• Nationalité : Duchéenne
• Race: Hybride (demi-elfe)
• Nom :D'Ambrerive
• Prénom :Louise
• Surnom :Semblance, la sorcière au masque
• Sexe :Féminin
• Dâte de naissance :9 Maïa 1951
• Age :50 ans
• Lieu de naissance :Grisambre, duché du sud
• Lieu de vie lors de votre entrée en jeu :Grisambre, duché de Brunante
• Rang social :Bourgeoise
• Métier :Archimage
• Célébrité :Légèrement connue (Duché du Sud)

[Amélioration corporelle majeure] Catalyseur vivant : La magie prend une forme si sauvage et violente chez Louise qu’il a été nécessaire pour ses divers mentors d’éviter qu’elle ne se tue par inadvertance. Pour cela, les différents mentors de Louise, à commencer par Cécilia, ont réussi à créer un enchantement grandissant à mesure que la jeune femme parvenait à maîtriser ses pouvoirs, afin qu’elle puisse utiliser la magie sans causer de catastrophes. Cet enchantement complexe permet à son corps de supporter d’immenses afflux de mana, sans que cela ne la tue et lui assure un meilleur contrôle sur la canalisation de la magie. Au naturel, cet enchantement est invisible, car ancré dans le corps de la jeune femme. La seule partie visible est le rubis enchâssé à la base de sa nuque, qui sert de support physique à l’enchantement.

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[Objet magique] Habit du dragon de vent : Louise s’est vue confier une robe réalisée en écailles de dragon de vent, capable de changer de forme en fonction de ses besoins. Les écailles tissées sur le vêtement ont la couleur de la nacre et sont aussi légères que la brise. L’enchantement des écailles de dragon lui permet de planer si elle saute de très haut, atténuant les éventuelles chutes. Capable de se métamorphoser en fonction des situations, cette combinaison remplit des fonctions indispensables pour la magicienne, qui doit régulièrement changer d’aspect. Le tissu est en pourpre divin, ce qui permet au vêtement de s’étirer et de prendre des formes complexes sans problème. Au repos, le vêtement apparaît comme une belle robe blanche sertie de belles écailles de dragon.

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[Objet magique] Sceptre de mage : Il n’a rien de bien extraordinaire de prime abord. Ce sceptre se présente sous la forme d’une simple barre de vrai bronze gravée de nombreuses runes. Faisant environ 60cm de long, il n’est serti d’aucune pierre précieuse. Louise l’a fabriqué elle-même afin de canaliser plus efficacement ses sortilèges. Le sceptre étant le reflet de l’art d’un magicien, celui de Louise se veut le plus léger et le plus facile à manier possible. Le sceptre est basé sur une conception issue de ses recherches sur la magie pratiquée par les elfes évoluant dans il y a des millénaires dans ce qui sont actuellement les Duchés du Sud.

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Masque miroir fortunéen : Louise a réussi à récupérer il y a quelque temps un masque miroir fortunéen. Cet objet lui est particulièrement utile en société, notamment lorsqu’elle doit cacher son identité ou impressionner son entourage.  

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Plume enchanteresse : Version modifiée du pinceau enchanteur, cette plume sert à tracer des cartes précises des portails et des passages connus de la demoiselle au travers d’Orzian. Louise l’utilise souvent pour donner vie à des schémas et des fonctionnements de formules magiques dans ses carnets.

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Chevalière de mage d’Ikhyld : Louise a gardé la chevalière qui témoignait de son rang au sein du clan Matsura, lorsqu’elle travaillait dans l’Aile de Recherche de la Cité de Jade. Cet anneau de platine serti d’un œil de tigre lui sert à témoigner de son rang, en tant que vassale du clan Matsura au sein de la Cité de Jade. Si cela fait des années qu’elle n’a pas remis les pieds dans la Cité de Jade, elle conserve précieusement ce symbole sur elle. Elle ne porte pas cette chevalière au doigt, mais autour du cou, sur une chaîne d’argent.

Jeu des Illustres : Ce jeu de cartes à collectionner originaire des Duchés du Sud servait autrefois de passe-temps pour les navigateurs entre deux escales. Tombé en désuétude il y a quelques siècles au profit de nouveaux jeux plus intuitifs, il s’est doté d’une symbolique ésotérique et est réapparu chez les mages et d’invétérés aficionados. Même si ses mécaniques restent complexes et parfois rebutantes pour les débutants, le jeu des Illustres reste un excellent passe-temps pour qui cherche à améliorer son esprit tactique, son sens de la stratégie et de l’anticipation.

Poche du modeste marchand : N’ayant pas spécialement l’envie de faire l’étalage de ses pouvoirs à la moindre occasion, Louise s’est dotée d’une poche du modeste marchand, un petit sac de cuir brun clair qui lui permet de déposer une grande partie de son fourbis.

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Cape de camouflage : Utile lorsqu’il faut se déplacer sans attirer l’attention, cette cape grise permet à Louise de se dissimuler avec plus d’aisance.

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• Magie

Potentiel : Immense Potentiel
Feu : Inapte
Eau : Inapte
Vent : Inapte
Terre : Inapte
Lumière : Inapte
Ténèbres : Inapte
Invocation : Légende
Nécromancienne : Inapte
Transformiste : Confirmé
me : Inconnu
Foi : Inapte

• Mental

La volonté : Prodige
Contrôle de soi : Prodige
L intelligence : Virtuose
La perception : Maitre
Le charisme : Maitre
Technologie : Inapte

• Physique

Force physique : Débutant (-0.5 demi-elfe)
Agilité : Champion (+1 demi-elfe) => Maître
Vivacité : Maitre (+0.5 demi-elfe)
Résistance physique : Champion (-0.5 demi-elfe)
Résistance magique : Maitre
Vitalité : Champion (-0.5 demi-elfe)
Beauté : Champion (+1 demi-elfe) => Maître
Discrétion : Adepte

• Martial

Armes de tailles : Inapte
Armes lourdes : Inapte
Armes d’hast : Inapte
Faux : Inapte
Art de la défense : Inapte
Armes de lancer/fouet : Inapte
Arc/arbalète : Inapte
Mains nue/Arts martiaux : Inapte
Armes à feu : Inapte
Equitation : Inapte
Domptage : Inapte
Conduite : Inapte

• Si dragon

Combat dans les airs : Inapte
Combat sur la terre ferme : Inapte

Louise d’Ambrerive est le résultat de générations de mariages entre le peuple elfique des Duchés du Sud et les pionniers humains installés sur ces terres fertiles. Métisse de sang elfe et de sang humain, Louise n’a cependant retiré de cet héritage illustre que des oreilles pointues et un joli minois, malgré une silhouette plus charnue que celle des elfes. Ceci lui permet de passer aisément pour une simple humaine, du moins, tant que ses oreilles sont habilement cachées sous son épaisse chevelure cuivrée, souvent nouée en tresse. Car le trait distinctif de Louise n’est pas son héritage elfique, mais bel et bien son épaisse crinière de rouille encadrant ses deux grands yeux vert clair plein de curiosité. Son visage est constellé de taches de rousseur qui n’ont pas disparu en grandissant et elle en possède encore sur ses épaules. Lorsque quelque chose attise sa curiosité, ses yeux brillent de mille feux et elle se mord la lèvre inférieure, comme dévorée par l’envie.

Louise n’est pas spécialement musclée, mais vive et agile, ce qui sont deux qualités importantes pour une magicienne … en tout cas pour une magicienne qui ne veut pas être empalée sur une pique ou lardée de coups de masses. Contrairement à ses cousins de sang-mêlé, Louise n’a pas la silhouette gracieuse, grande et élancée du peuple elfique. Au contraire, elle accuse encore quelques rondeurs, notamment sur les hanches et les fesses, qui trahissent son humanité - et son amour pour la gastronomie duchéenne.

De multiples cicatrices blanches parsèment ses mains et une partie de ses avant-bras, souvenirs de son apprentissage de la magie. Elle n’en est pas spécialement fière, mais elle les conserve afin de se rappeler à chaque instant ce qu’il en coûte de ne manipuler des forces capables de la déchiqueter en une fraction de seconde. Afin de convertir de plus grandes quantités de mana sans subir de graves contrecoups, un enchantement complexe a été apposé sur son corps depuis l’adolescence, ce qui lui permet de ne pas s’autodétruire bêtement. La seule partie visible de cet enchantement est un épais rubis taillé en cabochon à la base de sa nuque, généralement caché par sa chevelure rousse.

La magicienne s’exprime d’une voix claire et dans un langage agréable, fruit de son éducation. Elle parle avec beaucoup d’émotion et ne semble avoir aucun tabou. La demoiselle a pris l’habitude de chanter lorsqu’elle se trouve seule et il se trouve que son timbre de voix est plutôt agréable à l’oreille. Lorsqu’elle prend l’identité d’une autre personne, elle est capable de se glisser dans la peau de son personnage avec aisance.

Louise est une femme des Duchés jusqu’au bout des ongles - qu’elle a plutôt courts - et a hérité de leur goût immodéré pour les beaux vêtements. Malgré ses quelques rondeurs dont elle se débarrassait bien, Louise remplit avec aisance les robes et les tenues les plus élégantes tout comme les mises les plus communes. Il est extrêmement rare qu’elle soit armée : la jeune femme étant capable d’invoquer n’importe qu’elle arme en un claquement de doigts, elle n’a pas l’utilité d’en transporter une avec elle. Tout au plus se permet-elle d’avoir une dague à proximité, au cas où la magie lui ferait défaut. Il s’agit toutefois d’une forme de dissuasion, la magicienne n’ayant jamais été formée au maniement des armes.

Sous le thorax de Louise se trouve une large cicatrice blanche, qui se retrouve dans son dos. Il s’agit là d’une vieille blessure, causée par un pieu de purification teïdérien. Cette blessure, qui a bien failli la tuer, lui rappelle à chaque instant que la moindre erreur et l’absence de contrôle peut avoir des conséquences dramatiques sur elle-même et sur les autres. Si la cicatrice ne la fait plus souffrir, cette blessure a beaucoup entamé son amour-propre et lui a fait comprendre qu’elle n’est ni invincible, ni dégagée du poids des responsabilités.

Louise d’Ambrerive est une archimage déconcertante. Familière et assurée, elle montre une attitude très libre-penseuse qui sied bien à l’ambiance des duchés du sud, mais qui aurait tôt fait de lui jouer des tours dans les arcanes de la politique. Bourrasque de vent dans les arcanes du pouvoir duchéen, la demoiselle s’illustre par un esprit ingénieux, malgré un caractère difficile, aussi changeant que les saisons. Elle ne s'embarrasse ni de tabous, ni de barrières et porte ses idées avec force, verve et fierté, quitte à froisser les susceptibilités. Son côté plein et entier, souvent prompt à des accès de colère, fait que malgré son charisme, elle reste trop décalée par rapport aux jeux de pouvoirs et à la politique en général. Car Louise n’aime pas les carcans qui brident l’imagination et son côté iconoclaste est semblable à sa magie : sauvage et indisciplinée.

Maîtresse de la sérendipité et collectionneuse de savoirs, Louise d’Ambrerive ne vit que par son envie insatiable de satisfaire sa curiosité maladive et son envie d’être surprise. Là où d’autres recherchent la sagesse et la maîtrise, Louise vit pour le frisson de la découverte et la sensation d’accomplissement qui naît de belles aventures. Elle est habituée à suivre les pistes les plus incongrues dans sa quête d’inattendu et se retrouve généralement récompensée pour ses intuitions, ou salement amochée (ce qui lui sert rarement de leçon, malheureusement). Si un proverbe populaire dit que la curiosité est ce qui tue le chat, alors Louise défie alors les lois des probabilités et se montre toujours plus motivée dans sa quête de nouvelles sensations.

Louise n’a pas son pareil pour découvrir des secrets et imaginer des plans inédits. Logique et appliquée dans ses méthodes, quoique peu orthodoxe dans sa manière de les conduire, elle utilise chaque ressource à sa disposition et se plaît à dépasser ses limites. Esprit libre par excellence, elle n’apprécie pas les moralisateurs et les donneurs de leçon, préférant la compagnie de gens plus intéressants et inventifs. S’ennuyant assez vite, la demoiselle a rapidement compris qu’au vu de sa longévité naturelle, il lui fallait s’occuper de manière intelligente et veiller à sans cesse progresser dans sa compréhension du monde, afin de supprimer le risque de l’apathie.

Créative et volontaire, Louise reste cependant une personne dont les idées peuvent être très dangereuses pour ceux qui ne disposent pas de ses pouvoirs. Car si la demoiselle a jusqu’à présent eu un peu de chance, ce n’est pas forcément le cas de ses compagnons et Louise a déjà perdu assez de compagnons au cours de sa courte existence. Sa volonté de toujours repousser plus loin ses limites en matière de connaissances et d’expériences ferait souvent défaillir de peur tout mage un peu soucieux des notions de sécurité. Ses derniers affrontements avec l’inquisition téïdérienne ont cependant grandement tempéré ses ardeurs, en ceci qu’elle comprend désormais que ses actions peuvent avoir des conséquences dramatiques si elles ne sont pas mûrement réfléchies.

Au naturel, Louise est indisciplinée et mutine. Pourtant, malgré son sale caractère et son refus d’être muselée, Louise d’Ambrerive est une personne sur qui les gens peuvent compter. Sa parole est d’or et lorsqu’elle s’investit dans quelque chose, elle se donne à fond. Loyale et attentionnée envers ceux qui ont son amitié et son affection, elle appréhende la vie avec optimisme et légèreté. Son goût immodéré pour les histoires l’a poussé à s’inventer de nombreux personnages et à entretenir plusieurs apparences et alias dans certaines régions du continent, ce qui lui permet de se fondre plus facilement dans le décor.

Louise est une libre-penseuse dans le monde policé des convenances ducales, aussi n’est-il pas étonnant que ce mélange détonne. Aussi sauvage et imprévisible que la magie qu’elle manie, Louise estime que la vie ne vaut la peine d’être vécue que si l’on passe son existence à poursuivre le frisson de la découverte et de l’inattendu. Humaniste et optimiste, elle est persuadée que la poursuite et l’accumulation des expériences est une existence des plus nobles, surtout si l’on peut en faire profiter les autres. Elle incarne cette recherche constante de l’émerveillement, de la surprise et de l’inédit qui pousse l’humanité vers de nouveaux horizons, loin des sentiers battus.

Depuis que l’archimage est devenue conseillère de la Carence, une partie de ses activités se sont redirigées vers la politique et surtout, le maintien à flot du duché de Brunante. Elle a dû, sans expérience politique digne de ce nom, mettre les bouchées doubles pour prendre position en tant que conseillère. Sachant pertinemment qu’elle n’aura jamais le poids politique suffisant pour concurrencer la Carence - bien mieux implantée - , la jeune femme s’est affichée comme l’une des figures protectrices du duché vis-à-vis de Teïder. Elle reste persuadée qu’à moyen terme, Teïder se remettra en campagne et le duché de Brunante est la porte d’entrée privilégiée vers les cités-Etats du sud. Dans cette éventualité, qu’adviendra-t-il de Brunante ?

Mais plus que tout, Louise est fascinée par les plans élémentaires et met tout en oeuvre pour acquérir le plus de connaissances possibles sur leur fonctionnement et les moyens d’ouvrir des passages temporaires entre les dimensions élémentaires et le plan matériel. L’essentiel de son pouvoir étant tiré de ses invocations, la jeune femme est convaincue qu’elle ne pourra progresser que si elle noue de solides relations avec les êtres élémentaires.

Sur la dualité magie / technologie : Louise n’a jamais vraiment eu le choix quant à son positionnement sur la dualité entre la magie et la technologie. Née avec un potentiel magique immense pouvant la tuer, la magicienne n’a eu d’autre choix que d’apprendre à le maîtriser sous peine de ne pas passer l’adolescence. Elle aurait pu abandonner par la suite, chercher d’autres voies pour s’épanouir, mais une fois que l’on a mis le doigt dans l’engrenage de la magie … il est difficile de ne pas y laisser son bras. Louise a donc plongé la tête la première dans la magie et ne s’est jamais véritablement intéressée à la technologie, qu’elle trouve beaucoup trop rigide et guindée. Pourtant, elle n’entretient pas d’hostilité particulière à son égard. La magicienne a plus eu de problèmes avec d’autres praticiens de la magie qu’avec des utilisateurs de technologies …

Sur la religion : Louise ne remet pas en question l’existence de divinités ou d’entités supérieures. La simple existence des plans élémentaires et des créatures titanesques qui y vivent est déjà la preuve que des êtres d’une puissance phénoménale peuvent tout à fait évoluer parmi les mortels. En revanche, si Louise s'accommode bien de l’existence de panthéons et de divinités, ou même de principes religieux, elle n’a jamais été en phase avec les clergés et la liturgie. Rétive à tout ce qui pourrait limiter ses champs d’action, elle supporte mal de devoir obéir à des rituels compliqués et guindés pour témoigner du respect à une quelconque divinité.

Sur Ikhyld : Louise entretient une relation compliquée avec les provinces ikhyldiennes. Adoptée du clan Matsura, elle disposait, avant sa disparition dans les plans élémentaires, d’une position enviable au sein de la Cité de Jade. Elle connaît des territoires ikhyldiens la richesse culturelle de la noblesse et les incroyables facilités accordées à ceux qui disposent d’un potentiel magique. Cependant, elle reste très sceptique sur le futur de ceux qui n’ont pas la chance de naître avec la capacité d’utiliser la magie. Ikhyld lui a pourtant fourni un foyer et n’a pas hésité à la tirer vers le haut à une période où elle voulait absolument prouver sa valeur. Si les provinces ikhyldiennes ne sont pas parfaites, elle reste en phase avec leurs coutumes et l’incroyable richesse de leur magie.

Sur Akkaton : Ce n’est pas que Louise n’aime pas les provinces akkatoniennes … mais ses villes ont tendance à la mettre extrêmement mal à l’aise. L’interférence entre la technologie et sa propre magie lui donne le tournis et dans le pire des cas, rend ses pouvoirs instables. Elle n’arbore pour autant aucune animosité envers les Akkatoniens, mais évite de devoir se rendre en Akkaton, sauf pour des cas de force majeure.

Sur Teïder : L'inquisition teïdérienne est peut-être l’ennemi le plus mortel que Louise ait eu à affronter. Ayant malencontreusement déclenché quelques incidents dans le pays à la suite d’expériences magiques ratées, la jeune femme est encore aujourd’hui pourchassée par les soldats de l’Inquisition qui souhaitent à minima récupérer sa tête … séparée de son corps de préférence. Louise appréhende sincèrement les actions de Teïder, surtout depuis qu’elle s’occupe des défenses du duché de Brunante. Elle craint que le royaume ne cherche à nouveau à envahir les duchés du sud et malheureusement pour elle, la terre de ses ancêtres est l'une des premières étapes de leur armée.

Sur Eïlynster : Eïlynster est une terre qui fait froid dans le dos à Louise et qu’elle considère comme particulièrement ennuyeuse. Elle n’a aucun amour pour ce pays où tout tourne autour de la guerre et de sa valorisation. Tout ceci est d’un ennui mortel pour elle, et la paranoïa des Eïlynsteriens lui est totalement insupportable. Heureusement qu’elle n’a que peu de raisons de s’y rendre.

Sur les Duchés du Sud : La terre de cœur de Louise et celle qui l’a vu naître. Malgré l’anarchie ambiante et le peu de considération pour la vie humaine dont font preuve les Duchéens, Louise reste profondément attachée à sa terre natale et à cette mosaïque bigarrée et indomptable. Appréciant la liberté par dessus tout, il n’est pas étonnant que la magicienne trouve dans les duchés tout ce qu’elle apprécie … mais aussi les pires excès des atamas, notamment l’esclavage, qu’elle a en horreur.

Sur Eïrn: Eïrn exerce une fascination étrange sur Louise. Elle a été charmée par la beauté de leur art et leur recherche constante de la perfection. Mais surtout, elle a été attirée par l’indépendance de ses communautés de cette république. Louise aime passer du temps sur cette terre et bien qu’elle n’ait pas eu accès au “coeur” de cette contrée, celle-ci exerce une véritable attraction, qui la fait se sentir à l’aise, comme si la contrée elle-même cherchait à l’accueillir.

Louise d’Ambrerive est une invocatrice talentueuse, curieuse et espiègle, passée maître dans l’étude des plans élémentaires. Dotée d’un caractère aussi inconstant et sauvage que ses pouvoirs magiques, la magicienne occupe une place de conseillère de la Carence, l’oligarchie discrète dirigeant le duché de Brunante. Poussée par sa curiosité, notamment envers la magie des plans, la demoiselle crée des expériences souvent dangereuses, mais inédites, qui ont la fâcheuse habitude de causer de réelles catastrophes … ou de surprenantes réussites.

Née à Grisambre il y a de cela cinquante ans, Louise est la dernière née des Ambrerive, l’ancienne famille régnant sur les terres de Brunante. Famille aux origines elfiques comprenant quelques invocateurs dans leur lignée, les Ambrerive furent cependant trahis par la bourgeoisie locale, qui fit exécuter l’ensemble de la famille durant la dixième année de la jeune fille. Ne survivant que grâce au déchaînement soudain et brutal de ses pouvoirs, Louise fut capturée par des rabatteurs esclavagistes et vendue à prix d’or à la Demeure des Rois de Vinche, où elle vécut comme servante.

Sauvée de cet enfer par Cécilia, qui la racheta, Louise effectua son premier apprentissage magique auprès de la vampire. Mais après quelques années passées sous son tutorat, Louise, impatiente, se lassa des leçons de la vampire et entreprit d’explorer le monde par elle-même. Pendant plusieurs années, Louise se fondit dans la population d’Orzian, cherchant à accumuler les expériences et les connaissances. Elle prit rapidement goût aux arts théâtraux, notamment grâce à ses compétences en illusion, et s’inventa des vies variées, afin de compenser celle qu’on lui avait dérobé.

Causant autant de catastrophes que de bienfaits, Louise se fit connaître dans quelques endroits de l’Orzian pour ses travaux sur la magie invocatoire. Se faisant autant d’amis que d’ennemis, la magicienne finit par se voir proposer l’opportunité d’intégrer les provinces ikhyldiennes, comme pupille du clan Matsura. Après des mois de tractations et d’examens, Louise obtint la chevalière de platine sertie d’un œil de tigre lui permettant de travailler comme chercheuse à l’Aile de Recherche de la Cité de Jade, connue pour ses expériences sur la colonisation planaire. Dans cet environnement favorable aux expériences les plus inédites, la jeune femme fit des découvertes surprenantes sur l’origine de ses pouvoirs et la nature des plans élémentaires, allant jusqu’à les visiter elle-même.

Malheureusement pour elle, son côté peu orthodoxe et indiscipliné lui joua de nombreux tours. Echouant dans le plan du feu à la suite d’un accident magique, la jeune femme survécut grâce à l’aide de Brûle, une Lueur du plan du feu servant Celui-qui-Purifie-par-la-Flamme-Bleue, un seigneur élémentaire du feu. Apprenant les subtilités des plans auprès d’elle, Louise finit par arpenter pendant des années les plans élémentaires, à naviguer d’un endroit à un autre et à remplir diverses missions pour les seigneurs élémentaires, en attendant de trouver un passage jusqu’à chez elle. Durant ses années d’errance, elle se lia d’amitié avec les habitants des plans élémentaires et quelques seigneurs élémentaires, quand bien même la notion d’amitié reste très étrange dans les plans. Elle affina ses talents et acquis suffisamment de contrôle pour être considérée comme une arpenteuse de plans confirmée.

Parvenant à regagner Orzian, Louise, poussée par sa curiosité, visita les différentes contrées du continent. Mais les choses ne se passèrent pas pour le mieux en Teïder. Alors qu'elle recherchait des ingrédients alchimiques dans les campagnes marécageuses de Teïder, elle eut le malheur de tomber sur un homme particulièrement retors qui chercha à profiter d'elle. A court d'options, elle le confronta et le tua par accident devant témoins. Il s'avéra que l'homme en question était un inquisiteur de Teïder et bien vite, Louise se retrouva accusée de meurtre, de sorcellerie et d'autres chefs d'accusation moins savoureux. Poursuivie par une équipe d'inquisiteurs, elle parvint à s'enfuir vers l'ouest, vers la frontière d'Eïrn, mais se retrouva de plus en plus acculée par les tactiques sournoises des inquisiteurs et leur connaissance de la manière dont contrer la magie. Si elle parvint à en éliminer quelques-uns, Louise fut cependant transpercée par une lance de purification sous le thorax. Réussissant à simuler sa mort, elle ne dut sa survie qu'à l'intervention providentielle de guérisseurs eïrniens qui la cachèrent et soignèrent ses blessures avant de l'emmener dans les confins de la république.

Rétablie après quelques mois, elle s’installa pendant plusieurs années en Eïrn, fascinée par la culture de la beauté et de la perfection qui habitait chaque être de la contrée. Finalement, elle finit par pousser sa chance un peu plus loin et revint sur les terres de Brunante. Elle s’y installa, non sans avoir réglé quelques comptes avec d’anciens ennemis. Déplaçant l’entrée de sa dimension de poche dans la ville de Grisambre, la magicienne utilise depuis la cité comme sa base d’opération principale et son lieu de repos privilégié, à deux pas de là où sa vie a débuté. La sorcière vendit ses services comme enchanteuse et alchimiste, les Duchés du Sud étant particulièrement propices à ce type d’activités.

Récemment promue conseillère de la Carence, elle a été acceptée dans le discret conseil qui dirige Brunante pour apporter son expertise magique sur certaines affaires. Elle est officiellement Semblance, la magicienne au masque, protectrice de Grisambre, un rôle anonyme qui lui permet d’éviter des intrusions indélicates dans sa vie. Si elle ne dispose pas d’un poids politique digne de ce nom, cette entrée au conseil lui permet de faire un beau pied de nez à ce même conseil qui, il y a des années, supprima sa famille. Mais étrangement, la demoiselle n’a pas envie de se faire justice. D’une part parce qu’elle n’est pas une meurtrière de sang froid et d’autre part, car la mort de la Carence signifierait la chute du duché de Brunante dans l’anarchie. Sa dynastie est belle et bien entrée dans les limbes de l’oubli et personne n’attend le moindre Ambrerive sur le trône brisé de Brunante. Et finalement … tout ceci lui ôte un poids, puisqu’elle peut faire ce qu’elle a envie, en fonction de ses humeurs du moment.

Actuellement, la jeune femme mène plusieurs projets de front. Elle s’est récemment prise de passion pour un projet des plus ambitieux : créer une société de libre-penseurs, d’esthètes, de savants et d’amoureux des plaisirs. Grisambre serait un endroit idéal pour commencer … En parallèle, elle cherche à faire prospérer le duché de Brunante tout en menant ses recherches sur les plans élémentaires. Depuis son accident avec l’inquisition et sa convalescence en Eïrn, un changement s’est opéré dans la magie de Louise. Elle est devenue capable de manipuler la magie transformiste de manière limitée. N’ayant jamais reçu de formation sur ce domaine magique, elle recherche un maître transformiste capable de lui enseigner son art.

Cécilia Cassetti : Malgré les désaccords qu’elles peuvent avoir, Louise considère Cécilia comme une mère et même si leur relation s’est progressivement muée en une saine collaboration, il n’en reste pas moins qu’elle n’a jamais oublié qui l’avait sortie d’une vie de misère.

Le clan Matsura : Seigneur-lige de Louise, le clan Matsura a été celui qui l’a accueillie en Ikhyld et fait d’elle leur vassale. Après des années sans donner de nouvelles, Louise appréhende le fait de revenir un jour dans la Cité de Jade et de devoir rendre des comptes à son ancien suzerain. A ce titre, le seigneur Ao Matsura est peut être ce qui pourrait le plus s’approcher d’un père ou d’un oncle vivant pour l’invocatrice.  

La Carence : Dirigeant le duché de Brunante dans l’ombre, la Carence est un conseil discret d’oligarques avec lequel Louise a bien du mal à travailler. Si les conseillers de la Carence sont pour la plupart ceux qui ont acté l’assassinat de sa famille, Louise ne dispose pas des moyens d’exercer une vengeance sans mettre en péril la stabilité du duché. Les conseillers de la Carence ne la connaissent que masquée et elle se garde bien de leur révéler le moindre indice sur son identité. Elle essaie déjà de comprendre les règles du jeu politique sans se brûler les ailes.  

L’inquisition teïdérienne : Louise a, pour son plus grand malheur, été repérée par l’inquisition, ce qui fait qu’elle a fini par terminer sur leur liste noire avant d’être considérée comme morte. L’inquisition n'hésitera pas à mettre les moyens pour sa capture si d’aventure elle apprenait qu’elle avait survécu à sa traque. Parmi les chefs d’accusation de l’inquisition à son encontre, on trouve par exemple : mensonge, falsification d’identité, invocations illégales d’élémentaires, meurtre d'inquisiteurs, blasphème, … Louise ne s’approche plus des frontières de Teïder à moins d’y être forcée car sa dernière rencontre avec l'inquisition a bien failli la tuer.

Clarté : Clarté est le nom ironique que Louise a donné à cet élémentaire de brume qui l’intrigue depuis des années. La suivant lors de ses voyages planaires, Clarté semble toujours trouver un moyen de se rapprocher de la magicienne. Incapable de communiquer avec l’élémentaire, elle n’en reste pas moins persuadée que la brume magique est aussi curieuse qu’elle et n’a aucune intention de lui nuire. Au naturel, Clarté est indifférente, mutique et incapable de théoriser de vive voix sur la structure courbe des plans élémentaires. En revanche, elle se montre d’une utilité indéniable lorsqu’il s’agit de s’enfuir sans laisser de traces.

Lumière, le chat : Ce chat noir aux yeux bleus clair est le fidèle familier de Louise. Créé par la magicienne, celui-ci remplit depuis les fonctions de familier. Lumière est aussi curieux que sa maîtresse, mais fait montre d’une prudence que la magicienne n’a pas. Lumière est constitué de ténèbres et même s’il a l’apparence d’un chat noir tout ce qu’il y a de plus classique, il n’est cependant pas un félin de chair et d’os. Lumière accompagne toujours Louise dans ses voyages, mais, tout comme sa maîtresse, n’a d’ordre à recevoir de personne ! C’est qu’il a un certain standing à respecter. Le familier est plutôt de bonne composition et malgré ses remarques parfois acerbes, reste un compagnon agréable.

• Petite présentation de votre personne : Oh, pas grand chose. J’ai vu de la lumière et je suis entré. Ca fait longtemps que je fais du RP sur forum et j'ai trouvé votre forum très riche au niveau du lore et c'est ça qui m'a vraiment plu !
• Rythme rp et particularités : Une bonne fois par semaine
• Comment avez vous découvert le forum :Totalement par hasard.
• Des ambitions pour votre personnage ? Quelle évolution aimeriez vous lui donner à court ? Moyen ? Long terme ?Le gros enjeu pour ce personnage, c’est d’arriver à bien développer le duché de Brunante. Après, je me laisse porter par les opportunités.
• Avez vous prévu quelque chose ou êtes vous adepte du "laisser le jeu faire" et voir ce que ça donnera ? Tout dépend des opportunités