Le palais d'Orzus :

Le palais d'Orzus est une grande forteresse située dans la cité d'Orzus, pas l'une les plus imposantes du continent car c'est une forteresse dans la forteresse qu'est Orzus elle-même, mais sans conteste l'une de plus sécurisées et imprenables du monde de loin. Le luxe y régnant en dehors des appartements de la famille royale, des lieux de vie de celle-ci, les salles réceptions et la salle du trône notamment où il est éclatant au point qu'il n'est rivalisé que par les palais des deux empires et des ducs les plus riches des Duchés du Sud, n'y est pas pas particulièrement immense. C'est une structure très militaire, mais surtout un lieu de pouvoir et de décision pour le royaume fermé au reste du monde qu'est Teïder.

Ce palais aux allures de sinistre citadelle possède environ 12 étages si on compte les 4 souterrains et un nombre très élevé de salles difficilement chiffrable. Les murs de ce palais faits d'une pierre très solide et renforcée par magie ne sont pas du genre à tomber aisément et ils ont été conçues pour être si lisses qu'ils sont extrêmement difficiles à escalader, sans parler des gardes et services de renseignements qui surveillent en toute heure le palais que ce soit à l'intérieur, à l'extérieur ou en hauteur. Aussi bien des gardes d'élites à pieds que plusieurs monteurs de monstres volants, dont en permanence un garde drake ou des systèmes de détection et de pièges magiques ou plus conventionnels. Il est dans les faits quasiment impossible de pénétrer dans le palais et passer inaperçu, même la corruption ne fonctionne quasiment pas vu l'incorruptibilité de la quasi totalité de ceux le protégeant, quant à le prendre par la force, cela serait un vrai tour de force.

Les 4 étages souterrains sont dédiés aux services de renseignements et tout ce qui a attrait à eux. Que ce soit des cachots ou oubliettes pour des prisonniers particulièrement importants que le roi tiens à avoir lui-même sous la main, des salles d'entraînements tristement célèbres pour leur dangerosité, des salles de réunions, des entrepôts ou même des pièces aux utilités plus obscures. Sans parler évidemment de bureaux pour l'administration, de lieux de prières et flagellations notamment. Enfin, dernier détail important et suscitant nombre d'envie, à l'étage le plus profond du palais se situe les grandes archives contenant des dossiers sensibles concernant tout le continent et ses secrets, des archives dans lesquelles seuls ceux habilités par le roi peuvent pénétrer, sous peine de mort sinon, celles où aucun intrus n'a jamais mis les pieds et étant de loin la source de renseignements sensible potentiels la mieux pourvue d'Orzian.

Les 4 étages centraux eux dont dédiés à la famille royale, que ce soit les appartements royaux, la salle du trône, les cuisines, lieux de travail des forgerons, couturiers et autres artisans dédiés à elle et au roi, mais aussi des musées contenant nombre de trésors de guerres Teïderiens et objets précieux inédits, ainsi qu'une bibliothèque immense, sans doute surpassées uniquement en taille par celle de la tour d'Hybra et égalée seulement par celle des principaux palais des deux grandes empires. Évidemment cela, mais aussi le sanctuaire personnel du roi et tout ce qui peut servir aussi bien à la sécurité qu'au confort matériel et spirituel de la famille royale au sein du palais.

Les 4 étages les plus hauts du palais quant à eux servent à l’administration et la bonne tenue du royaume. On y trouve aussi bien quelques chambres pouvant accueillir les invités du roi, que nombre de bureaux et appartements de fonctions où travaillent des fonctionnaires importants et à garder à l’œil, des salles d'entraînements militaires pour la garde, des arsenaux fortement gardés et protégés par la magie, des  sanctuaires et des reliquaires, mais aussi tout ce qui pourrait permettre la bonne tenue administrative d'un palais comme celui-ci et le royaume que gouverne le roi qu'il abrite. Le tout fortement protégé et surveillé même par les domestiques qui ont été formés par les services de renseignements Teïderiens.

Le palais d'Airain :

S'il y a bien des concepts autour desquels s'articule le palais d'Airain, c'est par son existence de montrer le prestige de l'empire en Orzian, mais aussi d'être ouvert aux visiteurs tout en restant sécurisé en tant que demeure de la volonté politique de l'empire sur le continent et donc de celle du peuple impérial. C'est une immense structure en cercle faisant aisément plus d'une centaine de mètres de haut pour la tour centrale et une cinquantaine pour le reste du palais qui recouvre une large superficie autour de lui. C'est loin d'être purement un lieu politique et symbolique pour l'empire d'ailleurs, mais aussi un lieu administratif, public et délivrant nombre de services. L'équivalent d'une mairie pour un humble village dirons nous aussi, mais en bien plus impressionnant.

Évidemment, c'est la tour centrale munie de nombreux ascenseurs qui accueille les infrastructures politiques du palais, que ce soit des salles de réception, d'audiences impériale ou pour celles du gouverneur de province, de réunion de l'assemblée du peuple, mais aussi du sénat, des appartements dédiés aux invités étrangers ou bien aux hautes personnalités civiles et membres des familles royales s'y trouvent aussi pour des raisons d'affaires publiques entres autres. Cette tour est dans les faits l'un des endroits les plus sécurisés du continent sans en donner l'air, que ce soit le champ de force technologique l'entourant et la protégeant aussi bien que sa robuste construction, les gardes impériaux et sénatoriaux y assurant la sécurité, les systèmes de détection et identifications technologiques placés à des endroits clés et bien d'autres. Pourtant l'entrée n'y est pas interdite au public, il faut juste suivre certaines procédures plus ou moins administratives.

Le reste du palais est un assemblage pour le reste en dehors du sous sol, d'infrastructures civiles visant aussi bien à assurer l'administration de la cité d'Airain en général que la supervision du reste de la province impériale, mais aussi la réception d'affaires courantes des citoyens, la gestion de l'imposition, mais aussi des archives publiques et une très grande bibliothèque comme il y a dans les grandes cités de l'empire, accessible au public gratuitement à condition de respecter des règles strictes dans l'intérêt de la préservation des ouvrages s'y trouvant. Et ce n'est là qu'une partie de ces infrastructures visant au bien être de la cité, mais aussi à assurer son bon fonctionnement.

Les sous-sols quant à eux sont les lieux d'entrepôt des équipements de la garde impériale/sénatoriale et celle publique qui protègent le palais. Celle publique a certes dû laisser en partie la place à la garde impériale avec la présence de l'empereur en Orzian, ce pour se consacrer à d'autres missions, mais les 3 ensembles ont besoin d'infrastructures aussi bien pour être bien équipés qu'entraînés. Ils ne sont pas situés en garnison là par contre, sauf quelques jours par semaine, mais le tout est conçu évidemment pour que ce soit une grande gageure pour qu'un éventuel intrus pour venir jusqu'ici, ne serait-ce que la présence de cristaux anti magie à des points de passage clés...

Évidemment le palais dans son ensemble est construit de manière à évoquer l'élégance, la puissance, mais aussi le progrès. Que ce soit par de grandes salles, de grands couloirs, la présence active de technologies de toutes sortes, le propreté qui y est entretenu méticuleusement et la présence souvent d'un fond musical léger dans les endroits où ce n'est point dérangeant. Quoiqu'il en soit c'est une curieuse structure ou ironiquement en dehors des invités du pouvoir Akkatonien, pas grand monde n'y loge, car servant plus dans un cadre professionnel qu'autre chose.

Le palais de Jade :

Un palais capable de faire pleurer de joie ceux le contemplant ou bien de marquer durablement leur être par sa splendeur difficilement égalée ou surpassé, sauf évidemment par le grand palais d'Ikhyld de la capitale impériale dont il n'a pas non plus à rougir de la comparaison. Le palais de Jade est comme la grand tour d'Hybra, une représentation parfaite de ce que l'empire d'Ikhyld fait de mieux. L'Art y a une grande place, la beauté aussi, le raffinement de la cour y est incontestable et même les éventuelles intrigues qu'il y a n'y font rien pour amoindrir cette beauté ci, au contraire car elles se font dans un cadre civilisé, mais aussi plus ou normé habituel au splendide empire de magie et d'arts. Un palais qui déborde donc aussi de magie dans tous ses recoins évidemment.

Ce autant pour souligner sa grande splendeur que pour rendre la vie de ceux y habitants plus ou moins longtemps dans l'année d'un confort et luxe incontestable. Que ce soit pour maintenir une température douce, pour des agréments du quotidiens qui n'ont guère à envier au confort de ceux profitant des meilleurs technologies dans l'empire rival ou bien pour pouvoir exprimer leur amour de l'art et de la magie dans les meilleures conditions possibles. Car en plus d'être un lieu de vie pour une noblesse administrative ou assez élevée, c'est aussi une véritable galerie d'art immense contenant des œuvres parmi les plus belles de l'empire Ikhyldien en Orzian, que ce soit des collections de sculptures ou de peintures d'une taille singulière surpassées en grandeur uniquement par celle du palais d'Ikhyld et d'autres œuvres d'arts splendides. Une musique permanente et douce qui résonne dans les oreilles aussi bien à l'aide de véritables musiciens que de magie permettant de maintenir la chose en dehors des chambres…

Ce palais est évidemment aussi un lieu de pouvoir, car c'est ici que l'empereur et les arcanes logent lorsqu'ils vont en Orzian et que beaucoup des grandes décisions concernant la province Ikhyldienne en Orzian sont prises. Ce n'est pas par contre un lieu aussi ouvert à la foule que le palais d'Airain même si elle n'y est pas non plus chassée. Disons qu'en général celle-ci est limitée à certaines partie du palais et surtout conviée pour les fêtes ou bien par petits groupes pour pouvoir faire profiter au « bon peuple » des « splendeurs de l'empire » comme pourraient le dire beaucoup de nobles. Désireux à la fois que la beauté et l'art impérial se transmettent au peuple, ce qui est déjà le cas, mais voulant éviter les vols et autres catastrophes dommageables et pas forcément venant des natifs d'Ikhyld. Évidemment le palais compte un grand nombre d'ambassades au vu de la surpuissance diplomatique d'Ikhyld et permettant à cet empire de mieux tisser la vaste et solide toile qu'est la sienne à ce niveau.

Parlons d'ailleurs de ses proportions, dans un pur style extrême oriental Ikhyldien, le palais est tout simplement immense, s'élevant en moyenne à plus de 75 mètres du sol, il est visiblement quasiment de l'autre bout de la cité de Jade. Les matériaux dans lesquels ils sont faits sont tous des plus nobles, que ce soit les pierres, le marbre et les métaux, mais aussi le bois pour de splendides portes notamment. Il ne faut pas manquer de souligner d'ailleurs que les pierres précieuses ne sont pas absentes dans le tout, ni les métaux précieux eux mêmes, dont ceux pouvant rappeler le splendide éclat du Jade. Et évidemment, le tout est renforcé par magie, faisant qu'en vérité le palais qui est constitué à la fois d'une très solide garnison et peuplé de beaucoup de nobles Ikhyldiens qui sont pour beaucoup des mages estimables peut tenir face à une véritable armée ou d'épouvantables sièges. Il est loin de ce fait d'être un palais purement cosmétique qui ne tiendrait pas contre un assaut. Sans parler des systèmes de protections enchantés plus ou moins visibles de toutes sortes qui sont notamment utiles contre les intrusions.

Et il faut aussi parler de la grande bibliothèque du palais de Jade, tenant la comparaison avec les autres grandes bibliothèques Orzaniennes comme celle du palais d'Orzus ou d'Airain, le genre capable de faire rêver grâce à la splendide littérature s'y trouvant, les archives des renseignements Ikhyldien de la province s'y trouvent aussi d'ailleurs. Et si l'on ne parle évidemment pas de quelque chose rivalisant avec les renseignements Teïderiens, elles sont très respectables tout de même et un peu plus accessible d'ailleurs car l'état Ikhyldien peu des fois consentir à fournir des dossiers ou les révéler au grand jour selon les conditions et le contexte. Pas vraiment les informations les plus secrètes et sensibles évidemment.

Merveilles anciennes :

Orcs :

-La forêt de monolithes :

Si vous errez au sein des terres sauvages du Nord, peut-être finirez vous par tomber au sein des steppes au centre et Sud de celles-ci, sur ce grand rassemblement de monolithes s’étendant sur quelques beaux hectares. Il est sut quoiqu’il en soit que ce rassemblement en cercles de monolithes dont ceux du centre font presque une centaine de mètres de haut et ceux des extrémités la taille d’un orc adulte, est plus vieux que l’invention de l’écriture elle-même par les nains. On ne sait donc pas qui l’a bâtit à part que ce sont des orcs et pourquoi. Mais il est incontestable que cet immense rassemblement de pierres dressées, est impressionnant même aujourd’hui, alors pour l’époque… Quant à son utilité actuelle, c’est un site sacré et neutre privilégié pour les peaux vertes qui en font donc souvent un lieu de discussion diplomatique privilégié avec d’autres tribus.

-La cité mouvante d’Omgür :

Ancienne cité orc vieille déjà de plus de dix millénaires. Celle-ci a une particularité qui fait sa renommée, la cité est totalement nomade. Toutes ses constructions et les possessions de ses habitants peuvent ainsi êtres transportées sur le dos d’immenses bêtes quand nécessaire, mais ce dans des proportions proprement admirables car ce n’est pas une petite cité orc. Certes, quelques dizaines de milliers d’habitants peut sembler ridicule par rapport à certaines grandes villes modernes, mais ça reste de fait très honorable pour une ville, encore plus si celle-ci est tribale et nomade. Une cité riche et riche d’une culture proprement dix fois millénaire au moins qui est un lieu d’échange lorsqu’établit, pour beaucoup de nomades des steppes des terres sauvages du Nord. Notamment car diplomatiquement neutre.

Naines :

-La grande forge d’argent :

Forge la plus productive du monde dans les temps anciens ou parmi les plus productives, si aujourd’hui elle se contente de concurrencer les usines d’armements Akkatoniennes ou grandes forges magiques ou non des autres pays. Elle reste la première forge naine, mais aussi au monde à avoir exploité l’énergie et la chaleur de la lave dans l’unique but d’améliorer le rythme de production. Ce autant pour chauffer les métaux que pour fournir de l’énergie à la forge. C’est un immense bâtiment qui aujourd’hui encore peut aisément accueillir des centaines de travailleurs sinon, niché au fond de la légendaire forteresse naine d’Androk Kräm. Bâtit dans la plus noble roche et établit par les meilleurs artisans à l’époque de l’empire d’Argent, elle a de quoi impressionner par ses dimensions à la fois antiques et massives...

-La grande bibliothèque d’argent :

Première grande bibliothèque du monde, si aujourd’hui elle est obsolète, cet édifice imposant fait de granite pouvant se trouver dans la cité duchéenne actuelle de Linrïs, ancienne cité naine de l’empire d’Argent abritant aujourd’hui une forte communauté naine, a toujours un grand prestige. Tout d’abord il regroupait à l’époque de l’empire d’Argent une grande partie des savoirs scientifiques et érudits collectés par les nains en Orzian, mais aussi philosophiques, ainsi que sur d’autres régions du monde par delà Orzian. Et si aujourd’hui n’importe quelle grande ville d’Orzian peut proposer un niveau de savoir proche et c’est peu dire par rapport aux capitales des grandes nations, cette grande bibliothèque reste encore très honorable et surtout brille par son ancienneté. Autant un musée qu’une grande bibliothèque donc, décoré dans un sublime style nain alliant taille de pierre, sculpture et orfèvrerie, ce bâtiment abrite encore beaucoup de versions originales de textes anciens célèbres et ce souvent en excellent état.

Elfes :

-Le temple du phénix éternel :

Situé au sein d’une des anciennes capitales de l’empire d’or, au cœur de la province Ikhyldienne, qui est aujourd’hui la cité de Lamphä, une cité encore très elfique vassale de l’empire. Ce temple est à la gloire de culte de phénix éternel, une religion qui eut un temps de gloire au sein de l’empire d’or, mais est vite redevenu minoritaire en Orzian. C’est un vaste bâtiment de forme circulaire, non pas doté de toit, mais aux airs de sanctuaire niché au sommet d’une haute colline surplombant la cité auquel on accède en empruntant un sublime escalier de marbre. Des colonnes circulaires et finement gravées se trouvent aux extrémités du cercle immense et en son centre... Une imposante statue de phénix s’élevant vers le ciel, recouverte de feuilles d’or et qui domine la plupart de ceux la contemplant même les jeunes dragons avec aisance. Mais le fait que ce soit une merveille ne vient pas que de la beauté de ce temple, mais aussi des antiques pouvoirs qu’il recèle, de puissants enchantements d’illusions ayant plus d’une fois confondus ceux qui avaient voulus s’en prendre à la cité ou causé la peur chez eux. Une peur ayant la forme d’un enfer de flamme causé par un imposant phénix s’élevant vers le ciel.

-Le jardin éternel :

Vous aurez peut-être la chance de tomber si vous vous perdez en Eïrn, sur ce véritable coin de paradis perdu au Sud du territoire de la République. Un jardin de vie et de joie s’étendant sur de vastes hectares de forêts, où l’abondance marque les arbres fruitiers s’y trouvant, la beauté chacun des recoins de ce grand jardin fleurie, mais aussi la faune accueillante et douce. Les dangers rôdant habituellement sur ces terres semble comme bouder ce lieu ou y êtres inoffensifs et paisibles quand il y sont de passage, les plantes toutes comestibles et la nature y valoir plus que de l’or. Pourquoi ce lieu n’a t-il pas déjà été pillé ou n’est-il pas davantage fréquenté ? Peut-être à cause des dangers nécessaires à traverser pour s’y rendre, mais aussi des tribus elfiques locales en ayant fait un lieu sacré et qui si elles peuvent tolérer le passage de quelques voyageurs égarés dans ce grand jardin, toléreront moins qu’ils s’y attardent... Une question reste néanmoins, comment l’empire d’or a t-il conçut ce grand et luxuriant jardin ?

Nagas :

-La pyramide de bronze :

Cette imposante pyramide de bronze qui fait presque à elle seule la taille d’une petite ville, se trouve dans les profondeurs les plus dangereuses et peu explorées du grand désert à l’Ouest d’Orzian, là où la faune sauvage est la plus agressive, les tempêtes de sables les plus meurtrières et les tribus nagas locales les plus méfiantes. Dans les faits ce fut l’un des derniers lieux refuge des anciens dieux nagas lorsque ces derniers finirent par perdre la guerre contre leurs créations. On dit que dans les faits si le dieu qui y a trouvé refuge a pu être vaincu, il n’a comme bien d’autres pas pu être tué et lui et ses puissants serviteurs peuvent se trouver dans les profondeurs de cette immense pyramidé, scellée avec un nombre impressionnants de pièges et golems gardiens conçus pour empêcher ceux pénétrant dans ce monument d’aller trop loin. Quant à y entrer pour y faire de l’archéologie, les nagas n’ont jamais donnés et ne donneront peut-être jamais l’autorisation à quiconque de s’amuser à cela dans cette pyramide...

-Le grand temple solaire :

Au cours des siècles qui ont vu la chute des anciens dieux nagas, après le traumatisme qu’a été la mort de tant des leurs, certains bouleversements religieux eurent lieux chez ce peuple. Que ce soit la distanciation avec le fait religieux ou la recherche d’autres spiritualités. Parmi celles-là, le culte solaire eut le vent en poupe. Il n’est donc pas étonnant que l’un des derniers grands monuments bâtit par les nagas dans des temps lointains, fut le grand temple solaire. Il a fallut au bas mot des siècles pour le bâtir, mais cet immense bâtiment pouvant accueillit aujourd’hui des milliers de fidèles est l’un des rares exemples de lieu naga où peut se trouver un véritable clergé. Un immense bâtiment fait de grès et de marbre noir doté de gravures et sculptures à la gloire du soleil et dont la plus grande fierté et la grand fresque solaire pouvant se trouver au sein du temple. C’est aussi un des rares lieux anciens monumentaux totalement sûrs, dit-on même que certains non nagas qui se sont intéressés à ce culte ont été séduits par la magnificence de ce lieu.

Merveilles actuelles :

Akkaton :

-La grande université de bronze :

Imposante université située dans la périphérie de la cité d’Airain de l’empire Akkatonien, elle a fait son prestige aussi bien par ses grandes dimensions que par les ambitions qu’elle affiche. Pouvant accueillir des milliers d’étudiants, bâtît avec élégance et pompe avec béton, pierre noble et acier, disposant de véritables parcs intérieurs et de nombreux bâtiments élégants au design innovant que ce soit des bibliothèques, centres scientifiques ou bâtiments pour loger les étudiants et même un musée. Cette université a un but, former de façon égalitaire l’élite intellectuelle de la nation. Les étudiants y étant admis sont tous, sans exception, tirés au sort et ont le droit à des cours donnés par les meilleurs professeurs et dans les meilleurs conditions possible. Si l’initiative peut poser question, l’empire Akkatonien fait tout pour qu’à terme cette université devienne une référence mondiale en terme d’excellence et prestige.

-Le grand conservatoire impérial :

Grand bâtiment d’art musical bâtit dans la cité d’Airain d’une taille tout simplement impressionnante. C’est tout bonnement le plus grand opéra technologiste trouvable dans l’empire Akkatonien, voir dans le monde en général. Parfaitement étudié pour que tout ceux assistant à ses spectacles puissent parfaitement profiter de la musique qui y est produite, d’une architecture élégante de marbre, richement décoré aussi que ce soit à l’extérieur ou intérieur par le velours, un peu d’or et beaucoup de décorations de cristal. C’est un bâtiment d’un étonnant luxe, la plupart du temps payant et assez cher, mais de temps en temps certains spectacles sont offerts et subventionnés par l’état ou de riches donateurs désireux d’offrir cela à ceux modestes qui devraient sinon économiser longuement pour se le permettre. Même selon les standard d’Ikhyld c’est un sublime endroit et une démonstration non militaire du prestige Akkatonien appréciée par ceux préférant les démonstrations de prestige pacifistes. Quant à sa salle principale où ont lieu les spectacle, elle peut accueillir sans mal plusieurs centaines de spectateurs.

Ikhyld :

-L’académie d’or :

Considéré en bonne partie à raison comme le plus haut lieu d’étude dans le monde pour apprendre et améliorer ses connaissances dans la pratique de la magie de lumière, la réputation de l’académie n’est plus à faire et ce depuis des décennies. Disposant des meilleurs professeurs et du meilleur matériel magique pour étudier. D’une immense bibliothèque renfermant aussi bien un grand savoir généraliste de la magie, que très spécialisé dans la lumière, mais aussi d’entrées sécurisées vers le plan élémentaire de la lumière. Il y a en effet peu de chances de trouver meilleur endroit pour apprendre à maître l’élément lumineux qu’ici. Ce sublime bâtiment semble d’ailleurs doucement rayonner même dans la nuit la plus noire, d’une lumière non pas aveuglante, mais rassurante est douce... Et il répond aussi aux hauts standards artistiques de l’empire, par ses décorations sublimes pierres blanches immaculées, feuilles d’or et autres merveilles, et ses œuvres d’art à la gloire de la magie et de la lumière pouvant se distinguer dans certaines salles et couloirs. Nul besoin de dire que ce bâtiment attire aussi une partie de l’élite des mages étrangers ne répugnant pas à l’idée de parfaire leur magie en Ikhyld dans le domaine de la lumière...

-La demeure des songes :

Certains lieux sont irréels par leur allure oniriques, mais aussi par la puissante magie qui les animes, la demeure des splendeurs en fait partie. Personne ne sait exactement qui a eut l’idée de faire construire cette merveille de magie et d’architecture au sein de la Cité de Jade, mais elle est déjà très populaire parmi ceux ayant eut la chance de la visiter. Ressemblant à l’extérieur à un sublime manoir en marbre au style Ikhyldien, immense mais pas du tout remarquable au point d’être une merveille, c’est à l’intérieur que tout est différent. Déjà, à l’intérieur la demeure est bien plus grande qu’elle ne le paraît à l’extérieur. Ensuite c’est un véritable labyrinthe, sans danger et dont on peut sortir à volonté, mais dans lequel il est facile de se perdre. Ce au milieu de couloirs et salles d’une diversité décorative immense et fascinante. Ensuite, la magie qui l’anime offre beaucoup d’animations, des peintures qui bougent, des spectacles visuels ou auditifs fascinantes, l’impression des fois de marcher au milieu de la nature ou d’une partie magnifiée des plans élémentaires, il est impossible de décrire tout ce qui peut s’y offrir aux visiteurs qui n’ont quasiment jamais la même expérience d’une visite à l’autre, car cette demeure semble changer intérieurement chaque jour. Une chose est certaine, le tout est toujours sublime, artistique et peut donner à réfléchir. Actuellement d’ailleurs, certains cherchent à savoir qui est celui ou celle qui a fait bâtir cet endroit...

Teïder :

-Grand temple de la souffrance :

Bâtit il y a moins de deux siècles dans la capitale du royaume, le grand temple de la souffrance est sans conteste l’un des plus grands édifices religieux au monde, avec le grand temple de la source lui-même. Bâtit dans le plus pur et noble style architectural actuel de Teïder, couplé à la plus sublime iconographie et symbolique religieuse. Cet édifice imposant peut accueillir des dizaines de milliers de fidèles, décoré des plus beaux vitraux, de nobles voûtes, de sculptures dans la pierre éloquentes... Tout y est dédié à la gloire du seigneur de la souffrance, de la mère de la vie et du culte de l’épreuve en général. Les saints du culte Teïderien, les grands événements de cette religion, tout ou presque peut y être observé parmi les décorations artistiques qui sont légions ici. Nul besoin d’ailleurs de dire que cet édifice si imposant qu’il a fallut un siècle pour le bâtir malgré l’aide de la magie, est considéré comme une véritable merveille même par les autres pays.

-Forteresse d’Onyx :

Situé au Sud du royaume de Teïder, cette forteresse a dans les faits déjà dix siècles d’existence. Bâtit quelques siècles après la sécession des Duchés du Sud, elle eut pour but à l’origine d’empêcher une possible expansion de ces derniers vers le Nord. Par exemple dans le cas où ces derniers s’unifiaient et s’étendaient vers la seule direction possible pour eux de façon terrestre. Et dans les faits, si les Duchés ne se sont jamais vraiment unifiés, cette forteresse n’a guère était inutile, car au cours du dernier millénaire les conquêtes duchéennes en Teïder n’ont jamais été que timides et rares, mais surtout cette forteresse a permit aussi aux forces royales d’empêcher les régions du Sud frontalières avec les Duchés du Sud de trop êtres tentées par la sécession elle aussi, au risque sinon de se faire douloureusement châtier pour cela...

Duchés du Sud :

-Arsenal de Vinche :

Le plus grand port des Duchés du Sud est sans conteste celui de Vinche, qui si certes il souffre de la concurrence, possède son grand arsenal qui aujourd’hui encore est l’un des ports les plus productifs d’Orzian voir du monde. Un immense complexe manufacturier alliant les meilleurs connaissances magiques et technologiques des Duchés pour produire des bateaux de qualité à une vitesse admirable. C’est aussi un endroit sublime et imposant, bâtis aussi bien dans le bois que la pierre et magnifiquement décoré. Néanmoins, c’est bien à son statut de grand lieu productif que l’arsenal doit son rang de merveille Orzanienne.

-Grande arène des sables d’Inveïs :

Au sein de la cité d’Inveïs, se trouve sans conteste la plus grande arène qu’elle soit légale ou non des Duchés du Sud. Un immense complexe pouvant abriter sans mal plus de dix milles âmes et conçu aussi bien pour de grands spectacles martiaux, que ce soit des combats de gladiateurs, des reconstitutions de batailles ou même des petites batailles navales grâce aux systèmes de l’ensemble permettant d’inonder l’arène quand nécessaire. Que pour des spectacles artistiques, magiques ou autres. Cet imposant édifice de marbre plus vieux que la cité dit-on, qui remonterait à l’ancien empire elfique, n’a pas manqué d’être modernisé avec le temps et fait avec sa réputation de cité neutre, havre des mercenaires, le prestige d’Inveïs. Nombreux sont les étrangers faisant le voyage après tout chaque année, pour observer ou participer aux spectacles mensuels organisées dans cette grande arène.

Eïlynster :

-Le grand monolithe des ancêtres :

Cet immense monolithe se trouvant au centre du territoire Eïlynsterien, fait au bas mot plus de deux cents mètres de hauts et des dizaines de larges. Taillé en forme de stèle dans une pierre noire pure et solide, renforcé maintes et maintes fois par magie. Il a une utilité qui paraît certes symbolique, mais qui aux yeux des Eïlynsteriens est d’une immense importance. Tout ceux s’étant battus bravement au nom de leur pays et ayant accomplis des actes notables, ont le droit de voir leur nom gravé et incrusté de blanc sur cette pierre. Nul besoin de dire qu’au fil des siècles une bonne partie aujourd’hui de sa surface est ainsi gravée, néanmoins il reste encore beaucoup de place et surtout… C’est un immense honneur pour tout enfant du grand mur d’y voir son nom gravé, surtout que vous pourrez trouver non loin de cette imposante stèle, une sorte de village fortifié contenant une archive détaillant les hauts faits de chacun des noms qui y sont aggravés...

-La reine du ciel :

Rare exemple en ce monde de véritable forteresse volante, certes de taille modeste, mais quand même, étant hissée et maintenu dans le ciel par magie. Il n’est guère étonnant que la reine du ciel soit considérée comme une merveille actuelle du continent Orzanien. Ce n’est pas un lieu fait pour la monumentalité et la splendeur, même si beaucoup ne manqueront pas de trouver une certaine esthétique dans son architecture Eïlynsterienne élégante et robuste, mais son rude aspect martial, la puissance qui s’en dégage et la vie certes martiale, mais aussi artistique que les Eïlynsteriens peuvent mener n’en font pas non plus une sorte de garnison triste. Quoiqu’il en soit, c’est sans conteste l’une des grandes merveilles de ce continent.

Eïrn :

-Le grand temple de la source :

Ce grand temple bâtit au sein de la légendaire capitale de la république d’Eïrn, abrite la source des âmes elle-même, en son sein. C’est un immense bâtiment dépassant allègrement les cent mètres de haut, soutenu par des piliers plus larges que bien des maisons et qui est entièrement dédié à la vie religieuse de la capitale. Que ce soit par l’immense sanctuaire magnifique, que ce soit par l’architecture de la construction, les structures et dispositifs décoratifs magiques cristallins se trouvant en son sein, il impressionne aisément. Un bâtiment pouvant largement quand nécessaire accueillir toute la population de la cité pour des offices et au sein duquel la voix de la source des âmes peut parfaitement être entendue si celle-ci désire s’exprimer. Quant à la source elle-même, dit-on que c’est dans les souterrains labyrinthiques du temple que vous la trouverez, derrière une horde de systèmes de protections magiques divers, mais aussi gardée par l’élite des soldats de la république théocratique elle-même… Des soldats dont la qualité n’a rien à envier à l’élite de l’armée Eïlynsterienne.

-Le tombeau du roi fou :

Les mégalomanes peuvent se trouver partout, mais certains sont plus exceptionnels que d’autres. Le roi fou, un humain qui se nommait Betrand Telregrand, était de cette sorte. Souverain d’un petit royaume, il a fait bâtir dans les dernières décennies de son existence un immense mausolée, non pas digne d’un petit roitelet comme lui, mais d’un véritable empereur. Il est difficile de dire comment il a convaincu son peuple de quelques milliers d’âmes de s’investir dans ce projet, ni où il a trouvé les moyens pour cela… Mais depuis plusieurs siècles, peut se trouver dans l’Ouest du territoire d’Eïrn cet immense et terrible mausolée qui domine aisément les quelques villages l’entourant, ainsi que la bourgade royale les dirigeant. Un mausolée qui est bien plus célèbre que le petit royaume l’abritant ironiquement.