Histoire :I . Un début de vie douloureux, difficile. Une grande souffrance et une faim insatiable. La douleur…. la peur…
A même la capitale de Eïlynstere, une jeune femme avait recueillis après plusieurs mois difficiles une petite fille blonde et renfermée. Quelques mois plus tôt lors d’un voyage dans les duchés pour une raison encore flou pour la petite Anne, celle qui représentait un statut maternel l’avait trouvé telle une bête sauvage qui effrayait les habitants d’une petite bourgade. La petite fille avait été victime de l’agression d’un vampire, ni plus ni moins. D’après les rumeurs, elle-même aurait tué et dévoré ses propres parents, pour se nourrir de cette terrible faim de sang. Elle avait aussi pris la vie de quelques personnes fragiles comme les enfants qui osaient s’aventurer dans la cabane en pleine nuit et qui tombait sur un petit vampire affamé.
Dans les faits, cette enfants risquais la mort, mais cette jeune femme qui avait été à sa rencontre c’était débrouillée pour offrir, même de manière peu légale, à manger à cette petite. Il fallut plusieurs jours pour l’apprivoiser et surtout calmer la douleur et sa faim. L’enfant sauvage finit par se rapprocher de sa bienfaitrice qui allégeait un peu sa peine et sa douleur. Certes, cette enfant n’était pas la plus simple à faire vivre, et il allait être compliquer de la faire changer mais cette femme se pris d’affection pour le visage doux de l’enfant martyr.
II . Apprendre la vie, faire avec la malédiction, servir un pays qui étaient devenus les siens…
La gestion de la faim, quelque chose qu’il fallait régler rapidement et qui fut plus difficile à équilibrer. La mère et des amis proches à elle, eurent le cœurs sur la main et surtout un sang frais pour tenir calme une petite vampire de 7 ans. Ensemble, elles avaient mis en place un rythme comme l’on offre des repas réguliers à un enfant. Des fioles de sang frais, que la petite fille devait boire au début plusieurs fois par jours puis petit à petit avec les mois passants, une seule fiole était nécessaire par semaine. Le dimanche, jours de sustentation, la petite prenait sa fiole de sang frais que sa mère lui offrait juste après l’avoir retiré de ses propres veines.
Toujours elle voulait lui offrir cette éducation ou la petite ne venait pas se servir d’elle même dans les veines de ses possibles victimes. La petite n'avait pas retouché de ses petits crocs la peau de qui que ce soit, toujours les fioles étaient là pour elle. Le problème étant que cette solution n’était pas éternelle, il fallait trouver une solution pour garder un sang non coagulé dans ses fameuses fioles. La magie répondait alors à cette problématique sans grande difficulté même s'il avait nécessité une nouvelle expédition hors du pays pour trouver des mages suffisamment ouverts d’esprit pour l’aider dans sa démarche. C’est alors vers cette période, quelques années après son arrivée au cœur du royaume, que les deux filles partaient pour la première fois en voyage à travers le monde Orzanien.
III . Un monde infini, des connaissances incommensurables, le voyage d’une vie….
Malgré des débuts compliqués, la petite n’étant pas sortie depuis longtemps, les prémices de cette grande aventure s'annonce dors et déjà tendue. Le simple fait de quitter la demeure était en soit un exploit mais partir de nouveau pour sans doute les duchés dont elle avait été sortis, c'était une expérience qui remettait pas mal l’équilibre qui s'était installé en doute. Sa mère était intelligente, elle n’avait pas décidé de partir directement là- bas. Après tout l’objectif étant d'offrir la meilleurs expérience possible à la jeune fille et lui donner envie de vivre et lui ouvrir l'esprit. Pour le moment il s’agissait dans un premier temps de sortir de la ville, mais aussi après, de quitter le royaume.
Certes les deux n'allaient pas tout voir, c'était principalement car les contacts de la maman avait des contacts dans quelques pays. Ikhyld pour commencer, afin de renouer avec les racines de la petite tant qu’elle était encore seulement une enfant, puis les duchés comme prévue de base pour récupérer les fioles. La beauté des différents lieux et leurs culture différente interrogent beaucoup la petite qui comme tous les enfants ne cessait de harceler sa maternel pour répondre à toute ses questions aussi niaise que innocente d’une enfants découvrant les choses. En tout cas, c'était particulièrement ce qui marquait la petite.
IV . Une vie militariste. Une bibliothèque pour repaire et la magie des livres…
Il faudrait parler un peu plus en détail de ce qui semblait être le pilier principal de la vie de Anne, ou en tout cas à ses débuts. Une humaine, de 35 ans et Eïlynsterienne bien entendu. Marie Cyclophedi une historienne au service de sont pays avec régulièrement des vacances qu’elle passait à voyager pour voir en partie ses amis dans les divers pays qu’elle fréquentait. Elle aimait voyager mais restait fortement attachée à son pays d’enfance et fidèle à celui-ci. Elle était très sociable et même si toujours célibataire, elle put grâce à cette petite vampire, former une famille à sa manière. Marie n’avait jamais partagé plus d'informations quant à leur rencontre ni même ce qu’elle pouvait bien faire là. Sans cesse elle répétait que si elle était là c'était la destiné qui l’avait poussé à la rencontrer. Des mots dont s'était contenté la petite fille qui était d’une certaine manière toujours bloquée à cet âge là, peu importe le nombre d’année qui passait.
Quoi qu’il en soit donc, Marie avait clairement conscience qu’elle n’allait pas laisser sa fille enfermée à tout jamais et que malgré qu’elle soit petite elle n’en restait pas moins une habitante qui, même si la forme restait enfantine, les années, elles, passaient. Elle dut être formée pour être utile à la force militaire, et fut dirigée rapidement vers quelques mages qui lui apprit à manier la magie des ténèbres. Elle n’avait pas vraiment choisi sa spécialisation mais sa forme vampirique avait inspiré ses mentors qui lui inculquent cette magie particulièrement adaptée aux vampires. Pour ce qui était de son travail, elle suivait les pas de sa mère pour avoir le nez dans les livres. Par ailleurs, lors de ses recherches elle prit rapidement de l’avance dans son éducation à la magie comprenant rapidement l’utilisation d’un catalyseur ce qui surprit ses instructeurs qui était plutôt démunie face à une petite prodige.
V . Les vices de l’immortalité, les travers d’une vampire, la mort des proches…
Les années passaient, mais la petite An’ restait donc petite au yeux de tous qui vieillissait en fonction de leurs race. Sa mère principalement qui venait à la fin de sa vie et qui vint être une des premières pertes de la petite. An’ n’était pas proche de beaucoup de monde et cette dernière laissait un vide énorme dans le cœur d’une si petite fille. La situation finit par rapidement dégénérer comme si toute la situation lui échappait. La petite Elfe vampire prit les devants et partit donc loin de sa demeure afin de ne plus penser à tout ce qu’elle avait vécu, ou traverser. Anne quittant la bibliothèque et se rendit donc dans les duchés pour y vivre en voyageant ici et là se laissant porter par la vie, peu importe ce qu’on lui proposait. C'était aussi à cette période qui s’étendit sur près de deux cent ans, que la petite prodige avait recherché ici et là divers ouvrages qui lui permettaient de nourrir son insatiable besoin de connaissance.
Dans les faits, Anne était restée bloquée sur sa vie telle qu’elle a commencé en tant que vampire. Un comportement proche d’un enfant de 7 ans dans les faits généraux, sa curiosité maladive qui s'était amplifiée avec l'emploi qu’elle avait à Eïlynster, et l’éducation intellectuel que lui avait prodigué sa mère adoptive. Les traits les plus clairs qu’avait Anne qui apprenait aussi à se connaître et surtout à comprendre son fonctionnement surtout en rapport avec les diverses pulsion du as ses capacités vampirique. L’une d’elle par exemple fut l'hyper attachement à un jeune humain, un petit garçon de son âge physique, ils s'entendaient bien tous les deux mais rapidement en quelques mois, la peur de le perdre lui revint. Owen de son prénom, grandit physiquement mais pris aussi un an ou deux de plus ce qui fit rapidement une différence entre les deux petits. La peur de revivre ce qu’elle avait déjà vécu avec sa mère et l’attachement démesuré qu’elle portait au garçon lui fit perdre la tête. Elle cherchait par tous les moyens de trouver un mage, capable de faire en sorte qu’Owen reste avec elle pour toujours. Rien de ce qui pouvait se passer n’allait être saint, et c’est même dans une entière illégalité qu’ils mirent en place un plan atroce visant à enfermer l'âme du garçon dans une peluche de Anne….
VI . Des années de voyage et d’apprentissage… Aucune mort sur la conscience.
Le grabuge produit par la disparition de deux enfants ne dura que peu de temps au yeux de Anne. Une centaine d'années plus tard, elle put revenir dans les duchés, pour poursuivre son périple sans fin à la recherche d’information toujours plus secrète. Voilà désormais que Anne fêtera ses 200 ans toujours en compagnie de son fidèle doudou qui avait fini par se résigner sur sa situation même si encore plutôt blasé de l’état physique qu’il possédait désormais. Akkaton se fondait parmi les terres à l’Ouest d’Orzian et ce fut une nouvelle vague de savoir qui s’offrait à elle. Les seuls endroits qu’elle n’avait pour l’heur pas visité était le nord glacée ainsi, bien entendu que Teider. Couramment elle venait rendre visite à la tombe de sa mère en Eïlynster puis elle repartait de nouveau là où le vent la portait.
Toute ses années passèrent mais de nouveau défis devaient s’offrir à la petite qui malgré tout ses voyages se faisait relativement discrète auprès des hautes sociétés, des grandes têtes de chacun des pays qu’elle visitait. Il lui en fallait toujours plus et ce dont elle ne savait pas encore l'existence devenait bien plus politique qu'historique. Tout était lié et de ce fait il lui fallait combler ses pièces manquantes à ce grand puzzle gigantesque sur lequel elle voyageait. Elle pu reprendre le contact plus important avec les personnes qu’elle croisait, s’offrant de nouveau la liberté de s’attacher à certaines personnes qu’elle pouvait croiser. Un nouveau chapitre s’ouvre, pour une aventure palpitante.
Liens : Marie Cyclophedi : Mère adoptive de Anne, morte de vieillesse après de longues années de vie intéressante et pleine de rebondissement et d’amour de sa petite fille éternelle.
Owen aka Doudou : L’ami de Anne qui fut victime de l’attachement d’une petite vampire et qui finit de ce fait enfermer dans une peluche qu' Anne promène partout avec elle. Il peut bien entendu parler mais c’est à peu près tout. Il finit par accepter sa condition, après tout il serait mort depuis près de 500 ans maintenant.
Araki Yukinaga : Rencontrer plusieurs fois au cours de ses dernières années de voyage, il entretiens une relation un peut de grand frère amusant qui aime bien rire et faire des blagues mais aussi câliné, après tout c'est un gentil Kitsune fluffy.
Saeki Katsuragi :Rencontré dans une bibliothéque d'Ikhyld, Anne sut attirer l'attention de l'impératrice alors que la jeune vampire lisait un livre ancien traitant de l'histoire politique Ikhyldienne, ouvrage qui de l'extérieure n'était que peut adapter au jeune elfe. Elles partagèrent plusieurs discussion et Saeki devint un peut une figure maternel pour la petite. Sont aide dans l'apprentissage plus approfondit de la maitrise du feu les rapprochais donc d'avantage, même si pour le moment, Anne n'avait pas encore réellement aborder des sujets politique avec la grande dame.
Karma - Naako : Croisé à quelques occasion dans les duchés, Anne apprécie cette boule de poile ambulante et à sut passer des moments agréable en sa compagnie.
Kheizhidji Qinyarus : La nagate sut attirer l'attention de Anne non pas pour ses prestations ou ses commerces mais pour une chose bien plus intéressante pour la petite historienne qui avide de savoir serait prête à troquer quelques objets de valeurs en sa possession contre des informations que dame Qin possèderait et intéresserait la petite vampire. Un genre d'accord tacite entre les deux en soit.
Azaïm : Un esprit des ténèbres malicieux qui amuse beaucoup Anne et qui par la même occasion su donner quelques conseilles sur l'utilisation de la magie des ténèbres, même si dans un registre plus de la blague que de l'utilisation plus militaire de celle-ci. En tout cas leurs rencontres aléatoires ravissent toujours la vampire.