Nationalité : Duchés du Sud
Race : Elfique
Nom : Halgaïr
Prénom : Sorona
Surnom : Sora
Sexe : Féminin
Date de naissance : 20 Julius 1851
Age : 150 ans
Lieu de naissance : Duchés du Sud
Lieu de vie lors de votre entrée en jeu : Cité d'Inveïs
Rang social : Peuple
Métier : Mercenaire
Célébrité : (Oeil du Faucon) Peu connue dans les Duchés du Sud

Arc elfique :
Un arc d'excellent qualité qui est à la fois précis, puissant et rapide à bander. Sans doute ce qu'il y a de mieux dans ce domaine, mais seul d'excellents tireurs peuvent en user. (Prodige minimum)

Dague :
Une simple dague en acier. → Douleur ignoble :
Cet enchantement à insuffler dans votre arme vous permet d'infliger plus de douleur que la normale lorsque vous blessez un adversaire avec, lui infligeant un malus en volonté croissant à ses test au fur et à mesure que les blessures s'accumulent et ne sont pas soignées.

Brigandine :
Armure constituée de plaques rivetées sur du cuir ou du tissu épais. Fournit une excellente protection comparativement à son poids honorable.→ Maître des ombres :
Cet enchantement permet au porteur des/du vêtement(s) de se fondre avec plus d'aisance dans les ombres, quelles quels soit. (+5 en discrétion quand il fait sombre)

Ensemble de voyageur :
Un ensemble de vêtements résistants et pratiques. Idéal pour les voyageurs.

Pic à cheveux précieux :
Un pic à cheveux fait dans un métal précieux. Fabriquée par sa mère et offert en cadeau par celle-ci alors que Sorona entrait dans sa 50 -ème années, tressée de fils doré, Sorona ne s'en sépare jamais et la garde précieusement en amont de l'un de ses tresses. → Illusion raciale :
Cet enchantement permet au porteur du bijou ainsi enchanté de changer en apparence de race grâce à une illusion projetée par le bijou.

Bague précieuse :
Une bague en or dotée d'une petite pierre précieuse bleu. Elle appartenait à son père et reste un peu grande c'est pourquoi elle la porte sur son pouce gauche.  → Compréhension des langues :
Cet enchantement permet au porteur du bijou de se faire traduire instantanément par la magie toute langue étrangère qu'il entendrait ou lirait, il est donc tout à fait incapable d'employer ces dernières en retour pour communiquer s'il ne les connait pas.

Ixaryl : Petit faucon crécerelle qui lui tient compagnie et qui la prévient de danger proche autour d'elle.

-Attaque : Champion
-Défense : Champion
-Constitution : Adepte
-Malignité : Champion
-Taille : Débutant

Olikan → Cheval de voyageur :
Une monture endurante et robuste. Robe : Noir

-Attaque : Adepte
-Défense : Adepte
-Constitution : Maître
-Malignité : Confirmé
-Taille : Confirmé

• Magie

Potentiel : Honorable (Ne pratique plus depuis son enfance)
Feu : Inapte
Eau : Inapte
Vent : Inapte
Terre : Inapte
Lumière : Inapte
Ténèbres : Inapte
Invocation : Inapte
Nécromancienne : Inapte
Transformiste : Inapte
Âme : Inapte
Foi : Inapte

• Mental

La volonté : Champion
Contrôle de soi : Débutant
L intelligence : Champion
La perception : Maître
Le charisme : Prodige
Technologie : Inapte

• Physique

Force physique : Adepte
Agilité : Maître
Vivacité : Confirmé
Résistance physique : Confirmé
Résistance magique : Adepte
Vitalité : Champion
Beauté : Confirmé
Discrétion : Prodige

• Martial

Armes de tailles : Confirmé
Armes lourdes : Inapte
Armes d hast : Inapte
Faux : Inapte
Art de la défense : Inapte
Armes de lancer/fouet : Inapte
Arc/arbalète : Légende
Mains nue/Arts martiaux : Confirmé
Armes à feu : Inapte
Equitation : Virtuose
Domptage : Confirmé
Conduite : Inapte

• Si dragon

Combat dans les airs : Inapte
Combat sur la terre ferme : Inapte

Sorona est une elfe passablement ordinaire dans le genre elfique. Disons que la beauté surnaturelle et resplendissante allait plus vers sa soeur Aerin que sur elle.

De nature plutôt petite pour sa race, Sorona ne reste pas moins élégante pour autant. Sous son panel de d’armures et de tissus se dessinent des courbes délicates. Rien mise à part son regard laisse croire à une furie intérieure.

Son visage allongé paraît fermé par un regard froid qui paraît vous transpercer de part en part. Manipulateur ou simplement peu empathique, Sorona reste souvent de marbre à ce qui l’entoure. Seules ses tâches de rousseurs amènent un peu de vivant sous ses yeux annonciateurs de mauvaises nouvelles.

De ses oreilles pointues pendent souvent de petites boucles dorées, la plupart du temps camouflées par une longue chevelure brune tressée.  

En réalité, Sorona pourrait relativement devenir magnifique si elle le souhaitait, mais rien dans sa nature ne lui offre le désir de s’embellir. Bien au contraire…

L’elfe fut un jour une jeune fille curieuse, pleine de bonne volonté et de gentillesse. Mais ce temps est maintenant révolu. De son passé, ne reste qu’un regard vif et une malice cachée.

Aujourd’hui, Sorona est une mercenaire au trait froid et silencieux. Observant dans l’ombre en ravalant une haine sans nom qui brûle en elle. Je ne sais pas si l’on peut dire qu’elle est courageuse, ou bien inconsciente. Ce qui est sûr, c’est que Sorona est prête à tout pour parvenir à ses fins. Elle fonce dans le tas d’une impulsivité à toute épreuve, quel qu'en soit le prix.
Sorona n’aime pas partager ses biens et préfèrera travailler en solitaire. Comme une louve au coeur noir, l’elfe n’a plus aucune pitié envers ceux qu’elle juge néfaste à ce monde. Tueuse silencieuse, Sorona ne taira pas sa voix s’il y a quelque chose à dire. Forte tête avec un manque d’empathie cruel, l’elfe s’enfonce peu à peu dans un cercle vicieux obscur. Haine, colère, rage, fureur, tout menant à un aveuglement futur.

L’heure est venue pour elle d’être sauvée, ou bien de chuter à jamais.

Une seule conviction. Anéantir ceux causant du tort à ce monde. Peu importe la nationalité, peu importe l’ordre.

Il y a bien une chose cependant à noter. Sorona porte un profond respect envers ceux qui semblent avoir la même cause qu’elle, qu'elle soit juste ou non.
Pour elle, les elfes restent des membres appartenant à sa famille. Et comme depuis les temps de jadis, le peuple nain ne devrait plus exister depuis bien longtemps déjà selon elle.

Sorona ne croit plus en un être supérieur capable de protéger le monde. Il n'y a pas de protecteur mais seulement des tueurs.
Pour ce qui est de la magie, ayant grandit avec quelques uns de ses effets, l'elfe considère son utilisation comme une grande source de savoir et porte un respect envers ceux qui l'utilise avec justesse.

“Au soleil son rayon et aux grains de sel varie la marée. Ainsi le vent chaud passe et trépasse. Vous êtes des Halgaïr. Ma douce Aerian. Ma vaillante Sorona. Ne deviez jamais votre regard des étoiles car même dans les périodes les plus sombres, jamais ne s’éteint la nuit.”

Halgaïr, dans un souffle.

Tels étaient les mots d’Ada Lùcidil Halgaïr, sur un chemin poussiéreux parsemé de cendres noires jonchant le sol.

Sorona vit le jour dans un petit village aux bords des côtes des Duchés du Sud. L’événement heureux qu’aurait pu être la naissance d’une nouvelle elfe sur cette terre ne valait plus ni art ni beauté. Rien n’était comparable à l’âge ou les elfes bâtissaient des merveilles et murmuraient des chants pour introduire une nouvelle vie en ce monde. Ce temps était révolu depuis bien longtemps déjà.

Ouvrant les yeux sur un monde vaste à l’horizon bleuté, Sorona vécu des années de jeunesse aussi tranquille et calme que le chant du vent sur les dunes. Grandissant dans la paix d’un foyer aimant. Apprenant les partitions de la vie d’abord seule, puis rejointe plus tard par une jeune sœur du nom d’Aerian, Sorona faisait partie de ces enfants à vouloir toujours en apprendre plus. Ses parents, des artisans très réputés depuis leur arrivée dans le village, étaient également de très bons instructeurs. Son père leur apprenait l’art d’écrire mais également de lire et de manier la voix du chant et de la magie. Quant à leur mère, Vadenta Halgaïr, elle leur apprirent à se servir d’un arc mais également les rudiments du combat. En plus de leur perfectionnement, Sorona observait et reproduisait l’art fin et délicat de manier des pierres et des fils d’argent pour en créer des bijoux resplendissants. Voilà de quoi vivaient les Halgaïr. Une vie non pas luxueuse mais riche en couleurs et en passion. Comment pouvait elle se douter que le nom qu’elle portait possédait un lourd secret ?

Bercée par une jeunesse doucereuse, les conflits du monde ne parvenaient pas jusqu’à ses oreilles. Et pourtant. Le mal n’épargne personne.

Un soir, alors que le petit village s’endormait, un cavalier noir traversa les ruelles pavés. Une oreille attentive aurait pu entendre les pas feutrés sur les toits ou encore les moutons s’agiter dans les enclos. Mais qui aurait pu imaginer que le mal puisse sévir dans ce village côtier.

Endormie, Sorona se fit réveiller par des secousses anormales. Ada Lùcidil, sa grand-mère, la pressait de sortir du lit. Clignant des yeux, Sorona avait entraperçu les flammes rougeoyantes dévorer l’extérieur et s’infiltrer déjà dans sa chambre. Descendant les marches de l’escalier, Ada Lùcidil tenait fermement la petite Aerian qui lançait des regards apeurés à sa grande sœur. Sorona, elle, regardait les murs de sa maison se faire avaler par cette cruauté brûlante. Qu’elle fut désespoir plus cuisant encore, lorsque les longs cheveux roux de sa mère apparurent devant elle. Allongée sur le plancher, Sorona voulut hurler à sa grand-mère de s’arrêter mais celle-ci était déjà sortie pensant être suivie par la plus grande.

- Ama. S’époumona t’elle en se plaçant les deux bras devant le visage pour se cacher du feu.

- Sora…

Vadenta Halgaïr, les lèvres tremblantes et les yeux rouges semblait tendre sa main vers sa fille. S’agenouillant à ses côtés en ignorant les flammes, Sorona ne pouvait s’empêcher de pleurer. Que pouvait-il bien se passer ? Quel oiseau de malheur avait décidé de leur apporter cette souffrance ?

- Sorona… prend-le. Prends-le et trouve un moyen de le détruire. Tu peux faire ça pour moi, ma chérie ?

La pierre que saisit Sorona entre les doigts fins et délicats de sa mère était d’un orange particulièrement flamboyant lui aussi. Incompréhension, incertitude, accablement, Sorona vit les dernières lueurs de vitalité quitter les yeux de sa mère et su qu’il était temps pour elle de fuir.


Et c’est ainsi, couverte de suie et de larmes salées sur le visage, que Sorona perdit ses parents.

Le village brûlant, Sorona apprit plus tard par les explications d’Ada  Lùcidil qu’un groupe de mercenaires avait décidé de piller et détruire tout sur son passage. On parlera plus tard  qu’un moyen de trouver un immense trésor caché se serait trouvé dans ce village. Si la rumeur ne resta que tel, elle n’en était pas moins juste. Mais les flammes et les forbans avaient échoué, puisque la clé menant au trésor se trouvait maintenant dans les mains d’une jeune elfe revancharde.



“Au soleil son rayon et aux grains de sel varie la marée. Ainsi le vent chaud passe et trépasse. Vous êtes des Halgaïr. Ma douce Aerian. Ma vaillante Sorona. Ne deviez jamais votre regard des étoiles car même dans les périodes les plus sombres, jamais ne s’éteint la nuit.”

Les années passèrent et Ada prit soin de continuer à élever les filles d’Halgaïr dans une maisonnette proche de la cité d’Inveïs. Était-ce du suicide de vouloir se cramponner à la vie proche de la pire espèce qu’était les mercenaires ? Ada Lùcidil disait qu’aucun être ne devait devenir le but de quelqu’un. En disant ces mots, Sorona savait qu’ils lui étaient destinées et si en grandissant, l’elfe parut oublier ce que ces individus lui avaient pris, dans son cœur, sa soif de vengeance grandissait d’année en année. Mais pour Ada, pour sa douce et gentille Aerin, Sorona se cantonna à aider ce qui restait de sa famille à se reconstruire.  De joaillerie, les Halgaïr devinrent éleveur. Ada Lùcidil, de ses centaines d’années d’existence avait depuis longtemps un don avec les chevaux c’est pourquoi le renom de l’élevage Halgaïr pris vite de l'ampleur dans le Duché d'Inveïs. Sorona aimait le courage des chevaux mais ne prenait pas le temps de bien les comprendre à l’inverse de sa petite sœur qui, en grandissant avait déjà un tracé de route déjà fait. Aerin. Une elfe aux cheveux de soie et à la beauté sans pareil. Une elfe pour qui Sorona pourrait donner sa vie. Pour ce qui était de cette étrange pierre orangé, Sorona décida de la garder toujours sur elle. Elle ne savait pas ce qu’elle pouvait bien présenter, et malgré les instructions de sa défunte mère, il s’agissait là du dernier objet que Vadenta lui avait tendu. De ce geste, elle ne pouvait pas imaginer s’en séparer. Ni même se doutait de sa valeur.

Un matin, alors que Lùcidil s’en revenait d’un accord avec une grande famille d'Inveïs, l’elfe au yeux rempli de sagesse rapporta aux deux sœurs deux jeunes faucons crécerelles. Échangés contre un bel étalon, Sorona avait eu du mal à croire que sa Ada puisse avoir accepter un tel échange, mais au regard si conquis d’Aerin, l’elfe décida de ne rien en dire. Ada Lùcidil disait que “l’esprit d’un faucon protégeait toujours l’âme qui lui offrait son bras pour se poser”. Sorona et Aerin entamèrent ainsi l’apprentissage de la fauconnerie en plus de leur travail avec les chevaux. Un passe-temps qui fascina Sorona plus qu’elle n’aurait pu l’imaginer. Son faucon était petit, rapide et intelligent. Il apprenait bien vite à la suivre dans les airs, allant même jusqu’à la prévenir de marchands ou de tout autres individus se rapprochant de l’élevage. Ixaryl. Don protecteur en elfique, voilà comment son nouveau compagnon se nommerait.

Le ciel qui était resté clair pendant plus d’une cinquantaine d'années vînt de nouveau s’assombrirent un jour, alors que Sorona et Ixaryl était partie pendant plusieurs jours marchander des chevaux à l’ouest des Duchés. À son retour dans la vallée poussiéreuse, le cri perçant d’Ixaryl résonna au-dessus de sa tête lui faisant accélérer l’allure de sa monture. Les sabots résonnant sur le chemin menant vers l’entrée de l’élevage, Sorona comprit en voyant la porte grande ouverte, que quelque chose de grave s’était passé. Pénétrant dans la bâtisse, Sorona sentit ses jambes faillirent et le désarroi la gagner lorsque sa vision lui dessina une peinture cauchemardesque. Ada Lùcidil gisait à terre, les yeux grands ouverts d’un blanc vitreux.
Hurlant le prénom de sa soeur, Sorona s’était engageait dans une folle poursuite dans les pièces de la maison puis dans tout les prés aux alentours. Mais Aerin avait disparu. Une dizaine de chevaux s’étaient également volatilisés.

Qui. Qui avait osé ?
Tristesse s’envola comme pouvait le faire aisément Ixaryl et une sourde colère se déversa chez l’elfe. Il n’y aurait plus aucune place pour la pitié, ou pour tout acte de bonté. Des voleurs, des marchands d’esclaves, des pilleurs ou encore de sales mercenaires, les Duchés regorgeaient d’une gangrène qui se nourrissait un peu plus chaque jour. Ce jour-là, Sorona comprit une chose. On détenait sa sœur, sa tendre et chère petite sœur quelque part et elle ne pouvait s’imaginer ce qu’on lui ferait subir. Aussi, ce même jour, l’elfe acquis la certitude que si elle voulait retrouver sa sœur, elle allait devoir comprendre et apprendre à devenir comme ceux qu’elle haïssait afin d’avoir peut-être une chance de retrouver les traces d’Aerin. Devenir mercenaire. Combattre le mal par le mal et retrouver Aerin.

Sorona prit le chemin de la cité d’Inveïs sans se retourner. Martelant le sol de sabots vengeresses. Il ne fut pas difficile de trouver à qui toquer à la porte. Les officiers auquel Sorona eut à faire furent à chaque fois curieux de voir une elfe de son genre vouloir entrer dans les rangs, mais la capacité connu des elfes et les certains talents de discrétions et le maniement des flèches furent propice à ce que Sorona se fasse une place au sein de ce coeur de gredins.

Chassant le nom Halgaïr pour ne devenir que Sora  l’Oeil de Faucon, l’elfe se fondit dans la foule. Sorona compris auprès de ceux qui avait détruit son enfance et bien plus encore qu’une vieille légende parlait d’un trésor inestimable caché dans les tréfonds de la République d’Eïrn par une ancienne famille elfique. Un trésor que nombreux opportunistes souhaitaient se voir apporter. Un trésor qui ne pouvait être cartographié que par un seul et unique objet que détenait encore et toujours Sorona depuis tant d’années. La demande de Vadenta prenait alors tout son sens. La disparition d’Aerin, la mort d’Ada, la fuite, toujours la fuite, tout prit sens. Mais la pierre ne se détruisait pas comme ça. En plus de retrouver les traces de sa soeur, Sorona se voit maintenant dans l’obligation de trouver un moyen de détruire la pierre de tous ses malheurs.

Ada Lùcidil Halgaïr : Sa grand-mère fut beaucoup de chose pour elle. Une sauveuse, un exemple à suivre et qui pourtant fut oublier par l'envie de vengeance dévorant.

Aerin Halgaïr : Sa petite sœur. L'être qu'elle aime le plus au monde et qui le lui a été pris. Elle ferait tout pour elle et s'est pourquoi elle s'est jurée de la retrouver à tout prix.

Beldurande d'Élusie : Sa rencontre avec Beldurande est dû à un hasard grandiose. Alors que Sorona espionnait un individu dans un bibliothèque, en faisant mine de s'intéresser à certains ouvrages, elle fit la rencontre de ce mage au passé de mercenaire qui intrigua tout de suite l'elfe. D'une première discussion presque étrange, Sorona sut tout de suite tout le respect qu'elle devait avoir pour Beldurande et l'affection qu'elle porte à ses convictions apaise son esprit. Elle apprécie grandement parler avec lui et s'autorise à venir le voir lorsqu'elle est contrariée.

• Petite présentation de votre personne : Gentille enfin je crois et aime le chocolat
• Rythme rp et particularités : Cela dépend vraiment de la période avec mon emploi du temps souvent très chargé. Je fais au mieux et quand je le souhaite surtout mais si problème de délai je poste toujours une absence pour prévenir. Sinon, je suis une bille en orthographe.
• Comment avez vous découvert le forum :Partenariat plus des petites souris qui m'en on chuchoter deux trois mots
• Des ambitions pour votre personnage ? Quelle évolution aimeriez vous lui donner à court ? Moyen ? Long terme ? Voyager et rencontrer le plus de personnes possible pour le moment. Mais comme lu plus haut, je ne sais pas si Sorona tournera réellement du côté obscur ou non, seul le rp nous le dira 8D Les 2 cas me conviennent ! Je souhaiterai qu'elle retrouve sa soeur en vie en revanche.
• Avez vous prévu quelque chose ou êtes vous adepte du "laisser le jeu faire" et voir ce que ça donnera ? Je veux une histoire d'amour ! LOL (je suis aussi pour le laisser le jeu faire hein)