Nationalité : Candidate à la citoyenneté ikhyndienne
Race : Hybride Thérianthrope Félin
Nom : Goldeneave
Prénom : Zarina
Surnom : La Danseuse d'Or Rouge
Sexe : Féminin
Date de naissance : 17 Maïa 1978
Age : 22 ans
Lieu de naissance : Un petit village akkatonien
Lieu de vie lors de votre entrée en jeu : Cité de Jade
Rang social : Peuple
Métier : Artiste
Célébrité : Peu connue en Akkaton et Ikhyld

*Sceptre de mage : Bien qu'elle ne l'utilise pas souvent, Zarina a acquis un sceptre de mage à la mode ikhyldienne, fait dans un bois sombre et décoré de fil fils d'or qui courent le long des rainures naturelles du bois, surmonté d'un quartz blanc d'un côté, avec une pierre de lune de taille plus modeste de l'autre côté pour faire contre-poids.

*Tenue de Danse : Une tenue légère en tissu blanc, taillé pour voiler tout en retenue le corps de Zarina tout en voltigeant pendant la danse. La robe est volontairement aussi légère que possible pour lui laisser une grande amplitude de mouvement lors de ses danses, tout en accompagnant au mieux ses mouvements dans un ensemble élégant.

*Collier d'or : Un imposant collier recouvrant tout le cou de la belle d'écailles d'or, portant en leur cœur un lapis-lazuli aux tons bleus-verts. C'est l'un des premiers cadeaux qu'elle a reçu d'un mécène pour « rehausser ses danses », et elle y tient beaucoup, autant pour sa beauté que pour le symbole qu'il représente pour elle des débuts de sa réussite.

*Tiare d'or : Une tiare tissée de fin fils d'ors, portant deux émeraudes disposées l'une au-dessus de l'autre, Zarina la fit forgée à partir de deux pierres qu'elle avait acquis au part avant pour s'harmoniser avec son regard, lui coûtant une bonne partie de ses économies même si elle n'en regrette rien.

*Chevalière de mage : Une chevalière en platine portant un quartz et une pierre de lune encore impurs. Zarina la porte rarement pour ses danses, mais a tenu à en obtenir une accordée à sa magie après avoir appris la coutume ikhyldienne, pour mieux s'intégrer à son nouveau pays d'adoption.

*Bracelet d'or : Un fin bracelet d'or pur entrelacé doucement en forme de vignes torsadée, c'est un bijoux offert par sa mère, et même s'il est plus modeste comparé à d'autres de ses parures, cela seul suffit à le rendre plus précieux aux yeux de la belle Hybride.

*Masque de parade (Ikhyld) : Certainement un des plus beaux masques que l'on peut trouver à travers le monde tant il a été modifié grâce à toute une série de colorations, d'ornements et autres accessoires décoratifs et aussi quelques enchantements magnifiant le tout afin de laisser une impression de Charisme amplifié de la part du porteur. (+5 au test de charisme à la première interaction sociale lors d'une rencontre)

*La poche du marchand modeste (Duchés du Sud) :
C’est une bourse, ou bien un sac, qui peut transporter plus que sa contenance extérieure. En effet, vous pouvez ainsi transporter toute votre valise de voyage à votre ceinture, la taille intérieure ne pouvant excéder celle d’une grosse malle de voyage par contre. Évidemment, plus le contenant peut transporter, plus il coûte cher. Zarina, qui aime à voyager léger, l'a acquise lors de l'une de ses escales duchéennes dans son voyage vers Ikhyld.

*Catalyseur vivant :
Votre corps devient une sorte de catalyseur vivant capable de plus aisément stocker et interagir avec le magie. Concrètement cela augmente de 20 pourcent votre stock de mana.

*Régénération surnaturelle :
La magie rend le corps de celui dans lequel elle est insufflée capable de se remettre particulièrement rapidement de ses blessures. Si ce dernier n'est pas non plus rendu plus résistant par cela et sera tout aussi vulnérable qu'avant aux blessures fatales, il pourra se remettre totalement en une minute d'une blessure légère, une dizaine de minute d'une blessure moyenne et une heure d'une grave. Il pourrait même survivre à une blessure mortelle avec un peu de chance...

*Beauté parfaite :
Votre corps est totalement altéré par la magie pour parfaire la beauté qui est vôtre, vous permettant de littéralement subjuguer les autres par celle-ci. Cette amélioration corporelle vous permet d'effectuer un test de beauté une fois par jour opposé à un test de volonté pour déstabiliser quelqu'un pendant quelques instants ou le rendre plus influençable par vous pendant une bonne heure.

*(Humain uniquement) Chance :
La magie insufflée en vous vous permet trois fois par jour d’être un peu plus talentueux pour une action précise que d’habitude, vous donnant un bonus de +5 pour accomplir celle-ci.

• Magie

Potentiel : Immense Potentiel
Feu : Inapte
Eau : Inapte
Vent : Champion
Terre : Inapte
Lumière : Maitre
Ténèbres : Inapte
Invocation : Inapte
Nécromancienne : Inapte
Transformiste : Inapte
Âme : Inapte
Foi : Inapte

• Mental

La volonté : Maitre
Contrôle de soi : Confirmé
L intelligence : Prodige
La perception : Champion
Le charisme : Virtuose
Technologie : Inapte

• Physique

Force physique : Confirmé
Agilité : Prodige
Vivacité : Maitre
Résistance physique : Champion
Résistance magique : Champion
Vitalité : Maitre
Beauté : Légende
Discrétion : Débutant

• Martial

Armes de tailles : Inapte
Armes lourdes : Inapte
Armes d hast : Inapte
Faux : Inapte
Art de la défense : Inapte
Armes de lancer/fouet : Inapte
Arc/arbalète : Inapte
Mains nue/Arts martiaux : Inapte
Armes à feu : Inapte
Equitation : Inapte
Domptage : Inapte
Conduite : Inapte

Zarina est une jeune femme parée d'une éclatante beauté, qui a tout juste fini de fleurir mais d’épanouis déjà remarquablement. Dotée d'une haute silhouette tout en finesse, avec son mètre quatre-vingt-sept et ses formes finement sculptée autant par la gracieuse main de la nature que par ses longs entraînements à la danse, la jeune femme a en outre décidée il y a longtemps que sa longue crinière d'or rouge était l'un de ses plus grands atouts, elle laisse pousser celle-ci depuis des années maintenant, les laissant généralement cascader dans son dans en une longue crinière cuivrée qui la nimbe doucement, même s'il lui arrive parfois de les tresser de fils d'or pour certaines danses ou représentations. Elle apprécie d'ailleurs généralement les bijoux d'or, trait hérité de sa mère, trouvant qu'ils se marient bien avec sa chevelure, et en porte souvent pendant ses danses, en complément de tenues légères, lui offrant toute liberté de mouvements.

Une autre couleur qu'elle apprécie est le vert, n'hésitant pas à se parer d'émeraude quand elle en a l'occasion, ou d'autres pierres dans ses teintes, vertes ou bleues-vertes comme les algues-marines ou les lapis-lazuli. Pour le coup, ce n'est pas en rapport avec ses cheveux, mais en harmonie avec son magnifique regard d'un vert pâle, tirant légèrement sur les teintes bleutés selon les reflets de la lumière, qui sait se faire envoûtant quand un autre regard vient s'y fixer. Ces beaux yeux pâles s'intègrent dans un visage aux traits doux et harmonieux, dont la belle Hybride tire une grande fierté, lui-même encadré de ses cheveux de feu, et surmontés par les douces oreilles qui sont avec ses ongles effilés, un des rares héritages du sang félin de son père, avec bien entendu la grâce léonine de ses mouvements de danseuse...

Visuel:

Beaucoup décriraient Zarina comme arrogante, même si elle préfère considérer qu'elle est simplement consciente de sa propre valeur, et elle n'hésite jamais à la faire connaître, même si elle ne vire jamais vraiment au détestable ce faisant. Habituée dans son enfance et son adolescence à attirer l'attention de tous par son talent et sa beauté dans son modeste village, elle a eut l'occasion de prendre conscience depuis que ces denrées n'étaient pas si rares dans le monde des grandes cités, surtout celles qui cultivent ces aspects, mais heureusement pour elle, elle peut aussi compter sur un caractère bien trempée et une solide habitude de toujours travailler pour s'améliorer, lui permettant de ne pas se retrouver démunie en situation d'adversité !

Elle accorde son respect avec parcimonie – et n'est pas forcément du genre à se laisser impressionner par un titre ou une réputation avant d'avoir rencontré la personne directement – tout comme son amitié, même si elle sait toujours se montrer ouverte, voir charmeuse, avec ceux et celles qu'elle rencontre de prime abord – étant du genre à avoir beaucoup de connaissances et de comparses, mais à ne pas considérer d'emblée tous comme des amis au sens strict – mais une fois accordés, l'un comme l'autre sont solides dans le temps. Elle est également ambitieuse, et bien décidée à se bâtir une place dans le monde qui correspond à ce qu'elle pense mériter, de la façon et à l'endroit qu'elle aura choisi, qui plus est !

Ambitieuse et, comme on l'a déjà mentionnée, parfois un peu vaniteuse, Zarina n'en est pas moins une femme de parole, qui considère que la tromperie et le mensonge, s'ils peuvent parfois être utiles très ponctuellement, ne sont pas une bonne façon de mener sa vie à long terme, car un succès bâtit sur la tromperie peut s'écrouler si le mensonge s'évente, sans compter que même si elle n'a pas marché dans les traces de son père elle a tout de même gardé de lui certaines valeurs de loyauté et de respect de la parole donnée, même si elle n'hésite pas pour autant à faire assaut de manipulation quand l'occasion se présente sans avoir forcément de remords.

Née dans une nation technologique, la jeune femme n'a cependant jamais eut aucun goût pour la technologie, au contraire. Si elle la tolère dans une version légère, les grandes cités technologiques lui ont toujours inspirées de la répugnance, et elle ne peut s'empêcher de grimacer en pensant aux rouages, à la fumée du charbon et aux blessures béantes d'acier que semblent être certaines installations technologiques dans le paysage. C'est pour cela qu'elle s'est entièrement tournée vers la magie et, si elle n'est pas du genre à vouloir combattre la technologie par les armes, elle est convaincue que celle-ci est un fourvoiement dont elle espère voir sortir ses anciens compatriotes.

C'est cette donnée plus que toute autre qui explique son rejet de son héritage akkatonien et son choix de tenter sa chance en Ikhyld. Si elle reconnaît volontiers les mérites de la démocratie akkatonienne, et qu'elle en a gardé une stricte laïcité – ne croyant en aucun dieu, mais laissant chacun libre de croire ce qu'il veut en soit tant qu'on ne vient pas lui imposer un culte – elle ne pouvait concevoir de bâtir sa vie dans une nation aussi technologiste, alors qu'à l'inverse, la voie magique privilégiée par les ikhyldiens, couplée à leur grand goût des arts, l'a toujours faite rêvée depuis son enfance. Bien sûr, elle ne souhaite aucun mal à son pays de naissance – elle ne souhaite globalement pas de mal à grand monde – mais elle préfère tout de même essayer de ce bâtir une vie dans le grand empire oriental.

Bien entendu, elle n'a guère de bien à dire sur Teïder, et espère voir cette nation barbare, raciste et fanatique bientôt vaincue et réformée, mais vu que le teïderien moyen la vouerait au bûcher, ce n'est guère étonnant. Elle a apprécié ses escales duchéennes pendant son voyage en Ikhyld, mais ne s'imaginait pas vivre dans un pays reposant en partie sur l'esclavage et l'exploitation d’autrui, même si elle aurait pu envisager la chose sans cette tare qu'elle espère voir les duchéens surmonter bien vite, car en dehors de cela elle trouve la contrée très intéressante.

Les terres infestées de monstres d'Eïrn, de même que les vastes étendues du nord, lui ont toujours parues trop sauvages pour qu'elle envisage de s'y installer, et, peut-être reste de son éducation akkatonienne, elle considère que ces deux pays seront à civiliser et unifier dans le futur, sans doute à la fois par Ikhyld et Akkaton, même si elle préférerait pour sa part ne pas voir les vastes forêts eïriniennes ravagées par les exploitations de son pays natal. Quant à la martiale Eïlynster, elle comprend le besoin de martialité qui est le leur pour se protéger de Teïder, mais espère qu'une fois le royaume fanatique vaincu ils pourront d'avantage se tourner vers l'art et la beauté !

Zarina est née dans un petit village de la Province Akkatonienne, qui s'était développé autour d'une ancienne oasis, profitant des ressources en eau importantes pour développer une zone de culture grâce à de nombreux aménagements, des moyens de fertilisation à la pointe et à un système d'irrigation moderne, qui avait permis à une agglomération agricole prospère de se développer là où jadis ne se trouvait qu'une halte temporaire dans le désert. La majeure partie de la production excédentaire partait alimenter les vastes marchés de la capitale régionale, et l'endroit était globalement paisible, calme voir un peu ennuyeux à des yeux d'enfants.

La petite famille de la jeune femme était en soit assez typique de la bonne intégration des diverses populations akkatoniennes à la Province, son père, un puissant guerrier thérianthrope ayant servit pendant un siècle et demi dans les armées impériales avant de prendre sa retraite en tant que fermier aux côtés de son épouse, une belle jeune femme issue d'une tribu nomade du grand désert aux sables d'or rencontrée au cours d'une mission de pacification d'une meute de monstres dangereux. Le courant était assez vite passé entre eux, et ils avaient décidé de s'établir ensemble dans ce petit village, compromis entre les habitudes citadines de l'un et celles nomades de l'autre, et dans lequel ils finirent l'un et l'autre par s'épanouir.

Ils avaient eut trois enfants, Zarina étant la dernière d'entre eux, et vivaient une vie plutôt tranquille et prospère, entre les travaux agricoles de son père et les créations de sa mère, qui fabriquait divers objets et accessoires en travaillant le cuir comme elle l'avait appris dans sa tribu natale. Les deux frères aînés du couple Goldeneave, bien que très dissemblables – au sens propre, l'un ayant son héritage félin paternel dominant, alors que l'autre était dominé par celui plus humain de sa mère – étaient très proches en âge et s'entendaient comme larrons en foire,  se comportant comme « deux petits chatons turbulents », comme leur père aimait à les appeler. Plus jeune de trois ans que ses aînés, Zarina était également plus calme, pas du genre à aller se rouler dans la poussière pour des jeux sauvages, même si elle n'en aimait pas moins beaucoup ses deux frères, qui en retour portaient une grande affection à sa cadette.

Enfant charmante et également studieuse autant que curieuse, elle développa très tôt un goût pour le chant, sa douce voix enfantine exécutant de douce comptine, puis des chants de plus en plus complexes, tandis qu'elle se découvrit aussi très jeune un goût pour la danse, sa mère encourageant ses penchants avec un doux sourire. Il fallait bien dire qu'elle ne refusait pas grand-chose à sa charmante cadette, elle qui avait si longtemps voulu avoir une fille. D'ailleurs, dans ce petit village, Zarina était la plus charmante des jeunes filles, et les adultes avaient tendance à la gâter de manière générale, ce qui allait très bien à la damoiselle.

En grandissant toutefois, elle commença de plus en plus à s'ennuyer dans ce petit village tranquille, dont elle aimait les habitants mais où elle ne se voyait certainement pas passez sa vie ! Son père voulu lui ouvrir de nouvelles perspectives en l'emmenant avec lui, peu après son douzième anniversaire, visiter la Cité d'Airain alors qu'il allait y acheter de nouveaux outils. Mais si son père espérait la stimuler en lui montrant une grande cité, ce fut tout le contraire. Les hautes tours de métal, les cheminées crachant une fumée sombre et la technologie omniprésente déplurent fortement à la jeune fille, qui trouva désagréable, voir horrible, cette ville à la technologie hautement prégnante. Là où celle-ci était discrète dans leur village, la confrontation directe avec le monde technologique le plus avancé fut le début de son désamour concret pour celle-ci.

Ce fut peu de temps après – et peut-être son malaise devant la technologie était-il en partie lié à cela – que son potentiel magique se manifesta, à la grande surprise de ses parents vu qu'il n'y avait guère de trace de magie dans la lignée de sa mère – et évidemment pas non plus dans celle de son père, pour des raisons évidentes – ni chez ses frères d'ailleurs. Elle reçu bien entendu un entraînement adéquat pour contrôler et exploiter ses pouvoirs, mais sans pousser la chose très loin, leur modeste village n'offrant qu'un enseignement de base dans ce genre de domaine, et la damoiselle, après sa visite à la Cité d'Airain, n'ayant aucune envie d'aller étudier en ville.

Cette révélation de son talent magique fini toutefois d'ancrer vers ses quatorze ans une fascination de plus en plus développée pour Ikhyld, sa magie, ses arts, et surtout son refus ferme des ravages de la haute technologie. Elle se mit à chanter et danser dans la taverne de leur village en échange de quelques pourboires, mettant petit à petit de l'argent de côté, sous le sourire généralement amusé de ses parents, qui l'imaginaient dépenser ses gains quand elle aurait envie d'un bijoux ou d'autre chose du même genre. Mais la belle damoiselle avait un projet en tête et, alors qu'elle gagnait en maîtrise autant qu'en beauté au fil des années passées, ses pourboires augmentant de même, certains voyageurs faisant même un détour, à la fin, pour voir danser la belle jeune femme aux cheveux d'or rouge dans cette modeste petite taverne, qui voyait du coup ses gains augmenter !

De fait, à sa majorité, alors que son père vint la trouver pour lui proposer avec enthousiasme diverses possibilités pour son service militaire, la belle refusa catégoriquement, et annonça à la place à ses parents la concrétisation d'un projet qu'ils avaient toujours pris pour une lubie quand elle leur en avait parlé, à savoir celui d'aller s'établir en Ikhyld pour y bâtir sa vie. Cela ne fut pas sans occasionner des disputes et remontrances, notamment de la part de son ancien soldat de père, mais elle tint fermement ses positions et avait de quoi partir, avec ou sans leur bénédiction. Finalement, sa mère lui confia un peu d'argent supplémentaire, quelques objets de voyages et de nombreux conseils, avant que, réconciliée avec son père quoique non sans une certaine mauvaise grâce, elle ne parte finalement pour la côte et son voyage.

Même avec l'argent supplémentaire fournis par sa mère, elle n'avait pas un budget infini, et opta donc pour une place sur un navire marchand qui, après plusieurs escales dans les Duchés, devait rallier la Province Ikhyldienne. Cela lui donna quelques occasions de visiter plusieurs ports duchéens, et même de faire quelques petits achats au passage, même si elle gardait le gros de son pécule pour s'installer, avant donc, finalement, de rallier la côte ikhyldienne, où elle descendit, exaltée d'avoir enfin l'occasion de se bâtir une nouvelle vie dans un pays qui, s'il n'était certes pas parfais, semblait au global plus en phase avec ses aspirations !

Après avoir passé quelques semaines dans la ville côtière où elle était arrivée, se faisant une petite réputation en participant à un concours de danse organisé par un des nobles de la cité, elle fini par gagner la Cité de Jade. Si elle avait eut son petit succès lors de cette représentation, cela avait aussi été l'occasion de voir qu'ici, elle était loin d'être la seule à être douée ! Cela promettait une rude concurrence, en un sens, mais cela ne lui pesa guère, car la plupart des autres danseurs avaient été très content de trouver une nouvelle camarade prometteuse, des conseils et des remarques s'échangeant volontiers entre eux.

Se trouvant un logement abordable dans les faubourgs de la grande cité, Zarina entreprit aussi de trouver des endroits où se produire, tout en continuant d'affûter ses talents. Rapidement, elle dansa ou chanta plusieurs jours par semaine dans divers endroits, des tavernes et de petites salles de spectacles, et petit à petit commença à se faire une place dans la cité. Elle a depuis eut l'occasion de prendre ses marques, et compte bien tout à la fois se faire reconnaître plus largement pour ses talents artistiques, trouver des occasions de développer ses talents magiques et s'intégrer pleinement comme citoyenne de ce nouvel empire où, pour l'heure en tous cas, elle s’épanouit bien plus !

*Jorvan Goldeneave : Son père, un thérianthrope félin et ancien officier de l'armée akkatonienne qui, après un long service, a pris sa retraite pour profiter du temps avec sa femme après être tombé amoureux de celle-ci, se reconvertissant en fermier. Il a mal vécu le choix de sa fille de refuser de faire son service militaire et pire encore à ses yeux de se détourner d'Akkaton, rendant leurs discussions souvent orageuses, même si les deux s'aiment évidemment toujours.

*Zephyr Goldeneave : Sa mère, une femme issue d'une tribu nomade du désert akkatonien, qui quitta sa tribu et accepta de s'établir avec l'homme dont elle était tombée amoureuse, en un petit village faisant compromis entre leurs deux modes de vie. Avec le temps, elle s'y épanouis, devenant un membre apprécié de la communauté. Le départ de sa fille lui a fait de la peine, mais elle est toujours contente de la revoir, se concentrant sur cette joie plutôt que sur d'éventuels reproches.

*Marius et Elias Goldeneave : Ses deux frères aînés, restés en Akkaton comme leurs parents. Bien qu'ils n'aient jamais eut beaucoup de centres d'intérêts en commun, Zarina aime ses deux frères, et réciproquement, les différents membres de la petite fratrie étant toujours content de se revoir mutuellement.

• Petite présentation de votre personne : Salut, moi c'est Aurélia, rôleuse depuis quelques années, et le forum m'a vraiment semblé cool ! Par contre je n'ai trouvé ni chatbox ni lien discord alors j'espère ne pas avoir fais d'erreur, si besoin n'hésitez pas !
• Rythme rp et particularités : Rythme normal je dirais ? Jamais de stress pour répondre et chacun à son rythme sont mes maîtres mots personnellement !
• Comment avez vous découvert le forum :Par hasard !
• Des ambitions pour votre personnage ? Quelle évolution aimeriez vous lui donner à court ? Moyen ? Long terme ?La faire grimper les marches de la société ikhyldienne avec le temps, mais rien de pressé ahah :p
• Avez vous prévu quelque chose ou êtes vous adepte du "laisser le jeu faire" et voir ce que ça donnera ? Rien de plus que ce que mentionné juste avant nan !