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Orzian, engrenages et arcanes
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Orzian, engrenages et arcanes


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Sheridan Phaabu Laoz
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 :: Le peuple d'Orzian :: Population Orzanienne :: Fiches d'évolutions des personnages
MessageSujet: Sheridan Phaabu Laoz Sheridan Phaabu Laoz EmptyVen 13 Jan - 18:52
Sheridan
Phaabu Laoz
Identité
  • Nationalité : Ikhyldien
  • Race: Kitsune
  • Nom : Phaabu Laoz
  • Prénom : Sheridan
  • Surnom : Sheri (pour les intimes)
  • Sexe : Masculin
  • Dâte de naissance : 7 Decrembeïs 1966
  • Age : 35 ans… tout fraîchement adulte!
  • Lieu de naissance : Ikhyld
  • Lieu de vie lors de votre entrée en jeu : Ikhyld
  • Rang social : Bourgeois du passé, humble artiste dans le présent, qui ambitionne à devenir une célébrité dans le futur
  • Métier : Barde acrobate itinérant
  • Célébrité : Peu connu, il n’en est qu’à ses débuts!

Armes et équipements

Armure et armes

Protection: Armure séduisante
Description: Un peu matelassée à certains endroits, conçue de tissu et de cuir aux tons pâles, avec quelques éléments métalliques et pierres. Un remarquable travail esthétique a été fait sur cette pièce de protection ornée de cristaux étincelants d’un bleu d’azur. Mais… pourquoi les pectoraux sont-ils semi à découvert si c’est une armure?! … En somme, ce truc est définitivement plus joli que protecteur.
Enchantement sur l’armure: Beauté surnaturelle | Cet enchantement permet à celui qui porte le vêtement ainsi enchanté d'irradier d'une telle beauté que ceux dotés d'une volonté inférieure à la sienne ressentiront une attirance forte à son égard. Néanmoins celle-ci ne rime pas forcément avec amour et n'est pas aveugle si on exploite mal cet avantage.
Obtenu: Sheri avait simplement demandé au servant de lui choisir la plus belle armure pour s’agencer avec sa splendeur. Un truc pas trop encombrant, parce que ça ne sert pas à grand-chose une armure dans le manoir, autrement que de se pavaner majestueusement.

Arme: Une dague
Description: Bien simple, lame en métal et poignée en bois. Parce que c’est pratique pour couper les nœuds qui ne collaborent pas ou, simplement, diviser les pointes de tarte.

Instrument: Un luth nommé Miranda la Mélodieuse
Description: Magnifique œuvre conçue par un artisan de talent. Visuellement très sobre, Miranda est structurée de bois de balsa aux nuances pâles et, comme les autres luths, possède une forme de poire. Sa grille décorative composée de rosaces entrelacées est sculptée dans le bois de la table lui-même et ses cordes de métal brillent d’un éclat doré. Elle inspire la douceur et le calme, sa musique encourage la zenitude. Bien que Miranda ne soit pas l’instrument le plus utilisé par Sheridan lors de ses performances publiques (on veut une foule enjouée, pas détendue!), elle est sa compagne intime favorite et il adore s’endormir à ses côtés après avoir caressé ses cordes mélodieuses.
Enchantement: Apaisement | Ce qui ont une volonté inférieure à champion seront apaisés par la musique jouée par cet instrument. Que ce soit dans leur colère ou leur peine.

Autres équipements

Vêtements: Deux ensembles de vêtements élégants
Description: De couleurs pâles, d’un tissu de qualité supérieure.
Enchantement: Parfum séduisant | Le vêtement ainsi enchanté dégage en permanence un parfum très agréable. (+5 aux tests de persuasion)
Obtenu: Il a confié à l’un de ses servants consciencieux qu’il aimait le jasmin.

Accessoire 1: Masque de parade (Ikhyld)
Description: Certainement un des plus beaux masques que l'on peut trouver à travers le monde tant il a été modifié grâce à toute une série de colorations, d'ornements et autres accessoires décoratifs et aussi quelques enchantements magnifiant le tout afin de laisser une impression de Charisme amplifié de la part du porteur. | +5 au test de charisme à la première interaction sociale lors d'une rencontre.
Obtenu: Cadeau offert par ses parents lors des fêtes! Ils savent que Sheri aime les belles choses…!

Accessoire 2: Bague enchantée
Description: Anneau d'un centimètre de largeur d’un métal blanc orné d’une petite pierre plate, d'une forme rectangulaire, d’un bleu sarcelle étincelant.
Enchantement: Compréhension des langues | Cet enchantement permet au porteur du bijou de se faire traduire instantanément par la magie toute langue étrangère qu'il entendrait ou lirait, il est donc tout à fait incapable d'employer ces dernières en retour pour communiquer s'il ne les connait pas.
Obtenu: Sa sœur lui a offert cet accessoire pour qu’il puisse communiquer avec les étrangers lors de ses périples artistiques, mais elle n’a pas eu la chance de lui expliquer le fonctionnement, puisqu’il est parti en gambadant joyeusement, heureux du joli présent! Il n’a aucune idée de l’enchantement! Nous avons tous bien hâte de voir la tête de l’étranger qu’il comprendra, mais qui ne le comprendra pas en retour, lorsqu’il va s’exprimer dans sa langue! HAHAHA!

Accessoire 3: Amulette en tissus (Ikhyld)
Description: Par ses propriétés magiques, elle procure au porteur une légère chance supplémentaire d'éviter de croiser des monstres.

Divers: Philtre d'amour
Description: Un filtre qui une fois bu, rend celui qui l'a bu fou amoureux du possesseur de la fiole pendant une journée. Le boira-t-il lui-même? Le donnera-t-il à un monstre? Nous le saurons dans le prochain épisode!

Caractéristiques

  • Magie


Potentiel : Grand potentiel
Feu : Inapte
Eau : Confirmé
Vent : Inapte
Terre : Inapte
Lumière : Maitre
Ténèbres : Inapte
Invocation : Inapte
Nécromancienne : Inconnu
Transformiste : Maitre
Âme : Inapte
Foi : Inapte

  • Mental


Volonté : Maitre
Contrôle de soi : Champion
Intelligence : Champion
Perception : Champion
Charisme : Virtuose
Technologie : Inapte

  • Physique


Force physique : Débutant
Agilité : Prodige
Vivacité : Prodige
Résistance physique : Adepte
Résistance magique : Confirmé
Vitalité : Adepte
Beauté : Légende
Discrétion : Débutant

  • Martial


Armes de tailles : Débutant
Armes lourdes : Inapte
Armes d’hast : Inapte
Faux : Inapte
Art de la défense : Inapte
Armes de lancer/fouet : Inapte
Arc/arbalète : Inapte
Mains nue/Arts martiaux : Champion
Armes à feu : Inapte
Equitation : Inconnu
Domptage : Adepte
Conduite : Inapte


Description de votre personnage

Description physique

Description pratique

Cheveux :
d’un blanc chaleureux.

Yeux :
aux teintes de miel d’acacia.

Grandeur :
un peu plus de 2 mètres (cela justifie peut-être pourquoi il regarde parfois les gens de haut?).

Musculature :
nulle (on peut dire « corps svelte », cela sonne moins pathétique).

Forme humaine :
On ne distingue pas ses traits de kitsune lorsqu’il est sous forme humanoïde, quoique parfois, lorsqu’il est très excité, sa queue touffue apparaît et s’agite allègrement dans tous les sens! Bien qu’il soit en mesure de se transformer physiquement, il garde principalement son apparence originale, puisqu’il sait très bien qu’il est légendairement magnifique ainsi.

Forme Kitsune :
Sous sa forme de renard, il possède un pelage brillant et soyeux, de la même nuance que ses cheveux, qui se dégrade vers ses extrémités d’une pigmentation dorée. Il arbore un air fier et espiègle, d’une carrure beaucoup plus imposante que sous sa forme humaine, mais tout de même chétive comparativement aux autres kitsunes.


Description poétique

Impossible de manquer la beauté resplendissante qu’émane Sheridan lors de son passage. Elle ne se trouve pas seulement dans sa tignasse luisante comme l’éclat du soleil printanier, dans ses traits définis d’une délicate masculinité, ou dans son regard doré pétillant d’émerveillement et de passion… Mais également dans sa démarche d’une élégante fluidité, de sa posture d’un naturel sophistiqué, ainsi que dans le charme qui englobe sa présence comme un parfum exhalant de sa peau, une aura de lumière et de pureté, aveuglante de splendeur!

Tout être pourvu de sens esthétique ne peut qu’admettre la magnificence poétique et la gracieuse sublimité du kitsune, s’apparentant, osent-ils? à la somptuosité des êtres divins.

Très avisé par sa capacité de séduction (et profondément épris de sa propre beauté), Sheridan ne dispense pas de son charme de manière parcimonieuse! « Vous voulez m’admirer? », pense-t-il d’une satisfaction silencieuse, un sourire de contentement se dessinant sur ses lèvres suaves, « Servez-vous, humbles gens! Je suis là pour vous, pour que vous puissiez me dévorer de vos regards, pour rassasier votre soif de perfection et de splendeur! »

Pour Sheri, c’est sa bonne action quotidienne que de permettre à tous de le contempler de long en large, de haut en bas, de devant et derrière, d’une oblique à l’autre… bref, vous l’avez compris, il s’agit bel et bien d’un narcissiste exhibitionniste (de sa beauté, pas de son euh…)! Ceci nous mène vers sa description mentale, parce que physiquement, il est tout bonnement impossible de mesurer l’amplitude de son dérangement psychologique!


Description mentale

Parlons des vraies choses : Sheri est sacrément bizarre! Certes, certes, l’on retrouve chez lui les caractéristiques banales d’un post-adolescent, les prétentions immatures d’un jeune adulte, la nonchalance commune aux enfants qui n’ont jamais eu à porter le poids des responsabilités… toutefois, il n’est pas un téméraire et sait sentir le danger mortel, même s’il est plutôt naïf, en général. Une chose se dénote surtout de son psychique : son amour de soi atteint des sommets assez particuliers!

Est-ce naturel, vu sa fatale beauté, d’être éperdument admiratif de sa propre personne? Je ne suis pas psychologue et je ne saurai donc pas vous dire. Et pour sa part, Sheri n’a pas la moindre idée de sa singularité. Pour lui, il est tout à fait sensé d’idolâtrer une œuvre telle que lui et ce serait un sacrilège, une insulte à l’essence même de la création que d’en faire autrement.

Mis à part sa maladive admiration pour sa propre façade, il est plutôt représentatif des kitsunes généralement joueurs, sociables et farceurs tout en étant indépendants. On ne peut pas le qualifier d’idiot du village, mais il n’est manifestement pas le couteau le plus aiguisé du tiroir! C’est certain que son point de comparaison étant les Loaz, une famille de génies, il se fixe la barre très haute. Disons qu’il est tout de même minimalement futé, mais en contraste à sa famille, il croit qu’il ne détient ni leur intellect ni leur facilité avec la gestion (mais il se trompe et découvrira éventuellement qu’il est doué et passionné, lui aussi!)

Pour Sheridan, depuis qu’il a quitté le foyer familial pour explorer le monde extérieur, chaque jour est le plus beau jour de sa vie et il effectue n’importe quelle tâche avec exaltation, même les corvées les plus banales! Comprenez-vous qu’il a découvert seulement récemment comment laver ses propres vêtements et comment tendre les draps de manière complexe… ce qu’ils appellent « faire le lit »! INCROYABLE! Quelle vie pleine de surprises! Quelle existence parsemée de défis ardus!

Très excité par toutes ces découvertes farfelues - ah la fraîcheur de l’autonomie et l’audace de la liberté - Sheridan ne tient plus en place, incessamment en train de grimper quelque part, d’essayer quelque chose ou de chantonner à quelconque moment! Il affectionne éperdument la musique et l’on retrouve toujours, au bout de ses lèvres, une mélodie captivante. En guise de déplacements anodins, Sheri valse d’une élégante insouciance.

Bien que narcissiste confirmé, Sheri est un être bienveillant et courtois, sans volonté malsaine envers qui que ce soit. Est-il socialement bien éduqué? Non. Sait-il comment agir normalement en société? Non. L’Étiquette? Il a échoué l’examen théorique! Néanmoins, il interagit amicalement et gracieusement avec les autres, puisque - comme vous le savez - le charme est inhérent à sa personne!


Convictions

Personnelles

Dès son jeune âge, Sheridan se sentait différent. Il n’avait aucun intérêt pour l’empire commercial des Laoz et ne manifestait aucunement les traits d’intelligence supérieure de ses proches. Cependant, il était franchement plus beau et ça, c’était indubitablement le plus important!

À l’âge de 34 ans, notre héros, les yeux ouverts par les enseignements de son tuteur philosophique, avait la profonde conviction qu’il était conçu pour un avenir chatoyant! La suffisance aveugle de sa vie ne lui suffisait plus suffisamment. Il voulait prodiguer au monde sa beauté épanouie, sa vision infinie et amener sa touche extraordinaire à l’existence même! Il avait une soif à assouvir, une volonté supérieure à son être entier! (et il s’ennuyait à mourir, séquestré au manoir des Laoz. Il fallait qu’il fasse quelque chose pour faire évoluer son récit)

Assurément, il ne voulait pas poursuivre la voie de ses parents et s’affairer avec la compagnie familiale : il voulait célébrer la liberté et la vie tous les jours à venir. Il avait découvert, au plus profond de lui, un penchant inexplicable pour l’étalage tapageur de sa beauté, une attirance immuable vers l’envoûtement des foules, une passion acharnée pour les mélodies captivantes et… une disposition innée pour la gloire!


Religieuses

Comme pour la plupart des Ikhyldiens, Sheridan considère la magie comme un art sacré et vénère les élus de son empire, choisis pour accomplir de grandes choses par leur potentiel magique. Autant que la magie guide la destinée des arcanes et de l’empereur, notre héros croit que son don immense en musique et en beauté guidera son propre chemin.


Envers les autres races

Sheridan n’est pas particulièrement hautain envers les autres races ou les autres classes. Pour lui, tout être sensible à son apparence mérite le respect! Il ressent toutefois de la compassion pour les individus moins choyés par la nature. Il désire embellir la vie de tous, peu importe leur origine, et croit foncièrement qu’il sera un baume pour la fade existence de ceux et celles dans le besoin!


Envers les autres pays

Le jeune kitsune n’a pas été très attentif lors de ses cours sur les différentes cultures des autres pays. N’allons pas jusqu’à dire que Sheri est égocentrique (…presque), cependant, il n’est pas très axé sur l’apprentissage théorique d’autrui. Pour sa famille, les autres pays sont des marchés où l’expansion commerciale est possible, alors il les voit de la même façon : il pourra peut-être les conquérir avec sa musique, s’il y travaille fort? À ce moment-là, il apprendra davantage sur leur culture en interagissant directement avec eux, en vivant l’expérience même au sein des différents territoires!

Ikhyld : qu’on est bien chez soi!
Notre héros y est né et y a grandi! Il n’a expérimenté la vie qu’en Ikhyld et il la trouve magnifique et merveilleuse! N’ayant jamais voyagé hors de sa cité, Sheri n’a pas encore exploré toute la grandeur de son empire, mais il est fier d’en être partie intégrante et aimerait, du meilleur de ses compétences, contribuer à la beauté de celle-ci avec son charme et sa musique!

Akkaton : 50 nuances de gris
Même s’il n’en sait pas beaucoup sur cet empire, il ne peut pas concevoir un environnement sans magie. Il se demande comment les gens font à Akkaton pour… vivre? Dans sa tête, il s’imagine un pays sans couleur, sans mélodie, sans parfum - cela ne peut qu’être ainsi, n’est-ce pas, pour un empire dénué de la source même des choses, la magie? Bon, il sait bien que ce n’est pas comme ça, mais il ne peut s’empêcher de les visualiser sous des tons de gris, quand il pense à eux!

Teïder : on peut y finir en entrée!
Ce que sait notre jeune kitsune sur ce pays, c’est simplement de ne PAS y fouler un SEUL orteil! Danger, rejet, fermeture, monarchie, dictateur, intolérance! Impossible de se développer pour un être tel que lui à cet endroit. Il imagine le pays comme un immense marais sombre où ça sent mauvais, peuplé de cannibales/kitsunbales affamés et méchants… bref, cet endroit lui fiche la trouille!

Les Duchés du Sud : tous pour soi et soi pour… soi!
Sa famille semblait viser les Duchés du Sud pour une expansion imminente de leurs affaires funèbres. Ils ont déjà quelques éléments à cet endroit et considèrent que c’est un bon territoire où s’enrichir et gagner de l’influence marchande.
Sheri s’imagine les Duchés comme un immense marché étincelants de tous feux et possédant une quantité phénoménale d’articles inimaginables tels que des parures, des bijoux, des découvertes gastronomiques, des outils, des œuvres d’arts, des bidules machins chouettes et plus encore! (… comme des esclaves.)
Il se projette, un jour, gambader gaiement là-bas en faisant ses emplettes et ensuite, y effectuer la promotion de son art, puisque l’ambition semble y être une qualité favorablement admise! (Ne nous alarmons pas, chers lecteurs, respirons par le nez. Notre héros naïf aura peut-être le temps d’apprendre la vie avant de se rendre là-bas… peut-être… ne sera-t-il pas vendu… suspense.)

Eïlynster : Combattants militaires interraciaux
Il sait que les gens là sont très axés sur la bataille, la guerre, ce genre de truc… cela ne l’intéresse pas. Pourquoi se faire du mal alors qu’on peut tout simplement prendre la poudre d’escampette?

Eïrn : Liberté indépendante mixte
Ils ont l’air mystérieux, un amalgame de groupes qui cohabitent de manière autonome sur des territoires difficiles… C’est étrange d’être ensemble, mais séparés. Selon Sheri, il est bien mieux de s’apprécier et de faire la fête tous unis, non?


Son avis sur la dualité magie/technologie

Comme mentionné précédemment, le jeune kitsune n’a pas une claire compréhension d’un monde sans magie. Malgré qu’on lui ait expliqué la technologie dans ses cours et qu’il a vu certaines constructions de ses propres yeux, le courant ne passe pas entre ses neurones et il ne saisit pas pourquoi et comment ne pas utiliser la magie - c’est beaucoup trop instinctif, pour lui! Une chose qu’il sait : on lui a défendu l’utilisation d’objets technologiques, car ces derniers sont trop instables avec sa magie. Bon, après, les gens font bien ce qu’ils veulent : il ne veut pas les juger dans leurs choix ou leur nature (sauf s’ils sont très laids, c’est plus fort que lui, il les juge un peu.) De toute façon, l’important est de les enivrer avec sa musique, pas avec de la magie ou de la technologie!


Passé de votre personnage

Histoire

Contexte de bourgeoisie singulière

On ne sait pas trop comment les enfants des Phaabu Laoz ont été conçus, vu l’horaire chargé des géniteurs, mais la fécondation fut et vint au monde l’adorable petit Sheridan! Notre héros fut accueilli par tous les membres de sa famille avec une joie sincère, mais un manquement effroyable quant à la capacité de démonstration de celle-ci. Très absorbés par leur travail, les parents laissaient le nouveau-né aux bons soins des servants. Sa sœur, déjà une adulte lors de la naissance de Sheri, était absorbée par sa carrière et n’avait pas plus de temps à consacrer à un poupon puant et pleurnichard.

Ainsi s’écoulèrent les années, les unes après les autres, où servants et tuteurs venaient et quittaient la maison sans crier gare. Bien qu’ils étaient tous charmés par l’innocent et magnifique petit Sheri qui restait courtois envers eux, ils étaient incapables de supporter la condescendance marquée des Laoz. Malgré qu’ils fussent des bourgeois de raisonnable renommée munis d’une richesse immense, les Laoz ne jouissaient pas d’une réputation reluisante au niveau du respect des classes inférieures lorsqu’ils n’étaient pas des clients. Mais que font-ils pour être si aisés, connus et insupportables, vous demandez-vous? Eh bien, ils se spécialisent en services funéraires de toutes gammes et développent des produits connexes de toutes sortes!

Que-quoi? Services funéraires? Mais oui! Absolument! La coordination des enterrements ou incinérations, les cérémonies festives ou enchagrinées, les réceptions gargantuesques ou modestes, ainsi que la gestion des cimetières, des colombariums, des relations avec les nécromanciens, et plus encore! La guilde funéraire, menée par le père de Sheridan, s’occupait de tout cela! Quelle obscure et épatante entreprise que l’accompagnement d’autrui dans le décès! Quel sort est plus inévitable que la fatalité de la mort? C’est un besoin indubitablement présent et il faut évidemment une équipe compétente et passionnée pour gérer le tout d’une main de maître! De plus, des morts, il y en a partout dans l’empire, alors l’expansion de la Guilde Funéraire n’est qu’une question de stratégie et de temps! Un sage a dit un jour : « les gens ont toujours été soucieux de l'avenir de leur carcasse. »

D’ailleurs, Sheridan a été intégré assez rapidement aux affaires familiales! Néanmoins, il n’y voit que le côté théâtral de la chose avec le fla-fla des réceptions, les dorures sur les cercueils, l’argenterie des banquets et les discours émouvants des maîtres de cérémonies qui animent avec brio la dualité entre l’espoir et le désespoir, les ténèbres et la lumière, les adieux et le renouveau.


Labeur forcée et éducation ratée…

Même s’il était inconfortable avec cette routine, le quotidien de Sheridan se résumait en l’apprentissages de sujets divers et en figuration dans plusieurs évènements funéraires haut de gamme où était requis les services d’un enfant pleureur. Et oh qu’il était charmant quand il feignait le chagrin au bord du cercueil ou de l’urne du défunt! Son harmonieux visage affligé de tristesse, son gracieux et délicat petit corps tremblotant de souffrance, ses larmes profuses d’une pureté cristalline et ses prestations poignantes de lamenti ressenties faisaient de lui une vedette du chant funèbre prisée de la haute société. Sa famille était très fière de lui et voulait qu’il perce sur la scène mortuaire en tant qu’icône de l’animation morbide! Le jeune kitsune suivait les consignes de ses parents sans hésiter et sans réfléchir. Il côtoyait si peu sa famille qu’il était viscéralement honoré de leur satisfaction à son égard et il s’acharnait quotidiennement à simuler l’amertume profonde et accablante du deuil pour leur plaire.

Hormis son emploi hors du commun entamé dès un âge plus ou moins décent, de quoi consistait l’éducation de Sheridan durant les trente-cinq premières années de sa vie? De tout. Il n’en avait rien à foutre, mais il devait tout apprendre quand même : La magie, les mœurs, l’étiquette, les langues, la littérature, les races, l’histoire, la géographie, la psychologie, la sociologie, les sciences comme la biologie, la physique, la chimie, les mathématiques, les sports comme l’équitation, la natation, les arts martiaux, les combats à mains nues et armés, les transformations diverses, les arts, le patinage, la cuisine, la menuiserie, la cartographie, l’ikebana, les affaires, … tout! Et Sheridan était pitoyablement lamentable dans la plupart des domaines, sauf… les arts - oui oui, il fallait bien apprendre les techniques de la scène pour livrer des performances convaincantes au boulot! Aussi, il est à noter qu’il développa son agilité afin de fuir les tuteurs exaspérés lorsqu’ils étaient trop ennuyants.


Vent de changements (sifflements)

La vie monotone dans laquelle Sheridan était cloîtrée, malgré lui, changea lorsqu’un nouveau tuteur fit son apparition. Leur première rencontre fut mémorable pour notre héros alors âgé de 34 années: il n’avait aucune attente envers ce 43e tuteur de philosophie, blasé par le roulement incessant des individus dans sa vie, et quel fut son émerveillement quand il rencontra enfin, pour la première fois de toute son histoire… un être aussi sublime que lui! Wow! Incroyable! Enfin quelqu’un qui peut partager la compréhension de son fardeau de beauté suprême! La surprise et le bonheur fut réciproque : Maître Ulbald et Sheridan s’étaient enfin retrouvés dans ce monde parsemé de trivialité esthétique!

Les deux devinrent inséparables durant les heures de cours (normal, Ulbald était payé pour) et le Maître dispensa des leçons à son apprenti autant au niveau théorique que pratique. Il emporta à notre héros hors du manoir pour expérimenter la vie et aussi, clairement, pour se pavaner dans la rue en tant qu’extrêmes beautés. Les regards des gens à l’extérieur n’étaient pas les mêmes que ceux des servants, des tuteurs ou des participants de funérailles : il n’y avait ni peur, ni autorité, ni pitié… seulement de l’admiration dans son état pur, de la fascination compacte, de l’extase béate. C’était plaisant… enivrant… c’était addictif.

Sheridan testa aussi les différentes sources de plaisirs avec son Maître fichtrement pas conservateur! La gastronomie, les spectacles, les festivals, les tavernes, les bordels et les musées (tous aux frais des Laoz, bien sûr)! Une connivence se formait entre les deux compagnons et enfin, pour la toute première fois, Sheridan connu l’amitié! Les deux camarades écrivirent des chansons et performaient l’un pour l’autre, ils flânaient autant dans les rues achalandées que les sentiers de boisés peu fréquentés, ils prenaient un verre en discutant gaiement ou restaient tous les deux silencieux, plongés dans une lecture quelconque, côte à côte. Tant d’agréables expériences que Sheri n’avait jamais connues auparavant, confiné dans ses études et son rôle de tristesse infinie. Ainsi, notre kitsune découvrit la vie ou, du moins, une nouvelle facette de cette dernière : celle qui n’est pas empêtrée par la mort.


Philosophie et patati

Avec les enseignements de son Maître grandiose, un nouveau monde s’ouvrait au jeune kitsune… Être ou ne pas être… telle n’était pas la question. Il ÉTAIT beau et il fallait qu’il tire avantage de cette (seule) qualité qu’il détenait! Maître Ulbald, avec ses leçons particulières, ses réflexions profondes et ses enseignements peu communs poussèrent Sheri à se poser de sérieuses questions existentielles vraiment trop complexes pour son joli minois : « Qui était-il vraiment, outre le beau kitsune aux cheveux soyeux? Avait-il lavé ses cheveux hier? Quelle couleur de vêtements allait-il porter aujourd’hui? Ha, noir… il avait une cérémonie importante… Mais était-elle vraiment importante? Car en fait, pourquoi faisait-il son travail? Œuvrait-il pour lui, ou pour ses parents? Que devait-il à sa famille, en réalité? Qu’est-ce que son concept de soi sans les Laoz? Que voulait-il au fond de lui? Comment allait-il poursuivre sa destinée? Reprendrait-il avec zèle le département des pleureurs de l’institution familiale? Doit-il imiter sa sœur et s’acharner jour et nuit pour les affaires funéraires? Allait-il pleurer toute sa vie de son propre gré? Mais au fait, quel jour de la semaine était-ce? Qu’avait-t-il mangé hier soir? »

Le monde n'existe pas sans sujet pour le penser… et le sujet, c’est lui, c’est Sheridan lui-même! Il est une auto-production libre, il est l'unique source de valeurs, il doit vivre une existence fondée sur une arithmétique des plaisirs et rejeter les conventions sociales et morales communément admises afin de mener une vie ascétique (et il mélange tous les courants de pensées philosophique, dans un ragoût amalgamant divers éléments qui peuvent sembler incompatibles, mais qui font du sens quand l’on y goûte - le meilleur exemple dans la vie courante : la pizza hawaïenne.)

Il savait déjà, depuis bien trop longtemps, qu’il n’était pas comme les autres Laoz et qu’il devait, désormais, bâtir sa propre identité : celle d’un individu célébrant… la vie! Il se devait de rendre hommage à la nature et à la création de son être fabuleux! Effectivement, il suivra la volonté de ses parents et il deviendra un être distingué, accompli et connu, prisé par sa délectable apparence et de ses incroyables performances! Cependant, ce ne sera pas en versant des larmes de douleur et de chagrin qu’il plongera dans le succès, mais en transmettant sa vision merveilleuse de l’existence à autrui, par le biais de sa beauté irréelle et de son art fascinant! Il se promit qu’il allait apprendre à sourire, beaucoup plus souvent, puisque la joie lui semblait plus naturelle à prétendre et qu’elle était particulièrement plaisante à acter.


Les débuts du commencement d’un départ…

Bien que craintif et fébrile, Sheridan décida d’annoncer ses grandes révélations à sa famille! Pour se faire, il leur fit la demande de festoyer le jour de son passage à l’âge adulte tous ensemble, et ce fut l’un des très rares moments où tous les Loaz étaient réunis autour d’une table. Même si le tout progressa maladroitement, parsemé d’un léger malaise engendré par un manque d’habitude, notre héros était plus déterminé que jamais à assumer ses croyances et à exposer ses choix. Une étrange chaleur caressant son torse et les traces d’une passion en éveil frôlant ses lèvres, il se leva de table après avoir englouti son dessert - ayant cumulé assez de courage avec tout ce sucre, brandit son luth soigneusement préparé d’avance, fit une révérence à ses proches - ahuris d’incompréhension - et leur performa l’une de ses compositions inspirée de l’entreprise familiale : Le Columbarium. Ne leur laissant pas le temps de réagir suite à sa dernière note, il leur déballa alors - à l’aide d’une tirade qu’il avait cuisinée, décortiquée, mâchée, mijotée et remâchée – qu’il voulait poursuivre sa passion artistique hors des services funéraires et que sa muse était… la vie!

Contre toutes ses attentes, sa famille accueillie sa musique avec enthousiasme et son discours avec sincérité! Sheri était arrosé de compliments, encouragé d’applaudissements et accepté avec affection! Ils étaient tous si fiers de lui, de sa beauté et de son charisme, et maintenant qu’il était un adulte, il pouvait évidemment poursuivre sa propre destinée selon sa volonté - surtout si c’est pour rapporter gloire, prestige et honneur à la famille!

Abasourdi par autant d’amour et de louanges, Sheri resta basé sous le toit familial - où il trouvait un confort nouveau ainsi qu’un énorme soutien de la part de ses proches - afin d’entamer son processus vers la gloire! Il voulait également profiter des excellents conseils de Maître Ulbald pour le développement de sa carrière d’artiste professionnel! Ce dernier le référa à plusieurs tavernes, restaurants et petites auberges et il commença sa vocation d’auteur-compositeur-interprète devant un auditoire diversifié.

Rapidement, au courant de quelques mois, il gagna une certaine popularité qui augmenta le nombre de ses performances. Ces derniers, se multipliant, ne lui laissèrent pas le temps et l’esprit pour poursuivre convenablement l’écriture de ses chansons. Aussi, constatant le succès grandissant de son élève, Maître Ulbald se mit à l’introduire à des fêtes privées et des tavernes assez particulières où le jeune kitsune pouvait obtenir une rémunération supplémentaire pour danser (en petite tenue) et il semblerait qu’il y avait aussi des formules de performances personnalisées (privées) où les détails étaient très nébuleux (louches). Nous tenons ici à mentionner aux lecteurs sensibles que notre adorable Sheri n’a pas encore accepté ces offres qui lui ont été proposées, mais que cela était dans sa liste des choses à faire de les considérer (il est encore - presque - pur!)

Bref, Sheri avait l’impression qu’il s’éparpillait dans son parcours et voulait faire le point sur ses ambitions et sa stratégie afin de ne pas diverger de son objectif initial : la gloire. Il voulut en discuter avec son Maître, mais avant que cela ne soit possible, Ulbald disparut dans les brumes avec son salaire semestriel lorsque des prêteurs à gages vinrent sonner à la porte des Laoz pour le réquisitionner. Saperlipopette! Il était, en fait, un charlatan endetté avec des références académiques totalement falsifiées! (ça explique bien des choses…)

Sheridan était déçu par le départ précipité de son maître, car avec la fortune de sa famille, il aurait pu aider ce dernier à rembourser son dû et recommencer une vie honnête. Néanmoins, notre héros savait qu’Ulbald avait choisi de disparaître par considération pour lui (euh non?), puisque son maître savait que Sheri ne voulait pas profiter des acquis de sa famille et qu’il voulait se bâtir par lui-même. Évidemment, ce n’est pas avec ses maigres revenus d’artiste en herbe qu’il aurait pu libérer son ami de ses dettes faramineuses.

L’évènement facilita les réflexions de Sheridan quant à la direction de sa carrière : De 1, pourquoi rester au manoir des Laoz s’il ne voulait pas abuser de leur fortune? Il admire l’héritage familial, mais veut bâtir sa propre fondation! De 2, à quoi bon se produire à maintes et maintes reprises devant l’auditoire désintéressé des tavernes de beuveries, des auberges de petite taille ou des restaurants où la nourriture importe plus que son chant? Ce n’est pas un applaudissement entre deux consommations ou deux bouchées de pomme de terre que recherche Sheri, mais une fascination dans le regard d’un individu pour lequel le temps s’arrête lorsqu’il le contemple et l’apprécie! Il décida alors d’être beaucoup plus sélectif dans ses lieux de performances et de prioriser festivals ou évènements de grande envergure pour se produire : ses représentations des derniers mois l’auront assez fait connaître pour qu’il reçoive des propositions plus intéressantes (et décentes)! De 3, il a besoin d’inspiration afin de permettre à sa créativité d’élaborer des pièces de qualité! Pour ce faire, il doit parcourir le monde à la recherche d’histoires, d’émotions et de sensations à transmettre sous forme de poésie et de mélodie!

Avec les bons souhaits de ses proches, il quitta donc le foyer familial en quête d’aventures passionnantes à traduire en musique! C’est ainsi que débuta son récit en tant que barde itinérant qu’il composera avec vous, chers lecteurs de sa fiche, habitants d’Orzian!


Liens

Père Ifan Laoz – 382 ans : Chef de la Guilde Funéraire, expert en relations interpersonnelles, spécialiste du développement d’affaire, géni en coordination des différents départements… Il n’est pas noble, mais sa fortune est plus ample que celle de certains d’entre eux. Souvent en réunion ou en participation à des conventions de la mort, il est donc très peu à la maison. Il adore ses enfants et sa femme, mais il doit absolument contribuer à l’épanouissement de sa Guilde au plan international!

Mère - Edalyne Phaabu – 340 ans : Pleureuse d’un haut niveau de professionnalisme, démonstratrice d’empathie bien balancée, sourieuse d’une rassurance parfaitement opportune : elle est une Maître de l’accompagnement de l’entourage des défunts. En ce sens, elle ne sert que les funéraires les plus hauts de gammes et dirige plutôt l’académie de l’Expertise en Deuil pour former le personnel compétent de la guilde. Ce rôle la rend aussi très occupée, ce qui l’amène à revenir très tardivement à la maison quotidiennement. Elle aime beaucoup ses enfants et son mari, mais elle est tellement passionnée par son travail… ah tient, justement, dernièrement l’on parle de cette nouvelle théorie de la courbe émotive de la tristesse en phase 2 du deuil par anticipation – il faut étudier comment intégrer cela aux leçons!

Sœur - Mahalia Phaabu Laoz – 127 ans : Elle veut éventuellement succéder à son père pour diriger la Guilde funéraire. Son but est éventuellement d’obtenir le monopole morbide du décès dans l’empire, puis tranquillement s’étendre vers les contrées avoisinantes. Elle suit les traces de son père, très axée vers le développement des relations et vers l’innovation des stratégies de sous-traitances efficaces. Son dernier exploit : la nouvelle ligne maison de cercueils hauts de gammes abordables qui a fait une sen-sa-tion! Elle dirige aussi des recherches sur la culture de la mort pour les différentes races afin d’offrir un service personnalisé aux diverses ethnies. Il est important de respecter les rites de chacun afin de desservir un bassin de clients plus vaste. C’est l’ère où l’on doit inclure les différences afin d’avoir un impact notable sur le marché! Il adore son frère chéri, mais n’a manifestement pas de temps pour lui!

Notre héros - Sheridan Phaabu Laoz – 35 ans : le cadet de la famille, petite nature à la découverte du grand monde!


Qui êtes-vous ?
  • Petite présentation de votre personne : Yoooooo! Je m’excuse d’avance de vous faire lire radicalement… n’importe quoi! Hahaha! Je ne me prends pas du tout au sérieux, malgré que Shéri puisse donner l'impression d'être condescendant et imbu de sa personne. Néanmoins... comment lui en vouloir? Il est tellement magnifique et parfait, son sourire est si envoûtant et charmeur… et son poil, saperlipopette! Son poil est Ô si soyeux et brillant... XD
  • Rythme rp et particularités : De retour sur un forum après de nombreuses années d'arrêt. Je renoue avec ma passion pour l'écriture et je m'engage à répondre au moins une fois par semaine.
    Néanmoins, selon le rythme de l'histoire et ma disponibilité, les réponses peuvent définitivement êtes plus fréquentes!
  • Comment avez-vous découvert le forum : Par référence!
  • Des ambitions pour votre personnage ? Je suis encore à la découverte du monde d'Orzian, donc je ne sais pas comment traduire l'évolution à court et moyen terme sans avoir bien saisi l'univers. J'aimerais énormément que Sheri s'épanouisse dans son art et qu'il gagne du prestige rapidement, mais je ne m'empresse pas d'accélérer inutilement la chose. Le but ultime est de m'amuser et de suivre le cours des évènements rocambolesques de sa vie...
  • Avez vous prévu quelque chose ou êtes vous adepte du "laisser le jeu faire" ? Définitivement du type à se laisser porter par le courant dans ce cas ^^


Hyun-Ae Que
Hyun-Ae Que

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Sheridan Phaabu Laoz
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