Dâte de naissance : 7 Junon de l'An 1844 de l'Âge d'Acier
Age : 157
Lieu de naissance :Eïrn
Lieu de vie lors de votre entrée en jeu : Eïrn
Rang social : Nomade
Métier : Barde (grand artiste)
Célébrité : Connu en Eirn
Armes et équipements
Armure et armes en votre possession lors de votre entrée en jeu :
- Arc elfique : Un arc d'excellent qualité qui est à la fois précis, puissant et rapide à bander. Sans doute ce qu'il y a de mieux dans ce domaine, mais seul d'excellents tireurs peuvent en user. (Prodige minimum) + Bénédiction du vent : Le vent n'affectera plus la trajectoire des projectiles tiré avec l'armée enchantée. (Annulation des malus associés)
- Dague : Une simple dague en acier.
- Brigandine : Armure constituée de plaques rivetées sur du cuir ou du tissu épais. Fournit une excellente protection comparativement à son poids honorable. + Armure compacte : L'armure qu'elle soit légère ou lourde, lorsqu'elle n'est pas utilisée, peut être temporairement transformée en simple bijou que portera sans problème son porteur si celui-ci le désire. Celui-ci n'aura ensuite qu'à faire un effort de volonté pour que la transformation s'inverse et que l'armure le revête, du moins si cela est possible. Utile pour voyager léger et revêtir son armure en un seul instant quand nécessaire.
Autres équipements
- Sac à dos/Gibecière : Pour transporter vos affaires lors de vos voyages.
- Ensemble de voyageur : Un ensemble de vêtements résistants et pratiques. Idéal pour les voyageurs. + Beauté surnaturelle : Cet enchantement permet à celui qui porte le vêtements ainsi enchanté. D'irradier d'une telle beauté que ceux dotés d'une volonté inférieure à la sienne ressentiront une attirance forte à son égard. Néanmoins celle-ci ne rime pas forcément avec amour et n'est pas aveugle si on exploite mal cet avantage.
- Luth : Instrument à cordes, il est exclusivement en bois. Grâce à ses accords complexes et délicats a la préférence de la bourgeoisie des Duchés et des musiciens raffinés de l’empire Ikhyldien. Si certains sont simples, d'autres sont taillés dans des essences rares et ornés de nacre à la demande de leur propriétaire. + Écho d’Ariel : Le musicien aura un bonus de +10 à son prochain jet de persuasion si le personne qu'il veut persuader l’a récemment entendu jouer de l'instrument ainsi enchanté. Lorsque le musicien joue en extérieur, les animaux et monstres environnants seront potentiellement charmés par l’air de musique et viendront à la rencontre du musicien (plus rare avec les monstres). Vous permettant même d'attirer en partie leur sympathie, du moins si vous ne tentez rien d'agressif ou contraignant à leur égard par la suite, mais ne l'assurant pas forcément.
- Violon (Akkaton) : Instrument à corde frottées complexe.
- Pégase : Un cheval doté d'ailes et capable de voler. (Nécessite maître en équitation) -Attaque : Confirmé -Défense : Confirmé -Constitution : Maître -Malignité : Champion -Taille : Confirmé
Armes de tailles : Confirmé Armes lourdes : Inapte Armes d hast : Inapte Faux : Inapte Art de la défense : Débutant Armes de lancer/fouet : Inapte Arc/arbalète : Prodige Mains nue/Arts martiaux : Inapte Armes à feu : Inapte Equitation : Maître Domptage : Adepte Conduite : Débutant
Si dragon
Combat dans les airs : Inapte Combat sur la terre ferme : Inapte
Description de votre personnage
Description physique
« Il est là ! C’est le grand jour ! Dépêche-toi, dépêche-toi ! Il nous faut les meilleures places ! ». Entraînant sa petite sœur par la main, la jeune Eïrnienne poussa la porte de leur maison avant de se précipiter vers la grande place, s’enfonçant dans la ville qu’elle connaissait sur le bout des doigts. Cela faisait maintenant plusieurs semaines que son passage avait été annoncé, et dire que son arrivée s’était fait attendre était un euphémisme. Une fois installée au milieu de la foule, la jeune fille grommela d’impatience et de frustration. « Si tu t’étais dépêchée, on aurait pu se mettre plus près, tu sais à quel point c’est important pour moi de… ». Elle fut coupée par une voix grave, retentissante, qui mit fin aux caquetages des spectateurs instantanément. « Cher public ! Vous m’avez manqué. ».
Dans un silence presque religieux, le barde passa un bras puis un luth entre les draps de tissus accrochés de part et d’autre sur de grands piliers en bois l’entourant. Son entrée fut lente et élégante, sur la pointe des pieds comme s’il s’apprêtait déjà à danser alors que le spectacle n’avait pas encore commencé. Il trôna au beau milieu de la scène, avant de s’asseoir sur un tabouret et de poser son instrument contre son torse. Aedan chercha le regard de son public patiemment, satisfait d’avoir pu dégoter une prestation dans cette cité. La jeune fille le regardait, les yeux brillants d’admiration, les mains moites. Aedan ne fait pas parti de cette catégorie de personnes que l’on peut aisément perdre dans une foule, encore moins de ceux dont il est facile d’oublier le visage.
La mâchoire carrée, le nez droit et les yeux malicieux, le barde inspire un goût d’exotisme et de fraîcheur à quiconque croise son regard. Sa longue chevelure coiffée en de multiples tresses dans lesquelles on retrouve des plumes d’oiseaux ainsi que quelques touches de couleurs et des bijoux fantaisistes se balancent dans son dos à chacun de ses pas, deux mèches proéminentes caressant ses joues creusées et rougies par le plaisir de se retrouver sur scène. Les pommettes saillantes et les sourcils arqués, soigneusement dessinés, l’elfe détonne dans le décor peu importe où il met les pieds. Il apprécie tout particulièrement cet aspect tribal qui lui va à merveille et qu’il ne fait qu’amplifier par des peintures de guerres sur le centre de sa mine déformée par un sourire taquin.
Concernant ses vêtements, que dire si ce n’est qu’ils étaient assez larges pour contenir sa stature fine et élancée caractéristique de son peuple. Le barde n’est pas spécialement musclé, n’ayant cure des entraînements de force pure qu’il qualifie de barbare et sans intérêt. Seuls ses bras bien dessinés font exception à la règle, après tant d’années de vie dans la nature et de pratique de l’arc. Et la couleur, pouvait on parler d’Aedan en oubliant son goût prononcé pour les teintes criardes, s’affublant de chemises vibrantes et de pantalons bariolés comme s’il sortait d’un cours de peinture manifestement loupé ? Il était tout simplement impossible de ne pas remarquer le barde dans la foule, et si par miracle il vous arrivait de le perdre de vue, le suivre à la voix est chose aisée.
La voix grave et chaude, ses chansons parviennent à retentir à l’intérieur de ceux qui viennent à l’écouter. Sans défaut, ses mélodies s’accordent parfaitement avec son timbre retentissant qui semble englober les pièces et le public devant lequel il se produit. En plein air, on réussit sans difficulté à l’entendre de très loin, et il lui arrive souvent de chanter plus fort que son luth, préférant qu’on le voie lui plutôt qu’un instrument qu’il parvient à manier majestueusement, ce qu’il considère à la portée de tous après un certain entraînement. La jeune femme sortit subitement de son émerveillement quand les notes commencèrent à quitter le luth pour rejoindre le ciel avant de constater qu’Aedan avait les yeux droits rivés dans les siens. Son cœur loupa un battement et elle vint serrer ses mains l’une contre l’autre, le cœur en fête et l’âme en joie alors que le barde commençait une de ses envolées lyriques qu’elle connaissait sur le bout des doigts.
Description mentale
La philosophie de vie d’Aedan est plutôt simple : laisser venir la vie et toujours la prendre avec optimisme. Le barde fait partie de ces gens que beaucoup de personnes trouvent énervant, car il est fondamentalement persuadé que tout arrive pour une raison, et que même les plus grandes catastrophes sont essentielles pour l’avancée de la société. Ainsi on peut parfois lui trouver un manque cruel de tact ou d’empathie pour ceux qui l’entourent dans des situations difficiles, bien qu’une fois proche de lui on constate qu’il ne s’agit que d’une grande maladresse. Sa personnalité éclatante lui permet de se sortir d’un bon nombre de situations délicates, tournant avec humour tout ce qui pourrait potentiellement lui causer problème. Depuis son enfance il éprouve des difficultés avec le principe d’autorité, ce qui explique son amour prononcé pour la liberté. L’enfermer reviendrait à lui infliger une torture inimaginable, alors il ne cesse de voyager, afin de ne jamais finir d’être étonné.
D’une insouciance remarquable, l’elfe n’aime pas réellement suivre la foule et aime essayer de penser en dehors des conventions sociales préétablies. Ainsi il comprend et prend en compte les anciens conflits entre peuples mais tente de ne pas les laisser assombrir son jugement lorsqu’il vient à rencontrer une personne d’une autre race que la sienne. Bien entendu il lui est impossible d’échapper aux préjugés, et cela l’amuse plus que cela ne l’agace étant donné qu’il se voit lui-même comme un véritable cliché ambulant. Grand amateur de l’auto-dérision, Aedan donne parfois l’impression de ne pas avoir conscience de sa popularité ou de sa beauté. Lorsqu’une demoiselle ou un damoiseau se met en tête de le charmer, il l’accueille à bras ouvert par curiosité d’apprendre à connaître une nouvelle personne, sans vraiment se soucier de la raison pour laquelle on vient se présenter à lui. Par ailleurs, si le jeune homme n’a pas hérité d’une seule caractéristique de sa race, c’est bel et bien l’arrogance. Il en est tout simplement dénué, paraissant pour certains de ses congénères comme un individu simplet, ce qui est rarement un compliment dans la communauté elfique. Sa naïveté est sans doute son plus grand défaut, aussi il doit se rappeler régulièrement que le monde qui l’entoure n’est pas aussi bienveillant qu’il le souhaiterait et se rappeler à la réalité pour éviter les pièges sur son chemin.
Aedan possède des goûts variés et changeants que même ses proches ont peine à suivre. Il suffit que quelque chose attire suffisamment son attention pour que sa curiosité prenne le dessus et qu’il désire tout savoir sur ce nouveau domaine. Légèrement hyperactif, l’elfe peine à tenir en place et à se satisfaire des relations qu’il développe avec autrui dès qu’elles atteignent un certain niveau de confort et par conséquent une routine. Pour le barde, la vie est un apprentissage constant, et ceux qui préfèrent stagner n’arriveront jamais à suivre son rythme. Ses relations sont souvent passagères et une véritable connexion est inouïe, ce qui le conforte dans l’idée d’y consacrer toute son énergie quand il vient à trouver la perle rare. Malgré son côté frivole et parfois menteur sur les bords, le jeune homme est incapable de faire une promesse sans avoir l’intention de la tenir. Ainsi au beau milieu de ses blagues et de ses chants, s’il vient à vous promettre quelque chose, il fera tout ce qui est en son pouvoir pour que cela se réalise.
Le barde aime les choses simples de la vie, la nature, la musique, les arts en général et les êtres vivants qui composent le monde. Il n’a cure de la politique et de toute la gymnastique mentale que cela impose et préfère vivre loin de ceux qui aiment se triturer les méninges pour trouver la meilleure façon d’entuber son prochain. Aedan est d’une gentillesse authentique qui lui apporte parfois des ennuis, mais il ne changerait pour rien au monde, et sûrement pas pour autrui.
Convictions
Adepte du « laisser faire », le barde ne s’embourbe pas l’esprit des conséquences de ses actes et ne se formalise pas des conflits qui peuvent opposer certains peuples. Comme tout elfe qui se respecte, il connaît évidemment les préjugés qui régissent les autres races mais tente de s’en défaire. Le jeune homme aime trouver des excuses quand quelqu’un met les pieds dans le plat des clichés. Un nain désagréable ? Il passe sans doute une mauvaise journée. Un elfe arrogant ? Il est fier de ce qu’il est et ne devrait pas avoir honte de le montrer. Quand on s’énerve contre lui, Aedan hausse les épaules et passe à autre chose, il n’est donc pas surprenant que les petites guerres ne l’affectent point. Il aime sa vie pleine de voyages et de surprises et ne l’échangerait contre un mode de vie casanier pour rien au monde.
Concernant les différentes nations, que dire si ce n’est que le barde se fait son avis sur la route. Conscient que certains ne l’accueilleront pas bras grands ouverts, il évite soigneusement de se rendre dans des lieux ou les elfes sont rejetés, bien que cela ne soit pas fréquent. Il préfère se prélasser entre les différentes nations, là où la justice est plus floue et ou les passants sont simplement heureux de croiser le chemin d’un barde. La technologie ne l'inspire pas réellement étant donné qu'il n'y a pas été sensibilisé jeune et à ses yeux, le choix est très vite fait et la magie prône sur le reste du monde. Quand on parle de religion, Aedan écoute, apprend et laisse penser à autrui qu'il est capable de le faire changer de camp, cependant la nature prime sur les autres entités qui pourraient se disputer le monde, et comme toutes disputes, le jeune homme les évite.
Passé de votre personnage
Histoire
Le 7 Junon de l'An 1844 de l'Âge d'Acier à quatorze heure trente-huit, un bébé vint au monde en Eïrn. Penché au-dessus du ventre de sa femme, le nouveau père embrassa le front du nouveau-né. Cette naissance était une grande nouvelle dans leur famille, car il s’agissait de la toute première. Cela faisait déjà quelques années qu’ils tentaient en vain d’apporter la vie en ces lieux, et la chance leur souriait enfin. La mère exténuée se permit de laisser un soupir de soulagement s’échapper de l’entre ouverture de ses lèvres. Son corps avait été poussé dans ses retranchements lors de cet accouchement et personne autour d’elle n’aurait pu la préparer aux douleurs qu’elle avait ressenti. Mais à l’instant où elle croisa le regard de son enfant, ce fut comme si tout était oublié, comme si rien ne s’était passé. Le temps reprit lentement son cours et le couple entra dans leur tente de fortune au fin fond des bois. Pour l’instant, ils profitaient de cet intime moment à trois, sachant que leur vie ne serait plus jamais la même et qu’ils formaient à présent une famille qu’ils espéraient pouvoir agrandir.
L’enfance d’Aedan fut des plus mouvementées et pour cause : quand on fait partie d’une tribu qui vagabonde dans les terres les plus dangereuses du pays, il n’est pas réellement permis de se la couler douce. Ainsi dès son plus jeune âge, le futur barde fut initié à l’arc ainsi qu’au maniement des épées et des dagues. Il manifesta dès qu’il le put son non intérêt pour ce genre de pratiques, cependant son père n’était pas d’avis à laisser son fils se faire dévorer par le premier monstre venu. Il accepta cependant de lui laisser la pratique d’instruments de musique pour compenser les activités qui l’ennuyaient. La chasse était l’activité primordiale de la tribu, se baladant de sentiers en sentiers, s’arrêtant parfois quelques jours pour fêter la nature et ce qu’elle leur offrait. Sa curiosité le poussait à vouloir en savoir plus, mais sa vie de nomade et de voyageur lui offrait bien plus de surprises qu’une vie casanière entre des murs fortifiés.
Lorsque le jeune homme atteint finalement l’adolescence, ses parents acceptèrent de lui accorder un peu plus de liberté. Ou devrais-je dire, ils n’eurent pas le choix, car Aedan se faufilait en dehors des tentes la nuit pour aller vagabonder seul dans les forêts. Le grand fou, on l’appelait au sein de sa tribu. L’inconscient parfois également. C’est lors d’un de ces voyages nocturnes par exemple qu’il rencontra Slen, l’immense dragon avec lequel il passera un bon bout de son adolescence. La journée il restait avec ses parents, se rendait utile en allant à la chasse et en tendant la main à son prochain, la nuit il se faufilait entre les arbres et les herbes afin de satisfaire sa soif de nouveautés. Bien entendu, il ne put tenir ce rythme de vie aussi longtemps qu’il l’aurait voulu, et finit par s’effondrer de fatigue régulièrement lors des voyages, se calant au beau milieu des charrettes de voyage pour taper un somme bien mérité.
D’un rôle de chasseur expérimenté, Aedan passa à un rôle de barde plutôt aisément mais surtout sans laisser le choix à ceux qui l’entouraient. Il posa les armes lors de leurs arrêts, ne se proposa point pour aller à la chasse et se concentra sur la maîtrise de son art. Sa jeune sœur, Numéa, l’encouragea dans sa décision de s’éloigner des mœurs barbares de sa famille. Elle aussi abhorrait la violence. Il tenta également de s’informer sur les nouvelles du monde en dehors de sa propre famille, ce qui fut chose aisée tant donné la régularité de leurs voyages. Ses premières chansons commencèrent à prendre forme et bientôt le barde comprit que sa place n’était plus parmi les siens mais qu’il devait prendre la route seul pour découvrir l’univers au-delà d’Eïrn et de ses forêts dangereuses. Le jeune homme entendait des rumeurs sur de nouveaux empires venus s’installer près de ces terres mais ne lisait en personne une quelconque panique, ainsi il ne fut pas réellement atteint par les événements. Il se produisit en Eïrn tel un vagabond avant d’avoir une bonne réputation qui le suivit jusqu’à Ikhyld. Il prit le temps d'apprendre également à manier la magie, énergie qui l'avait toujours fasciné et à laquelle il n'avait pas eu droit durant son enfance, les initiations n'étant pas la priorité de la tribu. Plus particulièrement la magie de l'âme, par sa nouveauté, attisa sa curiosité et il décida de trouver une mage naga pouvant lui permettre d'en savoir plus. Ainsi durant plusieurs années il échangea des faveurs, que ce soit une nuit gratuite dans certains lieux huppés, une protection lors d'un voyage par ses comparses elfes sur les terres d'Eïrn ou encore un concert privé, afin de se familiariser avec cette nouvelle magie. Au premier abord la jeune femme n'avait pas réellement pris le barde au sérieux, se disant qu'il s'agissait encore d'un petit malin qui voulait avoir la main sur la dernière nouveauté. Cependant, Aedan étant ce qu'il est, il l'eut à l'usure et ils sont aujourd'hui encore proches.
Aujourd’hui le barde erre de terres en terres, tentant vaguement d’éviter les conflits et plus particulièrement les morts vivants se trouvant sur sa route dernièrement. Il lui arrive plus que de raison de se trouver un garde de corps de fortune ou de se cacher dans une charrette de marchands gardée le temps de son voyage. Armé d’un arc et de deux instruments de musique, il est bien conscient que sa force de combat ne le sauvera pas d’un mauvais pas, mais quand on est joli comme un cœur et qu’on sait trouver les mots, la victoire ne se trouve jamais trop loin…
Liens
- Oskyr Thorfindra :(PNJ) Il s'agit du père d'Aedan. Excellent chasseur, c'est également le chef de la tribu depuis une dizaine d'années, après la mort de l'ancien souverain dans une embuscade. La relation avec son fils est souvent remplie d'amertume, Oskyr étant persuadé que son fils lui succéderait, il éprouve une pointe de rancœur par rapport aux décisions de vie de son enfant. Leurs rapports sont cordiaux, même s'ils s'abstiennent souvent de déclarer qu'ils sont de la même famille lorsque leurs chemins doivent se croiser, préférant passer pour des inconnus l'un auprès de l'autre.
- Gweny Thorfindra :(PNJ) Il s'agit de la mère d'Aedan. Âgée de plus de 500ans, Aedran doit énormément à sa mère notamment dans le développement de son art. Ce fut la première à prendre conscience que le véritable talent de son fils ne se trouvait pas dans sa capacité à tirer à l'arc, bien qu'elle soit prodigieuse. Le barde ne voit plus sa mère depuis plusieurs années maintenant mais il sait que si un jour il désire la retrouver, le destin le guidera jusqu'à elle à nouveau.
- Numéa Thorfindra :(Futur prédéfini) Il s'agit de la soeur d'Aedan, sans doute son lien familial le plus fort et surtout le plus à jour. Numéa est née une centaine d'années après son frère, ce qui fait d'elle une très jeune adulte. Depuis sa tendre enfance et surtout depuis le dévouement que le barde a donné à son art, elle l'admire car il a réussi à se faire un nom dans le monde, en dehors de leur tribu. A chacun de ses concerts en Eïrn, on peut être sûr de retrouver Numéa dans le public. Aujourd'hui elle réfléchit également à s'éclipser de la sphère familiale pour se rendre utile ailleurs, cependant étant jeune cela s'avère plus complexe que prévu...
Sasra :(PNJ) Il s'agit de la mage Naga ayant appris à Aedan comment manier la magie de l'âme. Elle travaille en tant qu'herboriste et voyage énormément. C'est une jeune femme autoritaire et d'ordinaire peu réceptive aux charmes d'autrui, cependant elle dut reconnaître que le barde lui provoquait quelques papillons dans le ventre. Ce n'est pas sans intérêt qu'elle lui prodigue ses cours, s'arrachant les cheveux chaque fois que l'elfe vient à louper quelque chose. Très perfectionniste, elle n'autorisa Aedan à ne dire à qui que ce soit que sa magie venait de son enseignement. Il ne manquerait plus qu'il fasse une énorme boulette pour que sa réputation en prenne un coup...
- Slenlodwiin :(Joueur) Une amitié entre un barde et un dragon, ça coule de source non ? Depuis son enfance, Aedan entendait parler du Sage comme une créature extraordinaire, un dragon bienveillant à la sagesse infinie.. Evidemment, il fallait qu'il aille vérifier par lui-même ! Alors à la première occasion, quand ses parents le laissaient sortir sans le courser, il s'était rendu là ou demeurait soi-disant la bête fantastique, prenant avec lui quelques fruits pour tenir le voyage. Il avait cherché pendant de longues heures avant de tomber sur le dragon qu'il aborda sans aucune crainte, dans une inconscience dangereuse que son âge jeune n'expliquait pas pour autant. Ainsi Aedan prit la fâcheuse habitude d'aller déranger Slen régulièrement, de le trouver dans les environs et d'aller se poser à ses côtés pour lui raconter sa vie d'elfe adolescent terriblement passionnante. Parfois le dragon venait également à lui raconter ses aventures incroyables et Aedan l'écoutait, des étoiles pleins les yeux. C'est à ses côtés qu'il prit l'initiative de devenir barde, ainsi Slen put entendre les débuts atroces de la carrière d'Aedan jusqu'à ce qu'il devienne ce qu'il est aujourd'hui. L'elfe voit aujourd'hui le dragon comme une figure paternelle qu'il ne peut s'empêcher de charrier, complètement hermétique à sa taille et à sa force phénoménale.
Qui êtes vous ?
Petite présentation de votre personne : J'ai bientôt 25ans, toutes mes dents, j'aime les elfes, le thé glacé et encore les elfes.
Rythme rp et particularités : Rien de particulier !
Comment avez vous découvert le forum : Partenaires (particulier cherche partenaire particulière..)
Des ambitions pour votre personnage ? Quelle évolution aimeriez vous lui donner à court ? Moyen ? Long terme ? Devenir un barde extrêmement connu évidemment !
Avez vous prévu quelque chose ou êtes vous adepte du "laisser le jeu faire" et voir ce que ça donnera ? Je laisse couler, j'aime les surprises !
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