14 Mars de l’An 2001 de l’Âge d’Acier

Jazari, de par les multiples modifications violentes faites à son corps, avait souvent besoin de retourner à l'atelier de Yodgran Wonrlir Illuminès. Sans parler du fait que son état psychologique et son état physique dépendait l'un de l'autre, il est clair que l'automaton nécessitait un entretien constant ainsi que quelques séances de thérapie. Ce jours-là, après une inspection de routine, et parce que Yogdran avait un autre client, Jazari fut escorté hors de l'atelier et il lui fut donné un petit casse-tête. Rien de bien complexe : Trois anneau à lié de manière à ce que chacun soit l'un dans l'autre, et vice versa. Mais cela suffisait pour garder l'automaton occupé assez longtemps.

Ainsi, il passa une grosse partie de son après-midi sur le dit casse-tête. Il n'était pas bête, mais ces gros doigts rendait la manipulation de l'objet complexe. surtout qu'une trop grosse pression avec ces derniers aurait put causer la déformation du puzzle. C'était bien sur une technique innovante trouvé par l'Illuminès pour pousser Jazari à maitriser sa fore colossale. Et quoi de plus efficace qu'un objet dont la destruction ne causera de mal à personne et ludique de surcroit !

Malgrès cela, Jazari eu un mal de chien à réussir le casse-tête. Assis sur le parvis de l'atelier, il se triturait les méninges. Et vue qu'il ne pouvait pas parler, il était assez drôle de voir cette machine fulminé sans les bruits. Enfin, vue que le casse-tête était minuscule comparé à ses doigts, l'on pouvait croire voir un fou ayant des spasmes. Mais cela n'arrêta pas Jazari, qui réussit à complété le puzzle. Tout content, il s'applaudit lui-même, ce qui fit s’éloigner encore plus loin les passants. Alors qu'il leva les trois anneau l'un dans l'autre, pour montrer sa réussite aux gens, il n’eut droit qu'au silence comme seule réponses. Enfin, pas très longtemps, car des bruit de pas venait depuis l'atelier. Ni une ni deux, le titan de plus de deux mètres de positionna devant la porte et mis le casse tête au creux de sa main gauche, qu'il tendit vers la porte, pour être sûr que celui ou celle qui sortirait ne manque pas son incroyable succès !