depuis longtemps déformée et amplifiée par la religion de ce royaume fanatisé. Que ce soit les épreuves de douleurs qu'il aurait subit pour être le grand prophète et qu'aucun autre homme n'aurait pu supporter et qui sont décrites avec force de tailles choquants, mais aussi comment il détruisit les anciennes idoles qui étaient vénérées par les siens et leur porta la parole du seul véritable dieu avant de les mener au combat contre les non humains les menaçant pour les anéantir. Il est dit qu'un jour il se réincarnera en un homme aussi pieux et exceptionnel que lui et que ce jour là le royaume Teïder connaîtra un âge d'or comme il n'en a jamais connu.

Le chevalier Dimitri :

Peu de chevaliers Teïderiens sont aussi connus que le légendaire Dimitri Vazkaliev, pourfendeur des ennemis du seigneur et tueur de dragons. Mais surtout, quand Teïder envahit et conquit les terres qui seraient celles des Duchés du Sud il y a des millénaires de cela, le chevalier Dimitri par ses exploits aida de manière indéniable à cette conquête. Portant le combat à plusieurs champions des tribus humains, orcs et azuriens qui peuplaient les Duchés du Sud à cette époque et les terrassant. Quand la conquête fut terminée, il fut ensuite nommé champion personnel du roi de Teïder et continua à guerroyer jusqu'à la fin de ce fin, ce avant de rencontrer son destin, un destin inconnu de tous au sein de la République d'Eïrn.

La reine blanche :

La reine blanche était l'une des reines de Teïder qui a régné il y a plus de milles ans de cela alors que la troisième dynastie n'avait pas encore trois siècles et devait encore stabilisée fermement son pouvoir dans un pays qui était tout sauf stable pour de nombreuses raisons. Elle était sans conteste l'une de celles qui aida d'ailleurs à sa stabilisation, cruelle envers les ennemis du royaume et de son époux, elle arrivait aussi à se faire aimer du peuple en se faisant croire soucieuse de celui-ci par l'organisation d’événements et des fois des sorties publiques diverses. Pourtant elle n'aimait que le pouvoir en vérité, mais elle a su tromper la population pendant toute sa vie et même bien après, alors que pourtant beaucoup des cris de souffrances qui étaient poussés lors de son vivant dans les geôles Teïderiennes étaient dû à elle...

Anne la brave :

Anne était une paysanne du royaume parmi tant d'autres, néanmoins elle rêvait de devenir une chevalière dans un pays malheureusement très misogyne. Mais, ce n'est pas cela qui aurait pu la décourager, quitte à se travestir… Et c'est ce qu'elle fit, elle entra ainsi dans l'armée comme soldat commun, et elle a su faire preuve d'un tel courage et d'un tel zèle qu'elle a finit au cours d'une bataille par se faire élever au rang de chevalière. Son destin fut alors grandiose, nombreux furent les exploits qu'elle accomplit au nom du royaume et du roi, et pourtant jamais son sexe ne fut découvert avant sa mort. Et alors, le régime au lieu de taire cela décida d'en profiter, en montrant que même une femme si elle obéissait aux valeurs dîtes viriles du royaume pouvaient accomplir les exploits d'un combattant valeureux… Comme pour sous entendre qu'Anne avait été un homme dans un corps féminin en somme.

Eïlynster :

L'ancien Aurélius :

Parmi les ancêtres qui sont eux tous considérés comme des héros vénérables à Eïlynster, plusieurs se distinguent particulièrement, Aurélius en fait partie. C'est un nain qui combattit ardemment aux côtés de ses frères lors de la lutte contre Cesario l'empereur éternel. Simple soldat toute sa vie car n'ayant jamais voulu monter en grade, il était l'un des plus grands guerriers de la nation, mais surtout un champion qui servait d'exemple aux siens. S'il se battit quasiment tous les jours contre l'invasion de Cesario, il connut sa fin dans un combat héroïque contre celui-ci. Lorsque l'empereur éternel avait entreprit d’assiéger la forteresse inébranlable, c'est Aurélius en compagnie de plusieurs milliers de braves qui brisa le siège pendant peu de temps par leurs sacrifice, mais assez pour permettre aux troupes de la forteresse d'évacuer et pouvoir continuer le combat ailleurs. Aurélius lui-même ayant défié en duel Cesario et étant arrivé à tenir quelques minutes contre celui-ci. S'il connut une fin brutale et douloureuse, mais honorable, il ne fait aucun doute que par ce sacrifice il sauva des dizaines de milliers de vie et cela lui a évidemment offert une place éternelle dans le panthéon des ancêtres d'Eïlynster.

Le général Marius :

Peu de généraux à Eïlynster sont aussi connu que Marius le Grand, mais pas forcément pour ses talents de généraux qui certes étaient très estimables, mais n'avaient rien d'exceptionnels. Non, il est surtout célèbre pour avoir tenu à lui seul un pont face à plusieurs milliers de Teïderiens pendant une vingtaine de minutes. Permettant à ses camarades de se replier et de se réorganiser entre-temps. Puis sentant qu'il ne tiendrait plus longtemps, Marius se jeta dans le fleuve qu'enjambait le pont et échappa ainsi aux disciples du seigneur de la souffrance. Marius ne périt au final que bien des années plus tard il y a 300 ans de cela de vieillesse. Une façon de mourir inconnue à la plupart des Eïlynsteriens.

La lionne d'ébène :

Voilà l'une des plus glorieuses guerrières qu'a jamais connu le royaume d'Eïlynster. C'était une farouche thérianthrope qui pouvait prendre une forme de lionne immense dit-on. Elle a été une grande générale, puis une grande maître des armées qui il y a 4 siècles de cela a empêchée le royaume d'Eïlynster d'être conquit par celui de Teïder. Que ce soit en en menant ses troupes d'une manière audacieuse, mais aussi en vainquant en duel le roi de Teïder de l'époque. Vénérée encore aujourd'hui en tant qu'ancêtre héroïque, dit-on aussi qu'elle sert d'exemples à beaucoup de thérianthropes du royaume de l'Est. Et, que le jour où le royaume de la grande muraille sera proche de tomber, elle reviendra pour le sauver une nouvelle fois.

La grande duelliste :

Ce fut une guerrière d'origine humaine qui a été sans conteste l'une des plus grandes combattantes qu'a jamais connu le royaume d'Eïlynster. Elle n'a jamais été officière, mais était une véritable championne qui a accomplit de nombreux exploits guerriers. Au cours de sa vie elle a vaincu de nombreux adversaires que ce soit des guerriers, des monstres plus ou moins impressionnants ou même certaines créatures aux allures de géantes… Son seul combat qui ne fut pas une victoire en vérité, fut contre un véritable titan, mais on ne sait pas lequel, quand et où. Mais nul doute que celui ou celle qui arrivera à vaincre l'adversaire qui a triomphé de la grande duelliste démontrera qu'il ou elle est l'un des plus grands combattantes que ce monde a jamais connu.