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Orzian, engrenages et arcanes
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Mihkaï Varsaw, le Général [TERMINÉ]
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 :: Le peuple d'Orzian :: Population Orzanienne :: Présentation de vos personnages :: Fiches validées
MessageSujet: Mihkaï Varsaw, le Général [TERMINÉ] Mihkaï Varsaw, le Général [TERMINÉ] EmptyVen 29 Juil - 20:19

Identité
    Nationalité : Teïderien
    Race : Humain
    Nom : VARSAW
    Prénom : Mihkaï
    Surnom : /
    Sexe : Masculin
    Date de naissance : 18 Aprilis 1957
    Age : 44 ans
    Lieu de naissance : Campagne teïderrienne
    Lieu de vie lors de votre entrée en jeu : Orzus
    Rang social : Serviteur de l’État
    Métier : Grand Sénéchal
    Célébrité : Connu Teïder
Armes et équipements
Armure et armes en votre possession lors de votre entrée en jeu :

Armure et armes en votre possession lors de votre entrée en jeu :

Couteau de combat:
Un couteau avec une lame de 20 cm pour 5 cm d’épaisseur à sa base. La lame est crantée et biseautée, ce n’est pas le couteau d’enfance de Varsaw mais il prends grand soin de celui-ci après en avoir fait la commande. Le pommeau est sertie d’un petite améthyste sombre en forme de tête de drake qui marque la paume si maniée à main nue et une garde agrémentée d’extrusions encadre les doigts lors de l’utilisation pour renforcer les coups comme un poing akkatonien. Pour palier à la perte de maniabilité d’un poignard classique la lame bascule de l’autre côté du poing autour d’un pivot maintenu en place en serrant le poing.
Douleur ignoble :
Cet enchantement à insuffler dans votre arme vous permet d'infliger plus de douleur que la normale lorsque vous blessez un adversaire avec, lui infligeant un malus en volonté croissant à ses test au fur et à mesure que les blessures s'accumulent et ne sont pas soignées.

Rapidité:
Augmente la vitesse des coups portés par l'arme, permettant de frapper 1,5 fois plus vite.


Arbalète légère :
Une arbalète moins puissante que la moyenne, mais plus rapide à recharger.

Projectiles inflammables :
La pointe de ce projectile contient un mélange à base de poudre noire qui permet de l'enflammer.

Armure de plates complète lourde :
Une armure de plates d'acier plus lourde et épaisse que la normale.
Armure compacte :
L'armure qu'elle soit légère ou lourde, lorsqu'elle n'est pas utilisée, peut être temporairement transformée en une simple bague que portera sans problème son porteur si celui-ci le désire. Celui-ci n'aura ensuite qu'à faire un effort de volonté pour que la transformation s'inverse et que l'armure le revête, du moins si cela est possible. Utile pour voyager léger et revêtir son armure en un seul instant quand nécessaire.


Autres équipements

Masque de la Pénitence:
Un masque décoratif que Varsaw porte en permanence quand il est à la Capitale. Sa surface est recouverte de fines feuilles de laurier en acier noir délicates arrangées dans tout les sens pour lui donner une apparence dérangeante, entre lugubre et beauté fascinante. Le masque n’a pas de fente pour la bouche et les yeux sont de petits verres sans tains fumés pour adopter une couleur similaire à celle des feuilles.

Bague précieuse :
Une bague en argent sertie d’un rubis taillé en forme d’écu à quatre quadrant. Au fond de celui ci les armories de Teïder sont visible sur le socle du bijou, à travers le reflet distordu de la pierre précieuse.
Voix imposante :
Vous êtes capables grâce à cet enchantement de rendre votre voix bien plus imposante, vous donnant un bonus de +5 en intimidation et commandement/autorité quand vous en usez.


Uniforme de Grand Sénéchal:
Son uniforme militaire complet avec bottes, gants et ceinture, paré des décorations accumulées tout au long de sa carrière. Lorsqu’il n’est pas entièrement revêtu de son armure ce sont les vêtements que Varsaw porte à longueur de journée.

Cheval commun:
Un cheval de trait tout à fait commun.
-Attaque : Adepte
-Défense : Adepte
-Constitution : Champion
-Malignité : Confirmé
-Taille : Confirmé

Caractéristiques
  • Magie



Potentiel : Aucun Potentiel
Feu : Inapte
Eau : Inapte
Vent : Inapte
Terre : Inapte
Lumière : Inapte
Ténèbres : Inapte
Invocation : Inapte
Nécromancienne : Inapte
Transformiste : Inapte
me : Inapte
Foi : Inapte



  • Mental



La volonté : Virtuose
Contrôle de soi : Confirmé
L intelligence : Prodige
La perception : Adepte
Le charisme : Maître
Technologie : Inapte

  • Physique



Force physique : Prodige
Agilité : Adepte
Vivacité : Maître
Résistance physique : Maître
Résistance magique : Maître
Vitalité : Prodige
Beauté : Inconnu
Discrétion : Confirmé

  • Martial



Armes de tailles : Inapte
Armes lourdes : Inapte
Armes d hast : Inapte
Faux : Inapte
Art de la défense : Inapte
Armes de lancer/fouet : Confirmé
Arc/arbalète : Champion
Mains nue/Arts martiaux : Virtuose
Armes à feu : Inapte
Equitation : Confirmé
Domptage : Inapte
Conduite : Inapte

  • Si dragon



Combat dans les airs : Inapte
Combat sur la terre ferme : Inapte



Description de votre personnage
Description physique

6h du matin, un homme teïderrien ouvrit les yeux.
À 6h02 il se dirigeait vers la salle d’eau, s’agenouilla devant le baquet d’eau fraîche et y plongea les mains pour s’asperger le visage.
À 6h03 il voyait clair, il regardait le reflet de son visage dans la surface troublée de l’eau en dessous de lui. Ses cheveux noirs et cours retombaient légèrement sur son front maintenant qu’ils étaient mouillés mais la coupe militaire les empêchaient de le gêner. En dessous de ce front barré de longues cicatrices, ses propres yeux pénétraient son âme en voulant le sonder, lui rappeler la Douleur, la Souffrance et la Pénitence. Sa pupille droite atrophiée suite à une blessure recouvrait partiellement son oeil et frétillait quand il était trop excité ou émotionnel mais là elle était calme, comme lui. Son regard inspecta ses pommettes tuméfiées dont la peau tenait aussi bien qu’un linge sur une corde, fondue il y a longtemps par de la magie ardente et taillée et retaillée après par les épées des ennemis et les bistouris des alliés. L’arête de son nez et son menton désormais imberbe ne faisaient pas exception et étaient assorti au reste de sa tête. Il avait l’air d’un monstre, mais il le savait, et si c’était tel que ses adversaires le voyaient, il allait leur donner raison, comme il le faisait tout les jours depuis des années. Il était l’incarnation du Jugement, le serviteur du Père et donc du Roi. Il leva les mains à sa poitrine et embrassa la peau abimée de ses doigts, leur sensibilité était amoindrie par la vie passée à manier les armes, à travailler comme soldat, à donner de sa personne pour faire vivre un pays et une armée qu’il aimait.
À 6h05 il rinçait le reste de son corps, ses pieds calleux plongés dans le baquet et ses mains parcourant tour à tour ses biceps secs, son torse balafré et meurtri “d’expérience” et finalement caressant son dos avec délice tandis que les plaies encore sensibles de la flagellation le lançaient par à coups. Il avait construit un corps efficace. Puissant, rapide, peu demandant. Tout juste bon à faire ce qu’il en attendait.
À 6h08 il se sécha.
À 6h10 il s’habilla en enfilant son uniforme militaire, il passa le pantalon par dessus sa braie en cotton, mit la veste en prenant soin d’ajuster les médailles bien droites sur sa poitrine et affixa les épaulières. Il se coiffa, s’aspergea d’un parfum à l’huile de lin et empoigna son masque sans le mettre.
À 6h15 il se tenait debout devant le grand miroir à pieds de la chambre d’invité du Palais Royal d’Orzus, quelque part au cinquième étage. Il regardait dans les yeux l’homme dans la fin de cinquantaine qui se tenait devant lui mais qui en avait en réalité à peine quarante. Un feu brûlait au fond de ses pupilles, mais seul lui-même pouvait le voir. Ce feu de la passion, ce feu de la foi, ce feu qui avait un jour ravagé tout ce qu’il connaissait, ce feu qui l’avait blessé dans une bataille contre un estien. Ce feu. Sa volonté.
À 6h18 il apposait son masque sur son visage, il le portait systématiquement pendant ses séjours à Orzus, son passage devant le Roi ne serait pas une exception, sauf si tel serait son désir.
À 6h20 il était fin prêt, il attendait patiemment sur son lit l’heure de la convocation dans un calme stoïque, son esprit obnubilé par ses pensées, se retraçant le parcours de toute sa vie qui l’avait amené aujourd’hui à se tenir ici, et à ce qui l’attendait d’ici quelques dizaines de minutes.
À 7h00 le Grand Sénéchal Mihkaï Varsaw sorti de sa chambre, salua les gardes royaux qui l’escortaient et se dirigea d’un pas régulier avec eux vers les marches descendantes de l’escalier qui le mènerai à la salle du trône.


Description mentale

Comme il ne fréquente que peu de gens, les seuls qui peuvent décrire l’état mental de Varsaw ainsi que son schéma de pensée sont ceux qui travaillent directement avec lui comme son Connétable, ses Commandeurs et très probablement les espions des services secrets qui sont affectés à sa personne. Alors s’ils venaient à faire une description mentale de Varsaw, voilà à peu près ce qu’ils en diraient:

Le Grand Sénéchal Varsaw est un individu à deux facettes, il y a celui qui planifie, et celui qui se bat. Quelle que soit celle que vous avez en face de vous il y a des points communs entre les deux, la première étant que le Grand Sénéchal ne s’adonne pas facilement à tout ce qu’il considère comme puéril tel que les jeux récréatifs, l’amusement, les passes-temps artistiques ou tout autre activité qui peut-être considérée comme une perte de son temps. Il se distrait peu pour ne jamais se détourner de la Douleur et du droit chemin et il ne boit pas, ne fume pas et ne se drogue pas. De la même manière que les divertissements culturels ne sont pas à son goût, les plaisirs charnels ou sociaux comme la romance ne font pas non plus partie de ses centres d’intérêt. Cela ne signifie pas que Varsaw ne sait pas rire ou s’amuser, mais plutôt qu’il ne s’y adonne que dans des circonstances ‘particulières’. Mihkaï place également la souffrance de manière générale sur un piédestal et marquera un point d’honneur à l’infliger aux têtes en l’air ou aux hérétiques pour leur ouvrir les yeux -parfois littéralement-, il n’hésite généralement pas à torturer et se salir les mains pour aider à la sélection par la Douleur.

En le rencontrant, celui auquel vous aurez à faire sera très probablement le premier. Ce Varsaw ci est calme, sa posture est toujours la même, les épaules reculées vers l’arrière avec le menton droit, le torse bombé et les jambes tendues. Il est discipliné jusque dans sa manière de vivre, chaque instant de sa routine étant méticuleusement planifié, préparé et finalement exécuté. Il cherchera toujours à prévoir le plus possible et prendra toutes les précautions qu’il estime nécessaire sans se soucier des coûts ou de la rapidité à moins que celle ci ne soit une de ses contraintes. Une fois qu’un plan est établi, Varsaw aime qu’il soit respecté, et s’il ne l’est pas il a tendance à en être rapidement énervé si les imprévues proviennent de lui-même ou de son propre camps. Il préfère conserver ses capacités d’improvisation pour les urgences imposées par ses adversaires. Si Varsaw pouvait vivre sa vie au rythme du tic tac d’une montre, il le ferait.
D’un côté cette rigueur et cette minutie de la préparation font de Varsaw un officier de valeur pour ses supérieurs hiérarchiques. Ils savent qu’ils pourront lui faire confiance dès qu’il s’agit d’établir une stratégie et la volonté de Varsaw de ne jamais trop s’éloigner de ses troupes en font un homme toujours en contact avec le terrain et ne perdant pas de vue les habitudes et la réalité du front. De l’autre côté si le Grand Sénéchal fait attention à chaque détail ce n’est pas simplement par amour fou de la discipline. C’est surtout pour laisser le champ libre à l’autre facette de l’Officier qui survient une fois que le combat atteint une intensité stimulante et que l’hémoglobine ou l’adrénaline -ou les deux- coulent déjà à flot.

Lorsque Varsaw s’adonne pleinement dans l’effervescence que lui provoque les affrontements armés, il jubile. C’est un homme très different qui prend les rennes du Sénéchal, il devient bien plus impulsif, émotionnel, certains diraient presque animal dans ses mouvements ou dans son style de combat. Là où habituellement il serait calme et posé, il s’en donnera à coeur joie pour détruire entièrement sa cible. Ce qui contraste le plus avec le Varsaw habituel c’est son intention, normalement il souhaiterait une extermination méthodique des ennemis qui se dressent sur son chemin mais s’il se prend au feu de l’action il ira jusqu’à se ruer 'précautionneusement' sur son adversaire et s’assurer qu’il ne se relève pas grâce à une vingtaine de poignardement ‘méticuleusement’ biens placés au jugé. Que ce changement abrupte de comportement soit dû à ses traumatismes refaisant surface ou s’il s’agit en fait du véritable Varsaw qui ferait tomber la façade d’homme rigoureux de l’armée, il ne fait aucun doute qu’il est méconnaissable dans ces moments de pure violence où plus rien ne compte si ce n’est d’envoyer l’ennemi six pieds sous terre avec le plus de hargne possible. L’animal est cependant capable de relaisser place au Grand Sénéchal bien droit dans ses bottes pourvu qu’il ne soit pas victime d’une crise obsessionnelle à ce moment précis et qu’un impératif plus important dans le référentiel de l’officier se présente (comme écouter un supérieur, coordonner ses hommes ou obéir au Roi ou au Père).


Convictions

Ses convictions sont fidèles aux dogmes et aux codes moraux teïderriens bien que poussés à l’extrême, les étrangers peuvent tous crever et les brebis galeuses avec eux. Il ne fait preuve d’aucune pitié, de plus à cause de ses origines rurales et de ses expériences passées négatives qui l’ont rendu bien superstitieux, il voit la magie et la technologie comme des impuretés qui salissent le corps et l’âme mais parfois ce sont des maux nécessaires pour combattre le feu par le feu. Il marque tout de même une exception pour les pouvoirs religieux employés par les hautes instances teïderriennes qu’il estime bien plus correctes.
Seul le Roi de Teïder, la famille royale et le Père de la Souffrance sont dignes de mener les teïderriens à la gloire, Varsaw a donc toujours eu un respect indirect de sa hiérarchie puisqu’il voit la volonté de ceux ci comme découlant de celle du Roi.
Socialement, la vie est une épreuve, seuls ceux qui bravent les multiples obstacles dressés par celle ci méritent de progresser et d’évoluer, ceux qui abandonnent ou baissent les bras n’ont pas droit à la considération de Varsaw. Il estime cependant ses hommes à leurs juste valeur, car il considère qu’être prêt à donner sa vie pour la cause est une forme effective de foi et il traite donc correctement ses subordonnés..



Passé de votre personnage
Histoire

Le 18 Aprilis 1957, le petit Mihkaï Varsaw est né de l’union d’un père et d’une mère dont il ne se souvient aujourd’hui plus des noms dans une fratrie de trois. À l’époque il habitait dans un village qui n’existe plus et jouait avec des camarades maintenant décédés aux surnoms tout aussi flous. La vie à la campagne était dure et impitoyable, ils évoluaient dans une pauvreté extrême et allaient parfois travailler dans les champs sans rien à manger, mais ni Mihkaï ni ses frères ne s’en plaignaient jamais. Ses parents biologiques et ses amis étaient tous de fervents croyants et il apprit à respecter et craindre le Père de la Souffrance comme tout bon teïderriens, et chaque jour, il priait non seulement le Père, mais aussi son élu divin, sa Majesté le Roi de Teïder. Le jeune garçon impressionnable s’était construit une image mentale du Roi qu’il idolâtrait tendrement en se disant qu’il était né pour le servir et que tout ce qu’il traversait n’était qu’une épreuve, un test pour savoir s’il en serait digne. Il ne possédait pas grand chose, seulement un couteau de chasse que son oncle préféré lui avait fabriqué, un martinet à noeuds pour ses prières et un petit pendentif en laiton avec sa date de naissance et son nom gravés à l’intérieur. Il ne saurait dire si son ancien père était quelqu’un de bien, de fort ou de courageux, il ne s’en rappelait tout simplement pas, il ne passait pas beaucoup de temps avec sa famille puisque tout le monde travaillait pour remplir sa part dans ce petit village et que le temps passé en famille dans la maison était utilisé pour diner en silence, prier et dormir. Ce que sa mémoire avait retenu de sa tendre enfance, c’était l’amour qu’il vouait déjà à l’époque au Dieu de Teïder, et surtout le jour où sa vie avait basculé.

Une fois lors d’une partie de chasse avec son oncle durant sa neuvième année, ils étaient ensemble tombés sur un campement de quelques mercenaires duchéens établit près de leur village dans le bois marécageux, le périmètre du camps avait été nettoyé et les mercenaires occupaient le camps en s’activant à diverses tâches, c’était la première fois de sa vie que Mihkaï voyait des étrangers. Il avait entendu dire qu’ils étaient tous impurs, indignes des voies du Père et qu’ils étaient les véritables démons envoyés par le Dieu de la Souffrance pour les mettre à l’épreuve, mais là comme ça de loin, ils n’avaient pas l’air d’être aussi méchants que ce qu’il croyait, il y avait aussi des espèces de monstres d’autre races mais elles avaient l’air paisibles également. Leurs formes étaient étranges, certains étaient bien plus grands que des hommes, l’un d’entre eux était minuscule mais semblait tout de même être un adulte et un dernier possédait carrément un plumage et des ailes dans le dos mais il pouvait l’entendre parler la même langue que le reste! Ils riaient, se racontaient des blagues et des histoires, un peu comme Mihkaï avec ses copains du village, il éprouvait une certaine fascination à la vue de toute cette nouveauté, il ne savait pas vraiment quoi en penser, bien sûr il était heureux de ne pas être né comme un de ces monstres déformés mais surtout ils avaient l’air de bien s’amuser. Son oncle quant à lui semblait piétiner sur place à ses côtés en fulminant intérieurement, et il saisit la main de son neveu en retournant prestement au village, là ils alertèrent les autres villageois de la présence du groupe d’étrangers et les habitants outrés les écoutèrent à moitié. Le village était en secoué devant la nouvelle que l’ennemi était à leur porte et que de tout les endroits ils étaient là devant eux, certains anciens disaient que c’était de leur devoir de les repousser et de montrer au Père que tous le servaient sans faille et ils décidèrent de rendre le verdict que ces hérétiques méritaient eux-mêmes. Son père aussi prit une fourche, prépara une torche et rejoint le groupe d’une cinquantaine de villageois les plus aptes au combat qui partirent en direction du campement. Il ne revint jamais, à la place c’était un des duchéens azurien que Mihkaï avait vu au campement qui émergea de la forêt, fou de rage et blessé, du sang sur ses vêtements, et pas uniquement le sien.

Mihkaï vit une énorme colonne de flammes s’élever dans les airs et lécher les toits des chaumières où il avait grandi.

Il couru pour s’enfuir, ne comprenant pas ce qui se passait, il avait peur, il ne savait pas où étaient ses frères et sa mère, il voulait partir loin d’ici. Les flammes continuaient de jaillir à sa droite et à sa gauche, engouffrant tout ceux avec lesquels il avait un jour parlé, tout ce qu’il avait un jour touché. Les langues de feu cinglaient ses chevilles laissant des marques rouges vermeilles tandis qu’il courait comme un dératé pour sauver sa peau, mais devant lui en descendant du ciel, l’azurien se posa au sol pour lui barrer le passage. Le mage de feu avait les yeux injectés de sang, il hurlait en balançant des gerbes de flammes à tout va et en cet instant précis, l’image du démon était gravé dans la mémoire de Mihkaï à tout jamais. Il cru qu’il allait mourir là, de la main de cette abomination. Soudainement une lame transperça le torse de l’azurien en ressortant de sa poitrine, le visage aviaire du mage se déforma sous la surprise alors que ses bras retombaient le long de son corps et qu’il commença à se pencher vers l’avant. Derrière lui se tenait un chevalier en armure complète, visière baissée et lame bien profondément enfoncée dans le corps de l’ennemi, il avait poussé le cadavre tout frais d’un coup de genou pour dégager son arme et il se tenait là, immobile dans le chaos infernal.

Mihkaï se releva et s’approcha doucement du chevalier, son armure était assez particulière et tout bon fervent reconnaîtrait les signes caractéristiques particulières des manifestations de la volonté du Père de la Souffrance. S’il croyait ce que ses yeux voyaient, la posture stoïque imperturbable du chevalier et le noir profond de sa visière confirmaient que personne n’était debout dans cette armure, seul la puissance divine de son Dieu animait la relique sacrée. L’armure animée restait là, debout au milieu des ruines du village. Mihkaï se releva pantois et parti à la recherche de survivants, mais il dû se rendre à l’évidence, il était le dernier debout. Alors que la pluie éteignait doucement les âtres des ruines, il était désormais tout seul, en compagnie de l’armure silencieuse. Il la tenait évidemment en grand respect et il avait un peu peur de lui poser la moindre question ou de lui adresser une demande… Il n’était absolument personne pour pouvoir se permettre d’en faire ainsi. Le jeune garçon perdu se tenait donc devant elle, sans rien dire, attendant une quelconque aide de la part du Seigneur qui l’avait déjà sauvé une fois.

L’armure se mis en branle une fois de plus, et d’un pas régulier aux mouvements un peu trop légers, l’incarnation du Père de la Souffrance se remit en route. Sans un mot.

Pendant trois jours Mihkaï ne savant pas où aller ni quoi faire, suivit l’armure en marchant, malgré l’épuisement. Quand il avait faim il s’arrêtait pour cueillir et manger des racines d’arbres des marais en les nettoyant à l’eau vive de la rosée sur les feuilles, quand il avait soif il recueillait un peut d’eau de pluie pour l’étancher. Il avait sommeil mais il ne pouvait pas dormir, l’armure ne s’arrêtait pas, et il ne voulait pas la perdre de vue, elle était la seule chose que Mihkaï avait vu de beau dans le charnier de son village, le seul repère qui lui restait. La souffrance. Il se sentait plus proche qu’il ne l’avait jamais été du Père Divin. Pendant cette longue et inlassable marche, il regardait droit devant lui l’armure qui ne faiblissait pas et il tentait de tirer le sens de tout cela, de tout ce qui lui arrivait. Il essayait vainement de comprendre le dessein divin qui était entrain de prendre place là sous ses yeux, et qui motivait étrangement ses jambes à avancer mais il ne parvenait pas à le distinguer, seul la haine et la colère grandissante envers l’extérieur venait supplanter la douleur physique qu’il ressentait. Maintes et maintes fois il fut tenté de se laisser aller à la souffrance lancinante de la fatigue, d’y succomber et de la laisser l’envahir, mais à chaque instant il devait se ressaisir et continuer. Après trois jours passés à faire route vers l’Est, Mihkaï ne tenait plus debout, il était spectateur de son propre corps, ses muscles n’obéissant plus à son esprit mais à une sorte d’impulsion répétitive qui venait de ses dernières volontés de vivre. Lorsqu’ils sortirent d’un grand groupe de marécages et qu’il aperçut les fumées blanches d’un petit village à quelques centaines de mètres de là, il vacilla, tomba à genoux et tout devint noir.

Lorsqu’il reprit connaissance Mihkaï était allongé sur un lit rudimentaire, il entendait des voix distantes parler juste au dessus de lui et il lui semblait entendre son nom mais il ne reconnaissait pas les voix et il se sentait fiévreux. Quand il fut complètement rétabli, il n’y avait plus aucune trace de l’armure animée qui l’avait conduit jusqu’ici, mais les villageois lui expliquèrent qu’elle avait continué son chemin après s’être arrêté dans le village nommé Rados. Le jeune garçon apprit que la femme qui s’était occupé de lui et l’avait soigné s’appelait Gorenna Varsaw, la femme de Palbé Varsaw qui était le chef de la petite communauté dans laquelle il se tenait. Après que l’enfant eut fini de raconter son histoire aux habitants du villages, tous furent comblés d’allégresse à l’idée d’accueillir un enfant qu’ils pensaient envoyé par le Père de la Souffrance même, et les Varsaw finirent par l’adopter. Ils étaient des parents très attentionnés envers chacuns de leur fils et leur unique fille et Mihkaï se senti la bienvenue au sein de cette famille de foyer. Quelques années passèrent tandis que le jeune enfant de neuf ans se transformait en un adolescent forgé par la difficulté de la vie paysanne et l’entraînement au combat qu’il pratiquait contre certains de ses amis, motivé par la volonté de vengeance et d’exterminer ces monstres d’outre frontière. Mihkaï s’était transformé en un tout jeune adulte bien développé, et si son corps avait magnifiquement fleuri, son esprit lui, s’était endurci. Les souvenirs de ce jour fatidique lui tournaient dans la tête, il les ressassait, les gardait fermement à vif dans son coeur et chaque jour il prenait soin de prier le matin et le soir au Père, pour qu’il lui montre le chemin, pour qu’il lui amène une nouvelle fois sa guidance. La routine de Mihkaï était réglée comme un métronome imperturbable qu’il répétait chaque jour sans faillir, cette dévotion sans faille à sa propre discipline lui vallait le respect de son village, l’admiration de ses pairs et la fierté de ses parents.

Si Gorenna était surtout une femme au foyer qui s’occupait des trois frères et de la soeur adoptive de Mihkaï, Palbé était un homme de lettre, il savait lire et écrire et il avait reçu une éducation religieuse par son père qui l’avait lui même reçu de son grand-père et ainsi de suite. Il était coutume que l’ainé des Varsaw soit celui qui apprendrait à déchiffrer les saintes écritures et ainsi pouvoir continuer d’enseigner les dogmes du Culte au reste des habitants du village de 300 âmes. C’était donc Mihkaï lui même qui devait hériter de ce savoir aussi inestimable pour la petite communauté car il le considérait à sa grande surprise comme l’égal d’un fils de son propre sang. Depuis des années il avait donc apprit à lire et à écrire, en préparation de cette transmission de savoir pour qu’il puisse perpétuer cette tradition immuable. Palbé croyait que Mihkaï serait un nouveau départ pour le village, après tout le Dieu de la Souffrance l’y avait amené grâce à son messager, depuis toujours il sut que c’était un signe. Un signe que Palbé avait raison dans son interprétation des écrits Teïderriens et que la Mère de la Vie lui avait envoyé un fils pour poursuivre le travail de son père adoptif. Un jour, son père l’emmena donc à part dans les marais, portant des livres sous le bras pour expliquer à son fils comment les saints textes devaient être lus. À ce moment là, Palbé tenta de convaincre Mihkaï de sa version de la lecture divine, que la Mère de la Vie devait être vénérée au même titre que le Père de la Souffrance, que le don de la Vie était plus important que celui de la douleur qui permettait seulement de mettre la première en valeur, et qu’en réalité la Souffrance n’était rien de plus qu’une épreuve pour mieux faire apprécier l’amour de la vie. Mihkaï était interdit devant tant de révélations, tant de propos hérétiques de la part d’un homme qu’il avait apprit à respecter sous son éducation soigneuse et dogmatique. Sa rage refaisait surface, comment la vie pouvait-elle être un don quand elle était tant parsemée de souffrance? Palbé expliqua alors que tout le village partageait aussi ces préceptes, ils avaient préservés le jeune homme lors de son arrivée il y a six ans pour éviter de le brusquer et prendre le temps de le préparer pour qu’il soit prêt à écouter leur vérité. Le jeune adulte bouillonnait de rage, non seulement envers celui qui bafouait l’importance du Véritable Père qui lui avait envoyé son guide, mais aussi envers tout ces menteurs de merde, ces misérables paysans de la communauté qui se laissaient détourner du droit chemin comme des moutons aveugles, idiots et stupides, envoûtés par les prommesses trompeuses de ce connard infidèle.

Mihkaï Varsaw tua son père adoptif dans les bois, et s’enfuit une nouvelle fois de son village, à l’exception que cette fois il savait dans quelle direction marcher. Il connaissait une forteresse de l’armée teïderrienne à deux jours de marches d’ici, il y fit route, et une fois arrivé sur place il expliqua deux choses, d’une qu’il souhaitait intégrer l’armée teïderrienne pour pouvoir réellement servir le Roi, la seule personne qui méritait sa confiance en ce monde, la seule personne qui il le savait respecterait quoi qu’il arrive le dogme du Père de la Souffrance car il en était l’incarnation sur Terre. L’Élu parmis les hommes. De deux, il raconta tout sur le village de Rados, des détails des pratiques religieuses jusqu’aux dérives des saintes écritures. Cette délation lui valut la confiance de l’armée qui le prit sous son aile et en peu de temps, encadré par le régime militaire stricte et discipliné dans lequel il se délectait, il devint terriblement efficace au combat. Lorsqu’il fut complètement entraîné et prêt à rejoindre les rangs, l’illustration de sa fidélité en dénonçant ses parents adoptifs lui valu de commencer au rang de Sergeant d’Armes, de là il put se faire remarquer en combat par ses capacités stratégiques et gravit rapidemment les échelons, devenant un des plus jeunes soldats à obtenir le grade de Commandeur. Il passa une grande partie de sa carrière militaire à ce grade là, à commander les mouvement du 3ème Bataillon de surveillance de l’Est. C’était une position que Varsaw n’appréciait pas tellement, la frontière avec les démons d’Eïlynster n’était pas si active que ça mais il comprenait que sa jeunesse et donc son manque d’expérience étaient la raison de cette affectation.

Un jour tandis que Varsaw déplaçait son camp d’opération accompagné d’une petite quarantaine d’hommes dont quelques un de ses Sergents d’armes et d’un Mestre, ils furent obligés d’effectuer un détour à cause d’un marécage devenu trop impraticable suite à un violent orage. Ils tombèrent alors sur un petit détachement d’une quinzaine d’estiens haït qui étaient supposés accomplir une mission de sabotage des lignes de ravitaillement et furent surpris par la route inhabituelle empruntée par les teïderriens. Le Commandeur Varsaw se battit aux côtés de ses hommes becs et ongles pour venir à bout de leurs adversaires mais les deux partis subirent de lourdes pertes. À la fin de l’affrontement, Varsaw se tenait en face à face avec le Lieutenant estien qui coordonnait le groupe pendant que quelques autres officiers se battaient encore contre une paire de sergents. Mihkaï avait réussi à faire sauter le casque de son adversaire et il le dévisageait intensément, car non seulement ce chien de garde du mur avait réussi à le prendre par surprise lui et ses hommes, mais en plus le Commandeur lui même avait subit plusieurs blessures pendant ce un contre un violent. Au moment où il entendit le cor de retraite des troupes de l’Est qui indiquait donc la présence d’un détachement supplémentaire, sans doute le reste des forces sous les ordres du Lieutenant, il tenta le tout pour le tout et se rua une dernière fois sans aucune prudence sur son ennemi pour tenter de l’achever mais celui ci esquiva in-extremis et l’attrapa à la tête avec une attaque brûlante. Le visage de ce Lieutenant restera à jamais gravé dans la mémoire de Varsaw tout comme la cicatrice de cette blessure restera sur son visage. Des années plus tard après des faits d’armes et des années de service et de loyauté, Varsaw était désormais un Grand Sénéchal craint de ses ennemis et respectés par ses hommes, il montrait l’exemple par sa ferveur sans faille, sa volonté indestructible et sa loyauté immuable envers ses seuls maîtres, le Roi et le Père. Cette attitude lui valait d’ailleurs une légère méfiance de la part de son Connétable qui avait l’impression qu’il ne lui obéissait pas directement mais plutôt pour ne pas décevoir ses véritables idoles, ce qui à la fin de la journée revenait au même pour le chef d’armée mais avait le don de l’irriter passablement.

En Augustus 2001, un des terribles Connétable fut tué suite à une violente bataille. Mihkaï y voyait le prolongement de son parcours. Il se savait choisi par le Père de la Souffrance pour épauler sa patrie et cette opportunité n’était pas un hasard, il avait désormais 44 ans et il se sentait prêt à endosser la responsabilité du plus prestigieux grade au sein de l’armée teïderrienne.



Liens

Lieutenant ?: (PJ)
Varsaw ne connait pas le nom de cet adversaire qu’il a déjà croisé plusieurs fois en batailles mais il reconnaîtrait son visage au milieu d’une foule, comment l’oublier quand il s’en rappellait trait pour trait chaque fois qu’il se regardait dans une glace? Il lui doit sa défiguration complète au visage et la perte de pas mal de ses hommes il y a quelques années. Celui-ci, Varsaw l’étrippera de ses propres mains.



Qui êtes vous ?
  • Petite présentation de votre personne : Je vous invite à aller lire la fiche de Beldurande!
  • Rythme rp et particularités : Plutôt actif sauf en période de saison intense
  • Comment avez vous découvert le forum :
  • Des ambitions pour votre personnage ? Quelle évolution aimeriez vous lui donner à court ? Moyen ? Long terme ? Varsaw deviendra l'un des meilleurs généraux que Teïder aura pu voir, il marquera l'histoire des batailles, surtout contre Eïlynster...
  • Avez vous prévu quelque chose ou êtes vous adepte du "laisser le jeu faire" et voir ce que ça donnera ? J'ai de grands plans pour ce monsieur, il ira loin.




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MessageSujet: Re: Mihkaï Varsaw, le Général [TERMINÉ] Mihkaï Varsaw, le Général [TERMINÉ] EmptyVen 29 Juil - 20:19
Fiche terminée et en attente de correction
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MessageSujet: Re: Mihkaï Varsaw, le Général [TERMINÉ] Mihkaï Varsaw, le Général [TERMINÉ] EmptySam 30 Juil - 17:00
Bonjour Varsaw, comme convenu je vais donc corriger la fiche Smile

Identité :

Surnom : "Général" Je trouve ce surnom étrange, pourquoi aurait-il été surnommé par un grade qui n’appartient pas à l’armée Teïderienne ? Je ne vois pas les Teïderiens le faire en tout cas, surtout que ce grade ça n'existe que dans les Duchés et Eïlynster, deux pays ennemis.

Rang social : Remplace par « Serviteur de l’état », c’est le rang social de l’élite Teïderienne.

Équipement :

Je te dirais d’ajouter les stats du cheval se trouvant en boutique, on sait jamais si tu dois esquiver sur son dos, ou s’il attaque.

Ne parle pas de poing américain, mais akkatonien, si j’ai évité le terme américain en boutique c’est pour éviter cette référence à l’irl à dessein.

Caractéristiques :

Es tu sûr de vouloir à la fois armes de lancer et arbalète ?

Description :

Mentale :

Bien trop rapide malheureusement, ce n’est qu’une suite de termes, je peux comprendre l’approche, mais je trouve ça trop court vu que ce ne sont même pas des lignes complètes et que ça ne dit pas tant que ça sur le personnage.

Physique :

Je préfère éviter que tu mentionnes dans la description un rp qui n’a pas encore eut lieu, faudra donc revoir les mentions au palais royal et au fait de s’y rendre.

Convictions :

La magie n’est spécialement mal vue à Teïder, seulement celles invocatrice et transformistes, celles de feu/eau/terre et vent sont totalement légales, celles de ténèbres et lumière sont réservées aux inquisiteurs royaux, quant à la nécromancie elle est sacrée et réservée à la famille royale. Le prophète Zheznev était après tout un grand nécromant.

Passé :

Liens :


Pas de mention envers sa famille, même s’il les fréquente plus du tout ? Ou ceux qui l’ont recueilli ?

Histoire :

Rien à modifier pour la vie à la campagne, mais je dois préciser que même à Teïder tous les paysans sont pas des crèves la faim même si doit y en avoir pas mal, sinon ils auraient pas de soldats pour leur armée.

Concernant les étrangers comme mentionné au début, alors l’opinion des Teïderiens à leur sujet est guère tendre, mais c’est plus pour ceux humains, celle d’infidèles possiblement convertissables mais pêcheurs, que celle de démons à exterminer, à cette nuance près.

Citation :
« Un jour tandis que Varsaw se tenait en faction dans un village avec deux centaines d’hommes, ils tombèrent sur un petit détachement d’estiens haït qui venaient défendre les sympathisants du village. Le Commandeur Varsaw se battit aux côtés de ses hommes becs et ongles pour venir à bout de leurs adversaires mais les deux partis subirent de lourdes pertes. À la fin de l’affrontement, Varsaw se tenait dans un coin du village en face à face avec le Lieutenant estien qui coordonnait l’attaque. Varsaw avait réussi à faire sauter le casque de son adversaire et il le dévisageait intensément, non seulement ce chien de garde du mur avait réussi à le prendre par surprise lui et ses hommes, mais en plus le Commandeur lui même avait subit plusieurs blessures pendant ce un contre un violent, alors qu’il entendit le cor de retraite des troupes de l’Est qui avaient réussi à évacuer leurs sympathisants, il se rua une dernière fois sans aucune prudence sur son ennemi pour tenter de l’achever mais celui ci esquiva in-extremis et l’attrapa à la tête avec une attaque brûlante. Le visage de ce Lieutenant restera à jamais gravé dans la mémoire de Varsaw tout comme la cicatrice de cette blessure restera sur son visage. »

Concernant ce passage je suis un peu sceptique, car connaissant les Eïlynsteriens, ils sont du genre à éviter les batailles directes à l’étranger et en sous nombre, sauf excellente raison, encore plus si c’est sur des Teïderiens retranchés. Sachant qu’ils devaient être une cinquantaine si un lieutenant les commandait, c’est quand même pas mal de pertes juste pour des partisans qui sont pas des enfants du mur. Ils essayent de préserver leurs hommes après tout et préfèrent frapper quand ils peuvent les Eïlynsteriens. Sauf, s’ils se font prendre par surprise, ce qui peut arriver aussi même si pas forcément évident.












Voilà, corrige moi tout cela et on approchera de la validation.
Cécilia Cassetti
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MessageSujet: Re: Mihkaï Varsaw, le Général [TERMINÉ] Mihkaï Varsaw, le Général [TERMINÉ] EmptyLun 1 Aoû - 1:07
Heyo!
J'ai supprimé le surnom, j'ai pas envie qu'il soit appelé par quoi que ce soit de pas militaire et son grade suffira
Je suis sûr de vouloir arme de jet aussi parce que je compte utiliser des haches de lancer et j'aurai peut-être besoin de lancer mon couteau. J'ai pas pris les haches par manque de place mais je les récupèrerai plus tard.
J'ai appliqué la crème magique sur la description mentale
J'ai fait quelques ajustements aux convictions pour préciser que c'est un extrémiste même parmi ses compatriotes et qu'il a un passif rural+expérience qui fait qu'il est comme ça
Il n'a pas de relations, Varsaw ne fréquente personne de manière personnelle et il ne fait pas de favoritisme parmi ses subalternes. Les gens avec qui il souhaite avoir des relations ne le fréquentent pas encore.
Il vient vraiment du trou du cul de Teïder donc oui même si tout le royaume est pas comme ça il a évolué dans des endroits vraiment pauvres. J'ai corrigé l'altercation en sous-entendant que les forces du Lieutenant étaient divisées, en leur donnant un réel objectif et en diminuant leurs pertes.
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MessageSujet: Re: Mihkaï Varsaw, le Général [TERMINÉ] Mihkaï Varsaw, le Général [TERMINÉ] EmptyLun 1 Aoû - 17:29
Voilà, du coup je peux te valider ! Sache que quand je me serais occupé des détails administratifs, tu pourras retrouver ta fiche d'évolution par ici.

https://orzian.forumactif.com/f72-fiches-d-evolutions-des-personnages

Et sur ce tu peux déjà commencer à rp, bon jeu à toi !
Slenlodwiin
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MessageSujet: Re: Mihkaï Varsaw, le Général [TERMINÉ] Mihkaï Varsaw, le Général [TERMINÉ] Empty
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Mihkaï Varsaw, le Général [TERMINÉ]
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