25 Novembre de l’An 2000 de l’Âge d’Acier

Il arrivait des fois à Honoria de se rendre dans la province impériale d’Akkaton pour diverses raisons diplomatiques entres autres, mais c’était sans doute la première fois qu’on lui proposait, du moins certains nagas tribaux qui étaient de passage en même temps qu’elle dans la cité d’Airain lui avaient proposés, d’aller visiter une ruine « assez sûr » de leur peuple qui était encore à découvrir, probablement pour lui penser à son ancien héritage ? Ou bien car son expertise de haute mage de lumière serait utile. Difficile à dire, mais elle n’avait pas déclinée l’offre…

Une ruine située dans les alentours proche d’un village sédentaire naga et qui avait été révélée suite à plusieurs journées de vents particulièrement intenses, l’un des avantages certainement du désert, ou un de ses attributs mystérieux, d’anciennes cités ou temples pouvaient des fois émerger des sables un beau jour, après y avoir été enterrées pendant des siècles, ou êtres à terme à nouveaux ensevelies… Et les nagas du village proche tenaient à l’explorer d’eux-mêmes assez vite, sans doute pour s’assurer qu’avant que les autorités impériales viennent, les archéologues Akkatoniens ne puissent pas commettre de maladresses dommageables ensuite par étourderie ou naïveté...

Ainsi ils avaient débauchés la diplomate, contre quelques vagues promesses d’êtres reconnaissants et un mercenaire à l’air plutôt armuré que Honoria croisera à l’entrée des ruines, alors que les guerriers en charge de surveiller l’entrée des ruines surveillaient les alentours et que, Kenshi pourrait s’en étonner ou non, la nagate qui n’avait absolument pas l’air d’une Akkatonienne ou locale, était suivit par un petit groupe de soldats Akkatoniens qui avaient l’air de « l’escorter ».

« Salutations à vous guerrier, vous aussi avaient été débauchés pour cette exploration ? J’espère que votre honneur est aussi solide que l’acier de votre armure. » Dira donc la diplomate poliment en le saluant, ne cachant guère qu’elle avait l’air très martiale et semblant le scruter de son regard serpentin comme un oiseau de proie, probablement pour le jauger. Ce avant de glisser poliment.

« Ne faîtes pas attention à mes accompagnants, ils sont chargés de ma sécurité en territoire impérial. » Un privilège de sa fonction de diplomate en quelque sorte, ou une manière légale de la surveiller.

Lorsqu'il avait finit de travailler pour les archéologues akkatonien de l'autre ruine antique, Kenshi avait cherché un autre job. Il avait pas vraiment était aussi bien payé qu'il aurait voulut. Il avait de quoi paraitre survivre, mais il lui manquait de quoi paraitre vivre. Bref, sans une solution rapide, il se retrouverais très vite remarqué. Mais par chance, il était tomber par hasard sur un village Naga qui, en voyant son armure et son arme, prirent la décision de lui demander son aide pour une mission compliqué. Une historie de fouille archéologique dont le but serait d'évité les problèmes causé par les soldat akkatonien. Bref, en gros, vérifier que les archéologue d'état n'ai pas les moyen de foutre la merde. Et pour cela, ils avaient décidé de demandé à un mercenaire sympathique, qui sera donc dans cet histoire Kenshi.

Bien sur, il ne se sentait pas de se faire confier une mission aussi importante comme ça. Il allait refuser quand on lui annonça qu'il servirait de "Bras armée" pour une officielle nagate. Grace à ce point, il décida de prendre la mission. Il ne connaissait rien au peuple naga, mais si c'était une officielle, alors elle devrait savoir ce qu'elle fait.

Lorsque l'escorte arriva, Kenshi fut étonné sur plusieurs point. Du plus négatif au plus positif, cela fut ainsi :
-L’officielle semblait accompagné par l’immanquable armée Akkatonienne. Super...
-Elle était loin d'être déplaisante à regarder. Ce qui pouvait indiquer plusieurs chose plus ou moins positive.
-Il était impossible de ne pas remarquer que cette femme était une demi-esprit. Et par cette simple observation, les eux précédente furent rendu obsolète.

En effet, à son arrivé, Kenshi la salua avec beaucoup de respect, bien plus qu'à son habitude. Elle n'était pas une esprit complète, mais un tel membre dans sa famille impliquait un prestige que Kenshi ne pouvait pas ignorer. C'est pour cela qu'à la première phrase de la femme, le mercenaire lui répondit avec respect :


Durant tout la tirades, il était incliné faiblement, par respect. Mais soudain, il se mit à genoux et posa son bras droit sur sa jambe droite, levant la main gauche en hauteur, vers le ciel, prêt à un rituel d'une importance capitale.


Puis il se releva, calmement.


Et il salua à nouveau.


Son ton calme et sur indiqué sa claire compréhension de sa position comparé à celle de la nagate.

Si Honoria n’avait pas été une nagate, elle aurait sans doute regardée son vis à vis avec un air de surprise assez prononcé devant ses propos et ses gestes, néanmoins elle ne donna à voir qu’un air reptilien emplit de réflexion, alors qu’elle réfléchissait rapidement sur comment gérer cette situation. Avant néanmoins de finir par dire avec un air martial respectueux, en estimant qu’il valait mieux éviter de trop profiter de tout cela...

« Votre respect m’honore et je suis gré que vous consentiez à faire selon mes conditions. Celles-ci ? Nous sommes des guerriers et je ne suis pas votre seigneur, alors interagissons comme des guerriers qui se respectent, mais sans déférence supplémentaire. Vous n’êtes pas un soldat sous mon commandement après tout et... » Elle glissera avec un amusement serpentin en regardant ses gardes du corps. « Si vous commencez à vous montrer aussi serviable envers une envoyée d’Eïlynster, on risque de se demander si vous êtes un agent double au service de ma patrie, ce qui ne vous rendra pas forcément service... » Ce avant de finir observatrice, son regard bleuté, lumineux et reptilien semblant le scruter tels des cristaux parfaits.

« Quelles sont vos compétences Sajo au nom mystérieux ? Et êtes vous au fait des ruines de l’ancien empire naga ? » Ceci dit, elle le laisserait donc parler, mais aussi digérer ce qu’elle avait demandée et exigée très poliment, mais après tout c’était lui qui lui avait dit de faire selon ses conditions, des conditions plutôt égalitaristes le concernant, mais bon… Cela aurait risqué de faire jaser ou paraître indélicat que la diplomate d’Eïlynster se mettre à profiter des étrangers très serviables devant tout le monde. Cela et puis, c’était un guerrier, il méritait donc un certain respect. Du moins, tant qu’il ne faisait pas preuve de lâcheté, car alors le dit respect s’écroulerait sans doute aussi vite qu’un château de cartes fragiles devant un revers de la main agressif...

Face à la réaction de l'esprit, Kenshi se détendit un peu. Elle semblait le considéré comme un soldat plus qu'un fidèle, ce qu'il comprenait oh que trop bien.


Il dit cela en se relevant, toujours très sérieux. Il rit aussi à la blague de la nagate, quand à sa potentielle situation "d'espion". Dans un sens, ça l'aurait arrangé de l'être...

Quand à la question de ses compétences, Kenshi présenta alors l'arme à sa ceinture.


Aucun jugement dans la parole de Kenshi. Cette question était absolument sincère et construite pour en apprendre plus sur les forces et faiblesses de son allié.


En disant cela, il se gratta la tête, un peu gêné. Il est vrai que face à cette entité, il faisait pale figure. Surtout qu'elle avait une escorte et semblait bien plus prestigieuse que lui socialement parlant. Il se devait de la respecté.


Dit-il, s'inclinant avec respect.

« Cela me va. » Glissera la nagate sobrement quand l’étranger lui fit part de son grand sérieux quant à la mission qu’ils allaient accomplir ensemble, ce qui n’était pas plus mal. Après tout Honoria ayant le caractère, ne le cachons pas, d’une cheffe autoritaire, elle aurait sinon eut la tentation de lui tomber dessus, mais heureusement elle n’aurait pas à prendre cette peine et cela lui convenait ! Pour le reste, elle ne le prenait pas pour un espion heureusement, même si le fait de rire à son petit trait d’esprit n’était pas le genre de détail qui pouvait confirmer ou non ce genre de chose...

« Un pugiliste ? Ce n’est pas une méthode de combat courante sortit des transformistes, des thérianthropes et certains types de combattants particuliers, mais c’est intéressant. Pour ma part je suis une haute mage de lumière et une combattante lourde à même d’encaisser les chocs comme vous pouvez le devinez. » Dira la nagate avec une teinte subtile d’amusement en posant une main sur l’épaisse armure qu’elle portait. Qui certes ne s’étendait pas à sa queue ou pas vraiment, mais qui avait l’air d’être massive et multi couches… Quant à son corps serpentin il avait l’air robuste, du genre à ne pas se briser aisément.

« N’ayez donc pas peur pour ma sécurité, je suis probablement même capable d’encaisser plus de coups que vous, donc je ne risque pas de me cacher à distance. » Ceci dit, elle reprendrait très sérieuse.

« Vous devez venir de très loin, mon peuple, les naga, peut se trouver partout après, mais il est vrai que sortit d’Orzian, nous sommes très peu. Sachez juste que les miens sont froids d’aspects et souvent un peu de caractère, mais si vous êtes honorables et bien intentionné, ils sauront vous rendre la pareille. » Ce avant de reprendre pensif…

« Votre hubris ne vous nuira que si vous êtes indigne de la parole que vous avez faits. Je suppose qu’en Ikhyld se montrer trop fier peut être mal vu car signe d’une potentielle arrogance, mais par delà le grand mur d’Acier, en Eïlynster, la fierté du guerrier n’est malvenue que s’il se surestime… » Elle s’approchera alors un peu en le jaugeant, avant de dire fière.

« Nous sommes élevés dans la perspective de la guerre et du combat, la valeur martiale est l’une des  grandes vertus à nos yeux, à égalité avec la capacité de se sacrifier pour l’intérêt général ou la solidarité entre frères et sœurs d’armes. Si vous voulez gagner mon estime et mon respect, montrez vous brave, fort et déterminé, mais aussi que vous n’êtes pas un ver égoïste. Si vous faîtes ainsi, tant que vous êtes polis, vous serez à mes yeux quelqu’un d’honorable et digne. » Ce petit discours presque encourageant fait, elle ajouterait ferme.

« Si vous êtes un brave, alors ce sera un honneur pour moi de me tenir et battre à vos côtés. »

Quand la demi-divinité interragit quand à ses talents de pugilistes, Kenshi rit, puis dit, sur un ton amusé :


Une pointe de fierté et de challenge se cachait dans ses mots. Après tout, il avait dut faire des pieds et des mains, sans mauvais jeux de mots, pour arrivé aux niveaux qu'il avait. Et malgré des lacunes dut à plus de 250 ans de fatigue musculaire, il avait déjà prouvé à sa partenaire précédente son efficacité, lorsqu'il voulait. D'ailleurs, il ne semblait pas le seul confiant de ses capacités :


S'en suivit alors la question de l'honneur, la fierté et l'hubris de Kenshi. Il nota d'ailleurs qu'elle avait compris bien vite d'où il venait, mais il n'allait pas appuyer dessus, pour évité les mauvaises surprises. Elle savait, c'était bien pour elle. Mais si ce qu'elle disait était vrai, cela n'avait aucune importance si les actions de Kenshi prouvait sa valeurs.


Dit-il, sur un ton sérieux et surtout confiant. Loin, très loin était notre Kenshi questionnant sa mortalité face à trois pauvre poulet boosté aux hormones.


Il sourit, même si ce sourire n'était visible par personne.

La générale hocha la tête, supposant que même si le guerrier ne devait pas être forcément le meilleur de sa catégorie, il ne devait pas être faible au vu de ses prétentions. Du moins le supposa t-elle, maintenant à lui de faire en sorte que les attentes de la semi nagate soient satifaites ! Elle n’était après tout pas dame à avoir énormément d’indulgence. Un trait de sa personnalité sans doute autant dû à son éducation, que sa nature d’être de lumière, les créatures de lumière étant pour certaines fort connues pour leur sévérité…

« Bien, dans ce cas là, nous sommes d’accord. Bien entendu mon escorte me suivra, mais comme ce sont des fusiliers Akkatoniens, ils n’iront pas au corps à corps, mais je gage qu’ils pourront nous aider si besoin. » Dira t-elle sinon informative, même si à ses yeux elle ne faisait que citer une évidence. Après tout, si le combat au corps à corps n’était guère inconnu des technologistes, c’était à distance que leurs combattants brillaient le plus en général…

« Vous avez raison, allons y, je vous laisse mener la marche. » Accordera t-elle sinon d’un stricte hochement de tête alors qu’elle resserrait légèrement sa poigne sur son sceptre et qu’elle suivit ensuite d’un serpentement discipliné Kenshi. Et que son escorte assez disciplinée elle aussi, suivrait à quelques pas.

Ils descendraient alors par une rampe, les anciennes ruines nagates étant rarement pourvues d’escalier par la nature même de leurs occupants, qui déboucherait d’abord sur une espèce d’antichambre faîte de grès légèrement ensevelie sous le sable et éclairée par la lueur spectrale de pierres lumineuses cuivrée où se tenaient divers statues cuivrées, situées sur des socles de pierres imposants.

« Faîtes attentions, même si a l’air de simples statues, ce sont peut-être des golems, les anciens nagas ne dédaignaient pas en disposer autant comme éléments décoratifs que de défense. » En somme, il conviendrait de garder un regard sur ce genre de statues, toujours, il n’était jamais impossible après tout qu’elles se mettent soudainement à se mouvoir…

Et d’ailleurs alors qu’elle disait cela, l’une de ces statues commença en effet à se mouvoir, puis une autre et une autre, pour totaliser environ quatre statues de bronzes proches de leur taille qui descendirent de leurs socles et les observèrent d’un regard pierreux guère amical…

« Visez les gemmes situées sur leurs corps, c’est le meilleur moyen de les désactiver. » Dira t-elle alors, avant de se mettre en garde et de préparer une incantation… Mais en effet, ce serait sans doute plus rapide pour lui et les fusiliers de faire ainsi, que de frapper les écailles de bronze des golems...

Alors qu'Honoria indiqua à Kenshi de prendre les devants, il s’exécuta sans demander son reste. Après tout il était habitué à guidé des hommes sur le champs de batailles, bien que cela faisait longtemps... Il ne voulut cependant prendre trop ses aises en dirigeant les Akkatonien. Il ne faut bien sûr pas exagérer. Ainsi, en descendant dans la crypte, il se mit plus dans la position d'un éclaireur. Mais il fut vite interrompue par les statue se tenant devant lui, immobile.

Il ne dit pas grand chose, mais pour être honnête, il était fasciné par la forme et le travail derrière ces simple morceau d'acier taillé. Cela faisait longtemps qu'il n'avait pas vue d'art aussi beau, surtout aussi loin de chez lui, donc pouvoir admirer un chef-d'oeuvre antique... Quel age avait cette statue ? Etait-elle plus vieille que lui ? Elle en avait vue bien plus que lui... enfin, façon de parler. L'art est immortel, alors est-ce que Kenshi était devenue Art ? Mais ses réflexions philosophique furent coupé court par les paroles de la Nagate sacrée qui lui indiqua la nature de ces statues : Des golems endormis. Du moins, le temps qu'elle finisse sa phrase, quatre d'entre eux ne l'était plus. Kenshi, sur le qui-vive, décida de se placer prêt à faire sa meilleure prise de judo, quand il entendis derrière lui les paroles de son accolyte, lui indiquant le point faible de la créature. Sans hésité, kenshi changea son coup pour faire un coup direct au niveau du cristal de la première des créatures, la plus proche, tout en espérant que les armes farfelus des personnes l'accompagnant suffirait à tenir les autres à l'écarts.

jet de dés:

Les choses s’agitèrent rapidement lorsque ces golems, qui n’avaient pas l’air des modèles les plus grands et puissants qu’on pouvait trouver dans ce genre de ruines et heureusement, s’animèrent. Pour tout avouer les choses furent néanmoins assez vite expédiées aussi, entre l’attaque du pugiliste Ikhyldien qui trouva rapidement une faille et fit éclater un cristal, ce qui fit s’effondrer une des statues de bronze au sol…

Ce tandis que les fusiliers Akkatoniens tirèrent, leurs armes à feu modernes émirent alors un son assourdissant, mais détruisirent aisément un des golems, tandis que pour sa part Honoria imperturbable, s’était mise à incanter…

Et avait décidée de projeter un rayon solaire, comme l’indiqua tout d’abord la paume droite qu’elle posa sur son torse, avant au bout de la courte incantation, de projeter celle-ci en avant… En sortit alors un puissant rayon de lumière qui provoqua de graves dégâts à un des golems, qui n’y résista pas et tomba au sol inerte… En vérité le sort employé était peut-être un peu exagéré par rapport à son adversaire vaincu, mais elle avait voulut faire vite.

Ne restera alors qu’un golem qui serait rapidement expédié par le groupe de combattants et les autres statues de la salle qui elles restèrent inertes, témoignant sans doute qu’elles ne devaient pas êtres des golems pour leur part… Ces créatures n’étaient pas après tout connue pour leur ruse ou sens de la prudence, juste pour exécuter des tâches forts simples, ce avec une rigueur implacable.

« Ce fut court, mais intéressant. » Dira alors la générale quand les choses s’apaisèrent, elle lancera alors un court regard à Kenshi, ce avant de dire pensive en désignant les golems. Après tout l’aventurier semblait du genre un peu curieux.

« Le peuple naga dans les temps anciens était très compétent dans la fabrication de golems, néanmoins ces derniers là sont forts simples, les meilleurs golems, ceux qu'aucune nation moderne n'arrive actuellement à reproduire, étaient insufflés avec l’âme même de morts volontaires. Ils continuaient ainsi à servir leurs dieux, même dans la mort. » Ce avant de dire froidement.

« Une manière de prolonger l’esclavage qu’était la vie sous l’égide de nos anciens maîtres. » Même si elle se considérait avant tout comme Eîlynsterienne après tout, elle gardait cette tendance très générale de sa race, à exécrer le principe même de servir ou vénérer des entités soit disant divines personnifiées. Le culte des ancêtres ou celui solaire populaire dans l’ancien dessert, lui semblaient après tout bien plus sains... Et surtout concerner des choses qui ne se mêlaient pas de votre existence plus que nécessaire.









Sort utilisée :

Spoiler:

Le coup de Kenshi fut droit, direct et précis. D'un seul geste, la gemme servant de cœur au golem éclata. Surpris, Kenshi prit le temps d'observer ses poings, tandis que la statue mobile devant lui tomba et que les coups de feu se multiplièrent. Après l'accident de la ruines précédentes, Kenshi n'avait pas redonné un coup de poing direct. Mais il semblerait que les réparation faite à son bras était plus que bonne. en effet, elles était nécessaire. Désormais en pleine possession de ses moyen, Kenshi prit le temps de tenir les golem à l’écart avant que celle qui dirigeait l'expédition mit fin au combat de manière spectaculaire. Il fut moyennement surpris. Après tout, il s'agissait d'une demi-esprit.

Alors que le combat se terminait, Kenshi prit à nouveau le temps d'observer les sculptures. Il était à nouveau absorbé par leurs détails, surtout quand on sait qu'elle peuvent prendre vie. Il fut sortit de sa transe lorsque la femme reptile lui expliqua les golems avec une perspective aussi fascinante que dramatique.


Il s'approcha d'une des statue et à nouveau se perdit dans l'art.


Il marqua une pose. Sa voix trembla. Mais cette fois, depuis longtemps, ce n'était pas pour un de ses nombreux malheur dut à son réveil d'entre les morts. Non, elle trembla parce qu'il compatissait avec le peuple Naga. Une peuple qu'il venait de découvrir mais qui avait tant souffert. Est-ce qu'il avait survolé un village opprimé alors qu'il avait était avalé par le drake ? Serais-ce à cause des dieux de ce peuple qu'il avait ressuscité ? Serait-il un nouvel outils pour ces monstres ?


Pensa-t'il tout haut.

Honoria lança un regard légèrement insondable à l’Ikhyldien, mais qui n’avait l’air ni hostile, ni réprobateur, ce avant qu’elle ne finisse par dire d’un ton qui dénotait d'un sérieux mortel.

« Dieux ou pas, il faudra les anéantir pour que nous ayons la paix, à cela ma nation et la race nagate s’échineront sans cesse. » Et elle le disait d’un ton évident, car c’était leur rôle, mais aussi une nécessité. Une nécessité pour Eïlynster de détruire le sombre maître des Teïderiens, cause de tant de leur malheurs… Et nécessité pour les nagas d’anéantir leurs anciens maîtres, pour pouvoir vraiment se proclamer libres. Après Honoria était sincèrement moins attachée à sa race, qu’à sa nation, mais comprenait parfaitement que de toute manière les nagas Eïlynsteriens eux-mêmes n’étaient pas en sécurité, tant que leurs anciens maîtres survivaient du moins… Ce combat était donc aussi pleinement le sien.

« Je ne saurais dire si ce sont de « sombres raisons », beaucoup de ces statues sont là pour protéger d’anciens lieux des intrus, d’autres étaient employées pour la guerre ou juste le travail manuel simple, au final les Orzaniens d’aujourd’hui ne font guère différemment avec les golems. » Dira sinon la nagate observatrice à ce sujet. Après, elle le disait d’une manière qui ne choquerait pas un Ikhyldien, car pour sa part il n’y avait rien de sombre à fabriquer des golems de guerres pour écraser ses ennemis avec… Cela économiserait la vie de soldats en plus.

« Vous découvrez le peuple naga de ce que j’ai compris. » Finira t-elle sinon par dire observatrice, alors qu’elle examinait quelques golems, visiblement pour récupérer des gemmes dessus, ce avant d’ajouter pensive.

« Je suppose donc que bien des choses vous paraissent mystérieuses, mon peuple n'est pas des plus dissertes sur bien des faits. » Elle désignera alors l’entrée d’un couloir vers lequel elle commença à se diriger, accompagné des soldats, ce avant d’ajouter calmement.

« Sachez juste une chose qui attisera probablement votre curiosité, nous sommes la plus ancienne de toutes les races, les nagas rampaient sur le sol avant même que les dragons ne dominent les cieux ou les elfes marchent sur la terre. Et pourtant nous ne sommes que peu répandus à travers le monde. C’est car pendant longtemps nous étions limités au domaine de nos anciens maîtres, puis ensuite quand nous en fûmes libérés, bien peu de nagas avaient survécus… Il a fallut des millénaires pour que cette antique race puisse à nouveau se multiplier. Voilà ce que nous a coûté notre liberté, nous avons faillis êtres anéantis... »

Kenshi resta silencieux lorsque Honoria parla de la "destiné" de son peuple. Il ne pouvait pas vraiment comprendre la complexité d'une vie où l'on doit se battre face à des êtres qui nous sont supérieurs en tout. Après tout, le drake qui l'avait mangé n'était supérieur qu'en force. Pareillement, Kenshi ne dit rien quand la nagate lui parla de son point de vue des golems. Il est vrai qu'en tant que moyen défensif, les golems sont à la fois pratique et sans risque pour personne... Du moins, tant qu'un idiot de dieu ne met pas votre âme dedans, de ce qu'il avait compris.

Par contre, quand elle demanda si Kenshi découvrait le peuple naga, il ne put répondre qu'à l'affirmative.


Il n'était ni honteux ni gêné, juste perplexe. Tout en suivant la nagate, il écouta ses récits autour de son peuple et de ses mystères. Un peuple si vieux pouvait-il si facilement disparaitre du jour au lendemain ? Kenshi ne savait pas quoi en penser. De ce qu'on lui avait dit et de ce qu'il avait vue à Akkaton, il y a beaucoup de révision historique dans le monde actuel, surtout à Teïder. Rien ne disait que sa partenaire n'était pas simplement en train de lui récité un pamphlet préécrit par le pays d'où elle venait. Non, il ne pouvait la croire sur parole, dem-divinité ou non. Cependant, sans pour autant l'accepter, il écouta attentivement les paroles de son interlocutrice.


Un avis stratégique simple, de la part d'une personne qui ne connaissait que la "pseudo-divinité".

Honoria hocha légèrement de la tête pas vraiment surprise, quand l’autre disait qu’il découvrait en effet les nagas. Il faut dire, sortit de la province désertique Akkatonienne ou d’Eïlynster, les nagas étaient assez peu nombreux dans le reste d’Orzian et encore plus rare au-delà de leur continent natale… Leur race aussi ancienne soit-elle, par la faute en partie de leurs anciens maîtres ne s’était jamais vraiment répandue de par le monde et multipliée comme d’autres. Après en soit ce n’était pas un problème et beaucoup de nagas se fichaient bien de ça... Quant à elle, elle était d’abord Eïlynsterienne, donc les considérations raciales étaient secondaires pour elles, on pourrait même dire qu’elle était assez extrémiste dans son nationalisme, mais bon pour l’instant ce n’est pas un aspect de sa personnalité qu’elle avait à beaucoup dévoiler dans l’instant présent.

Quant à la question de la divinité, elle parut un instant pensive et jeta un regard aux soldats Akkatoniens, ce avant de dire à l’Ikhyldien… Alors qu’ils interrompaient leur marche, sans doute car elle estimait que la question méritait qu’on prenne le temps de s’attarder dessus.

« Les Akkatoniens sont bien obligés de lutter contre les anciens dieux nagas, cette province est après tout impériale maintenant… Et quand on acquière une nouvelle terre, il faut en assumer la gouvernance et la responsabilité. Et sans vouloir flatter les impériaux, s’il y a bien une puissance militaire capable d’écraser les anciens dieux, c’est bien eux, ils sont à la fois puissants et technologistes… Et que sont les anciens dieux, si ce n’est des créatures de magies très puissantes ? » En somme, les nagas avaient des alliés dans leur combat contre leurs anciens maîtres, des alliés qui ne comptaient sûrement pas laisser des divinités du passé dicter leurs quatre volontés… Il faut dire, les Akkatoniens n’étaient pas connus comme étant du genre à s’incliner facilement, leur empire était arrogant et confiant en sa puissance.

« Ils ont même tués une ancienne déesse récemment, que l’on nommait celle qui rêve… Néanmoins nous Eïlynsteriens ne comptons pas êtres en reste, car ce sera nul autre que Cesario l’empereur éternel que nous pourfendrons prochainement, le plus puissant nécromant qui a jamais foulé de ses pas ce monde. » Et à la manière dont elle le disait, on sentait une certaine haine en elle à l’évocation du nom de Cesario...

La nagate s'arrêta soudain et commença une longue explication quand aux principes d'alliances contre les dieux. Kenshi fut, bien entendue, très attentif. Et malgré ses réticences logique autour de la question d'akkaton et de ses coutumes, il est vrai que depuis qu'il connaissait la dualité, la figure des êtres divins de chez lui commençait à s'estomper, ou du moins à devenir relative. Il est vrai qu'en considérant la technologie, akkaton était le mieux armée contre des êtres de magies pure, si on en croyait les parole de la diplomate.

Mais ce qui sortit kenshi très vite de son état d'attention passive fut le moment ou elle parla de la mort de "celle qui rêve", ou plutôt sa suite. Depuis que Kenshi était revenue à la vie, une seule question lui taraudait l'esprit : Pourquoi ? Il n'y avait personne autour de lui lorsqu'il est revenue à la vie, et c'est clairement pas le Drake qui l'a ressuscité. Alors pourquoi était-il en "vie" ? La réponse se trouvait peut-être devant lui, évidentes pour autrui, mais impossible à expliqué pour lui.


Kenshi savait très bien qu'il ne pouvait pas assez bien parlé pour arrivé à poser la vraie question qu'il souhaitait posé sans paraitre suspicieux. Donc il devra faire le grand tour. Après tout, il n'avait aucune idée quand à l'identité de Cesario. Mais une chose était sure : il n'en a jamais entendue parlé de son vivant. Donc, soit il naquit pendant sa mort, ou bien il existe depuis plus longtemps que cela et les nouvelles technologie akkatonienne permirent de découvrir son existence. Dans tout les cas, il était clair que Kenshi ne savait rien sur ce dernier, si ce n'est la seule information importante, donné par la nagate : C'est le meilleur des nécromants. Et donc possiblement celui qui l'a ramené.

Le sujet de Cesario fut abordé et évidemment cela nécessita un peu de réflexion de la part d’Honoria, qui finirait néanmoins par dire d’abord du ton déterminé, de la personne de conviction à ce sujet. Un ton duquel suintait une haine froide et reptilienne au sujet de Cesario justement.

« C’est notre devoir et surtout notre droit, Cesario est un traître de la pire sorte, un enfant du mur qui s’est retourné contre les siens et est devenu un de nos pires ennemis. Nous le détruirons, il payera pour ce qu’il nous a fait. » En somme ce n’était pas vraiment argumenté et pas mal fondé sur une sorte de droit nationale à la vengeance contre lui, ce avant qu’elle n’ajoute ensuite avec moins de férocité.

« Nous l’avons déjà vaincus, mais pas tué, nous pourrons sans doute le vaincre à nouveau et qui sait ? Le détruire pour de bon, en tout cas il n’est pas invincible, juste extrêmement puissant… Même isolé des morts anciens à son service, il reste un formidable adversaire. Néanmoins, ce qui a pu être vaincu, peut-être l’être à nouveau et même si sa condition malsaine le rend extrêmement difficile à tuer, je doute qu’il soit vraiment invulnérable. Il faut juste trouver comment faire, puis le vaincre à nouveau. » Elle regardera alors le guerrier, avant d’ajouter pensif.

« Si vous êtes un brave et que vous chercher du travail, qui sait ? Je pourrais vous en proposer, Eïlynster n’a rien contre les auxiliaires et vous pourriez nous aider dans notre lutte contre Cesario et Teïder. » Une proposition un peu frontale, surtout faîte en présences de soldats Akkatoniens qui ne manqueraient sans doute pas de rapporter cet échange, mais… Après tout elle lui proposait seulement ça et puis ça permettrait de jauger sa réaction.

Alors que la Nagate décrivit Cesario, Kenshi eu un profond frisson dans toute sa colones vertébrales. Il savait bien qu'elle n'avait pas de raison de l'attaquer pour l'instant... Mais s'il s’avèré que les gens comme lui ne venait que de ce nécromant... Il ne voulait pas y penser.

Alors qu'elle semblait reprendre une forme de sérieux, Kenshi put confirmer qu'elle ne semblait pas avoir déduit sa nature, mais il put aussi déduire, de par le fait qu'il est "isolé des morts anciens à son services", que cela impliqué deux chose : il est fort probable qu'il soit lié à Cesario, mais aussi que ce dernier pourrait théoriquement reprendre le contrôle sur lui... Potentiellement. Il préféra ignoré la pensé et répondre à la nagate.


Dit-il sur un ton pensif. Mais cela n'empêcha pas Kenshi de continué, plus fermement cette fois-ci.


Que ce soit de par sa nature ou par le fait qu'il eu déjà périt face à plus faible menace qu'un dieu, Kenshi se refusa de promettre à son interlocutrice l'improbable.


Après tout, il ne savait toujours pas s'il arriverait à retrouver sa famille... Ou s'il devait les retrouver tout court.

« Cesario a découvert au cours d’une campagne de conquête glorieuse une armure, faîte de chair d’atama et qui était cachée dans une ancienne crypte, une armure dont il a sentit une puissance singulière émanée. Il a enfilée celle-ci et dit-on qu’elle l’a corrompue... Je ne sais pas si c’est en effet le cas ou s’il est devenu ivre de pouvoir, mais c’est juste après qu’il a trahit. » Dira Honoria avec réflexion, avant de dire avec une fermeté un tantinet impitoyable. « Qu’il ait été corrompue ou non, il ne mérite que la mort, il a été au mieux fou et stupide pour mettre ce genre d’armure sur lui sans confier la découverte à ses supérieurs ou la faire examiner avant. Bien du sang a coulé à cause de lui... » C’est pour cela après tout qu’il était important d’obéir aux directives, ce genre de prise d’initiative stupide pouvait après tout avoir de terribles conséquences… Puis elle ajoutera avec moins de férocité.

« Vous aurez le temps de réfléchir à ma proposition, de toute manière les auxiliaires ne se voient pas confier des missions critiques au début, mais sachez que chez nous les guerriers honorables sont acceptés et respectés. Si votre valeur est grande et votre honneur grand, il n’y a aucune raison que cela se passe mal. » Ceci dit, elle ferait un geste et ils continueraient de s’enfoncer dans les ruines… Honoria se stopperait alors au début d’un long couloir parsemés de statues et de dalles branlantes au niveau du sol. Un couloir assez large, mais pas trop, fait de grès et éclairé par des torches enchantés au niveau du mur. Sans doute enchantées, car elles étaient encore allumées malgré les millénaires passés...

« Hum, cela me semble piégé… Je commence à me demander si c’était une ruine ordinaire. » Dira alors la nagate pensive, après tout on ne piégeait pas un ancien lieu d’habitation ou un lieu fréquenté par la population classique… Et ce couloir était piégé… Quoiqu’il en soit elle reprendrait.

« Je peux me téléporter de l’autre côté, mais quand à savoir comme vous allez traverser… Je vous dirais que vous pourriez essayer avec votre armure lourde, mais cela reste risqué. Et il faut aussi que mon escorte passe... » Et elle ne proposa pas de solution au problème, avant de regarder calmement Kenshi, comme pour voir si ce dernier en proposerait une, une sorte de petit test ?

Kenshi continua à écouté la Nagate, avec respect, silencieusement. Cependant, il ne répondit pas plus. Il n'y avait rien à dire, elle venait de l'informer des tenant et aboutissant de son offre. quand à lui, il lui avait déjà répondue comment il voyait et approché l'offre de sa compagne d'arme.

Cependant, tout en suivant Honoria, Kenshi et le reste du groupe tombèrent sur une salle piégé. Honoria mis en avant le danger de cette pièce et sa capacité à la traverser. Elle laissa cependant à Kenshi le soin de choisir une solution pour ses accompagnants et lui-même.

Ce dernier se gratta le casque et observa la salle. Il n'était pas le meilleurs pour résoudre ce genre de problèmes. Mais il avait quelques solutions en tête. Avant de les appliqué cependant, il prit le temps de les énuméré.


Tout en disant cela, il saisi un débris quelconque et commença a tracer dans la poussière.


Il déplaça son "stylo" vers une autre zone de poussière :

Nous pourrions aussi essayer d'analyser cette salle d'un œil plus précis. Après tout, qui dit salle piégé dit trésors ou lieu important. Je pense que les golem ne suffirait pas à assurer la sécurité d'un tel lieu, du moins à l'époque. Et puis il faut bien assurer la maintenance du système. C que je veux dire, c'est qu'il doit y avoir forcément un moyen de passer sans activer les pièges. Voyait cette salle comme une peinture. Nous voyons actuellement des formes mais nous n'en analysons pas le sens. En effet, la position, la forme, la couleur, le placement et même le simple fait qu'elle au centre de la salle... Tout cela sont des indices.

Tout en disant cela, Kenshi dessinait une ébauche de la salle, mais non pas d'un point de vue réaliste, mais plus symbolique.


Il se tourna vers Honoria, avec une position corporelle clairement radieuse.

Il était bien chez un guerrier de voir si ce dernier avait de la jugeote, c’était une qualité souvent attendue des guerriers Eïlynsteriens en vérité, même pour ceux n’ayant pas de grade, après tout un bon soldat devait aussi savoir être autonome si jamais la situation l’exigeait. Du moins, quand il était laissé à lui-même…

« Je pourrais vous téléporter, mais pour faire cette distance ce serait ridiculement long et cher, mais je pourrais. » Accordera sinon Honoria au sujet de la première solution exposée par Kenshi, en somme c’était possible, mais avait-elle envie de perdre autant de temps avec cela ? Quant à la seconde proposition, elle glissera poliment.

« Vous pourriez activer les pièges en effet, cela prendrait du temps et nécessiterait un examen rigoureux, mais ça pourrait marcher pour ce piège ci, si ce sont uniquement des fléchettes et rien de pire. » Après tout la magie permettait des choses bien pire que juste se recevoir des fléchettes empoisonnées dessus…

Quant à la troisième piste qu’exposa l’Ikhyldien, Honoria aurait manquée soit d’être amusée, soit de soupirer en entendant cela si elle n’était pas du genre stoïque et inflexible. Si jamais le fait qu’il était Ikhyldien n’avait pas été évident, maintenant elle l'aurait bien perçue. En tout cas elle ne manquerait pas de glisser calmement...

« Ce n’est pas une ruine liée aux ancien dieux, sinon je n’y serais pas entrée, même escortée par vous et mes protecteurs Akkatoniens, c’est beaucoup trop risqué. » Surtout depuis que les esclaves des anciens maîtres des nagas ne cessaient peu à peu d’émerger d’un sommeil antédiluvien. Puis elle ajouterait avec réflexion...

« Ces ruines sont celles du tombeau d’un ancien prince naga, qui datait d’un petit royaume ayant suivit la fin de l’empire de bronze, lorsque les nagas arrivèrent à se libérer de leurs maîtres et purent commencer à prendre en main leur destinée… Ces ruines ont donc  été conçues pour que personne n’entre après la fin de leur conception, sauf peut-être pour régler quelques mécanismes ou quelques cérémonies. » Avant de préciser pensive. « Ce serait long et complexe de trouver comment tromper les mécanismes de défense. Mais il se trouve que les anciens prêtres qui gardaient ce lieux disposaient de pendentifs ou bijoux enchantés qui leurs permettaient d’éviter les pièges… » Elle sortirait alors ce qui semblait être des pendentifs qu’elle distribuerait à tout le monde, avant de dire comme si de rien n’était.

« Suivez-moi vous tous, je tenais juste à tester les capacités de raisonnement de notre ami Ikhyldien. » Et elle ajouterait alors qu’ils traverseraient le couloir sans danger. « Car une lame sans un esprit solide pour l’affûter, n’est qu’épée émoussée, n’est-ce pas ? »