Nationalité : Ikhyldienne
Race : Kitsune
Nom : Shintao
Prénom : Tamashimoru
Surnom : Shin'
Sexe : Masculin
Date de naissance : 2 Septem 1914
Age : 86 ans et demi
Lieu de naissance : Empire Ikhyldien
Lieu de vie lors de votre entrée en jeu : En train de quitter Ikhyld
Rang social : Noble
Métier/Position dans la société : Chanteur et musicien, peintre à ses heures perdues
Titre : (Connu à Ikhyld) : Shintao est le fils de celui qu'on surnomme « l' abandonné des dieux » et il a longtemps subi l'absence de pouvoirs de son père. Heureusement, le gamin a démontré qu'il avait finalement de grands pouvoirs. Cela dit, aujourd'hui, s'il est généralement connu grâce – ou à cause ? – de son père, il est également connu pour les dons artistiques transmis pas sa mère.

Armure et armes en votre possession lors de votre entrée en jeu :

Armure pour Kitsune :

Griffes rétractiles :

Arbalète à shurikens :

Autres équipements  

Ensemble de courtisan :

Ensemble de voyageur :

Pinceau enchanteur :

Flûte Enchantée :

Masque de parade Ikhyldien :

Pouvoir unique 

Vents maudits :

Magie :

Potentiel : Immense

Vent : Virtuose
Transformiste : Champion

Mental :

Volonté : Prodige
Contrôle de soi : Débutant
Intelligence : Champion
Perception : Champion
Charisme : Champion
Technologie : Inapte

Physique :

Force physique : Confirmé
Agilité : Prodige
Vivacité : Prodige
Résistance physique : Confirmé
Résistance magique : Confirmé
Vitalité : Confirmé
Beauté : Maître
Discrétion : Champion

Martial :

Armes de tailles : Inapte
Armes lourdes : Inapte
Armes d'hast : Inapte
Faux : Inapte
Art de la défense : Inapte
Armes de lancer/fouet : Inapte
Arc/arbalète : Inconnu
Mains nue/Arts martiaux : Maître
Armes à feu : Inapte
Équitation : Inapte
Domptage : Inapte
Conduite : Inapte

Description physique :

« Il jette une dernière fois un coup d’œil au miroir devant lui, avant de s’offrir un dernier sourire. Il tente de ne pas s’attarder sur le fait que sa crinière de cheveux blancs n’a pas reçu le coup de brosse qu’elle méritait ni que ses yeux gris ne transmettent que le vide. Et finalement… Il soupire d’un air las, comme s’il venait d’échouer face à l’un de ses objectifs. »

« Il attrape alors un peigne fin, avant de coiffer avec douceur ses longs cheveux soyeux. On lui disait souvent, lorsqu’il était jeune, qu’il avait les mêmes cheveux que ses parents. Et à l’adolescence, par esprit de contradiction, il s’était teint les cheveux en rouge. Il se rappelait encore la tête qu’avait sa mère en le découvrant… Ce souvenir lui tire un sourire triste, alors qu’il observe les derniers vestiges de cette époque, les quelques mèches rouges qu’il a continué à se faire après cet événement. Il attache alors ses cheveux dans la coiffure qui a toujours été sienne, une queue de cheval. »

« Et en redescendant… Ses petites oreilles blanches de renard se baissent alors qu’il croise de nouveau le regard vide que le miroir lui reflète. Il sait que lorsqu’il aura fait son deuil, ses yeux retrouveront le même éclat qu’ils avaient autrefois, cette joie de vivre, ce plaisir de plaire… Il sait que ce visage attrayant, aux traits fins et plaisants, retrouvera sa lumière. »

« Mais en attendant, rien ne lui répond. Sauf… Cet être, avoisinant le mètre quatre-vingt et semblant pourtant si petit dans cette grande demeure, habillé dans de beaux vêtements qui lui semblent fades et sans couleurs, si expressif et pourtant si vide. »

« Il est sans doute difficile de croire qu’il y a encore bien peu de temps, il était très différent. L’on pouvait sentir sa fierté et son élégance dans ses gestes, sa posture, ses mots. On le voyait droit comme un I. Mais jamais trop prétentieux. Il n’avait de fierté que ce qu’il fallait. Un jeune homme plein de vie et dégageant une sorte d’aura de douceur. »

« Rien à voir avec le kitsune que le miroir lui reflétait. »

Description mentale :  

« Mais même s’il semble profondément attristé, quelque part, il sait que ça ne durera pas. La mort de sa mère, assassinée par son propre mari, son père à lui, a réveillé une tristesse sans nom dans son cœur. Et avec cela, une colère sourde était née. Il savait qu’une fois dehors, si les gens ne fonctionnaient pas comme il le voulait, il leur crierait dessus. Il savait que son contrôle de soi était bien trop faible pour se contenter de sourire et de partir. Mais tant qu’il ne cédait pas à la violence qui hurlait en lui, tout n’allait pas si mal, n’est-ce pas ? »

« Et pourtant, sa mère lui avait inculqué de nombreuses valeurs lorsqu’elle était en vie. Son éducation noble Ikhyldienne semblait parfaite, pendant longtemps. Il était doux, gentil et serviable, très sociable. Même s’il a toujours été impulsif et qu’il semblait un peu brut parfois, ce n’était jamais méchant. Il était très bien élevé. »

« Quant à son père, même s’il avait été peu présent, il lui avait appris certaines compétences utiles dans le domaine martial, mais également dans la vie de tous les jours. Et aussi, si son mental a toujours semblé très digne d’un jeune noble, il avait également les meilleures bases pour devenir un bon combattant. »

« Mais cela fut sans compter son esprit de contradiction qui lui fit fréquenter de nombreuses femmes, et prendre certaines décisions que le temps lui a fait regretter. Mais l’homme à femmes qu’il est n’est pas de ces gars lourds, puisqu’il se fait plus charmant et désiré que méprisable et dégoûtant. Allant même jusqu’à éloigner ce genre d’hommes de leurs cibles. »

« Et puis il y avait ça. Ce qui pouvait ressembler à une prison dorée. Il est un mage très doué, qui avait été, pendant longtemps, relié à l'absence de magie de son père. Mais la vie lui avait offert le don que son géniteur n’avait pas eu et… Ce don l’a rendu dépendant, d’une certaine manière. Et aujourd’hui, il ne supporte pas de ne pas pouvoir utiliser la magie, ce qui le met dans un état délirant. Cette magie, qu’il considère comme une liberté, l’enferme en vérité dans une cellule… Il est sans doute utile d’ajouter qu’en plus de cela, l’attacher littéralement le met dans le même état. »

« Et il ne faut pas non plus oublier la place que prend l’art dans sa vie. Le seul lien qu’il lui reste avec sa mère, elle qui lui a appris la musique, le chant et la peinture. Serait-elle fière de voir le bon artiste qu’il est à présent ? C’est une question qu’il se pose souvent. Mais il est certain que, dans tous les cas, il ne veut se séparer de toutes ces choses pour rien au monde. »

« Enfin, ce n’est évidemment que son ombre qui l’observe dans le miroir, aujourd’hui. Une ombre sombre et triste, blessée par l’un des êtres qu’il respectait le plus au monde. Et même si cet être l’avait involontairement rendu aussi triste, il ne pouvait s’empêcher de ressentir une rancœur sans nom à son égard. Et au fond… Son âme semblait réclamer vengeance. »

Convictions :  

« Si, actuellement, ses convictions semblent ébranlées, il ne tardera pas à les retrouver. Aimer la vie, aimer sa vie, la magie et sa nation, pour lesquelles il voue une loyauté indéfectible. Pourtant, alors qu’il ne s’en rend pas encore compte, bientôt il voyagera. Dans ce pays étrange, où la technologie règne. Pays qu’il regardera avec un regard curieux d’enfant ébahi. Dans cet autre pays extrémiste qui ne tolère réellement que les humains. Celui-là qu’il observera avec méfiance mais dans lequel il essaiera peut-être de trouver sa fille. Mais aussi dans cet amas de contrées sans chef unique, qu’il ne considère pas comme un vrai pays. Où il ne saura pas trop s’il devra s’en méfier ou leur donner une chance. Sans oublier le pays où la puissance militaire fait foi. Pays qui ne lui fait encore ni chaud ni froid. Et puis évidemment, le dernier pays civilisé. Qu’il jaugera avec un regard intrigué, mais… Il ne pourra que louer leur recherche de la beauté. Et s’il doit aller jusque dans les terres du Nord, les mondes souterrains et les plans élémentaires pour chercher son père… Il le fera. »

« Il n’observera le monde qu’avec le regard qui a toujours été le sien, celui que sa mère a toujours tenté de développer. Un regard curieux de voir les différences des autres, ne supportant pas l’injustice et la violence gratuite. Un regard qui ne juge les gens que sur leur apparence intérieure même s’il apprécie particulièrement la beauté. »

Histoire :

« C’est donc en regardant son reflet, après s’être donné un coup de brosse et tout en tentant de se rappeler ce qu’il était sensé faire, que ses souvenirs remontent, semblant presque se jouer de lui, les images défilant dans le grand miroir familial. »

« Il se revoit tout d’abord petit, très jeune, avec sa mère. Les deux êtres s’amusaient avec un joli ballon coloré, que la belle kitsune aux cheveux blancs lançait en l’air, laissant l’enfant courir pour aller la chercher. En revoyant ces images, ses yeux se retrouvent remplis de larmes. Sa mère semblait encore plus belle dans ce reflet, leur joie lui paraissait palpable. Shintao, puisque tel était son nom, était né de deux kitsunes nobles Ikhyldiens. Il était voué à vivre bien, vivre longtemps, et logiquement, vivre heureux. Et sa mère, Tamashimoru Atsuo, était probablement l’une des mères les plus douces et les plus aimantes qu’Orzian ait connues. »

« Et puis un kitsune, également à la crinière couleur des nuages, vint se joindre à eux. Tamashimoru Shiroi, son père. Les larmes de tristesse de Shintao se remplissent de colère, et il se retient de ne pas frapper le miroir. À l’époque de ce souvenir, Shiroi n’apparaissait que peu dans la vie de son fils. Il voyageait beaucoup, voyageait longtemps. Et si l’absence de son mari semblait être devenue normale pour Atsuo, qui semblait lui vouer une confiance infinie, Shintao en était généralement plus touché. Il lui arrivait régulièrement de regarder le chemin qui sortait de la demeure familiale, en se demandant quand son père reviendrait. Le lien qui les unissait était suffisamment grand pour supporter une telle absence. Il ne voulait pas l’avouer, mais au fond, les voyages de son père lui étaient lourds. Mais ça n’a pas empêché Shintao de vivre heureux, puisque finalement, Shiroi revenait toujours. »

« Jusqu’à ce que le jeune kitsune, doté d’un grand talent magique, doive suivre des cours pour apprendre à contrôler sa magie, comme tout bon être magique Ikhyldien. Mais à l’école… Il y avait ces élèves qui avaient déjà entendu parler de Shiroi Tamashimoru, probablement le seul kitsune au monde à ne pas avoir de magie. Et vous savez comment sont les enfants. Quelques-uns de ces mauvais souvenirs défilent sous les yeux déjà remplis de larmes du Shintao d’aujourd’hui. L’absence de pouvoirs de son père devint une insulte pour ce groupe de jeunes gens jaloux des mages aux plus grands potentiels qu’eux. Et si Shintao n’était pas la seule cible de leur jalousie, il était probablement le plus sensible et le seul dont le père était un kitsune sans magie. »

« Et s’il semblait qu’aujourd’hui, il s’était bien sorti de cette période… La réalité est légèrement différente. Lorsqu’il sortait de l’école, devant les grands, devant sa maman, Shintao souriait, ne disait rien. Intérieurement, il pensait que l’absence de pouvoirs de son père était la seule cause du harcèlement de ses jeunes camarades. Et il pensait que, pour les faire taire, il devait devenir le plus grand mage qui soit, et ainsi leur prouver que si son père n’avait pas de magie, lui pouvait en avoir pour deux. Et puis son papa était le meilleur sabreur à ses yeux… Mais ça ne comptait pas pour eux. Quoiqu’il en soit, ce besoin de leur montrer que sa magie suffisait le rendit, sans qu’il s’en rende compte, totalement dépendant à elle. Et dès lorsqu’il ne pouvait plus l’utiliser, il se sentait mal. »

« Mais les autres ne se calmèrent pas. Et plus il grandissait, plus Shintao ressentait le besoin de contredire les règles. Sans doute un peu à cause de ses camarades, sans doute à cause de ses gênes de kitsune, sans doute par simple esprit de contradiction… Quoiqu’il en soit, Shintao entra dans une période où les valeurs que sa mère lui avait inculquées semblèrent… Avoir perdu de leur valeur. Shintao commença à se rebeller contre ceux qui l’embêtaient, n’hésitant parfois pas à se battre. Il se mit à fréquenter beaucoup de filles, sans être toujours très respectueux vis-à-vis d’elles. Il n’écoutait plus en classe, gâchait son potentiel. Et ces nouvelles images défilaient sur le miroir. Shintao les regardait, ses larmes s’étant arrêtées. Il connaît la suite. »

« Évidemment, sa mère fut rapidement mise au courant et elle tenta de raisonner son fils, aidée par ses professeurs. Mais par orgueil, il refusait d’expliquer à qui que ce soit la raison de son changement… Jusqu’à l’arrivée d’un certain elfe. Un elfe qui travaillait comme Arcane des renseignements et… à qui l’histoire n’échappa pas. À force de tenter de se rapprocher de Shintao, ils finirent par discuter. Les jours passaient, puis les semaines et… Le comportement de Shintao retrouvait sa voie. Ses camarades commençaient à le laisser tranquille. Et Xin Nahalëm semblait avoir accompli ce pour quoi il était venu. Pour autant, il ne s’éloigna pas de trop de Shintao, qui aujourd’hui encore, sait qu’il peut lui parler. Un sourire bref apparaît sur le visage du kitsune d’aujourd’hui. De toute manière, même s’il voulait cacher des choses à l’elfe, celui-ci finirait par le savoir. »

« L’école se termina pour Shintao, puis le temps passa. Il s’amusait, profitait de la vie, du temps qu’il avait. Il usait de ses pouvoirs, soit pour aider les gens, soit pour les embêter. Il était un bon mage, qui avait une certaine popularité. Il avait également de grands dons dans l’art. Ainsi, il passait beaucoup de temps à chanter, jouer de la musique et peindre. Et… Il appréciait particulièrement faire tout cela avec sa mère. »

« Cependant, Shintao avait pris plaisir à fréquenter la gent féminine, et s’il devint plus respectueux envers elle, il ne le fut pas toujours. Jusqu’à ce qu’une dame lui apprenne que personne n’était gagné d’avance. C’était une naine, du nom de Joalina, avec qui il passa plus de temps qu’avec beaucoup d’autres femmes. Au début, il la considérait comme toutes les autres, mais finalement… Il s’était attaché à elle. Puis il apprit qu’elle était enceinte et il ne savait pas quoi faire. Mais finalement… Quelques jours après l’avoir appris, Joalina préféra rentrer chez elle, à Teïder. Shintao refusa, lui annonça qu’elle était enceinte, ce qu’elle ne savait pas. Il ajouta qu’il voulait garder le bébé. Mais elle avait pris sa décision. Quelques jours plus tard, à contrecœur, le kitsune accepta de la laisser partir. Il ne comprenait pas pourquoi il était aussi triste. Il demanda une nouvelle fois à garder l’enfant, mais la mère le lui refusa. Alors il lui fit un cadeau, afin qu’elle puisse attirer un riche nain et que leur enfant puisse vivre à l’abri du besoin. Cette histoire lui permit de se rendre compte que les femmes n’étaient pas que des choses avec lesquelles ils pouvaient jouer. Et qu’il pouvait s’attacher même à ces choses. »

« Lors de l’un des retours de voyage de son père, il lui avoua ce qu’il s’était passé avec Joalina et fit promettre à son père d’aller la voir et d’apprendre si son renardeau vivait en de bonnes conditions. Cependant, il ne voulait pas lui-même aller la voir. Après tout… Joalina n’accepterait pas de lui présenter son enfant. Et puis quelque part… Il ne savait même pas comme cet enfant et lui-même allaient réagir. Peut-être avait-elle raison quand elle disait que l’enfant lui ressemblerait à elle et pas à lui. Du moins, pour le bien-être de leur renardeau, il se rendait compte que ce serait effectivement le mieux. »

« De nouveaux souvenirs défilent sur le miroir. Des choses douces, des souvenirs agréables. Quelques-uns moins beau, mais jamais trop tristes… Les années défilent de nouveau devant les yeux de Shintao, qui semble s’être calmé. »

« Mais… Le dernier retour de Shiroi vient à se dessiner dans le reflet. Shintao s’en souvient parfaitement. Il avait énormément pris de temps lors de ce voyage. Tant et si bien qu’il avait dû se faire force plusieurs fois pour ne pas se demander s’il lui était arrivé quelque chose de grave. Mais il dut bien se rendre compte, au retour de son père, que quelque chose clochait. Son père semblait étrange, bien qu’il ne sache pas en quoi. Mais Shintao avait appris à ne pas s’inquiéter trop vite et… Il le regrettera toute sa vie. Peut-être que s’il l’avait fait, il aurait pu empêcher ce qui allait arriver. »

« En rentrant de l’une de ses escapades, accompagné de deux de ses amis qu’il voulait présenter à son père, Shintao se trouva face à une scène horrible. Le corps de sa mère, en lambeaux, se trouvait au sein d’une scène digne d’un cauchemar. Et devant les restes d’Atsuo, Shiroi pleurait toutes les larmes de son corps. Il était couvert de sang, mais le choc de voir sa mère dans cet état empêcha Shintao de trop s’en rendre compte. Il se précipita sur elle, bousculant son père au passage. Et ses deux amis, qui comprirent la scène furent les premiers à lancer l’alerte. »

« Les jours qui suivirent, en revanche, furent flous dans l’esprit de Shintao. Il se souvient cependant du jugement de Shiroi, de la sentence et des funérailles de sa mère. Puis les semaines suivantes devinrent toutes les mêmes. Shintao était profondément touché par cette histoire. Il ne savait pas s’il en voulait au monde entier ou s’il était juste très triste, mais il oscillait entre les agressions pour pas grand-chose et les larmes. Sa tristesse était souvent effacée par sa colère. Il était désagréable, mais les gens ne semblaient pas lui en tenir rigueur, après ce qu’il s’était passé. Ses amis, ses soutiens, Xin, tous tentaient de lui faire remonter la pente. »

« Mais c’était sans l’arrivée d’autre chose. Shiroi avait été jugé sans contrôle de ses actions, agissant sous l’emprise d’un démon, ce qui lui avait valu l’exil au lieu de la peine capitale. Mais… alors que Shintao répondait parfois de manière très violente face aux gens en cette période, ils avaient dû se rendre compte de quelque chose… Sous la colère, il arrivait parfois que la magie du vent de Shintao prenne une forme anormale et qu’il se mette à attaquer tout le monde. Fort heureusement, il n’ôta la vie à personne, mais il se mit à croire – à tort – que son père lui avait transmis son démon… »

« Ce qui nous fait arriver à Shintao, devant son miroir, regardant le spectre qui semble être son reflet. Ce même reflet qui disparaît une nouvelle fois pour lui rappeler une histoire récente. Et finalement… C’est ce qui lui fit reprendre pied. Un ami de sa mère, qui en avait toujours voulu à Shiroi, souhaitait sa mort. Et il avait rassemblé plusieurs de ses amis et connaissances pour venger Atsuo. Mais après quelque temps, ce groupe avait été démantelé, et leur chef jugé. Mais… avaient-ils réellement tort ? Shiroi avait tué Atsuo. Et Shintao lui en voulait. La colère prenait le dessus. Et finalement, il en vint à le vouloir mort. Il fallait qu’il parte à sa recherche, pour venger sa mère. »

Liens :  

Shiroi Tamashimoru : Son père est l’objet d’un mélange de rancœur et d’admiration de la part de Shintao. Un profond lien les unit même s’ils n’ont pas passé beaucoup de temps ensemble. Il souhaite le retrouver pour le confronter, voir l’éliminer. Qu’il paye enfin la mort de sa mère.
Atsuo Tamashimoru : Défunte mère en qui il avait énormément de respect et d’amour. Sa mort causa chez lui une extrême réaction de violence et d’incompréhension. Il tente de trouver un moyen de la ressusciter.
Xin Nahalëm : Shintao connaît Xin depuis son plus jeune âge. C’est presque une autre figure paternelle pour lui, puisque Xin a toujours été là lors des différents problèmes que pouvait rencontrer le kitsune (à l’école et au décès de sa mère, notamment). Un elfe bienveillant qui veillait sur lui, en somme.
Joalina Sovyan : Il ne connaît pas le nouveau nom de famille de cette naine, mais elle est la femme qu’il a fréquentée en Ikhyld et qui est la mère de son enfant.
Mora Sovyan : Sa fille, il ne connaît ni son nom ni son prénom, il ne sait même pas que c’est une fille. Au final son seul point de repère est Joalina qui s’est certainement mariée à un des grands hommes de la famille naine des Marteaux de Givre.
Otmar Ehrlich Deffarès : L’empereur Akkatonien avait d’abord attiré la curiosité du jeune Shintao, qui profitait de chacune de leurs rencontres pour parler du monde extérieur à Ikhyld. Il apprécie la compagnie de l’homme et ses histoires. Ils ne se sont pas revus après la mort d'Atsuo.
Azaïm : Un esprit amusant avec qui faire les 400 coups. Shintao l’aime beaucoup, même s’il faut toujours tout lui expliquer.

Petite présentation de votre personne :
C'est encore moi \o/ Crimslower, pour vous servir UwU

Rythme rp et particularités :
Héhéhé... J'suis comme la pluie, ça va, ça vient... Selon les périodes !

Comment avez vous découvert le forum :
Mh... Ça fait trois ans que je suis dessus

Des ambitions pour votre personnage ? Quelle évolution aimeriez vous lui donner à court ? Moyen ? Long terme ?
Avez vous prévu quelque chose ou êtes vous adepte du "laisser le jeu faire" et voir ce que ça donnera ?
MOUHAHAHAHAHAHA ! Évidemment que j'ai des choses prévues pour lui ! Que ce soit avec Shiroi ou sans Shiroi OwO Mais je n'en dirai rien parce que non seulement ça peut changer, mais en plus... Parce que j'ai pas envie !