Ici vous trouverez les descriptions détailles de grandes religions nationales Orzaniennes. Plus tard nous aborderons celles des différents peuples qui ne sont pas générales parmi eux, mais assez répandues selon les nations dans lesquelles ils vivent.
La religion Teïderienne ou culte de l'épreuve :
Explication :La culte Teïderien, fondé par le prophète Zheznev, un grand nécromancien qui a unit les tribus barbares qui donnèrent naissance au royaume Teïder et dont descendent les trois dynasties qui ont régner successivement sur ce royaume, est aussi vieux que celui-ci. Il tourne autour de deux divinités, la mère de la vie qui est au-delà de ce monde, celle qui crée les âmes humaines qui entrent dans celui-ci et les accompagne vers une existence meilleure si elles s'en sont montrées dignes au cours de leur existence, et son mari. Le père de la souffrance, dédié totalement à ce monde, chargé d'éprouver les fidèles pour leur accorder ensuite le droit de suivre la mère de la vie ou non après la mort, ceux qui échouent renaîtront sinon en ce monde de peine et de douleur. Ce jusqu'à ce qu'ils soient enfin digne de ne pas y revenir. C'est une religion complexe fortement liée à l'état gouvernant cette nation et fortement hiérarchisée, son empreinte sur la population est évidemment d'autant plus grande qu'elle plus de deux fois millénaire.
Symbole : - Spoiler:
Le carré représente le fait que l'on ne peut compter que sur les coreligionnaires qui se trouvent symboliquement en lui et le fait que les côtés dépassent qu'il faut étendre le culte sur le monde... C'est un symbole que l'on trouve souvent représenté dans les ouvrages religieux Teïderiens, au sommet des sceptres ou partout où il peut sembler esthétique et être mit en valeur. Evidemment il est souvent ornementé.
Influence :Cette religion est majoritairement présente dans le royaume de Teïder où elle a une influence incontestable au point d'en être oppressante. Là-bas elle influence grandement la vie de tout un chacun, du moins les humains soumis au régime en place, quant aux autres, certains rebelles humain sont croyants eux aussi même si très différemment et les non humains ne peuvent que subir les tendances hostiles de cette religion à leur égard. Ou lutter contre… La présence de ce culte à l'étranger est sinon anecdotique au point d'en être presque ignorable, car bien peu des non Teïderiens qui y adhèrent ne sont pas des espions à la solde du régime...
Philosophie : La vie est une épreuve, l'homme ne vient pas en ce monde pour être heureux, car le bonheur n'existe pas, dès sa naissance et ce jusqu'à sa mort, la vie est une succession de souffrances et peines diverses qui ne peuvent être aux mieux qu'écartées un temps. Le véritable fidèle n'ignore point cela et doit accepter la nature cruelle, mais aussi éprouvante de la vie, car c'est une épreuve qu'il convient de surmonter au mieux. La douleur forge ou elle abat, elle renforce ceux qui sont forts et détruit les faibles de corps et d'esprits. Tout ce qui peut être accomplit d'important en ce monde nécessite labeur et peine, le plaisir que l'on peut tirer d'un acte vient du malheur d'un autre ou de la peine que l'on a éprouvé pour l'accomplir, la souffrance et la douleur ne sont donc pas des mauvaises choses, car elles font parties de ce monde. Il faut les accepter, mais aussi les éprouver, pour devenir plus fort, mais aussi prouver sa valeur et peut-être aspirer à une meilleure existence après la mort. Tandis que le plaisir sans peine et la facilité sont ce que cherchent les faibles et ne font que ramollir ceux qui les éprouvent.
Commandements :-Tu n'useras point des magies trompeuses transformistes et invocatrices.
-Seuls les plus fidèles serviteurs du seigneur peuvent prétendre manipuler la lumière et les ténèbres qui sont des éléments sacrés, mais même-eux ne doivent pas toucher de trop près l'essence divine car ce serait là un péché d'arrogance.
-La nécromancie est la magie la plus sacrée qui soit, seul le seigneur, les serviteurs qu'il appelle en ce monde et ceux descendant du prophète peuvent prétendre l'employer.
-L'humanité est l'espèce choisie par le père de la souffrance, le sang humain ne doit donc pas être souillé par le mélange avec celui d'un autre peuple. De même l'âme humaine ne doit pas être souillée par le péché d'infidélité ou par la vénération d'une autre divinité.
-Tu honorera la mère de la vie et le père de la peine et ne souillera pas ton âme de l'idôlatrerie d'un faux dieu. Tu obéiras au saint roi de Teïder qui est l'envoyé du seigneur en ce monde et son porte parole.
-L'envie est un péché que tu ne ressentiras point, car si tu n'as pas ce qu'à l'autre, c'est que toi ou tes ancêtres n'ont pas assez endurés pour.
-La luxure est une faiblesse que tu honniras, car elle ne crée que décadence et faiblesse pour ceux s'y adonnant.
-Tu tireras ta fierté de récompenses et des résultats obtenus par ton labeur et ta peine.
Comment adhérer à ce culte :Il suffit techniquement d'être un humain et de faire vœux d'allégeance envers le seigneur de la souffrance et la mère de la vie, mais aussi le roi de Teïder, même si beaucoup de renégats à ce culte se passent du serment envers le roi. Les cas de croyants non humains sont rarissimes et mal vus par le clergé de cette religion sinon, mais ils existent et ils ont souvent leur propre version de celle-ci.
Fonctionnement du clergé :Concrètement, la clergé Teïderien est un culte fortement hiérarchisée depuis déjà fort longtemps de cela. Partant de deux têtes centrales n'obéissant qu'aux deux divinités Teïderienne et au roi, et qui délèguent leurs pouvoirs à des inférieurs hiérarchiques. Inférieurs qui ont à référer à leurs supérieurs pour les décisions importantes et pour leur nomination. La personne nominant le grand patriarche et la grande matriarche étant concrètement le roi de Teïder après consultation du seigneur de la peine, pour qu'ainsi la volonté divine soit respectée. Une religion obéissant à de nombreuses règles et dogmes complexes s'étant étoffées au fil du temps et qui pour beaucoup sont plus anecdotiques ou mis au rebut depuis déjà fort longtemps de cela.
-Le grand patriarche/la grande matriarche :Ne comptant qu'un seul de chaque, le clergé Teïderien et dominé par le grand patriarche et la grande matriarche qui commandent les membres du clergé de même sexe qu'eux et dévoués respectivement au père de la peine et à la mère de la vie. Ils n'ont de comptes à rendre qu'au roi et aux dieux eux-mêmes et techniquement toute autorité sur le reste du clergé en dehors de l'inquisition, mais aussi sur la spiritualité des sujets de Teïder.
-Les saints patriarches ou saintes mères :Ce sont les membres supérieurs du clergé Teïderien, ceux en charge de l'équivalent d'un comté, ou d'un duché administratif pour les saint patriarches et saintes mères considérées comme exaltées. Supervisant tout un troupeau de fidèles, ils n'ont du temps à consacrer qu'aux personnes les plus importantes du royaume, car le reste doit l'être à de grandes questions théologiques, administratives ou mêmes militaires pour ceux d'entre-eux associés à l'inquisition.
Concrètement d'ailleurs, si le grand inquisiteur compte comme un saint patriarche, il est considéré aussi comme de rang équivalent au grand patriarche et ne dépendant que de l'autorité du roi et du seigneur de la peine.
-Les grands prêtres et mères supérieures :Ce sont ceux directement au dessus des prêtres et des mères, ayant les mêmes devoirs, mais se consacrant pour leur part aux serviteurs de l'état et importants fidèles du régime, ils sont aussi charger de la supervision de plusieurs prêtres et mères chacun. Un contrôle qui se fait souvent indirectement et partiellement, sauf quand des soupçons pèsent sur l'une de leurs pupilles...
-Les prêtres et mères :Ce sont les membres du clergé aux contacts des fidèles, les prêtres représentant le père de la souffrance et les mères la mère de la vie. Ce sont à eux souvent que s'adressent les membres du petit peuple pour les questions de fois, qui organisent l'immense majorité des rituels religieux quotidien de ce culte, mais aussi qui s'assurent de la loyauté des fidèles.
Particularités du culte :-L’inquisition :Considéré comme les gardiens de la foi du clergé, les inquisiteurs sont directement liés à celui-ci et chargée de missions de natures avant tout saintes et religieuses là où les services de renseignements du royaume s'occupent de missions plus militaires et laïques. Ils en sont en somme un équivalent religieux et zélés en charge de missions équivalentes et autant capable de subtilité que de brutalité pour châtier les impies.
-Les bûchers :C'est le supplice généralement réservés aux hérétiques, impies et non humains capturés par l'inquisition et condamnés, si tous les pécheurs ne sont pas forcément condamnés à mort, beaucoup le sont et connaissent alors les caresses douloureuses des flammes du bûcher...
-Les « hérésies notables » :Les monothéistes : Ce sont ceux qui prétendent que la père de la souffrance et la mère de la vie ne sont qu'un tout qui forme une entité divine parfaite car à la fois mâle et femelle. Cette hérésie n'en est pas tellement une car à peine tolérée par le clergé.
Les dispensateurs immodérés du fardeau : Ce sont deux qui considèrent que la douleur et la peine sont des vertus à offrir sans modération à leurs congénères et ce en tout temps. Ces hérétiques ci se retrouvent surtout dans l'inquisition où quand ils sont démasques, finissent souvent bannis du royaume ou enfermés dans un asile car il est considéré qu'une souffrance offerte à un fidèle n'a pas autant de valeur que celle qu'il s'inflige à lui-même.
Les inquisiteurs renégats : Ces inquisiteurs ci sont parmi les hérétiques les plus détestés par le clergé, car ce sont d'anciens agents de l'inquisition qui ont décidés pour une raison ou une autre de trahir le régime de Teïder ou de disparaître de la circulation, ils se font alors souvent ennemis du royaume et de des ennemis têtus et décidés.