Nationalité : Teïderien Race : Humain Nom : Litwinski Prénom : Józef Surnom : La main du roi Sexe : Masculin Date de naissance : An 1950 de l’Âge d’Acier Age : 40 (50 ans) Lieu de naissance : Orzus la capitale de Teïder Lieu de vie lors de votre entrée en jeu : Nomade Rang social : Serviteur de l’état Métier/Position dans la société : Agent d’état Teïderien Titre : La lame écarlate : Peu Connu à Teïder : S'il y a un agent nommé la lame écarlate qui commence à se faire une certaine réputation dans le royaume, notamment dans des buts de propagandes, l'identité précise de Litwinski, n'y est pas spécifiquement affilié.
Armes et équipement :
Armure et armes en votre possession lors de votre entrée en jeu :
Épée bâtarde : Lame longue se maniant à une main et demie. C'est une épée conçue pour être utilisée contre les armures. Celle-ci est faîte de bon acier. Fille des ténèbres : Lorsque l'on frappe avec, l'arme s'entoure d'une aura ténébreuse qui la rend difficile à percevoir et peut troubler l'adversaire. (Malus de -5 aux tentatives de parade ou d'esquives de la cible)
Épée courte : Une épée courte bien aiguisée et facile à manier.
Brigandine : Armure constituée de plaques rivetées sur du cuir ou du tissu épais. Fournit une excellente protection comparativement à son poids honorable. Songe des ténèbres : L'armure ainsi enchantée possède un effet d'hypnose qui a une chance de perturber ceux qui la regardent s'ils échouent à un test de perception. Leur infligeant un malus de -5 en attaque et en esquive à leurs deux prochains actions.
Autres équipements
Ensemble de voyageur : Un ensemble de vêtements résistants et pratiques. Idéal pour les voyageurs.
Cape/Manteau renforcée : Une cape/Un manteau faît(e) de cuir, peut éventuellement arrêter un coup de poignard.
Potion de rajeunissement mineur (Ikhyld) : Ce breuvage magique consommable une seul fois par vie permet de rajeunir de 10 ans.
Anneau en laiton : Un anneau en laiton sans prétention qui est plus précieux qu’il n’en a l’air pourtant. Perception de la puissance : Cet enchantement à apposer sur un bijou permet de percevoir la puissance globale de quelqu'un se trouvant en face du porteur du bijou. Que ce soit des qualités physiques ou ses compétences martiales. Bouclier magique : Cet enchantement permet de créer un bouclier magique de 50 centimètres de rayon qui peut parer un projectile physique ou magie de taille petite ou moyenne. Utilisable 3 fois par combat.
Destrier de guerre Teïderien : Un destrier particulièrement musclé, fait pour la guerre et les charges de cavalerie fracassantes. Celui-ci est de race Teïderienne. (Nécessite champion en équitation) -Attaque : Confirmé -Défense : Confirmé -Constitution : Maître -Malignité : Confirmé -Taille : Confirmé
Armes de tailles : Prodige Armes lourdes : Inapte Armes d hast : Inapte Faux : Inapte Art de la défense : Maître Armes de lancer/fouet : Inapte Arc/arbalète : Inapte Mains nue/Arts martiaux : Confirmé Armes à feu : Inapte Équitation : Champion Domptage : Inapte Conduite : Inapte
Si dragon
Combat dans les airs : Inapte Combat sur la terre ferme : Inapte
Description de votre personnage :
Description physique :
Je ne suis pas le plus beau des hommes, mais guère vilain. D’une taille respectable d’un mètre quatre vingts. Les yeux et la pilosité noire modérément développée. Je ne suis pas un être tout en muscle et puissance, même si je ne suis sûrement pas ce que certains indélicats qualifieraient de lavette. Je suis par contre très agile et souple, plus que je ne le devrais pour mon âge apparent. Mais est-ce vraiment étonnant ? Il y a après tout des êtres qui vieillissent mieux que d’autres, l’expérience peut compenser certaines choses et surtout l’entraînement des services de renseignements Teïderiens aurait de quoi faire rougir bien des guerriers.
Et en vérité si je ne suis pas extrêmement beau, je suis d’attitude et de parlé assez charmant et agréable. Capables d’adopter de beaux accents selon la langue que je parle pour arriver à me faire agréable, je suis quelqu’un d’assez distingué au naturel et gracieux, bien loin du cliché du rustre Teïderien qui passerait sa journée dans des marais croupissants. Et les quelques cicatrices que je possède ainsi que mon air assez mûr me donnent comme un petit côté « expérimenté » du plus bel effet.
Description mentale :
Je suis ce que tout espion de Teïder devrait être au service de son noble pays, à la fois quelqu’un de particulièrement impitoyable envers mes ennemis, mais dévoué aussi à la nation. Encore plus à la nation qu’à la foi envers le seigneur de la souffrance probablement d’ailleurs, même si ma dévotion envers celui-ci n’est pas non plus hypocrite. Faire couler le sang, torturer, mentir, saboter et bien d’autres choses, rien ne me rebute au niveau de ce que je dois accomplir pour le bien du royaume.
Je suis quelqu’un de patient, concentré et méthodiques dans ses tâches et missions. Je ne suis pas du genre plus zélé que nécessaire ou à m’amuser à provoquer mes adversaires à tout va, du moins quand je considère qu’affronter quelqu’un en duel est plus faisable que le poignarder par derrière. De même, je perd rarement de vue mon objectif aussi bien en combat qu’en dehors et me laisse rarement déconcentrer de ma mission.
Je ne suis donc point quelqu’un de tendre, cruel ? Pas vraiment ou pas particulièrement plus que la moyenne des espions de Teïder. Froid ? Pas vraiment, du moins je ne suis pas le genre polaire quand on discute avec moi que ce soit quand je joue la comédie ou ne la joue pas. Au contraire je peux être avenant et même sympathique, souvent avec le bon mot, souvent guère avare en compliments plus ou moins mérités, même si souvent c’est plus de la comédie qu’autre chose.
Quant à l’honneur ? J’en ai probablement, mais pas du genre des guerriers qui croient qu’il ne faut jamais se replier, se battre honorablement ou autre. Je suis un agent de Teïder, l’honneur pour moi c’est d’accomplir ma mission et ne faire de mon mieux au nom de la nation. Quant au reste, s’il faut pour cela attaquer en traître, trahir, mentir, pourquoi pas ? Ce qui compte c’est le résultat, pas la façon d’y arriver, ce tant que les méthodes ne sont pas hérétiques évidemment.
Mais suis-je donc capable d’aimer ? De me lier à quelqu’un ? D’être affectueux ? Je ne suis probablement pas un psychopathe au dernier degré, mais je suis à la fois peu sensible et fier. S’il est sans doute possible de s’attirer ma sympathie, ce n’est pas pour n’importe qui et il est dur de savoir souvent si elle est sincère. Car souvent, je porte un masque quand je parle à mon prochain, même mes alliés.
Convictions :
Bien entendu, à mes yeux Teïder est le plus grand pays que compte ce monde. Bâtit sur des fondations historiques saines, irrigué par le sang d’innombrables martyrs, mais aussi hérétiques et infidèles. Mon pays est dur, mon pays est cruel, mais c’est mon pays et sa beauté et à mes yeux singulière. Les étrangers ne peuvent nous comprendre et inversement.
Quant autres pays ? Les duchéens du Sud sont des idiots sécessionnistes et vains. Les Akkatoniens ? Sans doute une nation respectable à mains égards, après tout quoi de plus noble et digne qu’un pays fort et ayant imposé sa force au monde ? Mais trop mou, doux et décadents de bien des manières. Les Ikhyldiens sont encore pire même si j’ai appris à estimer en partie leurs agents, comme j’ai appris à faire couler des fois leur sang. Les Eïlynsteriens quant à eux sont l’ennemi de toujours, à la fois respectable et haïssable, un obstacle éternel à nos ambitions, tel que Eïrn ce pays maudit et mystérieux.
Bien entendu je crois pleinement comme tout bon Teïderien au culte de l’épreuve, à la voie du seigneur de la souffrance et la bienveillance de la mère de la vie. Je ne suis sûrement pas un fanatique, mais je respecte les prêtres et inquisiteurs, sauf évidemment les traîtres ou éléments gênants qu’on peut me demander de faire disparaître. Ce d’autant plus que ma vie d’espion souvent me pousse à ne pas forcément me comporter tout le temps en bon fidèle, ce que je compense par quelques pénitences et offrandes à mon retour au pays.
Et si je ne suis pas du racisme le plus extrême, peut-être un peu plus modéré que la norme de mon pays quant aux non humains, je les considères tous comme au mieux des êtres inférieurs, au pire comme de la vermine. Après tout de base, les intérêts de l’humanité ne sont que difficilement ceux d’une autre race. Cela et puis leur mort et leur souffrance m’indiffère en général, comme celle des étrangers.
Quant à la technologie et la magie ? Les deux voies m’indiffèrent, aucune technologie ou magie ne peut protéger parfaitement un être de la lame de la ruse et du poison de la traîtrise. Ce ne sont là que des moyens, pas des fins et pour ma part je ne les vois que comme des outils.
Passé de votre personnage :
Histoire :
Je suis fils de cavalier et fils d’une des rares femmes philosophes que compte le royaume de Teïder. Mon père servait dans la cavalerie légère du royaume, une escouade de cavaliers arbalétriers habitué à traquer les ennemis et si nécessaire à descendre les achever au sol. L’on peut dire ce que l’on veut de l’armée Teïderienne, qui en général a une qualité discutable, mais si notre cavalerie est considérée comme la meilleure du continent, ce n’est pas sans raison. De ce que mon père m’a raconté, même si seulement la moitié de ses récits sont vrais, il a tué bien des eïlynsteriens, elfes, rebelles et autres vermines… Quant à ma mère, elle a étudiée à l’université de philosophie d’Enfurg, et a toujours eut une vision de la femme, plus égalitaire que ce qui convient. Jamais rien d’hérétique, il y avait un peu de tolérance après tout pour ce genre d’opinions, dans la mesure du raisonnable évidemment. Quoiqu’il en soit elle était respectée par ses collègues à l’époque, sa spécialité était notamment la théologie, je pense qu’elle aurait put faire une excellente matriarche, mais ça n’a jamais été sa voie.
Pour ma part, je naquis dans la maison familiale à Orzus, ma famille vivait assez bien, dans ce qu’on pourrait considérer comme une sorte de classe moyenne, nous ne manquions de rien, mais nous ne batifolions pas dans la luxe et l’abondance. Je crois, que ça a toujours suffit à mes parents, mon père préférait une vie honnête et rangée, là où ma mère n’avait pas envie de plus de difficultés que nécessaire.
J’ai été élevé assez jeune dans la fidélité et un patriotisme sain, et j’avais pu aussi bénéficier d’un semblant d’éducation, faisant partie des rares Teïderiens n’étant pas riches à savoir lire et écrire et disposer d’une certaine érudition. Mon enfance a été… Sans histoire particulière, je me rappelle avoir été un enfant sage, un jeune homme séducteur et puis vint le service militaire qui fut… Intéressant.
Néanmoins, si j’aurais sans doute pu intégrer la cavalerie légère comme mon père je suppose, voir lourde, l’élite de l’armée du royaume. Ce fut une autre carrière qui m’intéressa, mais qui s’intéressa à moi aussi. Disons que les recruteurs des services de renseignement du royaume sont assez proactifs à certains égards. Et l’un d’entre-eux m’avait trouvé prometteur au cours de mon service, il alla donc me proposer d’intégrer les services, si je faisais mes preuves.
Et je ne vais pas le cacher, il y a diverses manières d’entrer dans les services de renseignements Teïderiens, la méthode douce étant réservée aux enfants d’espions ou de serviteurs de l’état qui doivent néanmoins faire leur preuve par la suite… Moi j’ai eu le droit à la méthode dure, entraînements difficiles, missions périlleuses, apprentissage auprès d’instructeurs, chances de mortalités modérées, mais belles et bien présentes. Le but était aussi bien de tester ma condition physique, que ma loyauté et surtout ma capacité à être impitoyable.
Je réussis assez bien les tests et put entrer dans les services, au rang que j’ai encore aujourd’hui, mais avec bien plus de considération et honneur. Il y a deux façons de progresser après tout dans les renseignements, augmenter en grade et commander du monde et être plus surveillé ou devenir quelqu’un de reconnu pour ses talents et avoir des missions de plus en plus difficiles et risquées...
Quoiqu’il en soit, en entrant dans les services de renseignements du royaume, je monta d’un niveau social, pour atteindre la classe à la fois convoitée et redoutée des serviteurs de l’état, ceux à la fois redevables des faveurs de notre glorieux roi, mais vulnérables à ses caprices. Et intégra par la même l’élite de nos forces armées, même si auprès de mes parents officiellement un poste de rang digne dans l'administration m'avait été offert, ils en furent très fiers... Ils auraient sans doute été fiers aussi de la vérité, mais celle-ci était trop risquée à leur offrir.
Et mes premières missions en tant que vrai agent n’étaient pas si glorieuses que cela, surveiller des personnalités problématiques, démanteler des petits réseaux rebelles, intimider des intellectuels à la langue un peu trop pendu, capturer des prisonniers politiques… Elles devinrent par la suite plus sérieuses, traque d’ennemis dans les marais, infiltrations en terrain d’ennemi, une ou eux infiltrations dans des groupuscules d’opposants et des fois des assassinats. J’eus même à terme vers mes 32 ans mes premières missions à l’extérieur du pays où il m’arrive aussi bien de me faire passer pour un marchand itinérant d’origines diverses, qu’un mercenaire ou bien gentilhomme fortuné amateur de bonne compagnie.
Je fus assez efficace et apprécié et mon identité véritable ne fut jamais véritablement connu de nos ennemis, même si je commençai en tant que "Lame écarlate" à me faire une réputation Teïder. Je crois qu’avec le temps ma lame a pu goûter au sang d’une grande variété d’ennemis du royaume, que ce soit au niveau national, racial ou même de leurs spécialités. J’appris rapidement que rien ou presque n’était intuable si on était capable d’une grande fourberie ou ruse. Au final j’ai pu atteindre mes 50 ans il y a quelques temps après une vie de loyauté déjà bien remplie, mais ait décidé de rajeunir un peu, même si je n’étais pas au bord de le retraite, car il s’avère que pour le moment cette existence de ruse, mensonge et dangers me plaît bien.
Aujourd’hui, je sers donc encore mon royaume et mon roi avec fidélité, si les temps récents évidemment changent la donne et me paraissent être une opportunité, je compte quand même participer à cette guerre prudemment. Autant pour conserver ma couverture que pour pouvoir agir dans l’ombre. Après tout, l’épée qui tranche le mieux, est celle qui sait le mieux où frapper l’ennemi.
Liens :
Mes parents : Ils sont encore en vie, mon père a prit depuis longtemps sa retraite de la cavalerie et ma mère est une mère au foyer et érudite philosophe tout à fait honorables. Il m’arrive des fois de leur rendre visite. On ne peut pas dire que j’ai l’air du fils le plus affectueux envers eux, mais je suis un fils fidèle et ils savent que je suis là pour eux. Et sinon, ils pensent que je suis un simple administratif de haut certain rang.
Mon roi : Mon maître et le plus grand souverain que ce monde connaît à l’heure actuelle. Pour moi c’est la seule personne à part peut-être le seigneur de la souffrance lui-même, qui mériterait que je meurs possiblement en son nom. Il a cette majesté, cette cruauté digne des plus grands souverains de notre noble pays. Cette rudesse dont doivent savoir faire preuve les plus grands hommes d’états. Tant qu’il ne se montrera pas faible donc de cœur ou d’esprit, il aura ma pleine et entière loyauté.
Qui êtes vous ?
Petite présentation de votre personne : Je suis votre dieu ! /sbaaaaaf/ Rythme rp et particularités : Je ne révélerai pas mes secrets ! Comment avez vous découvert le forum : J’en suis le fondateur ! Des ambitions pour votre personnage ? Quelle évolution aimeriez vous lui donner à court ? Moyen ? Long terme ? Avez vous prévu quelque chose ou êtes vous adepte du "laisser le jeu faire" et voir ce que ça donnera ? Je verrais bien en jeu, mais jouer la partie « service de renseignements » de Teïder me tente.
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